TER Grand Est

réseau de transport express régional dans le Grand Est depuis 2017

TER Grand Est
(TER Fluo)
Image illustrative de l’article TER Grand Est
Logo du TER Fluo.

Image illustrative de l’article TER Grand Est
Régiolis en livrée « Fluo Grand Est »,
en gare de Paris-Est.

Situation Grand Est
Type Transport express régional
Entrée en service
Gares 396
Rames Liste du matériel roulant
Fréquentation 170 000 voyageurs quotidiens
Écartement des rails 1 435 mm
Propriétaire SNCF
Exploitant SNCF
Site Internet ter.sncf.com/grand-est

Le TER Grand Est, ou TER Fluo, est le réseau de transport express régional (TER) de la région administrative Grand Est.

Il résulte de la fusion des réseaux TER Alsace, TER Lorraine et TER Champagne-Ardenne.

Histoire modifier

 
Logo utilisé de 2016 à 2019.
 
Carte des infrastructures ferroviaires dans le Grand Est (en 2020), dont une partie est utilisée par les liaisons commerciales TER.

La fusion des trois régions administratives d'Alsace, de Lorraine et de Champagne-Ardenne a lieu le 1er janvier 2016. Cependant, le TER Grand Est, qui regroupe les anciens réseaux TER Alsace, TER Lorraine et TER Champagne-Ardenne, est officiellement créé le lors du changement de service annuel. Il reprend également les lignes TER 200, en Alsace, et TER Vallée de la Marne, entre Paris-Est et la Lorraine. La convention d'exploitation entre la région Grand Est et SNCF Mobilités est signée le . À sa création, le réseau TER Grand Est compte 1 616 trains et 450 autocars quotidiens[1]. La nouvelle gamme tarifaire, harmonisée sur l'ensemble du réseau, entre en vigueur le [2]. Le TER Grand Est est le premier réseau régional — hors Île-de-France — en nombre de trains[3].

Le 1er janvier 2018, la gestion de la ligne de Paris à Belfort et Mulhouse (qui faisait partie du réseau Intercités de la SNCF) est transférée à la région Grand Est[4]. Depuis le , certains TER Vallée de la Marne sont prolongés de Bar-le-Duc jusqu'à Strasbourg via Nancy[5] ; ce service, reprenant l'itinéraire des anciens trains Corail, permet de créer une ligne à tarification régionale longue de 502 kilomètres, traversant la Champagne-Ardenne, la Lorraine et l'Alsace.

Le , la région ferme le service ferroviaire sur les lignes Épinal – Saint-Dié et Sarreguemines – Sarre-Union, et le remplace par une desserte routière malgré le mécontentement des usagers[6],[7].

À compter du 20 mars 2019, de nouveaux tarifs, plus élevés, sont appliqués pour les billets achetés à bord des trains dans la région Grand Est. Cette mesure, censée empêcher la fraude, est vivement critiquée par les associations d'usagers[8].

Le , le conseil régional approuve l'ouverture à la concurrence de plusieurs lignes au . Les liaisons concernées sont Sélestat – Molsheim – Strasbourg et Épinal – Saint-Dié-des-Vosges – Strasbourg[9]. La ligne de Nancy à Merrey, fermée depuis 2016, pourrait également rouvrir après avoir été confiée à un investisseur privé[10].

Au printemps 2019, le TER Grand Est intègre le réseau intermodal Fluo Grand Est. La marque « TER Fluo Grand Est » est désormais également utilisée, sur les sites publiés par la région, pour désigner le réseau TER[11].

Le conseil régional décide d'ouvrir à la concurrence sept lignes de l'étoile ferroviaire de Reims, avec une décision à l'horizon 2026 : Épernay – Reims – Château-Thierry, Champagne-Ardenne TGV – Reims – Charleville-Mézières – Sedan, Charleville-Mézières – Givet, Charleville-Mézières – Hirson – Longuyon – Longwy / Thionville, Reims – Châlons-en-Champagne – Saint-Dizier – Chaumont (Culmont-Chalindrey – Dijon), Reims – Fismes et Reims – Laon[12].

Relations TER modifier

Les liaisons ferroviaires et routières du réseau TER Fluo Grand Est[13],[14] sont listées dans les tableaux qui suivent.

Par rail modifier

Par autocar modifier

Tarification modifier

Certains abonnements sont proposés en 1re et 2de classe. Il n'existe pas d'offre de transport illimitée avec abonnement ; les abonnements sont similaires à des « season pass ».

Les abonnements sont proposés sous forme de passes mensuels, annuels ou hebdomadaires. Ils permettent de choisir un trajet mensuel gratuit, et d'avoir des réductions sur les autres qui restent payants. Ces abonnements peuvent être pris en charge par l'employeur à 50 %. Des pass permettant de voyager entre les villes frontalières d'Allemagne (Flexfahrt) et la France sont proposés. Des réductions sont proposées au moins de 26 ans.

L'abonnement Fluo[2] coûte 20 euros pour les personnes ayant plus de 26 ans et un euro pour les jeunes (de moins de 26 ans) ; il permet de voyager directement vers les Hauts-de-France ou Paris depuis la Champagne-Ardenne, avec une réduction de 50 % sur les trajets.

Matériel roulant modifier

Utilisation modifier

Le parc de locomotives TER Grand Est est composé de BB 22200RC, BB 26000 et BB 67400. Les BB 22200RC et 67400 assurent la traction et pousse de segments RRR. Les BB 26000 sont affectés aux TER 200 entre Strasbourg et Bâle mais également sur les liaisons vers Paris ou les liaisons « Vallée de la Marne ». Ces relations peuvent être assurées en parallèle par les Coradia Liner.

Quant aux automotrices, les B 84500 (dites Régiolis) assurent principalement des missions en Lorraine, sur les axes Nancy – Pont-Saint-Vincent, Nancy – Épinal, Nancy – Saint-Dié-des-Vosges, Épinal – Saint-Dié (avant sa fermeture), Metz – Sarreguemines et Sarreguemines – Sarre-Union (avant sa fermeture) mais également en Alsace depuis quelques années. Les B 85000 assurent l'ex-Intercités Paris – Mulhouse via Troyes et Belfort.

Parc actuel modifier

Le parc roulant du TER Grand Est est presque exclusivement hérité des dotations TER des anciennes régions Alsace, Champagne-Ardenne et Lorraine, à l'exception notable des Coradia Liner, mis en service neufs après la réforme territoriale et de certaines BB 26000 transférées au TER Grand Est en 2018.

Synthèse du parc au  :

Séries Nombre de caisses STF SCA STF SGE STF SMN STF STA Totaux
BB 22200 9 1 10
BB 26000 2 6 14 22
BB 67400 6 6
B 82500 4 caisses 8 7 15
B 83500 4(M) ou 6(L) caisses 24 24
B 84500 4(M) caisses 10 10
B 85000 6 caisses 21 21
U 25500 5 caisses 12 12
X 73500 Mono-caisse 1 11 5 17
X 73900 Mono-caisse 7 12 19
X 76500 3 ou 4 caisses 22 9 28 59
Z 11500 2 caisses 14 14
Z 24500 3 ou 5 caisses 27 27
Z 27500 3 ou 4 caisses 13 32 6 51

Au premier trimestre 2019, le parc du matériel roulant de la région est constitué de 307 engins. Ce parc est géré par quatre Supervisions techniques de flotte (STF)[15] :

Identité visuelle modifier

À compter de 2017, l'identité visuelle « Grand Est » est progressivement appliquée au matériel roulant régional. La livrée reprend le fond gris métallisé caractéristique des TER depuis 1997, sur lequel est appliqué le logo du conseil régional. Le matériel ferroviaire arbore également le « bleu institution » du nuancier SNCF. Excepté le matériel neuf ou rénové, l'intégralité du parc TER Grand Est arbore les livrées des anciens conseils régionaux. Une identité visuelle commune à tous les transports ferroviaires et routiers de la région, nommée Fluo Grand Est, est présentée au printemps 2019[16].

Projets modifier

TER 2N NG modifier

Afin d'assurer la continuité de desserte entre la Lorraine et le Luxembourg, celui-ci ayant prévu de faire évoluer ses installations, la région décide en 2016 de financer des études qui portent sur l'équipement de ses vingt-cinq TER 2N NG issus du parc lorrain en Système européen de contrôle des trains (ETCS) niveau 2 baseline 3 pour un montant de 6,3 millions d'euros[17]. Les études devraient se finir en [17]. En 2017, elle décide de financer la réalisation du prototype de cette opération, pour un montant de 5,5 millions d'euros[17],[18]. Néanmoins, tout le parc ne devrait pas être rétrofité pour la date limite du , entraînant des ruptures de charge à Thionville faute de matériel homologué pour circuler au Luxembourg[19].

En avril 2019, le Grand Est a annoncé le rachat des seize Z 26500 pentacaisses de la région Normandie pour un montant de 100 millions d'euros. Cet achat annule l'échange de dix-sept ZGC contre douze Z 26500 quadricaisses conclu en 2017 avec la région Centre-Val de Loire.

Régiolis et trains à hydrogène modifier

À l'occasion de la livraison du 200e Régiolis, destiné à la région Grand Est en juin 2017, le Président Philippe Richert a annoncé l'acquisition de dix Régiolis supplémentaires. Cette commande s'accompagne d'une option supplémentaire pour la fourniture de quinze Régiolis type Z 31500 aptes à circuler en Allemagne en remplacement des X 73900 circulant au gazole sur des axes intégralement électrifiés[20],[21].

Cette commande supplémentaire doit permettre à la région d'amorcer le retrait des Z 11500, plus anciennes automotrices en service dans la région[22]. Le sort des X 73900 n'est pas précisé.

En juillet 2019, la région approuve la commande de trente rames Régiolis supplémentaires pour un montant de 376 millions d'euros. Neuf rames d'occasion seront également achetées à d'autres régions pour un total de 102 millions d'euros. Le Grand Est annonce aussi l'acquisition de cinq trains à hydrogène à titre expérimental. Ces nouvelles rames circuleront essentiellement sur les relations transfrontalières entre l'Alsace et l'Allemagne à l'horizon 2024[23].

Coradia Liner modifier

Initialement commandées par l'État, le Grand Est a déployé dix-neuf automotrices Coradia Liner d'Alstom sur l'axe Paris – Troyes – Belfort[24] en remplacement des CC 72100 et rames Corail. En plus de ces dix-neuf éléments mis en service durant l'été 2017, la région a commandé en novembre 2017[25] cinq unités supplémentaires afin de renforcer l'offre Paris – Belfort (– Mulhouse), d'améliorer l'axe Nancy – Strasbourg et de remplacer certaines rames Corail tractées par des BB 15000 sur les missions « Vallée de la Marne ».

BB 26000 et Corail réversibles modifier

Pour l'introduction du service horaire 2019, le Grand Est a assuré le portage financier de six locomotives BB 26000 précédemment affectées à l'activité Intercités de la SNCF, pour un montant de 2,2 millions d'euros[26]. Ces six BB 26000 sont appelées à remplacer à terme les dernières BB 15000 engagées sur les missions « Vallée de la Marne ».

Les locomotives doivent subir une opération mi-vie et recevoir les équipements de réversibilité, financés par la région pour un montant de 12 millions d'euros (comprenant 1,5 million d'euros d'« aléas » et 900 000 euros de rémunération pour SNCF Mobilités)[27], afin d'être utilisées de manière banalisée avec les quatorze machines en service sur les TER 200.

Le Grand Est se porte également acquéreur de six voitures pilote Corail auprès de la région Bourgogne-Franche-Comté afin d'exploiter tous les coupons Corail en réversibilité.

BB 22200 modifier

Dix BB 22200 ont été acquises auprès de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour 5,5 millions d'euros[28] afin de remplacer les BB 25500 encore actives sur le territoire alsacien. La région Grand Est assurera le retrait de la livrée TER PACA et l'apposition de l'identité visuelle du TER Fluo.

Z 11500 modifier

Depuis novembre 2019, les 14 automotrices Z 11500 encore en service reçoivent une opération de remise à niveau, avec implantation de prises de courant, changement du revêtement des sièges et des rideaux, rafraîchissement des toilettes et apposition des logos Fluo Grand Est[réf. nécessaire].

Projets de dessertes et d'infrastructures modifier

Metz – Luxembourg modifier

Au cours de l'été 2017, la région a annoncé le déblocage d'une enveloppe de 93 M€ pour le Sillon Lorrain. Cette enveloppe inclut notamment l'allongement des quais des gares de Hagondange, Uckange et Hettange-Grande[29]. L'autre part de l'enveloppe est dédiée au développement du stationnement autour des gares du Sillon, du covoiturage et des transports en commun thionvillois.

À l'horizon 2028-2030, le conseil régional et le Grand-Duché de Luxembourg veulent porter l'offre entre Thionville et Luxembourg à huit trains par heure et par sens[30]. Cette augmentation de l'offre sera permise par l'arrivée des Z 26500 de Normandie et par la réalisation de nombreux travaux des deux côtés de la frontière, dont la construction d'une troisième voie au nord de Thionville, la construction de la ligne nouvelle Bettembourg – Luxembourg et la création de nouveaux quais en gare de Luxembourg.

Paris – Mulhouse modifier

Le chantier d'électrification d'une partie de la « ligne 4 » a été lancé fin novembre 2016[31]. Le projet, d'un montant de 320 M€, doit voir la section Gretz-Armainvilliers – Nogent-sur-Seine électrifiée à l'horizon 2021. La caténaire doit arriver à Troyes en 2022[32]. Ce projet, issu de volontés politiques, n'a pas engendré d'annonces de gains de temps de la part de la SNCF ou des pouvoirs publics.

Par ailleurs, en devenant autorité organisatrice des Intercités circulant sur cet axe[33], la région annonce au service horaire 2018 une hausse de l'offre avec 15 allers-retours par jour entre Paris et Troyes (contre une baisse à 9 allers-retours initialement prévue par l'État) et le rétablissement des trains directs Paris – Mulhouse via Troyes et Culmont[34].

Nancy – Merrey modifier

La région prévoit un retour des trains sur la « ligne 14 » entre Nancy et Merrey pour 2022. La ligne ayant été « suspendue » par la SNCF en 2016, la région prévoit un appel d'offres comprenant l'exploitation de la ligne, mais également la gestion de l'infrastructure[35],[36]. Le Grand Est espère faire baisser d'un tiers le coût de réouverture de la ligne par rapport au chiffrage présenté par SNCF Réseau.

Réouvertures et nouvelles lignes en Alsace modifier

Plusieurs projets de réouverture de lignes ferroviaires ont été évoqués sur le territoire de la collectivité européenne d'Alsace.

La ligne de Bollwiller à Guebwiller, dans le Haut-Rhin, fermée aux voyageurs depuis 1969, devrait rouvrir en 2025 sous la forme d'un tram-train.

Ladite collectivité pourrait également contribuer à la réouverture des lignes transfrontalières entre Colmar et Fribourg, et entre Haguenau et Rastatt.

Enfin, un raccordement permettant de desservir l'aéroport international de Bâle-Mulhouse-Fribourg est prévu vers 2028[37].

Projets / études de réouverture de lignes entre Moselle, Sarre et Rhénanie-Palatinat modifier

Plusieurs projets / études sont évoqués en Moselle, Sarre et Rhénanie-Palatinat.

Metz – Trèves modifier

Une résolution a été signée début avril 2019 entre le conseil régional du Grand Est et le Land de Rhénanie-Palatinat pour la mise en place d'un cadencement aux deux heures entre Metz et Trèves à compter de [38]. Bien que faisant toutes deux partie du QuattroPole, l'offre ferroviaire entre les deux villes se limite à deux allers-retours quotidiens les samedis, dimanches et jours fériés français.

(Saarbrücken –) Völklingen – Creutzwald modifier

La ligne de Überherrn à Völklingen pourrait être rouverte à la circulation[39] et une réouverture jusqu'à Creutzwald est possible (projet de tram-train « Grande Boucle de l'Eurodistrict SaarMoselle »)[40].

Bouzonville – Dillingen modifier

Des élus et associations veulent également une réouverture de la ligne Bouzonville-Dillingen[41] . Actuellement, un train de voyageur est mis en place entre Dillingen et Bouzonville pour la Braderie du Vendredi-Saint à Bouzonville[42].

Thionville – Forbach modifier

Évoqué lors du COREST (Comités régionaux des services de transport) Moselle-Est du , le conseil régional a étudié la possible desserte du tronçon Thionville – Forbach par Creutzwald[43]

Projets de réouverture de lignes dans les Vosges modifier

Arches – Saint-Dié-des-Vosges modifier

En , faute d'investissements sur le réseau, la ligne ferroviaire entre Épinal et Saint-Dié-des-Vosges ferme et la liaison est assurée par des autocars Grand Est. Lors de son déplacement à Saint-Dié-des-Vosges le , le président de la République, Emmanuel Macron s'engage à rouvrir la ligne à horizon 2022. Cet engagement est assuré par la ministre chargée des Transports, Élisabeth Borne le qui signe le financement des travaux à hauteur de 21 millions d'euros dont 60 % sont financés par la région Grand Est. Une fois rouverte à la circulation, la ligne Épinal – Saint-Dié-des-Vosges serait l'une des premières à être ouverte à la concurrence dans le Grand Est.

Cette ligne rouvre en , tandis que l'arrivée de la concurrence est reportée à fin 2023[44].

Nancy – Contrexéville modifier

La ligne ferroviaire entre Nancy et Contrexéville, fermée depuis 2016, pourrait rouvrir grâce à la signature d'un partenariat public-privé entre la région Grand Est et un opérateur de transport privé. Ce dernier s'engagerait alors à la remise en état, à la maintenance et à l'exploitation de la ligne. Un appel d'offres a été lancé fin de l'année 2020 pour une réouverture projetée à horizon 2024.

Charleville-Mézières – Givet – Dinant modifier

En fin d’année 2021, la Commission Européenne a proposé l’inscription de la ligne ferroviaire Charleville-Mézières – Givet – Dinant (fermée sur le tronçon belge Givet – Dinant depuis 1988) sur la carte des réseaux d’importance, dans le cadre d'un projet de réactivation d'ensemble de la ligne. Cela permettrait une meilleure liaison entre les gares de Charleville-Mézières (et Reims) et de Namur. Des échanges ont eu lieu entre élus des deux côtés de la frontière et des études exploratoires sont prévues[45].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Cette liaison est principalement assurée par le service TER 200.
  2. Entre Lauterbourg et Wörth, cette liaison est principalement assurée par les trains de la DB.
  3. Cette liaison est assurée par les trains de la DB.
  4. Cette liaison est également assurée par les trains de l'OSB.
  5. Cette liaison inclut le tram-train Mulhouse Vallée de la Thur.
  6. Entre Müllheim et Fribourg-en-Brisgau, cette liaison est assurée par les trains de la DB en correspondance.
  7. Entre Wissembourg et Neustadt an der Weinstraße, cette liaison est assurée par les trains de la DB en correspondance.
  8. Les dessertes de Belfort, Lure et Vesoul, d'une part, ainsi que Dijon et Is-sur-Tille, d'autre part, font également partie du réseau TER Bourgogne-Franche-Comté.
  9. Entre Hirson et Lille-Flandres, la desserte est assurée par le réseau TER Hauts-de-France.
  10. a et b Entre Is-sur-Tille et Dijon, cette liaison fait également partie du réseau TER Bourgogne-Franche-Comté.
  11. a et b Entre Longwy et Luxembourg, cette liaison est assurée par les trains des CFL en correspondance.
  12. Entre Bettembourg et Luxembourg, cette liaison est également assurée par les trains des CFL.
  13. Entre Perl et Trèves, cette liaison est principalement assurée par les trains de la DB.
  14. Cette liaison est assurée par le réseau TER Bourgogne-Franche-Comté.
  15. Cette liaison est assurée par le tram-train Saarbahn.

Références modifier

  1. « Naissance du TER Grand Est », Dernières Nouvelles d'Alsace, .
  2. a et b « Nouveaux tarifs au  », Dernières Nouvelles d'Alsace, .
  3. « Grand Est: Avec « Fluo », la région donne un nouveau nom à son réseau pour simplifier la vie des voyageurs », 20 Minutes, .
  4. « TER Mulhouse-Paris : le rush des fêtes en ligne de mire », L'Alsace, .
  5. « TER Grand Est: ce qui change en Alsace à partir du 9 décembre », Dernières Nouvelles d'Alsace, .
  6. « Le train ne circulera plus entre Épinal et Saint-Dié, au grand dam des usagers », Rue89 Strasbourg, .
  7. « Les trains ont cessé de rouler entre Sarreguemines et Sarre-Union », Le Républicain lorrain, .
  8. « TER Grand Est : le billet sera plus cher s’il est acheté à bord, colère des usagers », Lorraine Actu, .
  9. « TER Grand Est : la concurrence sur les rails », Dernières Nouvelles d'Alsace, .
  10. « Ferroviaire : bientôt une première ligne privatisée dans le Grand Est ? », Le Républicain lorrain, .
  11. « Le réseau », sur fluo.eu (consulté le ) : « TER Fluo Grand Est ».
  12. Alexandre Blanc, « La région Grand-Est va ouvrir les lignes de trains TER de Champagne-Ardenne à la concurrence », .
  13. « Télécharger une fiche horaire », sur ter.sncf.com/grand-est (consulté le ).
  14. « Horaires TER Fluo/SNCF », sur fluo.eu (consulté le ).
  15. « Trains du Sud-Ouest », sur trainsso.fr (consulté le ).
  16. « Ne dites plus TER, mais Fluo Grand Est », sur lalsace.fr (consulté le ).
  17. a b et c « Commission permanente du 13 juillet 2017 – La Région investit pour développer les TER vers le Luxembourg » [PDF], communiqué de presse, région Grand Est, (consulté le 15 juillet 201).
  18. (en) « Grand Est to order 21 trains from Alstom », sur International Railway Journal, (consulté le ).
  19. « TER Nancy-Luxembourg : tout le monde descend… puis remonte ! », sur L'Est républicain (consulté le ).
  20. « Grand Est : nouvelle commande de Régiolis », sur transportrail, .
  21. B. C., « Des Régiolis tricourant sur les liaisons avec l’Allemagne », sur railpassion.fr (consulté le ).
  22. C'est le cas au mois d'.
  23. « Région Grand Est : hausse des liaisons transfrontalières et des tarifs TER-Fluo », Dernières Nouvelles d'Alsace, 6 juillet 2019.
  24. « Quatre nouveaux trains pour la Vallée de la Marne », sur L'Union, (consulté le ) : « Pour le Paris-Belfort, l'État va financer (275 millions) le renouvellement du matériel, soit dix-neuf rames fabriquées par Alstom à Reichshoffen (Bas-Rhin). »
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  40. « Étude Transport » [PDF], sur saarmoselle.org (consulté le ).
  41. (de) Daniel Kirch, « Grenzüberschreitender Bahnverkehr: Saarland setzt sich für Niedtalstrecke ein », sur Saarbrücker Zeitung (consulté le ).
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  43. « Corest du 23/09/2019 » [PDF], sur grandest.fr (consulté le ).
  44. Jean-Christophe Panek, « Vosges : le Premier ministre Jean Castex inaugure la ligne TER Epinal - Saint-Dié-des-Vosges, "engagement pris, engagement tenu" », sur france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est, (consulté le ).
  45. Alexandre Blanc, « Des études en 2022 pour rouvrir la ligne de chemin de fer Givet-Dinant », sur https://www.francebleu.fr/, .

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

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