Schœlcher

commune française du département d'outre-mer de la Martinique
(Redirigé depuis Schœlcher (Martinique))

Schœlcher
Schœlcher
La plage de Madiana.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Martinique
Département Martinique
Arrondissement Fort-de-France
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Centre de la Martinique
Maire
Mandat
Luc-Louison Clémenté
2020-2026
Code postal 97233
Code commune 97229
Démographie
Gentilé Schœlcherois(se)
Population
municipale
19 341 hab. (2021 en diminution de 2,88 % par rapport à 2015en diminution de 2,88 % par rapport à 2015)
Densité 914 hab./km2
Géographie
Coordonnées 14° 36′ 00″ nord, 61° 05′ 00″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 1 196 m
Superficie 21,17 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Fort-de-France
(banlieue)
Aire d'attraction Fort-de-France
(commune du pôle principal)
Élections
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Martinique
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Schœlcher
Géolocalisation sur la carte : Martinique
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Schœlcher
Liens
Site web www.mairie-schoelcher.fr

Schœlcher (/ʃœl.ʃɛʁ/[Note 1]) est une commune française, située dans le département de la Martinique.

Ses habitants sont appelés les Schœlcherois et les Schœlcheroises.

Schœlcher, ville universitaire, est la quatrième commune la plus peuplée de la Martinique après Fort-de-France, Lamentin et Le Robert.

Schœlcher était nommée « Case-Navire » jusqu'en 1889, date à laquelle elle fut renommée en l'honneur de Victor Schœlcher.

Présentation modifier

 
La ligne 101 Mozaïk dessert Schœlcher.

La ville de Schœlcher se situe à proximité de Fort-de-France, à la porte du Nord Caraïbe. Elle compte environ 20 000 habitants répartis sur une superficie de 2 295 hectares.

Depuis 2001, Schœlcher est membre de la communauté d'agglomération du Centre de la Martinique (CACEM) au sein de laquelle la population s'évalue à 150 000 habitants (soit environ 42 % de la population de la Martinique).

Ville universitaire, administrative, Ville au label Station nautique.

Elle est la ville d'implantation de l'Université des Antilles qui accueille plus de 6 000 étudiants chaque année. Schœlcher est aussi la ville où siège le rectorat de la Martinique, le Palais des Congrès de Madiana (congrès / multiplex cinématographique).

Schœlcher accueille également la direction des Services fiscaux, la direction de l'Équipement ainsi que les deux principaux bailleurs sociaux de logements à loyers modérés et une agence de Pôle Emploi.

Schœlcher accueille l'École Hôtel de l'Anse-Gouraud.

Enfin, Schœlcher offre un pôle médical avec la clinique Sainte-Marie, le Centre de rééducation cardiovasculaire de Cluny et le centre de convalescence situé à l'Anse Collat.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune se situe sur l'île de la Martinique sur la côte caraïbe au sein de l'agglomération foyalaise. Le climat y est de type tropical.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Schœlcher est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fort-de-France, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[4] et 114 896 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fort-de-France, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

La commune, bordée par la mer des Caraïbes au sud-ouest, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[9]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[10],[11].

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

Bourg – Case Navire – Anse-Madame modifier

Ces trois quartiers sont situés au centre de la commune et traversés par la rivière Case Navire. Sur ce site, on trouve deux établissements d'enseignement primaire, une école maternelle, une crèche municipale, une piscine municipale, et l'esplanade des Arawaks qui est un lieu de détente situé sur le front de mer de la ville.

Enclos – Anse Collat – Terreville modifier

Quartiers résidentiels situés dans les hauteurs de Schœlcher. Ils comptent un établissement d'enseignement secondaire, le siège du rectorat de la Martinique, un centre commercial, un parcours santé, une école municipale de musique, un monastère de l'ordre des Pères Bénédictins.

De même, on y trouve de nombreuses structures d'aide pour les personnes âgées et handicapées : la Maison de retraite, un Centre d'Alzheimer, une Maison des Aveugles, le centre Saint-Raphaël et un centre de rééducation situé au quartier Anse-Collat ainsi qu'une zone artisanale.

Le quartier de Terreville est situé à 1 500 mètres du Bourg de Schœlcher et s'étend sur un plateau découpé par deux ravines parallèles qui permettent l'écoulement de la rivière Case-Navire au sud et celle de Fond- Lahayé au nord. Jusqu'en 1950, la quasi-totalité du quartier était planté en canne à sucre qui alimentait les deux distilleries installées sur la rivière Case-Navire. Dans la zone proche des Pitons du Carbet, les habitants du quartier pratiquaient l'agriculture vivrière.

À partir des années 1950, la chute de l'économie sucrière conduit au démantèlement des terres. Habitations et distilleries cessent leurs activités. En 1969 est construit le lotissement Aubery et, en 1971, celui de Fond Rousseau. À partir des années 1970 commence les projets d'urbanisation de Terreville.

Fond Lahayé – Fond Bernier modifier

Ce sont des quartiers situés à la porte du Nord-Caraïbe ; Fond Lahayé est le principal hameau de la ville. Il a été construit à l'emplacement d'une ancienne propriété qui appartenait à la famille Lahayé. Cette propriété échut à la Demoiselle La Haye qui par son mariage devint baronne d'Arros. Ses enfants héritèrent du domaine mais le vendirent. Fond Lahayé eut divers propriétaires dont Jules Sévère, ancien maire de la ville.

En 1898, le domaine fut rattaché à la commune. Quelques années plus tard, ces terres seront achetées par la colonie pour reloger les sinistrés des communes du Carbet et du Prêcheur après l'éruption de la montagne Pelée en 1902. Aujourd'hui, on trouve au quartier Fond Lahayé une école maternelle, une école d'enseignement primaire, une crèche municipale, un dispensaire, une maison commune ainsi que des lieux d'activités sportives et ludiques.

La pêche est une activité très importante du quartier. La présence d'une digue témoigne du passé colonial du site.

La Colline modifier

C'est un quartier résidentiel situé sur les hauteurs de Schœlcher.

Démarche modifier

Ce quartier se développe dans les hauteurs de la ville à proximité d'une forêt primitive. Situé à l'emplacement d'une ancienne habitation sucrerie dont le dernier propriétaire fut Emmanuel Osenat, ancien conseiller de la ville Schœlcher.

L'activité principale de ce quartier est l'agriculture. Avec les Fond-Lahayésois, les habitants de Démarche ont beaucoup pratiqué le troc durant « le Temps Robert » (époque de la dissidence en Martinique où l'amiral Robert représentait le Gouvernement de Vichy). Aujourd'hui, on peut découvrir sur ce site le Tombeau des Anglais, de ravissantes mares dont l'eau servait à l'irrigation des champs et des ruines témoignant du passé colonial du quartier Démarche.

Madiana modifier

Ce quartier est composé de deux sections : Les Hauts de Madiana, à caractère résidentiel et le Bas de Madiana où jadis se trouvait l'habitation Fond Nigaud qui produisait du rhum. À cet emplacement se trouve le Palais des Congrès de la Martinique. Madiana, c'est aussi le site où s'élevait la batterie militaire de Sainte-Catherine au XVIIIe siècle, appelée aujourd'hui « Esplanade du 22-Mai » en mémoire de l'abolition de l'esclavage. On y trouve une belle plage au sable gris et la caserne de la gendarmerie de Schœlcher. Le quartier Madiana accueille aussi la nouvelle agence Pôle emploi de la ville et des communes environnantes.

Batelière modifier

Quartier érigé dans les années 1950, qui a vu sa population décupler avec la construction dans les années 1970, d'un ensemble d'habitations collectives : la cité Ozanam. Sur son territoire se situe des administrations telles que la DEAL, le Comité martiniquais du tourisme, un casino (le Plazza), un centre commercial, l'hôtel Batelière, une école hôtelière et un lycée professionnel…

Fond Batelière modifier

Ce quartier longe le littoral sud de la commune de Schœlcher. Il dispose d'un terrain de football. Le quartier fait l'objet d'un projet de résorption de l'habitat insalubre.

Plateau Fofo – Grand Paradis – Petit-Paradis modifier

Zones résidentielles qui constituaient avant 1888, des quartiers de Fort-de-France. On trouve à Cluny un centre commercial, le siège des impôts, la clinique Sainte-Marie, des crèches et une école d'enseignement maternelle et primaire…

Ravine Touza modifier

Quartier constituant la limite entre Fort-de-France et Schœlcher. le quartier se développe sur les terres d'une ancienne habitation sucrière appartenant à la famille Trouzard. Le a été inaugurée la résidence de la Liberté où 200 logements sociaux sont construits. Ravine-Touza, c'est aussi le site d'implantation de l'Université des Antilles depuis plus de quarante ans.

Toponymie modifier

D'abord nommée « Case-Navire », la commune est née de la loi du qui sépara son territoire de celui de Fort-de-France et de Case-Pilote. Elle est rebaptisée Schœlcher, par décret du président de la République le , en hommage à Victor Schœlcher (1804-1893), initiateur de l'abolition définitive de l'esclavage en France et dans ses colonies.

« Schœlcher » est typographiée avec un « œ » (e dans l'o) par le Code officiel géographique (COG) de l'INSEE ainsi que par l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN).

Histoire modifier

 
La statue de Victor Schœlcher avant sa destruction en 2020.

Le 22 mai 2020, jour de commémoration de l'abolition de l'esclavage en Martinique, les deux statues de Victor Schoelcher présentes à Fort-de-France et à Schoelcher sont déboulonnées et détruites[12] par des manifestants se proclamant « antibéké et anti-héritage colonial »[13].

Les manifestants reprochent au pouvoir français et aux collectivités « de ne célébrer que des hommes blancs, et d’occulter les figures des esclaves qui se sont révoltés »[14] ; et à Schœlcher en particulier, d'avoir permis une indemnisation financière des anciens maîtres blancs, en compensation de l'abolition[15].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Schœlcher appartient à l'arrondissement de Fort-de-France et vote pour les représentants de l'Assemblée de Martinique. Avant 2015, elle élisait ses représentants au conseil général dans les cantons de Schœlcher-1 et Schœlcher-2, entités qui divisaient la commune en deux.

Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription de la Martinique.

Intercommunalité modifier

La commune appartient à la communauté d'agglomération du Centre de la Martinique.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[16]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1964 Roland Janvier SFIO Conseiller général du canton de Schœlcher (1955 → 1964)
1964 Eustache Bertrand UDR puis RPR Conseiller général du canton de Schœlcher (1964 → 1985)
Alfred Almont RPR-OO[17]
puis UMP
Chargé de mission
Député de la 2e circonscription de la Martinique (2002 → 2012)
Conseiller général du canton de Schœlcher-1 (1991 → 2004)
en cours Luc-Louison Clémenté DVG[18] Conseiller général du canton de Schœlcher-2 (1998 → 2010)
Conseiller régional de la Martinique (2010 → 2015)
Président de la CA du Centre de la Martinique

Jumelages modifier

Schœlcher est jumelée avec Fessenheim, ville d'où sont originaires les parents de Victor Schœlcher. Chaque année depuis 1980, les écoliers alsaciens viennent à Schœlcher et des écoliers schœlchérois se rendent en Alsace.

Schœlcher est aussi jumelée, depuis 1998, avec Houilles dans les Yvelines, car Victor Schœlcher y a fini ses jours le .

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1961, premier recensement postérieur à la départementalisation de 1946. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[19],[Note 4].

En 2021, la commune comptait 19 341 habitants[Note 5], en diminution de 2,88 % par rapport à 2015 (Martinique : −5,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1961 1967 1974 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9 87913 24114 74918 09419 82520 84521 41920 59419 908
2021 - - - - - - - -
19 341--------
De 1961 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Insee de 1968 à 2006[20] puis à partir de 2006[21])
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

C'est dans cette commune que se trouve le campus martiniquais de l'université des Antilles, ainsi que le rectorat de l'académie Martinique. Le campus de Schœlcher est une des composantes de cette université. Il est constitué des facultés de :

  • Droit et Sciences Économiques ;
  • Médecine ;
  • Lettres et Sciences humaines.

La ville compte également un lycée :

et deux collèges :

  • le collège Vincent Placoly, au centre-ville ;
  • le collège de Terreville, dans le quartier du même nom.

Depuis le , la ville de Schœlcher accueille aussi sur son territoire le Pôle consulaire de formation de la Chambre de commerce et d'industrie de la Martinique (CCIM) situé à rue Aubin Edmond à Case-Navire Skillfor Campus.

Écoles primaires

Voici les établissements primaires schœlchérois :

Établissements sportifs modifier

  • Stade municipal de Schœlcher
  • Piscine municipale Jacques Sicot
  • Complexe sportif Arena [22]
  • Courts de tennis
  • Centre nautique de Schœlcher
  • Terrain de basket
  • Parcours santé (Terreville)
  • Gymnase privé (campus)
  • Bord de pêche (place des Arawaks)
  • Cours de badminton
  • Terrains de pétanque
  • Terrain de football de plage

Clubs sportifs modifier

  • FC Schœlcher, football
  • CNS (Club Nautique de Schœlcher), voile
  • M.U.C (Martinique université club), handball
  • A.S.C.O.I.A, athlétisme
  • A.S.C.O.I.A Gymnastique Rythmique, baby gym
  • Schœlcher Natation 2000, natation
  • Tennis club de la Batelière, tennis
  • AC233, Frappez des Ailes, aviron de mer moderne et traditionnel
  • Les Marsouins de Schœlcher, natation sportive et natation synchronisée

Musique modifier

  • Le conservatoire de musique de Schœlcher (Terreville)

Économie modifier

En 2015, le taux de chômage pour la commune était de 19 %[24].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Le palais des congrès de Madiana contient aussi un cinéma.
  • Église Notre-Dame-de-la-Nativité de Schœlcher. L'église est dédiée à la Nativité de Marie.
  • Église de la Résurrection de Terreville. L'église est dédiée à la Résurrection de Jésus.
  • Chapelle Notre-Dame-du Mont-des-Oliviers de Schœlcher.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Prononciation en français de France standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Fort-de-France », sur insee.fr (consulté le ).
  5. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fort-de-France », sur insee.fr (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  10. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. Brigitte Brault, « Deux statues de Victor Schoelcher détruites le 22 mai, jour de la commémoration de l'abolition de l'esclavage en Martinique », sur Martinique la 1ère, Journal télévisé, (consulté le ).
  13. Claire Digiacomi, « Quelles statues posent problème dans la lutte antiraciste en France? », sur Le HuffPost, (consulté le ).
  14. Aude Lorriaux, « Pourquoi des militants ont-ils détruit des statues de Victor Schœlcher (et est-ce justifié) ? », 20 Minutes,‎ (lire en ligne)
  15. « Les indemnités versées aux propriétaires d’esclaves recensées dans une base de données | CNRS », sur cnrs.fr, (consulté le ).
  16. Les maires de Schoelcher, sur mairie-schoelcher.fr
  17. « Osons Oser », parti politique local fondé en 2000 par Pierre Petit et initialement classé à droite. Le mouvement a rallié la gauche à la fin des années 2000 (vers 2008).
  18. Tête de liste du mouvement « Vivre à Schœlcher »
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  21. pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  22. « L'Arena, un complexe sportif de 3700 m2 à Schoelcher », sur RCI (consulté le ).
  23. https://www.leballonrond.fr/player.php?id=751371
  24. Emploi et chômage à Schœlcher (97233) - L'Internaute (données de l'Insee)
  25. https://www.cacem.fr/wp-content/uploads/2022/04/LE-BUREAU-COMMUNAUTAIRE.jpg
  26. « Fédération Française de Football », sur fff.fr (consulté le ).
  27. « Fédération Française de Football », sur fff.fr (consulté le ).

Annexes modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier