Saint-Laurent-de-la-Prée

commune française du département de la Charente-Maritime

Saint-Laurent-de-la-Prée
Saint-Laurent-de-la-Prée
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Rochefort
Intercommunalité Communauté d'agglomération Rochefort Océan
Maire
Mandat
Olivier Coche-Dequeant
2020-2026
Code postal 17450
Code commune 17353
Démographie
Gentilé Saint-Laurentais
Population
municipale
2 271 hab. (2021 en augmentation de 9,66 % par rapport à 2015)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 58′ 55″ nord, 1° 02′ 24″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 23 m
Superficie 27,51 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rochefort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtelaillon-Plage
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Laurent-de-la-Prée
Liens
Site web www.saintlaurentdelapree.fr

Saint-Laurent-de-la-Prée est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Saint-Laurentais et les Saint-Laurentaises[1].

Géographie modifier

La commune de Saint-Laurent-de-la-Prée est située dans la partie sud-ouest de la France[Note 1], au centre de la côte atlantique dont elle est riveraine, faisant partie du « Midi atlantique »[2].

C'est aussi une commune fluviale et estuarienne, elle est entièrement située sur la rive droite de l'estuaire de la Charente qui rejoint les eaux de l'océan Atlantique en une vaste embouchure face aux stations balnéaires de Fouras - rive droite - et de Port-des-Barques - rive gauche.

En bordure du fleuve, de grands espaces marécageux et inondables, sillonnés de petits canaux, qui font partie du marais de Rochefort, sont voués aux prairies pour l'élevage bovin et ovin, et sont à l'origine en partie du nom de la commune avec le toponyme local de "prée".

La commune est également traversée du nord au sud par le canal de Charras qui se jette dans la Charente en aval des communes de Vergeroux et de Rochefort. Cet important collecteur des marais a été construit à partir de 1710, puis de 1782 à 1789 et achevé en 1812. D'importants travaux de génie rural et d'hydraulique agricole ont eu lieu en 1978 avec l'asséchement de 33 000 hectares de marais. Aujourd'hui, outre son rôle d'écoulement des eaux, ce canal est également un lieu de promenade et de détente.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Saint-Laurent-de-la-Prée[3]
Yves
Fouras   Breuil-Magné
Port-des-Barques Saint-Nazaire-sur-Charente Vergeroux

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Laurent-de-la-Prée est une commune rurale[Note 2],[4]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[5],[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Laurent-de-la-Prée, une unité urbaine monocommunale[7] de 2 114 habitants en 2017, constituant une ville isolée[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rochefort, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

La commune, bordée par l'estuaire de la Charente, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[12]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,6 %), terres arables (29,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), eaux maritimes (5,3 %), zones humides intérieures (5 %), zones urbanisées (4,6 %), forêts (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,1 %), zones humides côtières (1,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Laurent-de-la-Prée est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels modifier

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) du littoral charentais-maritime, regroupant 40 communes concernées par un risque de submersion marine de la zone côtière, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne et confirmé en 2018 lors du second cycle de la Directive inondation, mais annulé en 2020[18]. Les submersions marines les plus marquantes des XXe et XXIe siècles antérieures à 2019 sont celles liées à la tempête du , à la tempête du , aux tempêtes Lothar et Martin des 26 et et à la tempête Xynthia des 27 et . D’une violence exceptionnelle, la tempête Xynthia a fortement endommagé le littoral de la Charente Maritime : douze personnes ont perdu la vie (essentiellement par noyade), des centaines de familles ont dû être relogées, et, sur un linéaire de l’ordre de 400 km de côte et de 225 km de défenses contre la mer, environ la moitié de ces ouvrages a subi des dommages plus ou moins importants. C’est environ 5 000 à 6 000 bâtiments qui ont été submergés et 40 000 ha de terres agricoles[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[20],[16].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Laurent-de-la-Prée.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 93,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 097 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 082 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011, 2017 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[16].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Toponymie modifier

Le nom de la commune provient de saint Laurent, à qui la paroisse avait été dédiée, ainsi que des prairies littorales identifiées sous le terme de prée.

Histoire modifier

Administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1953 Émilien Hillaireau (1902-1979)   Cultivateur
1953 mars 1971 Georges Martinaud   Médecin
mars 1971 mars 1977 Marcel Berton   Retraité
mars 1977 mars 1983 Fernand Joulin   Retraité de l'armée
mars 1983 mars 1989 Raymond Ménard (1926-2016)   Retraité de l'armée
mars 1989 mars 2001 Joseph Garreau[26] (1938-2015)   Assistant ingénieur INRA
mars 2001 juillet 2020 Raymond Minier (1951- ) DVD puis UDI Officier de réserve de la Marine nationale
juillet 2020 En cours Olivier Coche-Dequéant (1963- )   Ferronnier d'art, ancien adjoint

Région modifier

À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 2 271 habitants[Note 4], en augmentation de 9,66 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
690551590813863849918904883
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
936812821825864910950891831
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
835814820757800740746712841
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8368578481 0751 2561 3471 6211 6461 858
2015 2020 2021 - - - - - -
2 0712 2642 271------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

  • Sur la ligne Nantes-État - Saintes, l'ancien bâtiment en pierres de taille de la gare d'autrefois, a été réhabilité et transformé en logements.
  • Une halte ferroviaire a été construite et inaugurée le 26/8/2007 à proximité de cette ancienne gare, de part et d'autre du passage à niveau, pour la desserte cadencée TER Rochefort-La Rochelle.
  • L'intersection du 46e parallèle nord et du 1er méridien à l'ouest de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (voir aussi le Degree Confluence Project).

Les Pierres-Closes-de-Charras modifier

 
Le dolmen le mieux conservé.

Les Pierres-Closes-de-Charras sont deux dolmens situés à proximité du canal éponyme au lieu-dit l'Houmée. Il s'agit de sépultures remontant à l'époque néolithique (environ 5 000 ans) qui se trouvent dans un champ actuellement cultivé. Le monument le mieux conservé, situé en bordure du champ est encore complet. Il est constitué d'un bloc de calcaire creusé en forme d'auge et recouvert d'une table. Du second dolmen, au milieu du champ, distant d'une centaine de mètres du premier, il ne reste que d'importants fragments. Il était aussi en forme d'auge, mais sa table a été détruite en 1930 après avoir été transportée dans la ferme voisine de l'Houmée[31],[32].

Ces dolmens ont été classés aux monuments historiques en 1889 sous la référence Notice no PA00105196, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, sous le nom Deux Dolmens dit les Pierres Closes de Charras.

Ancienne laiterie coopérative modifier

 
Bâtiments de l'Ancienne laiterie coopérative.

La Société Coopérative de Saint-Laurent-de-la-Prée crée une laiterie industrielle en 1898 pour la fabrication de beurre. Vers 1909, un solide bâtiment est construit au bord de l'ancienne route RN 137 menant de Rochefort à la Rochelle. Dès le début, une porcherie et une caséinerie sont associées à cette nouvelle laiterie coopérative. Pour le fonctionnement à l'énergie thermique de l'usine, une cheminée en brique d'environ 15 mètres de hauteur, toujours présente aujourd'hui, est construite par une entreprise de Nantes.

Le site était desservi par un embranchement ferroviaire à partir de la voie ferrée traversant le village. Au début des années 1950, on y traitait 1 500 000 litres de lait par an pour la fabrication exclusive de beurre et de caséine. Avec une douzaine d'employés vers 1920, cette coopérative était une des plus petites des arrondissements de La Rochelle et Rochefort[33]. La laiterie cessa de fonctionner dans les années 1960. Le bâtiment est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Certains y voient une appartenance géographique au Midi de la France — en référence au « Midi atlantique » cher au géographe Louis Papy - ainsi Saint-Laurent-de-la-Prée comme le département de la Charente-Maritime peuvent être rattachés à deux grands ensembles géographiques, le Grand Sud-Ouest français et parfois le Grand Ouest français.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984, p. 21
  3. Carte IGN sous Géoportail
  4. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  6. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Unité urbaine 2020 de Saint-Laurent-de-la-Prée », sur insee.fr (consulté le ).
  8. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  13. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Laurent-de-la-Prée », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Un approfondissement des connaissances sur ces priorités : la cartographie des risques sur les TRI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « cartographie des risques d'inondations du TRI du littoral charentais-maritime », sur webissimo.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Laurent-de-la-Prée », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. a et b [PDF] « Liste des maires de la commune de Saint-Laurent-de-la-Prée »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur saintlaurentdelapree.fr, , p. 16.
  26. Michel Dupas, « Disparition de l’ancien maire Joseph Garreau », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Gabriel de Mortillet, Les monuments mégalithiques classés de la Charente et de Charente-Inférieure, vol. 7, Bulletins de la société d'anthropologie de Paris, , 1re éd. (lire en ligne), p. 126-127.
  32. plaquette d'information à l'entrée du site
  33. Encyclopédie laitière française. Angoulême : Ed. R. Cheminade, 1954. P. 148