Satom
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| Satom | |
| Création | |
|---|---|
| Forme juridique | Société par actions simplifiée[1] |
| Activité | Construction de routes et autoroutes (d)[1] |
| Société mère | Vinci Construction |
| SIREN | 612026807[1] |
| Site web | https://www.sogea-satom.com/ |
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Satom est une filiale du groupe Vinci créée en 1951, qui réalise des travaux de bâtiment, de forage et de génie civil en Afrique (notamment en Mauritanie, en Guinée, au Togo, au Bénin et au Niger)[2].
Elle a notamment réalisé :
- la mine d'uranium d’Arlit au Niger,
- le pont ferroviaire de Japoma au Cameroun,
- l'ambassade du Royaume d’Arabie Saoudite à N’Djamena au Tchad.
- et de nombreuses routes en Afrique.
Depuis 1984, la société Satom a fusionné avec Sogea pour former l'entreprise Sogea-Satom[3].
Enlèvements modifier
Le , sept collaborateurs des groupes français Areva et Satom - cinq Français, un Togolais et un Malgache - sont enlevés à Arlit. Le , l’enlèvement est revendiqué par Al Qaïda au Maghreb (Aqmi). En , la Française et les deux otages malgaches et togolais sont relâchés. En , les quatre derniers otages français sont à leur tour libérés[4].
Références modifier
- Sirene, (base de données)
- http://www.vinci.com/vinci.nsf/fr/histoire-entreprises/pages/satom.htm
- « Sogea-Satom décroche un contrat de 75 millions d'euros au Cameroun », sur jeuneafrique.com via Wikiwix (consulté le ).
- « » Les enlèvements d’Européens au Sahel depuis cinq ans », sur Mali Actu (consulté le ).
