Tincourt-Boucly

commune française du département de la Somme
(Redirigé depuis Tincourt)

Tincourt-Boucly
Tincourt-Boucly
École communale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de la Haute Somme
Maire
Mandat
Vincent Morgant
2020-2026
Code postal 80240
Code commune 80762
Démographie
Population
municipale
340 hab. (2021 en diminution de 6,59 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 56′ 25″ nord, 3° 02′ 36″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 133 m
Superficie 12,8 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Péronne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Péronne
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
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Tincourt-Boucly

Tincourt-Boucly est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

À quelques kilomètres à l'est de Péronne, Tincourt-Boucly est un village rural accessible au niveau routier par la route départementale n° 6. Il occupe le fond et les deux versants de la vallée de la Cologne.

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 44, Montdidier - Chaulnes - Péronne - Roisel et ligne no 49, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)[1].

 
Entrée de la commune.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Tincourt-Boucly
Templeux-la-Fosse Longavesnes
Buire-Courcelles   Marquaix
Cartigny Hancourt Roisel

Hydrographie modifier

Le village est drainé par plusieurs bras de la Cologne, affluent du fleuve côtier la Somme.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Estrées-Mons à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Tincourt-Boucly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Péronne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (89,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (82,4 %), prairies (6,9 %), forêts (5,3 %), zones urbanisées (2,9 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 181, alors qu'il était de 176 en 2014 et de 167 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 84,5 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 13,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tincourt-Boucly en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,7 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,4 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Tincourt-Boucly en 2019.
Typologie Tincourt-Boucly[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 84,5 83,2 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,7 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 13,9 8,5 8,2

Énergie modifier

Au début des années 2020, l'implantation de deux éoliennes est envisagée pour une puissance totale de 11,2 MW , en vue d'une mise en service souhaitée par l'entreprise WPD vers 2027. Ces appareils se rajouteraient à l'éolienne existante implantée en 2019 et qui fait partie du parc éolien de la Boule Bleue à Marquaix, suscitant l'opposition de certains habitants[14],[15].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Terincort (1059) ; Thaincurt et Taincurt (1174) ; Thaiencourt (1256) ; Thincourt (1302) ; Thaencort (13..) ; Thaincourt (13..) ; Tancourt (1399) ; Taincourt (1564) ; Taencourt (1562) ; Tincourt (1567) ; Trincourt grand (1579) ; Trincourt-le-Grand (1592) ; Tincourt et Boucly (1763) ; Vincourt (1787) ; Tincourt-le-Boucly (1801) ; Tincourt-Boucly (1836)[16].

La commune de Tincourt, instituée par la Révolution française, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Boucly et prend le nom de Tincourt-le-Boucly puis celui de Tincourt-Boucly[17].

Boucly est une partie de Tincourt, attesté sous les formes Bucli (1186) ; Boclianum et Bocliacum (1210) ; Boucli (1242) ; Boucly (1301) ; Bouquely (1429) ; Bouchi (1573) ; Bouchy (1650) ; Bourli (1733)[18].

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

Boucly a possédé un château-fort ; le roi de France, Philippe-Auguste en a été le seigneur[réf. nécessaire].

Époque contemporaine modifier

Une mairie-école est construite sous le mandat du maire Elysée Caffart, en 1886[19].

L'ancienne gare de Tincourt-Boucly

Tincourt-Boucly a possédé une gare sur la ligne de Saint-Just-en-Chaussée à Douai, portion comprise entre Péronne et Roisel ; la gare la plus proche était celle de Cartigny en direction de Péronne et celle de Marquaix-Hamelet vers Roisel.

Ouverte en d'abord à voie unique, doublée en 1908, cette ligne a cessé d'être exploitée dans les années 1970. Le tracé est aujourd'hui un sentier de randonnée " La voie verte" ; la gare est devenue une salle communale.

Première guerre mondiale

Le village a subi les combats de la Première Guerre mondiale. Tincourt Boucly échappe à la destruction totale durant le premier conflit mondial bien qu'étant située dans une zone de combats intenses en territoire d'occupation allemand. Elle doit cette issue particulière au regard du sort qu'ont connu les autres communes du canton de Roisel au fait qu'elle a servi de lieu de regroupement pour les populations environnantes.

Notamment, une grande partie des roiseliens s'y réfugie. Cinq cents personnes y campent : une centaine d'Hervilly, autant de Jeancourt. Deux cent huit habitants de Roisel sont amenés à Tincourt Boucly le par l'armée allemande.

Le village est décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [20].

Seconde Guerre mondiale
 
Plaques commémoratives du crash

Le , lors des combats de la fin de la Seconde Guerre mondiale, le bombardier américain B17 J 42-51226 du 36th Bomb squadron, s'écrase dans la commune[21],[22].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1958 de la cinquième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Roisel[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Péronne

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes du canton de Roisel, créée fin 1994.

Celle-ci fusionne avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes de la Haute Somme, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1952 René Tardieu    
1952 1976 Jacques Cassel    
Les données manquantes sont à compléter.
1976 1983 Claude Obert    
1983 2014 Yvonne Gronnier    
2014[23] En cours
(au 15 septembre 2022)
Vincent Morgant   Vice-président de la communauté de communes de la Haute Somme (2014 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25],[26]

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

Les enfants de la commune sont scolarisés depuis la rentrée 2017-2018 au sein d'un regroupement pédagogique concentré (RPC) situé dans le village. Il accueille également les élèves de Aizecourt-le-Bas, Driencourt, Longavesnes, Marquaix-Hamelet et Templeux-la-Fosse.

En 2017, ce « pôle scolaire de la voie verte » accueille 90 élèves, dans quatre classes. Les locaux du périscolaire sont aménagés dans l'école antérieure agrandie pour un coût d'environ 800 000 euros dont seuls 32 % restent à la charge de la commune[27],[28].

Autres équipements modifier

À la suite de la mise en service du pôle scolaire de la voie verte, les locaux de l'ancienne école maternelle ont été transformés par la municipalité pour devenir la maison du temps partagé, un lieu de convivialité et d'échange des habitants[29].

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 340 habitants[Note 3], en diminution de 6,59 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
584631545627746720750773775
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
794815790748777747707688735
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
653589608400439444428396427
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
407429385384383389402376359
2021 - - - - - - - -
340--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

La municipalité est à l'initiative de la création de « l'Université rurale de la Cologne » qui organise depuis 2019 des conférences régulières. La première, animée par Dominique Frère, de l'Historial de Péronne, est consacrée aux « anecdotes et petites histoires de la Grande Guerre » et le seconde consacrée par l'enseignant de philosophie Gautier Maës à « la lutte pour la reconnaissance »[33],[34].

Le festival « les musicales Tincourt-Boucly  » anime la commune en juin[35],[36].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Quentin de Tincourt, rue de l'église[37],[38], construite en 1786 toute en brique. La brique et la pierre en façade datent d'avant 1914. Elle est l'une des rares du secteur à ne pas avoir été détruite pendant la Première Guerre mondiale[39].
    Tous les , une procession a lieu entre l'église et la chapelle de Moyenpont à Marquaix-Hamelet, durant laquelle la statue de Notre-Dame de Moyenpont est vénérée[40].
 
Plaque explicative du cimetière militaire britannique.
  • Chapelle Saint-Omer à Boucly, toute en pierre, rebâtie après la Première Guerre mondiale, dans les années 1920, mais dont l'architecture et le mobilier « n’ont pas une grande valeur patrimoniale ».
    L'édifice, en 2022, n'est plus utilisé pour les besoins du culte mais n'est pas désacralisé. La municipalité envisage de lui donner une nouvelle affectation afin de sauver le bâtiment, et qui pourrait accueillir « Un espace ouvert à la culture, avec des expositions, des petits concerts, du cinéma[41] ».
  • Oratoire à la Vierge à Boucly. Il a été construit à la suite d'une mission, avec des pavés de grès[42].
  • La « voie verte », itinéraire de randonnée qui reprend le tracé de l'ancienne voie de chemin de fer.
  • Le cimetière militaire britannique, où reposent 2 139 soldats, majoritairement britanniques, mais également australliens, allemands, chinois, sud-africains et indiens.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Pierre de Cardevac de Gouy et son épouse Lucie de la Myre ont un fils né en 1699 au village : Charles-François-Alexandre qui sera évêque de Perpignan[42].
  • Jean-Charles-Joseph Souplet, capitaine de cavalerie sous le Premier Empire, né le à Boucly, décédé le à Péronne. Chevalier de la Légion d'honneur en 1807[43].
  • Louis Lebel (1888-1960), né dans le village, homme politique.
  • Le second lieutenant F. Gray, les sergents R. Mears et F. Bartho, qui s'écrasèresnt à bord de leur B-24 Liberator le , ainsi que le premier lieutenant H. Robbins et le sous-sergeant W. Glass, victimes d'un crash à bord de leur B-26 Marauder le . Des plaques commémoratives rendent hommage à ces aviateurs américains.

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Hector Josse, Notice historique sur la commune de Tincourt-Boucly : Canton de Roisel, Péronne, E. Quentin, , 50 p. (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • « Tincourt-Boucly », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Tincourt-Boucly » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Tincourt-Boucly - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Tincourt-Boucly - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Somme » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Tincourt-Boucly et Estrées-Mons », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Estrees-mons-inra » (commune d'Estrées-Mons) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Péronne », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Vincent Fouquet, « Les anti-éoliens ont gâché la fête de l’inauguration du parc de la Boule Bleue à Marquaix : Le parc éolien de la Boule Bleue, à Marquaix-Hamelet, a été inauguré en grandes pompes samedi 29 juin dans la matinée. Mais pas aussi bien que l’espéraient certains élus et responsables de l’entreprise WPD : environ 80 opposants aux éoliennes sont venus clamer leur colère. Et si le ton est parfois monté, tous ont pu échanger leurs points de vue, chacun restant cependant sur ses positions », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. Hugues Chaigneau, « Le projet éolien de Tincourt-Boucly suscite l’inquiétude : Pas encore ficelé, le projet d’implantation de deux éoliennes à Tincourt-Boucly entraîne déjà une contestation. Une association a été créée pour dénoncer l’arrivée de nouveaux mâts autour de la commune », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 339 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  17. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p.146 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  19. a et b H. Josse, ouvrage mentionné en bibliographie, p. 49.
  20. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16879.
  21. André Bauduin, « Le B17 "Lady Jeannette" et la verite sur le crash de Tincourt Boucly », Somme aviation 39-45, (consulté le ).
  22. « Tincourt-Boucly - L’incroyable histoire du crash de l’avion fantôme américain en 1944 : L’histoire pourrait servir de trame à un film  : en 1944, les Américains ont maquillé le crash d’un avion espion en Haute-Somme. Le mensonge a tenu plus de cinquante ans. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  23. « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  24. « Vincent Morgant ne manque pas d’idées pour un deuxième mandat à Tincourt-Boucly », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal en 2001, premier adjoint en 2008, Vincent Morgant est devenu maire de Tincourt-Boucly, un village de 490 habitants, en 2014, succédant à Yvonne Gronnier. Il est aussi un des vice-présidents de la Communauté de communes de Haute-Somme ».
  25. « Ça continue pour Vincent Morgant à Tincourt-Boucly », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu au conseil municipal en 2001, Vincent Morgant s’est assis dans le fauteuil de maire en 2014, succédant à Yvonne Gronnier. Réélu le 15 mars dernier (...), il s’engage pour un second mandat ».
  26. « Vincent Morgant, il s’anime pour sa commune », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « « Le nouveau pôle scolaire de Tincourt-Boucly est prêt » », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  28. « La nouvelle école de Tincourt-Boucly va aussi faire sa rentrée : Il n’y aura pas que les petits écoliers qui devront trouver leurs marques dans ce pôle éducatif tout neuf », Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Bernard Devillers, « L’ancienne école maternelle devenue la maison du temps partagée à Tincourt-Boucly », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « L’Université rurale de la Cologne est née à Tincourt-Boucly : Des conférences de type universitaire vont se tenir à un rythme régulier à la campagne », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Tincourt-Boucly: seconde conférence à l’université rurale de la Cologne », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Les musicales Tincourt-Boucly copieusement arrosées », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après plus d’une année d’absence sur scène et devant un public, l’énergie et l’enthousiasme des deux groupes musicaux, l’Araignée du plafond et B2GC faisaient plaisir à voir et à entendre, samedi 19 juin pour la première soirée des musicales de la voie verte ».
  36. « À Tincourt-Boucly, c’est la Fête de la musique avant l’heure : Les Musicales de la voie verte reviennent ce week-end des 18 et 19 juin 2022 », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Tincourt-Boucly d'après nature, 17 juin 1874 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  38. Oswald Macqueron, « A) Église de Boucly, commune de Tincourt. D'après nature, 25 août 1883 B) Image de ND de Moyenpont conservée dans une chapelle de la paroisse de Tincourt-Boucly. Voir "Les sanctuaires de la Ste Vierge dans le diocèse d'Amiens", Amiens, 1891. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  39. « L'église Saint-Quentin de Tincourt-Boucly », Découvrir, Destination Haute-Somme (consulté le ).
  40. Bernard Devillers, « Les tribulations d’une statuette vénérée : L’une des dernières processions de l’Assomption dans la Somme a lieu ce dimanche à Tincourt-Boucly. L’occasion de découvrir celle qui est à l’honneur et dont l’histoire ets pleine de rebondissements. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. Bernard Devillers, « Bientôt une nouvelle affectation pour l’église de Boucly : Samedi 17 septembre, à l’occasion des Journées du patrimoine, l’église du hameau de Boucly sera exceptionnellement ouverte, de 14 à 17 heures », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. a et b André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 258 (ASIN B000WR15W8).
  43. « * SOUPLET Jean-Charles-Joseph », sur Samariens sous l'Empire (consulté le )