Stade montois rugby

club de rugby à XV en France
(Redirigé depuis Stade montois (rugby))
Stade montois
Logo du Stade montois
Généralités
Nom complet Stade montois rugby
Surnoms Les abeilles
Les guêpes
Fondation
Statut professionnel SASP
Couleurs Jaune et noir
Stade Stade André-et-Guy-Boniface
(8 250 places)
Siège 270 avenue du stade
40000 Mont-de-Marsan
Championnat actuel Pro D2 (2023-2024)
Président Jean-Robert Cazeaux
Entraîneur Patrick Milhet
Stéphane Prosper (adjoint)
Julien Tastet (avants)
Frédéric Urruty (arrières)
Romain Mareuil (mêlée)
Site web stademontoisrugby.fr
Palmarès principal
National[Note 1] Championnat de France D1 (1)
Challenge Yves du Manoir (3)
Championnat de France D2 (2)
Championnat de France Fédérale 1 (1)

Maillots

Domicile

Extérieur

Dernière mise à jour : 23 février 2024.

Le Stade montois rugby est un club de rugby à XV créé en 1908 et basé à Mont-de-Marsan.

Section rugby du Stade montois omnisports, il est champion de France en 1963, remporte trois fois le challenge Yves du Manoir en 1960, 1961 et 1962, et est également vice-champion d'Europe en 1964 sous la conduite de l’entraîneur Fernand Cazenave.

Le club évolue en 2023-2024 en Pro D2.

Histoire modifier

Les origines modifier

L'association sportive du lycée Victor-Duruy prend le nom de Boutons d'Or en 1898. Elle favorise la pratique du rugby venu d'Angleterre à la fin du XIXe siècle, cousin de la barette aquitaine, parmi les élèves[1].

Les débuts du club modifier

Le , au soir d'un match ayant opposé l'équipe des Boutons d'Or à celle de l'Union sportive dacquoise, un petit groupe de personnes se réunit au café Le Divan à Mont-de-Marsan afin de créer un club sportif sous le nom de Stade montois, qui prend les couleurs jaune et noir des Boutons d'Or[2]. Ce dernier est principalement destiné à la pratique du football-rugby, mais fait également place aux sports athlétiques[3]. L'équipe joue ainsi le premier match de son histoire le aux Zéphyrs de Riscle, en déplacement[4], avant un match retour dans les Landes le au stade de l'Argenté[5].

Avant la guerre, le club évolue au niveau régional.

Après un match nul lors de la première confrontation, il perd la finale du championnat de Côte d'Argent de 2e série contre son voisin landais de Morcenx 3-0 en 1931.

L’âge d’or du Stade montois (1946-1972) modifier

Camille Pedarré préside le club de 1946 à 1976[6]. C’est à cette époque que le club connaît ses meilleurs résultats et que naît le fameux « rugby champagne », envié par tous les clubs de France.

Au fil des générations, les couleurs du « Stade » seront représentées sur les cinq continents par de nombreux internationaux tels Jean-Baptiste Amestoy, les frères Guy Boniface et André Boniface, Robert Carrère, Christian Darrouy, Benoît Dauga, Pierre Lacroix et Pierre Pascalin, qui participera à la première victoire du XV de France à Twickenham en 1951[7].

Montée en première division en 1944 modifier

Mont de Marsan monte pour la première fois dans l’élite en 1944 dans un Championnat porté à 96 clubs. Lors de cette saison, il bat notamment le Biarritz olympique 16-0 et cette victoire fait sensation dans la région. Toutefois, il ne se qualifie pas pour la seconde phase.

En 1946, Mont de Marsan ne fait pas partie des 32 meilleurs clubs français et est relégué dans le deuxième tableau du Championnat mais il retrouve sa place dans l'élite via une phase de brassage qui mélange en début de saison les clubs issus du premier groupe avec les autres. Il se qualifie même pour les playoffs mais échoue à se qualifier pour les huitièmes de finale au profit de Lourdes et de Romans.

La saison suivante, il se qualifie pour les huitièmes de finale du Championnat, éliminant notamment Perpignan dans sa poule de 5 mais est ensuite éliminé en huitième de finale par Bayonne 3-0. Le club atteint également les huitièmes de finale de la coupe de France, éliminé par le futur vainqueur, le Castres olympique.

Vice-champion de France 1949 modifier

Après avoir battu, Tarbes, le Stade toulousain et enfin Brive en demi-finale (8-0), Mont de Marsan atteint pour la première fois de son histoire la finale du championnat de France face au Castres olympique.

Cette finale du championnat 1948-1949 présente la particularité d'avoir été disputée deux fois, le premier match, se déroulant sous une pluie torrentielle, s’étant terminé sur un score nul 3-3[8]. C'est le Castres olympique du capitaine Jean Matheu-Cambas, de Maurice Siman et Jean Pierre-Antoine qui remporte le titre aux dépens du Stade montois en remportant le second match 14-3 grâce à 3 essais.

L’année suivante, Mont de Marsan, désormais entraîné par André Hiriart et renforcé par le troisième ligne boucalais Robert Baulon, sera éliminé à la surprise générale dès les seizièmes de finale par Valence 3-0 puis en 1951, ne sortira pas des poules devancé par Perpignan et Biarritz.

Demi-finaliste du championnat 1952 modifier

En 1952, Mont de Marsan, dont le collectif arrive à maturité termine premier club français à l’issue des matchs de poules devant Lourdes et Grenoble mais est battu en demi-finale par ces mêmes Lourdais 10-0.

Vice-champion de France 1953 modifier

Après une victoire sur le Stade lavelanétien en demi-finale (11-9 après prolongations), Mont de Marsan dispute sa deuxième finale du championnat de France qu’il perd face au FC Lourdes de Jean Prat 21-16[9] pour le premier match d’André Boniface sous les couleurs montoises. Transfuge de Dax, il n’avait auparavant pas reçu l’avis favorable de ses derniers pour pouvoir jouer sous ses nouvelles couleurs[10].

Finaliste du challenge du Manoir 1958 modifier

 
Victoire de Mont-de-Marsan sur le Stade toulousain 18-3 en 1957-58 devant plus de 10 000 spectateurs. Pierre Lacroix lance sa ligne d’attaque.

En Championnat, Mont de Marsan termine en tête de sa poule mais est éliminé dès les huitièmes de finale par la Section paloise.

Mont de Marsan se qualifie pour la finale du challenge du Manoir après avoir battu Grenoble 11-3 en demi-finale mais doit s’incliner devant Mazamet du capitaine Lucien Mias 3-0.

Vice-champion de France 1959 modifier

Après avoir sorti Périgueux en quart et La Voulte des frères Cambérabéro en demi-finale, Mont de Marsan se hisse en finale du Championnat pour la troisième fois de son histoire. Il y affronte le Racing club de France qui a pour sa part éliminé Grenoble en quart et Lourdes en demi-finale. Les Parisiens remportent cette finale 8-3 devant des Montois trop crispés par l’enjeu. On reprochera longtemps à Pierre Lacroix d’avoir trop peu sollicité ses lignes arrières[11].

En challenge du Manoir, Mont de Marsan bat un record contre Montferrand avec une victoire 59-3, ponctué par 15 essais mais le club sera éliminé en quart de finale par Béziers.

Triple vainqueur du challenge Yves du Manoir 1960, 1961 et 1962 modifier

Le club remporte 3 fois de suite le challenge Yves du Manoir en 1960, 1961 et 1962[12]. Ce record (égalé plus tard par le RC Narbonne) de trois victoires consécutives dans cette compétition est encore en vigueur aujourd’hui.

 
Mont de Marsan, triple vainqueur du challenge Yves du Manoir.

Champion de France 1963 modifier

Le club devient ensuite champion de France avec une victoire face à Dax en 1963 (9-6) dans un derby des Landes.

 
Mont de Marsan, champion de France 1963 soulève le Bouclier de Brennus.

C’est la confrontation la plus célèbre entre l'US Dax et le Stade montois. Au lendemain de leurs victoires respectives en demi-finales contre le FC Grenoble et le FC Lourdes, le journal régional Sud Ouest qui couvre l'événement titre sur son édition sport du « Le rugby landais est champion de France »[13]. Cette affiche oppose deux équipes du même département, un cas de figure ayant alors lieu pour la 2e fois de l'histoire du championnat[14].

La finale est marqué par une météo capricieuse, passant d'une chaleur estivale étouffante à un orage accompagné d'averses et de grêle[15]. Le Stade montois remporte cette finale sur le score étriqué de 9 à 6, témoignant d'un match rude, ponctué de trop rares éclats[16],[17],[18].

Auparavant, les Montois avaient donc essuyé trois échecs en finale : en 1949 face à Castres (14-3), en 1953 contre Lourdes (21-16) et enfin, en 1959 devant le Racing Club de France (8-3)[19].

 
Le parc Lescure à Bordeaux où Mont de Marsan devient champion de France face à Dax.

Vice-champion d'Europe 1964 modifier

Il atteint également la finale de la coupe d'Europe des clubs champions FIRA en 1964 après une victoire sur Hanovre en demi-finale. Mais le Grivita Rosie de Bucarest est déclaré vainqueur alors que l'arbitre a interrompu le match en début de deuxième mi-temps car le capitaine montois André Boniface, expulsé pour avoir sanctionné lui-même un hors-jeu, a refusé par deux fois de quitter le terrain alors que le score était de 10 à 0 pour le Grivita Rosie[20],[21].

La même année, le club est éliminé en huitième de finale du championnat par Narbonne 13-6 et en quart de finale du challenge du Manoir par Béziers 11-8. Nettement dominé territorialement par les Bitterois, Mont de Marsan tient le match nul 8-8 jusque dans les arrêts de jeu lorsque le centre Fratangelle arrêtera de volée un dégagement manqué à 20 mètres des buts montois. Il passa ensuite ainsi le but victorieux en coup de pied tombé[22]. Mont de Marsan aurait pu prendre sa revanche lors du challenge Antoine Béguère mais là encore, Béziers aura le dernier mot, vainqueur 6-3 en finale[23].

Demi-finaliste du championnat 1965 modifier

Le club reste ensuite un protagoniste régulier de l’élite où il se qualifie régulièrement pour les phases finales. Premier de sa poule devant Grenoble, il parvient notamment jusqu’en demi-finale du Championnat en 1965 après avoir éliminé Tarbes en quart de finale.

La même année, Mont de Marsan, privé des frères Boniface est éliminé est demi-finale du challenge du Manoir par Cognac 13-8 dans un match où Darrouy aura été bien peu servi[24].

Finaliste du challenge du Manoir 1966 modifier

Après avoir éliminé Toulon en quart de finale puis Béziers 23-3 en demi-finale, Mont de Marsan se qualifie pour la cinquième fois de son histoire en finale en challenge du Manoir.

Après avoir mené 6-0 à la mi-temps grâce à deux essais de Darrouy sur interception et de Guy Boniface, magnifiquement décalé par son frère André, il est battu par Lourdes 16-6 au parc des Princes devant un public record de 30000 spectateurs dans un match de toute beauté contrastant avec la finale du championnat de France Agen-Dax émaillé d’incidents le dimanche précédent.

Après la triste finale du championnat de France, cette finale du Challenge du Manoir est surtout celle de la réhabilitation du noble jeu. Le soir au banquet, le président du Racing CF, organisateur du challenge lancera aux 30 joueurs et à l’arbitre M. Lebecq : « Merci pour le rugby ».

La même année, Mont de Marsan échoue en quart de finale du Championnat.

Dernières saisons glorieuses modifier

En 1967, le Stade montois atteint à nouveau les quarts de finale du Championnat où il chute comme la saison précédente devant Graulhet. Le club atteint également les demi-finales du Challenge où il est éliminé par Narbonne.

En 1968, le club atteint les quarts de finale du Championnat pour la quatrième année consécutive mais échoue à se qualifier en Challenge pour la première fois depuis 1957.

Le premier déclin modifier

En 1969, Mont de Marsan est éliminé en seizième de finale du Championnat pour la première fois depuis 1962 et échoue à se qualifier en Challenge. En 1970, le club est également éliminé en seizième de finale du Championnat et échoue également en Challenge, terminant même avant-dernier de sa poule.

Le Stade montois dispute son dernier quart de finale du Championnat en 1971 puis un huitième de finale de championnat en 1972, largement perdu face au voisin de l’US Dax pour la dernier match de André Boniface après 20 saisons sous les couleurs du club.

Une première descente en groupe B en 1973, alors que l’élite est réduite de 64 à 32 clubs marque la fin de l’âge d’or du club.

Années d’instabilité sportive (1973-1999) modifier

Montées et descentes (1974-1981) modifier

Mont de Marsan connaît ensuite une période d’instabilité sportive pendant un quart de siècle environ. Le club remonte en 1974 dans l'élite à nouveau élargie à 64 clubs.

La saison 1974-1975 est ensuite marquée par la triste fin de carrière de l'international Benoît Dauga gravement blessé lors d'un match contre Dijon[25].

Les jaunes et noirs subissent une autre descente en 1977, (alors que l’élite compte 40 clubs) puis une remontée immédiate en 1978, suivi d’une nouvelle descente en 1979.

S'appuyant sur une bonne génération de jeunes finalistes de la Coupe Frantz Reichel en 1979 avec notamment Laurent Rodriguez, Bruno Lom et Manuel Carpentier qui deviendra international avec Lourdes, le Stade montois remonte deux ans plus tard dans l'élite.

En 1980, il échoue contre le SC Albi en quart de finale. Manuel Carpentier quitte alors le club pour Lourdes.

En 1981, Mont de Marsan demi-finaliste du championnat du groupe B face à Tyrosse retrouve l'élite.

Maintien dans l’élite (1982-1986) modifier

Après deux saisons 1982 et 1983 où il se maintient de justesse, le club atteint les barrages en 1984, éliminé par Tulle 16-10 et les huitièmes de finale en 1985, battu par Béziers en matchs aller-retour (9-6 puis 35-19). Mais le public reste nostalgique de l’équipe d’antan naguère réputée pour la qualité de son jeu d’attaque et dont le point fort se situe alors au niveau du pack avec notamment des joueurs comme Laurent Rodriguez et Manuel Carpentier, tous deux internationaux.

Départs des internationaux modifier

Les entraîneurs et les dirigeants se succéderont sans parvenir à redonner au club son lustre d’antan. Toutefois, cette période difficile permet au club de donner deux joueurs supplémentaires au XV de France, Laurent Rodriguez qui partira pour Montferrand en 1986 puis Dax l’année suivante suivi quelques années plus tard par Marc Dal Maso en 1991.

Montées et descentes (1986-1999) modifier

Malgré le renfort du troisième ligne du Racing CF Claude Pouply, c’est alors une nouvelle descente en 1986 alors que l’élite est réduite à 20 clubs pour préparer la Coupe du monde, puis une nouvelle remontée dans les 32 clubs du groupe A en 1988 où l’équipe atteint même les huitièmes de finale du Championnat, éliminé de peu par Bègles-Bordeaux (victoire 13-7 à Mont de Marsan puis défaite 10-0 à Bègles). La même année, Mont de Marsan se qualifie également pour les huitièmes de finale en Challenge où il est éliminé par Montferrand 15-3.

Mont de Marsan connaît une saison plus difficile en 1989, terminant seulement septième de sa poule.

Devancé par Brive et Voiron après la phase de brassage, le club est relégué en groupe B en 1990. Mont de Marsan retrouve l'élite en la saison suivante où l’équipe disputera son dernier huitième de finale. Il y restera jusqu'en 1994, année où il descend malgré une victoire de prestige contre le FC Grenoble. Les meilleurs éléments tels Stéphane ProsperDavid Darricarrère partent poursuivre leur carrière sous d’autres cieux.

Si la remontée en groupe A2 fut manquée de justesse la première année, battu par Montauban lors du match décisif, ce fut ensuite une dégringolade avec trois descentes successives jusqu’en 1997 où le club toujours considéré comme le fleuron historique du jeu à la française jouera en 2e division fédérale, le 4e niveau hiérarchique du rugby français.

Le club qui réalise un recrutement important avec notamment les 2 piliers des Mammouths de Grenoble Franck Capdeville et Philippe Tapié, privés du titre 3 ans plus tôt après une finale polémique[26] et David Darricarrère, grand espoir du club parti tenter sa chance au plus haut niveau[27] remontera aussi vite qu’il est descendu avec trois promotions successives. Le club retrouvera donc l’élite en 2000 sous l’impulsion de l’ancien talonneur Jean-Bernard Duplantier, devenu entraîneur.

L’ère professionnelle modifier

Champion de France Élite 2 1999 modifier

 
Le Stade Armandie à Agen où le Stade montois remporte le championnat de France Élite 2 en 1999.
 
Waisale Serevi grand artisan du titre.

La saison 1999 voit l'arrivée de la star du rugby à sept Waisale Serevi[28]. Mont de Marsan renoue ainsi avec sa culture offensive et remporte le titre de champion de France élite 2.

L'année suivante, le club, huitième de sa poule assure confortablement son maintien pendant que Fabrice Lalanne et Stéphane Castaignède sont sélectionnés en équipe de France. Le club est ensuite relégué en 2001 alors que l’élite est réduite de 21 à 16 clubs mais atteint les quarts de finale du challenge européen.

Équipe championne[29] :

1. Tapié puis Pin 2. Dehez puis Boizot 3. Capdeville puis Michaud
4. Lago 5. Parent puis Villaucabeza
6. Alaoui 8. Monbeig   puis Prospero 7. Lalanne
9. Pedehontaa 10. Serevi
11. Marson puis Labrouche puis Thierry Picard 12. Leven puis Dauba 13. Darricarrère 14. Ducamp
15. Darquier

Champion de France de Pro D2 2002 modifier

Mont de Marsan remporte le championnat de Pro D2 2002 et remonte donc immédiatement en TOP 16 mais est relégué dès la saison suivante. Le club passera cinq saisons consécutives en Pro D2 entre 2004 et 2008.

 
Le LOU affronte le Stade montois à domicile en Pro D2 en 2005.

Remontée en Top 14 pour la saison 2009 modifier

Après un barrage d’accession gagné contre le Racing 92 en 2008, Mont de Marsan est de retour en Top 14 mais le club est relégué dès sa première saison.

Retour en Pro D2 (2010-2012) modifier

Il ne reste en Pro D2 que trois ans et est promu en 2012 après avoir battu Pau en finale d'accession 29-20.

Dernière saison en Top 14 en 2013 puis stabilisation en Pro D2 modifier

De retour en Pro D2 synonyme de la fin d'un cycle, le club se tourne vers l'avenir, avec l'arrivée de Christophe Laussucq en tant que manager général du club[30].

En 2016, le club perd en demi-finale de Pro D2 sur le terrain du Stade aurillacois sur le score de 28-13[31].

En 2017, une nouvelle tribune est construite et le club dispose de nouvelles installations. Le club, quatrième se qualifie pour la demi-finale d'accession qu'il perd sur le terrain de l'US Montauban.

Encore quatrième en 2018, Mont de Marsan perd en demi-finale sur le terrain de l'USA Perpignan après un match heurté marqué par l'expulsion de Dan Malafosse.

En 2019, Mont de Marsan termine cinquième avant de perdre en quart de finale sur le terrain du RC Vannes.

En 2020, le Stade montois est classé à la 11e place du Championnat lorsque l'arrêt de la compétition est acté en raison de la pandémie de Covid-19 en France, et reste en Pro D2.

En 2021, Mont de Marsan termine à la dixième place du Championnat.

Vainqueur de la saison régulière de Prod D2 en 2022

En 2022, le Stade montois termine en tête de Pro D2 à l'issue de la saison régulière se qualifiant ainsi directement pour les demi-finales. Mont-de-Marsan élimine Nevers et se qualifie en finale de Pro D2 au GGL Stadium de Montpellier. Finalement le Stade montois s'incline en finale contre Bayonne (20-49) alors que les montois s'étaient pourtant imposés à l'aller et au retour en championnat face aux Bayonnais et termine donc vice-champion de France. La semaine suivante le club s'incline également en barrage d'accession au Top 14, contre l'ancien champion de Pro D2 Perpignan (16-41).

Image et identité modifier

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Le Stade montois change de logo pendant la saison 2008-2009[32] ; il est utilisé officiellement sur le maillot à partir de la saison suivante[33].

Rivalités modifier

 
Le Stade montois affronte régulièrement son rival l'US Dax depuis les années 2000.

Le club de la préfecture entretient une rivalité sportive tenace avec celui de la sous-préfecture, l'US Dax, donnant lieu aux affrontements entre les Abeilles et les Culs rouges[34].

Mascotte modifier

La mascotte du club est Buzoka, représentant une vache de course landaise[35].

Palmarès modifier

Détail du palmarès modifier

Palmarès du Stade montois depuis 1908
Compétitions internationales Compétitions nationales Compétitions de jeunes

Finales modifier

En Coupe d'Europe
Date de la finale Compétition Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
Coupe d'Europe des clubs champions FIRA   Grivita Rosie Bucarest 10 – 0 Stade montois   Stade du 23 août, Bucarest
En championnat de France
Date de la finale Compétition Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
Championnat de France de première division Castres olympique 14 – 3[Note 2] Stade montois Stade des Ponts Jumeaux, Toulouse 23 000
Championnat de France de première division FC Lourdes 21 – 16 Stade montois Stadium Municipal, Toulouse 32 500
Championnat de France de première division Racing club de France 8 – 3 Stade montois Parc Lescure, Bordeaux 31 098
Championnat de France de première division Stade montois 9 – 6 US Dax Parc Lescure, Bordeaux 39 000
Championnat de France de deuxième division Stade montois 34 – 15 US Montauban Stade Armandie, Agen 10 000
Championnat de France de deuxième division Aviron bayonnais 49 – 20 Stade montois GGL Stadium, Montpellier 8 000
Barrage d'accession en Top 14
Date de la finale Compétition Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
Championnat de France de deuxième division Stade montois 32 – 23 Racing Métro 92 Stade municipal de Beaublanc, Limoges
Championnat de France de deuxième division Stade montois 29 – 20 Section paloise Stade Jacques-Chaban-Delmas, Bordeaux
Barrage d'accession au Top 14 USA Perpignan 41-16 Stade montois Stade André-et-Guy-Boniface, Mont-de-Marsan 8 000
En championnat de France de deuxième division
Date de la finale Compétition Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
Championnat de France de deuxième division Stade montois 34 – 15 US Montauban Stade Armandie, Agen
Championnat de France de deuxième division Aviron bayonnais 49 – 20 Stade montois GGL Stadium, Montpellier
En challenge Yves du Manoir
Date de la finale Compétition Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
Challenge Yves du Manoir SC Mazamet 3 – 0 Stade montois Parc des Princes, Paris
Challenge Yves du Manoir Stade montois 9 – 9[Note 3] AS Béziers Parc des Princes, Paris
Challenge Yves du Manoir Stade montois 17 – 8 AS Béziers Parc des Princes, Paris
Challenge Yves du Manoir Stade montois 14 – 9 Section paloise Parc des Princes, Paris
Challenge Yves du Manoir FC Lourdes 16 – 6 Stade montois Parc des Princes, Paris
En compétition de jeunes
Date de la finale Compétition Vainqueur Score Finaliste Lieu de la finale Spectateurs
Coupe Frantz-Reichel Stade montois 6 – 6 Racing club de France Stade de Gerland
Coupe Frantz-Reichel Racing club de France 16 – 3 Stade montois Stade Chaban-Delmas
Coupe Frantz-Reichel Paris université club 10 – 0 Stade montois

Bilan par saison modifier

Personnalités du club modifier

Joueurs emblématiques modifier

 
Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Joueur du Stade montois.
 
Willy Taofifénua

Joueurs formés au club sacrés champions du monde des moins de 20 ans modifier

Entraîneurs modifier

 
Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Entraîneur du Stade montois.
Saisons Entraîneur(s) Adjoint(s) Titre(s)
  Clément Dupont
1959-1967   Fernand Cazenave Challenge Yves du Manoir 1960
Challenge Yves du Manoir 1961
Challenge Yves du Manoir 1962
Champion de France 1963
1967-1969   Henri Domec
1969-1972   André Boniface
1972-1974   Christian Darrouy[réf. nécessaire]
1974-1976   Christian Darrouy[réf. nécessaire]
  Pierre Lestage
1976-1977   Langarica
1977-1978   André Boniface
  Jean Bernard Baylac
1986-1989   Max Godemet
  Jean Pierre Labeyrie
1989-1990   Jean Pierre Labeyrie
  Patrick Nadal
1990-1991   Jean Michel Detchegaray
  Patrick Nadal
1991-1992   Jean Guibert
  Patrick Nadal
1992-1994   Jean Guibert
  Frédéric Larrieu
1994-1995   Bruno Lom
  Patrick Talès
1995-1996   Pierre Baylet
  Jean Marie Capdeguy
1996-2000   Jean-Bernard Duplantier Lionnel Bélasco Champion de Fédérale 1 1998
Champion d'Élite 2 1999
2000-2001   Michel Couturas   Philippe Sauton
2001-2002   Philippe Sauton
  Dominique Lunardi
Champion de Pro D2 2002
2002-2003   Jean-Bernard Duplantier (manager)   Claude Marson
  Philippe Mothe
2003-2006   Pierre Dolon
  Philippe Mothe
2006-2007   Philippe Bérot (arrières)
  Philippe Berbizier (avants)
2007-2012   Marc Dal Maso (manager et avants)   Stéphane Prosper (arrières)
2012-2012   Marc Dantin (manager et avants)
2012-2013   Scott Murray (avants)
  Stéphane Prosper (arrières)
2013-2014   Christophe Laussucq (manager et arrières)   Scott Murray (avants)
2014-2019   David Auradou (avants)
2019-2020   David Auradou (manager et avants)   David Darricarrère (arrières)
2020-2021   Patrick Milhet (manager)   Julien Tastet (entraîneur principal)
  Rémi Talès (arrières)
2021-2023   Stéphane Prosper (adjoint)
  Julien Tastet (avants)
  Rémi Talès (arrières)
2023-   Stéphane Prosper (adjoint)
  Julien Tastet (avants)
  Frédéric Urruty[39] (arrières)

Présidents modifier

Effectif 2022-2023 modifier

Nom Poste Naissance Nationalité sportive Sélections Dernier club Arrivée au club
(année[Note 4])
Thomas Bultel Pilier   France Montpellier HR 2017
Lasha Macharashvili Pilier   Géorgie Formé au club 2019
Jean Luc Innocente Pilier   France Rouen NR 2019
Anthony Alvès Pilier   Portugal   FC Grenoble 2021
Alexandre Lalanne Pilier   France SC Pamiers 2021
Gheorghe Gajion Pilier   Roumanie   Stade aurillacois 2022
Max Curie Pilier   France USON Nevers 2012
Mattéo Lalanne Pilier   France Formé au club 2021
Romain Latterrade Talonneur   France Formé au club 2017
José Luis González Talonneur   Argentine   Ceibos 2020
Simon Labouyrie Talonneur   France RC Hyères Carq. Crau 2021
Leandro Cedaro Deuxième ligne   Italie   SU Agen 2018
Romain Durand Deuxième ligne   France RC Narbonne 2018
Baptiste Hezard Deuxième ligne   France Stade aurillacois 2020
Aston Fortuin Deuxième ligne   Afrique du Sud RC Narbonne 2022
Andrei Ostrikov Deuxième ligne   Russie   FC Grenoble 2021
Thibault Tauleigne Deuxième ligne   France Oyonnax rugby 2021
Yann Brethous Troisième ligne aile   France Formé au club 2007
Nicolas Garrault Troisième ligne aile   France Tarbes PR 2016
Aurélien Lisena Troisième ligne aile   France Stado Tarbes 2018
Maximilie Hontarrede Troisième ligne aile   France Formé au club 2021
Léo Banos Troisième ligne aile   France Formé au club 2020
Veresa Tuqovu Ramototabua Troisième ligne aile   Fidji Stade français 2022
Raphaël Robic Troisième ligne aile   France Formé au club 2020
Michael Faleafa Troisième ligne centre   Tonga   USA Perpignan 2021
Wiliam Warvin Troisième ligne centre   France US bressane 2019
Christophe Loustalot Demi de mêlée   France FC Grenoble 2016
James Hart Demi de mêlée   Irlande Biarritz olympique 2022
Martin Doan Demi de mêlée   France Montpellier HR 2022
Baptiste Canut Demi de mêlée   France Formé au club 2022
Simon Desaubies Demi d'ouverture   France Union Bordeaux Bègles 2020
Willie du Plessis Demi d'ouverture   Pays-Bas Biarritz olympique 2021
Joris Pialot Demi d'ouverture   France RC Narbonne 2022
Jules Even Demi d'ouverture   France Soyaux Angoulême XV 2021
Nacani Wakaya Centre   Fidji   Fidji Warriors 2016
Misaele Petero Centre   Fidji   Tel Aviv Heat 2022
Lucas Mensa Centre   Argentine   Valence Romans DR 2021
Charli Espagnet Centre   France Formé au club 2021
Simon Renda Centre   France Stade toulousain 2021
Julien Cabannes Ailier   France Formé au club 2007
Ambrose Curtis Ailier   Nouvelle-Zélande RC Vannes 2022
Alexandre de Nardi Ailier   France Formé au club 2018
Kaminieli Rasaku Ailier   Fidji Aviron bayonnais 2022
Wame Naituvi Ailier   Fidji ASM Clermont 2017
Pierre Sayerse Ailier   France US Montauban 2021
Yoann Laousse Azpiazu Arrière   France US Dax 2015
Simão Bento Arrière   Portugal     CR Técnico 2021

Structures modifier

Infrastructures modifier

Le club joue au stade Guy-Boniface, inauguré le [40] sous le nom de stade Barbe d'or ; il est néanmoins utilisé avant son utilisation officielle, par exemple à l'occasion d'un match contre le voisin de l'US Dax en [41].

 
Les tribunes, après un match en juillet 2008.

Originellement, il a une capacité de 22 000 places dont 3 600 assises[41]. Il est homologué en 2016 avec une capacité de 16 800 places[42].

Le terrain est entouré d'une piste d'athlétisme baptisée Colette Besson en présence de l'athlète à qui elle rend hommage[43].

Le stade est rénové en 2017, une nouvelle tribune couverte de 3100 places est construite avec 10 loges, destinées aux VIP des entreprises locales, ainsi qu’un salon de réception de 300 m2. Pour l'entraînement des rugbymans, notamment du Stade montois, une salle de musculation de 450 m2 et d’une salle de fitness est mise à disposition. le stade accueille également un dojo, d’une surface de 275 m2, doté d’un hall d’accueil, de vestiaires, de bureaux, de salle d’entraînement et d’échauffement[44].

Le , à l'issue de la rencontre de Pro D2 opposant le Stade montois au RC Vannes, le stade est renommé stade André-et-Guy-Boniface, apposant dorénavant le nom des deux frères Boniface. Par la même occasion, les deux tribunes sont baptisées d'après deux autres joueurs emblématiques du club : la plus récente est ainsi nommée tribune Benoît Dauga, tandis que l'ancienne est désignée tribune Christian Darrouy[45].

Budget modifier

Budget
Saison 2020-2021 2021-2022 2022-2023 2023-2024
Budget 6,9 M€[46] 7 M€[47] 7,78 M€[48] 8 [49]

Autres équipes modifier

Le club abrite une équipe féminine, le Stade montois rugby féminin, sous l'égide de l'association Stade montois rugby, section non-professionnelle de rugby du club omnisports.

Les Montoises atteignent la finale du championnat de France de Fédérale 1 au terme de la saison 2017-2018, décrochant ainsi leur accession pour l'Élite 2[50]. Elles s'inclinent finalement lors de la finale. Néanmoins, les instances de l'association du Stade montois déclinent la promotion au niveau supérieur, contre l'avis des joueuses[51],[52]. En réponse à cette décision, l'ensemble des joueuses et de l'encadrement sportif quittent finalement le club, la majorité rejoignant celui de Peyrehorade[53].

Alors que le club déclare forfait pour la saison 2018-2019 de Fédérale 1, la section féminine met en place une entente avec celle d'Hagetmau, évoluant alors en Fédérale 2 sous le surnom des abeilles chalossaises[53],[54]. En catégorie rugby à 10, les Montoises obtiennent un titre de championnes de France.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
  2. Une première finale avait été jouée le 15 mai 1949 au stade des Ponts Jumeaux à Toulouse et s'était soldée par un 3-3 après prolongations.
  3. Le Stade montois et l'AS Béziers sont départagés au bénéfice des essais.
  4. Pour les joueurs formés au club, année de leur première apparition en équipe professionnelle.

Références modifier

  1. Cyril Delmas-Marsalet, Jean-Michel Dujas et Jacques Cadilhon, La Saga des Boutons d’Or : 130 ans d'histoire(s) du rugby au lycée Duruy, Aire-sur-l'Adour, imprimerie Castay, auto-édition, , 172 p.
  2. Les Boutons d'Or, panneau de présentation réalisé par le Centre Hospitalier de Mont de Marsan, le Stade Montois, la Municipalité de Mont-de-Marsan, le fonds de dotation A Nouste, consulté sur site le 31 octobre 2023
  3. « Mont-de-Marsan. Les sports », Le Républicain landais,‎ (lire en ligne).
  4. « Mont-de-Marsan. Les sports », Le Républicain landais,‎ (lire en ligne).
  5. « Foot-ball rugby. Les Zéphyrs risclois contre le Stade montois », Le Républicain landais,‎ (lire en ligne).
  6. a b et c Claire Burckel, « Mont-de-Marsan : la Plaine des sports baptisée du nom de Camille Pédarré », Sud Ouest, (consulté le ).
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  8. Première finale en 1949 lnr.fr
  9. Garcia 1996, p. 327 et 328.
  10. Lalanne 2006, p. 125.
  11. Encyclopédie du rugby français, P. Lafond & J-P Bodis, éditions Dehedin, « Stade Municipal, Parc Lescure, Bordeaux, 24 mai 1959. », sur lnr.fr, (consulté le ).
  12. « Historique triplé montois », Sud Ouest, (consulté le ).
  13. de Baillenx 2013, p. 31.
  14. Nicolas Morin, « Sport légende > Bayonne/Biarritz, Dax/Mont-de-Marsan, les finales des frères ennemis de l'ovale », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
  15. de Baillenx 2013, p. 99.
  16. Étienne Dussarrat, Marcel Bordenave, Bernard Dussarrat et al. (préf. Pierre Albaladejo), Un siècle de sports : 1904-2004, Dax, Aquitaine Presse, , 192 p. (ISBN 2-9520620-1-3, lire en ligne).
  17. « Stade Municipal, Parc Lescure, Bordeaux, 2 juin 1963 », sur lnr.fr, (consulté le ).
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  26. Nicolas Zanardi, « En 1993, les mammouths grenoblois victimes d'une polémique en finale », Midi olympique, (consulté le )
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  28. Michel Lacrouts, « Serevi, un magicien dans les Landes », La Dépêche du Midi, (consulté le )
  29. « Montauban n'a rien pu faire », La Dépêche du Midi
  30. Source : lnr.fr
  31. Julien Plazanet, « PRO D2 - Aurillac - Mont-de-Marsan (28-13) : Aurillac décroche sa première finale d'accession ! », sur rugbyrama.fr, .
  32. « Billetterie Stade Montois Rugby / US Dax », sur stademontoisrugby.fr, (consulté le ).
  33. « Nouveau Maillot du Stade Montois Rugby », sur stademontoisrugby.fr, (consulté le ).
  34. Michel Gardère, « Une guéguerre qui n'en finit pas », Le Point, (consulté le )
  35. Étienne Latry, « Dans la peau de Buzoka : « c'est un vrai métier » », Sud Ouest, (consulté le ).
  36. (de) « Erste Europapokal-Auftritte : 1961 bis 1966 », sur rugby-verband.de (consulté le ).
  37. « Montauban n'a rien pu faire », La Dépêche du Midi (consulté le ).
  38. « 1998 (GROUPE B) », sur finalesrugby.com (consulté le ).
  39. « Stade Montois : le Montois Frédéric Urruty nouvel entraîneur des trois-quarts », sur sudouest.fr
  40. Plaque commémorative du stade Guy Boniface
  41. a et b Hubert Cahuzac, « L'équipe du Stade Montois et le nouveau stade de Mont-de-Marsan », sur fresques.ina.fr (consulté le ).
  42. « Média guide 2016-2017 » [PDF], sur lnr.fr, (consulté le ).
  43. André Boniface, Nous étions si heureux : préfacé par Jean Glavany, , 282 p. (ISBN 978-2-7103-2853-7)
  44. Guy-Boniface se refait une beauté, ce qui va bien sûr profiter aux rugbymen, mais aussi aux judokas et autres karatekas.
  45. Claire Burckel, « Mont-de-Marsan : le stade de rugby rebaptisé ce dimanche », Sud Ouest, (consulté le ).
  46. « Prod2 : Carcassonne premier, Nevers dernier ….. au ratio points/budget », sur vibrez-rugby.com
  47. « Pro D2 : Carcassonne premier, Narbonne dernier ….. au ratio points / budget », sur vibrez-rugby.com
  48. « Classement des budgets des clubs de Pro D2, saison 2022-2023 », sur www.sportune.fr
  49. « Guide Saison 2023/2024 Top 14 Pro D2 », Rugby Magazine,‎ , p. 96.
  50. Philippe Alary, « Rugby. Stade Montois : les féminines font coup double », Sud Ouest, (consulté le ).
  51. Didier Courtade, Lionel Gauzere, « Les vérités sur la décision polémique du refus d'accession à l'élite 2 pour nos féminines séniors », sur stademontoisrugby.fr, (consulté le ).
  52. « Stade Montois rugby : les féminines quittent le club », Sud Ouest, (consulté le ).
  53. a et b Paul Ferrier, France Bleu Gascogne, « Les ex-rugbywomen du Stade Montois ont signé à Peyrehorade », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  54. « Défaite des féminines à Mugron », sur stademontoisrugby.fr, (consulté le ).

Annexes modifier

Bibliographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • [Mérillon 1990] Jean Mérillon, Le Challenge Yves du Manoir : Histoire du rugby, Paris, Éditions Chiron, , 335 p. (ISBN 2-7027-0395-X)  
  • Henri Garcia, La fabuleuse histoire du rugby, Éditions de la Martinière, , 935 p. (ISBN 2-7324-2260-6)
  • [Poustis 2011] Francis Poustis, Les acteurs du rugby landais, Dax, Éditions Passiflore, , 240 p. (ISBN 978-2-918471-07-3), p. 104-107
  • [de Baillenx 2013] Olivier de Baillenx, Finale '63 : U.S.Dax - Stade Montois, Biarritz, Éditions Atlantica, , 2e éd. (1re éd. 2003), 132 p. (ISBN 978-2-7588-0471-0)  

Liens externes modifier

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