Saint-Hilaire-de-Chaléons

commune française du département de la Loire-Atlantique
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Saint-Hilaire-de-Chaléons
Saint-Hilaire-de-Chaléons
L'église.
Blason de Saint-Hilaire-de-Chaléons
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Pornic Agglo Pays de Retz
Maire
Mandat
Françoise Relandeau
2020-2026
Code postal 44680
Code commune 44164
Démographie
Gentilé Chaléonnais
Population
municipale
2 353 hab. (2021 en augmentation de 5,28 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 06′ 14″ nord, 1° 51′ 49″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 32 m
Superficie 34,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Machecoul-Saint-Même
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Saint-Hilaire-de-Chaléons
Liens
Site web saint-hilaire-de-chaleons.fr

Saint-Hilaire-de-Chaléons [sɛ̃.t‿ilɛʁ də ʃaleɔ̃] Écouter est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Ses habitants s'appellent les Chaléonnais et les Chaléonnaises. La population de Saint-Hilaire-de-Chaléons s'élève à 2 336 habitants pour l'année 2020.

Géographie modifier

Situation modifier

La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. La commune a aussi fait partie des Marches Communes de Bretagne-Poitou, entre pays de Retz et Vendée historique.

Saint-Hilaire-de-Chaléons est située entre le lac de Grand-Lieu et la baie de Bourgneuf, à 25 km au sud-ouest de Nantes et 3 km à l'ouest de Sainte-Pazanne.

La commune se trouve dans le canton de Bourgneuf-en-Retz et est membre de la Communauté de communes Cœur Pays de Retz avec celles de Sainte-Pazanne, Chaumes-en-Retz, Rouans, Cheix-en-Retz, Vue et Port-Saint-Père.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Communes limitrophes de Saint-Hilaire-de-Chaléons
Chaumes-en-Retz Rouans
Port-Saint-Père
Pornic  
Villeneuve-en-Retz Sainte-Pazanne

Les communes limitrophes sont Chaumes-en-Retz, Villeneuve-en-Retz, Chéméré, Pornic, Port-Saint-Père, Rouans et Sainte-Pazanne.

Géologie, relief et hydrographie modifier

Le nord de la commune est traversée par un petit cours d'eau, la Blanche, qui se jette ensuite dans l'Acheneau, rivière qui relie le lac de Grand-Lieu à la Loire[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 848 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Même-le-Tenu », sur la commune de Machecoul-Saint-Même à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 866,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Hilaire-de-Chaléons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (97,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,7 %), terres arables (29,5 %), prairies (24,5 %), zones urbanisées (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %), forêts (1 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes San Heliren et Sancti Hylarii au XIIe siècle[14].

Le nom de Saint-Hilaire-de-Chaléons vient de Hilaire de Poitiers, évêque de Poitiers au IVe siècle ; Chaléons viendrait de calma, terme d'origine pré-celtique qui signifiait « espace dénudé » ou « plateau en friche »[15].

La commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons possède en effet un plateau qui se poursuit au sud-ouest sur la commune de Villeneuve-en-Retz, jusqu'à dominer le Marais breton et la plaine littorale[16].

Pendant la période révolutionnaire, la commune prit le nom de La Fraternité.

La forme bretonne actuelle proposée par l'Office public de la langue bretonne est Sant-Eler-Kaleon[14].

Histoire modifier

Saint-Hilaire-de-Chaléons est mentionné pour la première fois en 1079, époque où son église est donnée aux religieuses de Notre-Dame d'Angers[17]. L'église de Saint-Hilaire de Chaléons appartenait alors au prieuré Sainte Marie de Prigny[18].

Durant le Moyen Âge, la paroisse de Saint-Hilaire se développe à proximité du château du Bois-Rouaud.

La période de la Révolution française est une période très difficile pour la commune qui a laissé des traces durables dans les mentalités[19]. Saint-Hilaire est alors un lieu de cantonnement pour l'armée républicaine[17] qui combat les Armées catholiques et royales de Vendée et de Bretagne. En raison de la déchristianisation, la commune est renommée La Fraternité. Il y eut à La Fraternité, entre l’an I et l’an IV, 316 tués et 167 décès par maladie pour une population de 1 150 habitants d'après le recensement de 1789[20]. Les familles les plus éprouvées furent la famille Briand, de la Petite Davière, où il y eut onze décès ; la famille Loquai, de Maubusson, où il y eut six tués et quatre décès par maladie ; et la famille de Louis Guérin, où il y eut trois tués et cinq autres décès[20].

En 1793, le curé de la paroisse, l'abbé Violet, âgé de 24 ans, est blessé au visage alors qu'il sert dans l'armée vendéenne en tant que porte drapeau de François Charette de la Contrie. En 1825, il décide d'ériger un calvaire à Saint Hilaire pour rendre hommage aux victimes de la répression pendant la révolution. Le cimetière actuel situé autour du calvaire est inauguré en 1869 par le maire, le comte Gustave de Juigné[21].

L'église actuelle remplace une ancienne église ruinée à la Révolution française. Lors de la construction de l'église en 1897, trois sarcophages mérovingiens sont découverts[22].

La commune a rénové le clocher en 2000, une équipe de jeunes cinéastes a profité de l'occasion pour refaire l'histoire de ce clocher avec les anciens qui l'avaient vu construire[23].

Héraldique modifier

  Blasonnement :
Écartelé : au premier, d'or aux trois tours de gueules, ouvertes et ajourées du champ, maçonnées de sable ; au deuxième, d'argent aux six mouchetures d'hermine de sable ordonnées 3, 2 et 1 ; au troisième, d'azur aux trois fleurs de lys d'or ; au quatrième, de gueules à la mitre épiscopale d'or posée en bande, soutenue d'une crosse du même posée en barre ; à la croix de sable brochant sur l'écartelé, chargée en cœur d'un écusson d'argent aux trois croix du Calvaire de sable.
Commentaires : La croix de sable est celle du blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Saint-Hilaire-de-Chaléons au pays de Retz. Les mouchetures d'hermine évoquent le blasonnement d'hermine plain de la Bretagne, rappelant l'appartenance passée de la ville au duché de Bretagne. Blason conçu par M.-R. Prat en 1946.

Politique et administration modifier

 
Gustave de Juigné (1828-1900), maire de Saint-Hilaire-de-Chaléons de 1865 à 1870.
Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1947 Jean-Marie Loquai    
1947 mai 1953 Pierre Chauvet    
mai 1953 mars 1971 Pierre Leduc DVD Conseiller général (1962-1982)
mars 1971 octobre 1974 Joseph Sorin DVD Démissionnaire
octobre 1974 octobre 1978 Ange Rialland   Démissionnaire
novembre 1978 août 1982 Pierre Leduc DVD Directeur de l'hôpital de Nantes
Conseiller général (1962-1982)
Décédé en fonction
octobre 1982 mars 1983 Camille Recoquillé   Retraité
mars 1983 mars 1989 Jean Dupont   Artisan mécanicien agricole,
ancien adjoint
mars 1989 mars 2008 François Loquais[Note 3] UDF Agriculteur
mars 2008 En cours
(au 25 octobre 2022)
Françoise Relandeau[Note 4] DVD Attachée de direction

Population et société modifier

Démographie modifier

Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Hilaire-de-Chaléons fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Sainte-Pazanne. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[26]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 79 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 21 % dans des zones « très peu denses »[27].

Évolution démographique modifier

Les données concernant 1793 sont perdues.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2021, la commune comptait 2 353 habitants[Note 5], en augmentation de 5,28 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
8441 1891 4291 4671 2401 0921 2001 3171 329
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 4111 5291 4591 5421 5461 4801 5501 5631 580
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 5681 5081 3621 3151 2691 2491 2151 2421 304
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
1 3111 2551 3621 3331 5511 7211 7911 9402 197
2019 2021 - - - - - - -
2 3222 353-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,5 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 133 hommes pour 1 171 femmes, soit un taux de 50,82 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
3,2 
5,2 
75-89 ans
8,1 
12,3 
60-74 ans
11,5 
21,1 
45-59 ans
18,0 
21,8 
30-44 ans
22,3 
15,7 
15-29 ans
14,0 
23,4 
0-14 ans
22,9 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Économie modifier

En 2010, l'endettement de la commune (encours de la dette) s'élève à 750 euros par habitant. Ce chiffre concerne le budget principal seul[34]. Les ressources et les dépenses de fonctionnement sont dans la moyenne des communes alentour (Cheix, Chéméré, Port-Saint-Père, Rouans, Sainte-Pazanne, Vue), tandis que les emprunts pèsent lourdement sur la commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons[35].

Lieux et monuments modifier

  • Saint-Hilaire-de-Chaléons se caractérise par son église, dont le carillon sonne « La Paimpolaise », une chanson de Théodore Botrel au fil des heures.
 
Calvaire dans le cimetière de Saint-Hilaire-de-Chaléons
  • Le cimetière, également, se distingue de par sa forme circulaire.
    • Au centre de celui-ci, se trouve un calvaire et une petite réplique d'un chemin de croix. On y trouve des plaques portant les noms d’habitants massacrés pendant la guerre de Vendée. La balustrade du calvaire est surmontée par un chapelet du Rosaire donné au XIIIe siècle par la Vierge Marie à saint Dominique de Guzmán. Un des symboles rattachés à ce saint est l'étoile rouge que sa mère vit en songe sur son front accompagné d'un chien portant un flambeau dans la gueule.

Personnalités liées à la commune modifier

Associations liées à la commune modifier

L'association « Éoliennes en Retz » milite pour la valorisation des énergies renouvelables et sensibilisation aux économies d'énergie. Son fondateur, Serge Pintout, est un fervent défenseur des projets éoliens sur le pays de Retz[37]. Une association « PEPR » (Protection de l'environnement du pays de Retz), a été créée pour remettre en cause ces projets d'implantations éoliens[38].

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Réélu en 1995 et 2001.
  4. Réélue en 2014 et 2020. [1]
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « La blanche [M8305400] - Cours d'eau | Sandre - Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau », SANDRE (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-de-Chaléons et Machecoul-Saint-Même », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Même-le-Tenu », sur la commune de Machecoul-Saint-Même - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saint-Même-le-Tenu », sur la commune de Machecoul-Saint-Même - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
  15. Toponymie générale de la France, Par Ernest Nègre
  16. « Saint Hilaire de Chaléons (44) », sur shc44.fr (consulté le ).
  17. a et b « Saint-Hilaire-de-Chaléons : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton… », sur infobretagne.com (consulté le ).
  18. « Catalogue en ligne », sur shpr.fr (consulté le ).
  19. « shc44.org/-La-periode-revoluti… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  20. a et b « Le soulèvement de 1793 au cœur du Pays de Retz - Saint Hilaire de Chaléons par Eloi Guitteny », sur Société des Historiens du Pays de Retz, (consulté le ).
  21. http://www.shc44.org/Inauguration-du-cimetiere-actuel
  22. http://lafrancedesclochers.xooit.com/t198-Saint-Hilaire-de-Chaleons-44680.htm
  23. Documentaire de 2001 sur l'histoire du village
  24. a et b L'historique des Maires, sur saint-hilaire-de-chaleons.fr
  25. Né en 1760 à Saint-Hilaire-de-Chaléons, il est enrôlé dans les Armées catholiques et royales de 1793 à 1796, "brave et dévoué défenseur de la monarchie légitime", il a perdu son père, son frère et sa sœur, tué par les révolutionnaires
  26. « Commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons (44164) », Insee (consulté le ).
  27. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons (44164) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  34. Site des comptes des communes : http://alize2.finances.gouv.fr/communes/eneuro/tableau.php?icom=164&dep=044&type=BPS&param=5&exercice=2010
  35. http://www.shc44.org/Les-finances-2010-un-poids-accru
  36. http://www.shc44.org/Louise-Thomas-Patersi-La-grande
  37. www.eoliennes-en-retz.com, consulté le 5 mars 2010.
  38. Association Protection de l'Environnement du Pays de Retz, consulté le 5 mars 2010.