Serge Grouard

homme politique français

Serge Grouard, né le à Paris, est un haut fonctionnaire et homme politique français. Membre du RPR, de l’UMP puis des Républicains, qu'il quitte en 2023, il est député du Loiret de 2002 à 2017 ainsi que maire d'Orléans de 2001 à 2015 puis depuis juillet 2020.

Serge Grouard
Illustration.
Serge Grouard en 2023.
Fonctions
Président d'Orléans Métropole
En fonction depuis le
(2 ans, 5 mois et 4 jours)
Élection
Prédécesseur Christophe Chaillou
Maire d'Orléans
En fonction depuis le
(3 ans, 9 mois et 9 jours)
Élection 4 juillet 2020
Coalition LR-UDI
Prédécesseur Olivier Carré

(14 ans, 2 mois et 28 jours)
Élection 25 mars 2001
Réélection 21 mars 2008
23 mars 2014
Prédécesseur Jean-Pierre Sueur
Successeur Olivier Carré
Conseiller municipal d'Orléans
En fonction depuis le
(28 ans, 9 mois et 26 jours)
Élection 18 juin 1995
Réélection 18 mars 2001
16 mars 2008
23 mars 2014
28 juin 2020
Maire Jean-Pierre Sueur
Lui-même
Olivier Carré
Lui-même
Adjoint au maire d'Orléans[Note 1]

(4 ans et 3 jours)
Maire Olivier Carré
Successeur Délégation supprimée
Député français

(15 ans et 1 jour)
Élection 16 juin 2002
Réélection 17 juin 2007
17 juin 2012
Circonscription 2e du Loiret
Législature XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République)
Groupe politique UMP (2002-2012)
R-UMP (2012-2013)
UMP (2013-2015)
LR (2015-2017)
Prédécesseur Éric Doligé
Successeur Caroline Janvier
Président de la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire de l'Assemblée nationale

(1 an, 6 mois et 18 jours)
Législature XIIIe (Cinquième République)
Prédécesseur Christian Jacob
Successeur Jean-Paul Chanteguet
Biographie
Date de naissance (65 ans)
Lieu de naissance Paris (France)
Nationalité Français
Parti politique RPR (jusqu'en 2002)
UMP (2002-2015)
LR (2015-2023)
Diplômé de IEP de Paris
École supérieure des officiers d'état-major
ENA
Profession Haut fonctionnaire

Serge Grouard
Maires d'Orléans

Biographie modifier

Jeunesse et formation modifier

Né le à Paris, Serge Grouard est le fils de Jean Grouard, directeur commercial, et d'Anne-Marie Clément, artiste peintre. Il est père de trois enfants.

Diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris en 1981[1], il est titulaire d'un DEA en relations internationales et stratégie et d'un brevet de l'École supérieure des officiers d'état-major (ESORSEM). Il a également été auditeur libre à l'École nationale d'administration (ENA)[1].

Carrière professionnelle modifier

Sa carrière d'administrateur civil s'est déroulée à la ville de Paris ainsi qu'au ministère de la Défense. Il a notamment été conseiller technique au cabinet du maire de Paris, Jacques Chirac puis Jean Tibéri, de 1993 à 1996. Il fut également chargé de cours en relations internationales jusqu'en 2001[2].

Parcours politique modifier

Premiers mandats de maire d'Orléans (2001-2015) modifier

Serge Grouard entame son parcours politique en 1995. Troisième sur la liste du candidat UDF à la mairie d'Orléans Jean-Louis Bernard qui est battu par le maire PS sortant Jean-Pierre Sueur, Serge Grouard prend la tête de l'opposition municipale jusqu'aux élections municipales suivantes.

Après avoir fait une alliance avec Charles-Éric Lemaignen et Olivier Carré, Serge Grouard est élu maire d'Orléans à la suite des élections municipales de 2001, sa liste ayant devancé celle du maire socialiste sortant Jean-Pierre Sueur. Charles-Éric Lemaignen devient président de la communauté d'agglomération Orléans Val de Loire et Olivier Carré premier adjoint au maire.

Au cours de son premier mandat, le conseil municipal lance des projets de rénovation urbaine dans les quartiers et de restauration du centre ancien. Il est à l'origine de la création du Festival de Loire qui accueille des centaines de milliers de personnes sur les quais d'Orléans au mois de septembre, une année sur deux.[réf. nécessaire]

En 2001, il met en place une politique de « tolérance zéro » dans la lutte contre la délinquance, basée sur le triptyque sanction, prévention et réussite éducative. La ville enregistre au fil des années une baisse spectaculaire du nombre de délits commis sur son territoire faisant d'Orléans un « laboratoire de la lutte contre la délinquance en France ».[réf. nécessaire] Les statistiques sur vingt ans font état d'une chute des faits de délinquance de proximité à hauteur de 84 %[3].

En , Serge Grouard intente une action en justice contre le blogueur orléanais Antoine Bardet, alias « Fansolo », qui figurait sur une liste socialiste aux élections municipales[4]. Serge Grouard lui reproche d'avoir créé un blog ironique, « Les amis de Serge Grouard », en usurpant son identité, et dénonce l'utilisation d'images détournées qui le caricaturent en Dark Vador ou en soldat SS, selon les avis des uns et des autres[5],[6]. Après une première condamnation à près de 10 000 [4] confirmée en appel[7], le jugement est inversé en cassation, Serge Grouard étant condamné en retour à verser 3 000  d'indemnités à Antoine Bardet en sus du remboursement de tous les frais engendrés par la procédure[8]. Ce jugement, qui fait jurisprudence[9], « élargit le champ de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté d'expression à tous les blogueurs » souligne Le Canard enchaîné[10].

Le projet de création d'une Arena en partenariat public-privé crée la polémique, tant sur son opportunité que sur son financement et son lieu d'implantation. La mairie abandonne le projet quand les subventions prévues – de l'État notamment – ne sont finalement pas accordées. Elle a toutefois dépensé 12 millions d'euros dans ce projet avorté (dont près de 8 millions pour l'achat des bâtiments et du terrain de l'ancienne usine Famar), le « plus grave échec en matière d'urbanisme » du maire souligne La Tribune d'Orléans[11].

Le , la liste qu'il conduit obtient 53,65 % des suffrages exprimés dès le premier tour des élections municipales, devant la liste PS-EELV-PRG, qui recueille 23,23 % des suffrages. C'est la première fois qu'un maire est élu pour trois mandats consécutifs à Orléans et de surcroît dès le premier tour. Serge Grouard est à l'origine d'une nouvelle polémique en créant une délégation chargée de lutter contre l'immigration clandestine[12]. L'ancien maire Jean-Pierre Sueur a demandé au préfet et au ministre de l'Intérieur d'étudier les recours possibles contre de telles prérogatives qui sont en principe celles de l'État[13]. Le préfet du Loiret a invité le maire à changer le nom de la délégation « afin d'éviter toute confusion avec les compétences de l'État »[14].

Il annonce le sa décision de mettre fin à son mandat de maire d’Orléans pour des raisons de santé[15]. C'est son premier adjoint et dauphin Olivier Carré qui lui succède. Il reste adjoint au maire, chargé de la stratégie métropolitaine, jusqu'à sa démission en à l’issue de nombreux désaccords avec son ancien premier adjoint qui lui avait succédé[16].

Député du Loiret (2002-2017) modifier

Serge Grouard est élu député avec 57,59 % des voix le 16 juin 2002, dans la 2e circonscription du Loiret[17]. Le 17 juin 2007, il est réélu avec 54,65 % des suffrages au second tour[18]. À l'Assemblée nationale, il fait partie du groupe UMP[19]. Lors des élections législatives de 2012, il est réélu une nouvelle fois, avec 50,37 % des voix au second tour[20],[21].

Il est à l'origine d'un amendement de la loi dite « Grenelle I » () supprimant l'avis conforme de l'architecte des bâtiments de France pour les constructions réalisées dans les zones protégées. Le caractère obligatoire de cet avis a été rétabli à l'initiative de Dominique Braye par le Sénat en , dans le cadre de la loi dite « Grenelle II »[22].

Du à la fin de la XIIIe législature, il y préside la commission du Développement durable et de l'Aménagement du territoire[23].

Pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016, il soutient François Fillon, pour lequel il est responsable du projet[24]. Il travaille notamment sur les questions régaliennes dont celles liées à la politique internationale, à la sécurité et à la lutte contre l’islamisme radical, estimant dans un premier temps qu’elles sont insuffisamment traitées dans le programme présidentiel. Serge Grouard participera ainsi à l’écriture du livre Vaincre le terrorisme islamique signé par François Fillon[25]. Ce livre remarqué, sorti en pleine campagne des primaires et succès de librairie, avait contribué à relancer le candidat Fillon en le positionnant sur les questions géopolitiques et d’immigration, notamment face à Alain Juppé. Partageant avec le candidat LR le constat selon lequel « la France est un État en faillite » mais qu’il n’est pas question de s’y résoudre, Serge Grouard participe à l’élaboration d’un plan de redressement.

Le 4 mars 2017, alors que François Fillon, en pleine tourmente liée au Penelopegate, tient meeting au Trocadéro, Serge Grouard lui aurait proposé de prendre sa place comme candidat à l'élection présidentielle[26].

Briguant un quatrième mandat aux élections législatives de 2017, il est battu par la candidate de La République en marche Caroline Janvier, qui l'emporte par 51,2 % des suffrages exprimés[27].

Réélection à la mairie d'Orléans en 2020 modifier

Alors qu'il avait annoncé en 2015 qu'il ne se représenterait pas, Serge Grouard est candidat à sa réélection aux élections municipales de 2020, face notamment à Olivier Carré, soutenu par La République en marche[28]. Arrivé en tête à l'issue du premier tour de scrutin avec sa liste « Les Orléanais au cœur », il gagne la triangulaire du second tour avec 40,3 % des suffrages[29] représentant 9 098 voix sur 62 896 inscrits[30]. C'est en nombre de votants son plus faible score depuis 2001.

Le , il est élu maire d'Orléans pour la quatrième fois consécutive[31], après une campagne au climat délétère notamment marquée par l'affaire des notes de frais d'Olivier Carré[32] et l'affaire de la distribution de masques par Serge Grouard et son équipe[33].

Dans le contexte sanitaire de Covid-19 empêchant la tenue des fêtes de Jeanne d'Arc, une vive polémique éclate en mai 2021 à la suite du refus de diffusion par France 3 Centre-Val de Loire d'un documentaire commandé par la mairie d'Orléans. La direction de la chaîne estime qu’en raison du temps d’antenne accordé à Serge Grouard, les commentaires de la journaliste (Charlotte d'Ornellas, ancienne Jeanne d'Arc à Orléans et proche des mouvances d'extrême-droite[34]) peuvent être considérés comme un temps d'antenne illégal attribué au parti du maire[35].

En mai 2021, le média régional Magcentre révèle que Jean-Paul Imbault, élu Les Républicains au conseil départemental et 13e adjoint au maire d'Orléans Serge Grouard, chargé de la « ville jardin » et de la biodiversité, a usurpé un titre de Meilleur ouvrier de France dont il se prévalait depuis 1968[36].[non pertinent]

Un article du quotidien L'Humanité d'août 2022 critique une politique visant à « faire fuir les sans-abris », la volonté « d’abattre plusieurs tilleuls centenaires, provoquant la sidération et la colère des habitants » ou encore, du côté des mobilités, une politique au profit exclusif de la voiture avec un plan vélo « au point mort » et des transports en commun « loin d’être accessibles à tous »[37].

Depuis sa réélection, Serge Grouard intervient régulièrement dans divers médias. Il participe fréquemment à l'émission de Pascal Praud L'heure des Pros sur CNews, au point d'être qualifié de chroniqueur et de susciter l'interrogation de l'opposition municipale quant à ses ambitions.[réf. nécessaire]

Il engage la ville d'Orléans dans un projet de transition écologique, souhaitant faire de la cité johannique une « ville décarbonée à l'horizon 2050 », avec une baisse des gaz à effet de serre de 50 % d'ici 2030. La ville devrait produire sa propre énergie renouvelable grâce, notamment, au photovoltaïque. « Les ambitions seront de diviser par deux les émissions de gaz à effet de serre d'origine énergétique et de doubler les capacités de production en énergies renouvelables, de baisser de 26 % les consommations énergétiques... »[38] Le plan pluriannuel d'investissement (PPI) voté par la métropole en janvier 2022 prévoit 250 millions d'euros pour les actions de transition écologique et énergétique et de protection de la biodiversité.

La municipalité et l'entreprise Sensivic expérimentent depuis 2021 à la cité de Jeanne d’Arc un système de surveillance permettant d'enregistrer les « bruits suspects », mais aussi potentiellement les voix et conversations des passants. La légalité de ce dispositif a été questionnée, tandis que la Commission nationale informatique et libertés doit rendre un avis[39].

Élection à la présidence d'Orléans Métropole en 2021 modifier

Contrairement aux engagements qu'il avait pris lors des élections municipales de 2020, où il s'était prononcé « contre le cumul des fonctions de maire et de président de la métropole », Serge Grouard se présente et est élu à la présidence d'Orléans Métropole le 9 novembre 2021[40], en l'absence de candidat et afin que la collectivité soit en mesure de « retrouver une capacité de porter des beaux projets »[41]dans un contexte d'endettement massif. Il est élu avec 47 voix pour sa candidature sur 89 élus (soit 52,8 % des voix).

Candidature à la présidence des Républicains en 2022 modifier

Le 7 juillet 2022, il annonce sa candidature à la présidence des Républicains pour la succession de Christian Jacob, dont l'élection aura lieu lors du congrès des Républicains de 2022, les 3 et 4 décembre 2022 pour le premier tour, puis les 10 et 11 décembre 2022 pour le second tour si aucun des candidats n'a obtenu de majorité de plus de 50 % dès le premier scrutin[42]. Cependant, il ne parvient pas à obtenir les parrainages requis pour se présenter[43].

Départ des Républicains modifier

Il annonce le 12 mars 2023 dans une lettre ouverte quitter Les Républicains, jugeant que ce parti « n'a plus aucune ligne politique et pas davantage de projet pour notre pays »[44].

Prises de position modifier

En tant que député et maire d'Orléans, Serge Grouard participe de manière très active à une campagne nationale pour la libération de Florence Cassez, détenue au Mexique entre 2005 et 2013. Il effectuera plusieurs déplacements au Mexique afin de la soutenir, de rencontrer ses avocats et de donner le plus large écho, politique et médiatique, à cette affaire. Le 30 avril 2010, Florence Cassez est faite citoyenne d’honneur de la ville d’Orléans[45][source insuffisante].

En , il refuse l'implantation d'une école musulmane à Orléans, invoquant la « laïcité » et déclarant : « Après, on m'oppose l'argument des écoles dédiées à d'autres religions. Mais ça n'a rien à voir ! Les écoles catholiques, notamment, sont sous contrat, avec un programme, et une obligation de respect de la laïcité ! Et elles acceptent aussi des enfants d'autres religions, des enfants musulmans. Si l'État accepte et veut la mettre sous contrat, c'est un autre sujet. Mais là, c'est une porte ouverte vers de possibles dérives »[46].

Le 13 janvier 2015, il entonne spontanément La Marseillaise dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale à l’issue de l’hommage rendu aux 17 victimes des attentats.

En mars 2024, il dénonce l'arrivée de migrants dans sa ville déplacé selon lui en raison des Jeux olympiques de l'été 2024 à Paris[47],[48].

Détail des mandats et fonctions modifier

Mandats nationaux modifier

Mandats locaux modifier

  • depuis le  : conseiller municipal d'Orléans
  • -  : président délégué d'Orléans Métropole
  • depuis le  : président d'Orléans Métropole[49]

Publications modifier

Ouvrages modifier

  • Stratégies européennes et Espace militaire, FEDN, , 88 p..
  • La Guerre en orbite : essai de politique et de stratégie spatiales, éd. Economica, 1994. 383 p.
  • Ce que je voulais vous dire, Corsaire, 2018.
  • Assez de mots, des actes, comment rétablir la sécurité, Vérone Éditions, 2021.

Articles modifier

  • « Brilliant Pebbles » (en coll.), dans Défense nationale, no 46, , p. 147-157.
  • « Le rôle des satellites américains dans la région du Golfe », dans Défense nationale, no 46, , p. 77-86.
  • « Le conflit du Golfe : un laboratoire pour l'espace », Stratégique, nos 51-52,‎ , p. 345-371.
  • « Une défense européenne à inventer », dans Relations internationales et stratégiques, no 9, printemps 1993, p. 27-37.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Adjoint délégué au maire pour la stratégie métropolitaine d'Orléans.

Références modifier

  1. a et b « Biographie », sur sergegrouard.fr (consulté le ).
  2. Biographie de Serge Grouard, Les Echos
  3. Charles Guyard, « À Orléans, la sécurité comme credo », sur Le Point, (consulté le ).
  4. a et b « Un blogueur blagueur dans la mire », Le Canard enchaîné,‎ , p. 5.
  5. « Le soldat Grouard part en guerre contre l'humour potache », LibéOrléans, 25 septembre 2008
  6. « Le maire d'Orléans poursuit un blogueur », Le Figaro, .
  7. « La condamnation du blogueur potache confirmée en appel », LibéOrléans, 22 mars 2010.
  8. « La Cour de cassation étend le droit de la presse au blog », Rue89, 7 octobre 2011.
  9. « Arrêt no 904 du 6 octobre 2011 de la Cour de cassation »
  10. « La fête du maire », Le Canard enchaîné, 12 octobre 2011, p. 5.
  11. La Tribune d'Orléans, jeudi 20 mars 2014, no 345, p. 4.
  12. « À Orléans, le maire UMP veut chasser les clandestins », sur L'Humanité, (consulté le ).
  13. France Inter avec agences, « Orléans veut lutter contre l'immigration clandestine », sur franceinter.fr, (consulté le ).
  14. « Le nom de la délégation municipale orléanaise « de lutte contre l'immigration clandestine » doit changer », La République du Centre, 24 avril 2014.
  15. « Le maire d’Orléans met fin à son mandat », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  16. François Guéroult et Christophe Dupuy, « Serge Grouard quitte sa fonction d'adjoint à Orléans : la rupture est consommée avec Olivier Carré », sur France Bleu, (consulté le ).
  17. Élections législatives de 2002 - résultats dans la 2e circonscription du Loiret, sur le site du ministère de l'Intérieur
  18. Élections législatives de 2007 - résultats dans la 2e circonscription du Loiret, sur le site du ministère de l'Intérieur
  19. Fiche biographique sur le site de l'Assemblée nationale
  20. « Résultat des élections législatives 2012 : Loiret - 2e circonscription », sur L'Express.
  21. « France3 Centre : deuxième mandat pour Serge Grouard »
  22. « L'avis conforme des ABF rétabli par les sénateurs », LibéOrléans, 18 septembre 2009.
  23. « Actuelle composition de la commission du développement durable »
  24. Sébastien Tronche, « Le député LR Serge Grouard en charge du projet de François Fillon pour la primaire », lelab.europe1.fr, 25 mai 2016.
  25. Ludovic Vigogne, « François Fillon : le nègre Serge Grouard vous salue bien... », L’Opinion, 23 octobre 2018.
  26. « Quand Grouard voulait détrôner Fillon à la présidentielle », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  27. Ministère de l'Intérieur, « Elections législatives 2017 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  28. Centre France, « Serge Grouard : « La page se tourne, je ne reviendrai pas » », sur larep.fr, (consulté le ).
  29. « Résultats municipales 2020 à Orléans », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  30. « Municipales 2020 - 2ème tour | Orleans Metropole », sur orleans-metropole.fr (consulté le ).
  31. Orléans Métropole, « Serge Grouard, réélu maire d'Orléans », sur orleans-metropole.fr, (consulté le ).
  32. « Enquête sur les notes de frais du maire d'Orléans : Olivier Carré auditionné par la police », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
  33. Centre France, « Inédit - Municipales 2020 à Orléans : Serge Grouard, la victoire à quel prix ? [4/5] », sur larep.fr, (consulté le ).
  34. « Orléans : polémique autour d'un documentaire sur l'hommage à Jeanne d'Arc », sur France Bleu, (consulté le ).
  35. « France 3 censure un magazine sur Jeanne d’Arc », Le Point, (ISSN 0242-6005, consulté le ).
  36. Elodie Cerqueira, « Meilleur ouvrier de France : Jean-Paul Imbault, vrai mensonge et faux "quiproquo" », sur Mag'Centre, (consulté le ).
  37. Joseph Korda, « « Le Média positif » côté pile, côté face », sur L'Humanité, .
  38. Centre France, « Environnement - Le plan d’actions pour la transition écologique d'Orléans Métropole présenté ce jeudi : à quoi faut-il s'attendre ? », sur larep.fr, (consulté le ).
  39. Élisabeth Fleury, « À Orléans, une expérimentation de «surveillance optimale» qui suscite bien des craintes », sur humanite.fr, .
  40. François Guéroult, « Serge Grouard prend la présidence d'Orléans métropole », sur France Bleu, (consulté le ).
  41. Centre France, « Politique - Orléans Métropole : Serge Grouard, comme prévu », sur larep.fr, (consulté le ).
  42. « Les Républicains : candidat à la présidence, Serge Grouard veut un "accord de gouvernement" », sur cnews.fr, (consulté le ).
  43. "Le maire d'Orléans, Serge Grouard, écarté de la course à la présidence des Républicains", La République du Centre, 3 novembre 2022.
  44. « Serge Grouard quitte (cette fois définitivement) le parti Les Républicains », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
  45. « Florence Cassez libérée : le soulagement de son comité de soutien… orléanais », La République du Centre, (consulté le ).
  46. « Pas d'école musulmane à Orléans », La République du Centre, .
  47. « « Un dispositif parfaitement opaque » : le maire d'Orléans vent debout contre les sas d’accueil régionaux des sans-abris », Marianne, .
  48. Hugo Septier, « La colère du maire d'Orléans face à l'arrivée de migrants venant de Paris avant les JO de Paris », sur BFM TV, .
  49. « Serge Grouard élu nouveau président d’Orléans Métropole », Orléans Métropole, (consulté le ).

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier