Sonia Backès

femme politique française

Sonia Backès, née Dos Santos le à Nouméa (Nouvelle-Calédonie), est une femme politique et syndicaliste française. Membre de Renaissance (RE), elle est présidente de l'assemblée de la Province Sud de la Nouvelle-Calédonie depuis le et secrétaire d'État à la Citoyenneté au sein du gouvernement Borne de au 10 octobre 2023.

Sonia Backès
Illustration.
Sonia Backès en 2022.
Fonctions
Présidente de l'assemblée de la Province Sud
En fonction depuis le
(4 ans, 10 mois et 28 jours)
Prédécesseur Philippe Michel
Présidente des Républicains calédoniens
En fonction depuis le
(6 ans, 4 mois et 7 jours)
Prédécesseur Aucun (fonction créée)
Secrétaire d'État chargée de la Citoyenneté

(1 an, 3 mois et 6 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Ministre Gérald Darmanin
Gouvernement Borne
Prédécesseur Marlène Schiappa (indirectement, ministre)
Successeur Sabrina Agresti-Roubache
Porte-parole et membre du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie[N 1]

(3 ans et 23 jours)
Élection
Réélection

Président Harold Martin
Gouvernement Martin III, IV, V et VI
Membre du gouvernement de la
Nouvelle-Calédonie
[N 2],[N 3]

(1 an et 14 jours)
Élection
Réélection
Président Cynthia Ligeard
Philippe Germain
Gouvernement Ligeard
Germain I

(1 an, 11 mois et 19 jours)
Élection
Président Philippe Gomès
Gouvernement Gomès
Biographie
Nom de naissance Sonia Dos Santos
Date de naissance (47 ans)
Lieu de naissance Nouméa (Nouvelle-Calédonie, France)
Nationalité Française
Parti politique RPR (1994-2002)
RPCR (1994-2004)
UMP (2002-2015)
R-UMP (2004-2013)
MPC (2013-2015)
LR-NC (2015-2017)
LRC (depuis 2017)
LREM/RE (depuis 2022)
Diplômée de Université française du Pacifique
Université de Pau et des pays de l'Adour
Université Joseph-Fourier
Institut polytechnique de Grenoble
Profession Ingénieur en informatique

Sonia Backès est membre des 8e, 9e, 10e, 11e, 12e, 13e et 14e gouvernements de la Nouvelle-Calédonie, issus de l'accord de Nouméa, du au , à différents postes. Elle est élue sous l'étiquette du Rassemblement-UMP au Congrès de la Nouvelle-Calédonie pour la première fois lors du scrutin provincial du .

Elle est également secrétaire générale par intérim du Rassemblement-UMP du au . Elle participe à la création, le , au côté notamment de Gaël Yanno, du Mouvement populaire calédonien (MPC), dont elle devient l'un des huit porte-parole jusqu'au congrès fondateur du , puis est nommée le 31 juillet par le nouveau président du parti, Gaël Yanno, secrétaire générale.

Elle mène la liste Union pour la Calédonie dans la France (UCF) dans la Province Sud pour les élections provinciales. Elle a ensuite été présidente du groupe de l'UCF au Congrès du 23 mai au , puis du groupe Les Républicains au Congrès de la Nouvelle-Calédonie du au puis de celui Les Républicains calédoniens du au . Elle est la présidente fondatrice d'un parti également appelé Les Républicains calédoniens depuis le et mène la liste d'union L'Avenir en confiance dans le sud pour les élections provinciales. Celle-ci arrive en tête du scrutin, avec 20 sièges sur les 40 de l'Assemblée provinciale, et Sonia Backès se déclare candidate à la présidence de cette collectivité qu'elle obtient le .

Le , Sonia Backès est nommée secrétaire d'État chargée de la Citoyenneté dans le gouvernement d'Élisabeth Borne, auprès du ministre de l'Intérieur et des Outre-mer.

Le 24 septembre 2023, elle est battue au second tour des élections sénatoriales pour un siège en Nouvelle-Calédonie et démissionne du gouvernement en conséquence.

Famille, formation et carrière professionnelle modifier

Sonia Dos Santos est la fille aînée d'une professeure d’allemand et la seconde fille d’un professeur de français. Du côté paternel, elle est la petite-fille d’immigrés portugais, protestants ayant fui le catholicisme traditionaliste et le régime autoritaire de l’Estado Novo dirigé par António de Oliveira Salazar, installés à Nouméa en 1952[1]. Son père est proche des idées de l'anti-indépendantiste néo-calédonien Jacques Lafleur[2].

Lorsqu'elle a cinq ans, ses parents divorcent[3] et elle part vivre avec sa mère, en métropole, à Vincennes (Val-de-Marne). Selon le récit qu'elle fait au Figaro, sa mère l'a scolarisée durant sa classe de CM2 à l'École de l'éveil, une école de la scientologie. Après la fermeture de cette école par l'État, Sonia Backès reprend ses cours dans un collège public mais continue de grandir au sein de la scientologie. En proie à des doutes, une amie l'ayant alertée sur le caractère sectaire de la scientologie, elle est envoyée par sa mère en Angleterre, au manoir de Saint Hill, siège de la scientologie, où on lui enjoint de rompre tout lien avec son père. Elle parvient à s'échapper et rejoint son père en Nouvelle-Calédonie dix jours plus tard[2]. Le Monde met toutefois en doute cette version, citant notamment un échange de textos entre Sonia Backès et sa mère au lendemain de sa nomination au gouvernement semblant démontrer que ce récit était destiné à émouvoir la presse[4].

Elle passe son baccalauréat C au lycée Lapérouse de Nouméa en 1992. Ayant commencé ses études à l'université française du Pacifique à Nouméa puis titulaire d'une maîtrise en mathématiques de l'université de Pau et des pays de l'Adour en 1997, elle obtient un diplôme de recherche technologique (DRT) en informatique de l'université Joseph-Fourier (Grenoble-I)[5] et est ingénieur informatique de l'Institut polytechnique de Grenoble en 2001[1],[6]. Elle adhère au Rassemblement pour la Calédonie dans la République (RPCR, principal parti de la droite anti-indépendantiste qui domine alors la vie politique locale) à dix-huit ans, en 1994[7],[8]. Elle participe d'ailleurs à la campagne des élections provinciales de 2004[3].

De retour en Nouvelle-Calédonie en 2001[3], elle intègre la direction des technologies et services de l'information (DTSI) du gouvernement[9],[10].

Elle est mariée à Éric Backès, qui dirige la Direction de la Sécurité civile et de la gestion des risques (DSCGR) du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie du [11] au puis celle des Affaires économiques (DAE) depuis lors[12] ainsi que l'Aquarium des lagons à partir d'[13], et est mère de deux fils[3],[14].

Syndicaliste au sein de l'UTCFE-CGC modifier

Sonia Backès s'investit dans le syndicalisme en devenant en 2004 secrétaire générale de la SFA-CGC, syndicat de fonctionnaires de catégorie A et une des composantes de l'Union territoriale de la CFE-CGC (UTCFE-CGC), troisième syndicat de Nouvelle-Calédonie. Elle le reste jusqu'en 2006[15].

Puis, le , Sonia Backès est élue présidente de l'UTCFE-CGC[16].

Le , après quatre années d'activité syndicale, elle quitte la présidence de l'UTCFE-CGC pour s'engager plus activement en politique auprès du Rassemblement[17].

Carrière politique modifier

Premières responsabilités au Rassemblement-UMP modifier

Collaboratrice de Pierre Frogier et première élection au Congrès modifier

Après son départ du monde syndical, elle rejoint donc le cabinet du Rassemblement-UMP au Congrès de la Nouvelle-Calédonie[17]. Plus particulièrement, elle devient collaboratrice du président de cette assemblée et du parti, Pierre Frogier. Elle intervient, par exemple, dans le processus législatif d'examen du projet de loi du pays sur la protection de l'emploi local et connaît, à ce sujet, une opposition avec le président du gouvernement Harold Martin[18].

Candidate aux élections provinciales du , en 12e position sur la liste du Rassemblement-UMP menée par Pierre Frogier dans le Sud[19], elle y est une des représentantes du mouvement des jeunes de ce parti[20],[21]. Elle obtient alors son premier mandat de conseillère provinciale[22] ainsi que d'élue du Congrès[23]. Elle n'y siège toutefois que peu de temps, étant rapidement élue au sein du gouvernement[9].

Membre du gouvernement Gomès modifier

Le , Sonia Backès, âgée de 33 ans, est élue au sein du gouvernement Gomès[1],[9]. Elle en est la benjamine, chargée du secteur de l'enseignement[24] et du suivi des questions relatives à l'enseignement supérieur[25]. Au nom de cet exécutif, elle est surtout chargée de gérer une réforme globale des programmes du primaire et la création d'un statut de l'étudiant calédonien à travers une « Maison de l'étudiant »[26]. Elle a également des relations difficiles avec le président du gouvernement Philippe Gomès auquel elle s'oppose régulièrement, comme ses deux collègues du Rassemblement ou les indépendantistes de l'Union calédonienne[27],[28],[29].

Membre des gouvernements Martin III, IV, V et VI modifier

Entre mars et juin 2011, elle est réélue à quatre reprises au sein des exécutifs successifs désignés durant cette période, les gouvernements Martin III[30], IV[31], V[32] et VI[33]. Elle y prend en charge les secteurs du budget, des finances, de la fiscalité, de l'économie numérique et de l'énergie. Elle obtient aussi le suivi des questions relatives à la communication audiovisuelle et au transfert de compétences de l'enseignement ainsi que le poste de porte-parole du gouvernement, tout en conservant la responsabilité de l'enseignement supérieur désormais associé à celui de la recherche[34],[35],[36].

Puis, une fois effectué le transfert des dernières compétences liées à l'enseignement (second degré public, santé scolaire, enseignement privé) à la Nouvelle-Calédonie le , elle abandonne ces secteurs d'animation et de contrôle à Jean-Claude Briault[37].

Chargée de l'économie numérique, le , elle inaugure le premier séminaire de l'Observatoire numérique. Cette institution, parrainée par le gouvernement, est destinée au suivi du développement et des acteurs du numérique[38]. Puis, en tant que porte-parole du gouvernement, elle organise à partir du une permanence mensuelle auprès du public[39]. Au sujet de la fiscalité, elle défend en 2013 un projet de réforme de l'impôt sur le revenu qui prévoit surtout de modifier les seuils des tranches d'imposition et provoque un conflit avec la présidente de la commission de la fiscalité au Congrès, l'indépendantiste Caroline Machoro, ainsi qu'avec Calédonie ensemble[40].

Secrétaire générale du Rassemblement modifier

Le , après une défaite de son parti aux élections législatives de 2012, Sonia Backès est nommée par Pierre Frogier secrétaire générale du Rassemblement-UMP[41]. Avec d'autres personnalités notamment issues de la jeune garde, appelés les « refondateurs » dans les médias locaux, elle incarne alors une ligne radicale critique à l'égard de Pierre Frogier[42].

Au MPC et à l'UPF modifier

Création du MPC et de l'UCF modifier

Le , alors que le Rassemblement-UMP est engagé sur la voie de la scission, son président Pierre Frogier suspend Gaël Yanno, 1er vice-président et porte-parole du parti, et Sonia Backès, secrétaire générale par intérim[43]. La rupture est consommée le , lorsque Gaël Yanno et Sonia Backès annoncent la fondation d'un nouveau parti : le Mouvement populaire calédonien (MPC), avec le soutien sur le plan national de Jean-François Copé. Sonia Backès est l'une des huit porte-paroles du mouvement, jusqu'à son congrès fondateur initialement prévu en juin[44].

Après l'organisation de ce congrès finalement le qui voit l'élection de Gaël Yanno à sa présidence, Sonia Backès est choisie le 31 juillet suivant pour en être la secrétaire générale[45]. Puis, en octobre, ils forment une coalition avec deux autres mouvements non-indépendantistes, le Rassemblement pour la Calédonie (RPC) d'Isabelle Lafleur et le Mouvement républicain calédonien (MRC) de Philippe Blaise, baptisée l'Union pour la Calédonie dans la France (UCF)[46].

Candidate de l'UCF aux élections de 2014 modifier

Sonia Backès est candidate en 6e position sur la liste « Union pour Nouméa » menée par Gaël Yanno aux élections municipales de mars 2014 à Nouméa[47]. Elle est élue conseillère municipale[48].

Surtout, elle est choisie en avril 2014 pour être la tête de liste de l'UCF aux élections provinciales du 11 mai suivant dans le Sud[49]. Sa campagne est menée à la droite du camp non-indépendantiste, ne voulant négocier avec les indépendantistes qu'une seule année afin d'organiser le premier référendum sur l'indépendance prévu par l'accord de Nouméa dès 2015[50]. Ils arrivent en troisième position derrière Calédonie ensemble et le Front pour l'unité (FPU, coalition formée autour du Rassemblement), avec 18,14 % des suffrages et 8 élus[51].

Après le scrutin, elle fait partie des trois négociateurs désignés par l'UCF, avec Gaël Yanno et Isabelle Lafleur, pour arriver à un « contrat de gouvernance » assurant une majorité loyaliste dans les institutions avec leurs anciens adversaires électoraux de Calédonie ensemble et du FPU[52]. Elle prend également la direction du groupe de l'UCF au Congrès[53]. Mais, comme en 2009, étant élue au gouvernement le , elle cesse alors de siéger au sein de cette assemblée[54].

Membre des gouvernements Ligeard et Germain I modifier

Fin juin 2014, au sein du 13e gouvernement issu de l'accord de Nouméa et présidé par Cynthia Ligeard, Sonia Backès est chargée du contrôle et de l'animation des secteurs de la protection sociale, de la solidarité, du handicap, de l'agriculture, de l'élevage, de la pêche et de la politique de la famille[55],[56]. Elle prend également la présidence de l'Agence pour la prévention et l'indemnisation des calamités agricoles ou naturelles en Nouvelle-Calédonie (APICAN)[57]. Alors que la Nouvelle-Calédonie est confrontée à une importante sécheresse, elle annonce un plan d'aide aux agriculteurs et aux éleveurs[58].

Le , elle est réélue membre du 14e gouvernement, mais elle refuse de trancher entre les candidatures de Cynthia Ligeard et Philippe Germain à la présidence, le nouvel exécutif ne pouvant donc rentrer pleinement en fonction[59]. Ceci étant fait avec l'élection de Philippe Germain en , elle retrouve alors les mêmes secteurs d'animation et de contrôle que précédemment[60]. Elle se positionne dans l'opposition au sein de ce nouveau gouvernement, comme ses deux collègues issus du Rassemblement[61].

Finalement, le , de plus en plus opposée à Philippe Germain et intéressée par la perspective de la formation d'un groupe Les Républicains au Congrès, elle annonce sa démission du gouvernement, effective le lendemain[62],[63].

Présidente du groupe Les Républicains au Congrès modifier

En , redevenue membre du Congrès, elle prend la présidence d'un groupe de 10 conseillers baptisé « Les Républicains ». Celui-ci réunit l'ancien FPU (et donc surtout Le Rassemblement) à des dissidents de l'UCF, dont Backès[64],[65]. Dans le même temps, elle démissionne de son poste de secrétaire générale du MPC, tout en restant adhérente de ce parti[66].

Candidate aux élections législatives de 2017 modifier

Le , au premier tour des législatives, elle arrive en deuxième position, avec 17,27 % des suffrages, derrière Philippe Dunoyer et devant Gaël Yanno[67],[68]. Elle est battue au second tour par Philippe Dunoyer qui recueille 59,15 % des voix[67].

Présidente de l'Assemblée de la province Sud modifier

En mai 2019, la coalition L'Avenir en confiance, dont Sonia Backès est tête de liste, remporte les élections provinciales, avec vingt élus sur quarante (plus de 40 % des suffrages). Le 17 mai, dans l'hémicycle de l'assemblée provinciale, Sonia Backès, affronte au premier tour Rock Wamytan du FLNKS et Milakulo Tukumuli de L'Éveil océanien. Au second tour de scrutin, vingt-troix voix propulsent Sonia Backès présidente de la province Sud[69],[70]

Gestion de la pandémie de Covid-19 modifier

Le , dès l'annonce faite de la mise en place d'un confinement strict pour éviter une propagation de l'épidémie de Covid-19, Sonia Backès invite la population de la province Sud à un « auto-confinement »[71]. Deux jours plus tard, la présidente de la province Sud commande un million de masques chirurgicaux, 50 000 masques FFP2, de l'hydroxychloroquine et de l'azithromycine[72].

Secrétaire d'État chargée de la Citoyenneté modifier

Le , à 46 ans, Sonia Backès est nommée secrétaire d’État à la Citoyenneté dans le second gouvernement d’Élisabeth Borne, auprès de Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur. Elle entend conserver la présidence de la province Sud de la Nouvelle-Calédonie[73].

En septembre 2022, elle nomme conseiller spécial Brieuc Frogier, un autre élu néo-calédonien, ancien soutien d'Éric Zemmour rallié ensuite à Emmanuel Macron. Après une polémique, il quitte son poste dès le 7 septembre[74],[75].

Défaite aux élections sénatoriales de septembre 2023 modifier

Candidate aux élections pour un siège de sénatrice en Nouvelle-Calédonie le , elle est battue au second tour par l'indépendantiste Robert Xowie, obtenant 44,3 % des voix exprimées[76]. Après un entretien avec Emmanuel Macron, elle présente sa démission du gouvernement le 27 septembre 2023[77]. Cette démission est officialisée par un décret du 10 octobre 2023, date à laquelle elle est remplacée par Sabrina Agresti-Roubache[78].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Chargée de l'Énergie, du Budget, des Finances, de la Fiscalité, de l'Économie numérique, ainsi que du suivi des questions liées à la Communication audiovisuelle, à la Commission du CSA-NC, à l'Enseignement supérieur, à la Recherche et au Transfert de l'enseignement.
  2. Chargée de l'Enseignement et des questions relatives à l'Enseignement supérieur (2009-2011).
  3. Chargée du contrôle et de l'animation des secteurs de la Protection sociale, de la Solidarité, du Handicap, de l'Agriculture, de l'Élevage, de la Pêche et de la Politique de la famille (2014-2015).

Références modifier

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Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier