Saint-Jeures

commune française du département de la Haute-Loire

Saint-Jeures
Saint-Jeures
Le bourg de Saint-Jeures vu du suc du Mounier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Yssingeaux
Intercommunalité Communauté de communes du Haut-Lignon
Maire
Mandat
André Dubœuf
2020-2026
Code postal 43200
Code commune 43199
Démographie
Population
municipale
972 hab. (2021 en augmentation de 1,04 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 49″ nord, 4° 12′ 21″ est
Altitude Min. 749 m
Max. 1 208 m
Superficie 34,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Yssingeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Boutières
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Jeures
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Saint-Jeures

Saint-Jeures, anciennement appelée Saint-Jeures-De-Bonas[1], est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

La commune se trouve dans une région anciennement volcanique. Elle est donc à proximité de nombreux sucs et en particulier du pic du Lizieux.

Localisation modifier

 
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Saint-Jeures se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 33 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[2], préfecture du département, à 10 km d'Yssingeaux[3], sous-préfecture, et à 10 km de Tence[4], bureau centralisateur du canton des Boutières dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Araules (2,6 km), Chenereilles (5,5 km), Mazet-Saint-Voy (6,3 km), Tence (7,0 km), Yssingeaux (8,2 km), Champclause (8,5 km), Le Chambon-sur-Lignon (8,6 km), Queyrières (8,8 km).

Communes limitrophes de Saint-Jeures
Grazac Lapte Chenereilles
Yssingeaux   Tence
Araules Mazet-Saint-Voy

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 029 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mazet-Volamont », sur la commune de Mazet-Saint-Voy à 6 km à vol d'oiseau[8], est de 7,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 975,0 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Jeures est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[I 2],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Yssingeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,6 %), prairies (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (23 %), zones urbanisées (1,8 %), eaux continentales[Note 5] (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 773, alors qu'il était de 763 en 2013 et de 748 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 52,4 % étaient des résidences principales, 38,6 % des résidences secondaires et 9,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,4 % des appartements[I 6].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Jeures en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (38,6 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,7 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

Le logement à Saint-Jeures en 2018.
Typologie Saint-Jeures[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
Résidences principales (en %) 52,4 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 38,6 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 9,1 12,4 8,2

Toponymie modifier

Parrochia S. Georgii (vers 1030)[15].

Ce nom de lieu dérive de l'occitan sant associé au nom de saint Georgius, écrit sous la forme Georius[15].

Histoire modifier

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de Mounier[16].

En 1876, la commune cède une portion de son territoire communal, avec également une contribution de celle de Tence, pour la création de la commune de Chenereilles[16].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune de Saint-Jeures est membre de la communauté de communes du Haut-Lignon[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Tence. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[17].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Yssingeaux, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Boutières pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[18].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
septembre 1830 janvier 1847 Joseph Alexandre Dumolin du Fraisse   Docteur en médecine
avant 1981 ? Gustave Argaud DVG  
mars 2001 mars 2014 Joseph Delolme    
mars 2014 En cours
(au 28 août 2014)
André Duboeuf[19]    

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 972 habitants[Note 6], en augmentation de 1,04 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 4611 7552 4862 6132 7582 6762 6502 9862 862
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6032 8712 9892 9402 7042 7202 6562 5932 672
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 6122 6322 5412 1201 9671 7931 6921 5041 277
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1641 059917775767782863886951
2018 2021 - - - - - - -
965972-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,8 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 511 hommes pour 454 femmes, soit un taux de 52,95 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,4 
5,3 
75-89 ans
8,4 
22,5 
60-74 ans
20,9 
20,5 
45-59 ans
22,2 
20,0 
30-44 ans
18,3 
11,9 
15-29 ans
10,1 
19,6 
0-14 ans
19,6 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2020 en pourcentage[I 12]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,4 
8,2 
75-89 ans
11,6 
20,2 
60-74 ans
20,2 
21,4 
45-59 ans
20,4 
16,9 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,3 
17,2 
0-14 ans
15,9 

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 427 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 1 010 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 170 [I 13] (20 800  dans le département[I 14]).

Emploi modifier

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 15] 4,8 % 7,6 % 4,9 %
Département[I 16] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 17] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 573 personnes, parmi lesquelles on compte 77,7 % d'actifs (72,8 % ayant un emploi et 4,9 % de chômeurs) et 22,3 % d'inactifs[Note 8],[I 15]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Yssingeaux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 18]. Elle compte 121 emplois en 2018, contre 111 en 2013 et 114 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 420, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,7 %[I 19].

Sur ces 420 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 85 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 86,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 5,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Bibliographie modifier

  • Jacques Raguet et Régis de Véron de La Combe, Violences aux Changeas (Saint-Jeures) au milieu du XVIIe siècle : in Cahiers de la Haute-Loire 2009, Le Puy-en-Velay, Cahiers de la Haute-Loire,
  • En janvier 2022, les habitants de Saint-Jeures se font connaître dans la presse nationale par un bien vilain trait. Mediapart, dans sa « Chronique de la haine ordinaire », épingle le racisme tenace qui règne à Saint-Jeures au point de ne pas hésiter à commettre un incendie criminel pour empêcher un nouvel arrivant de s'y installer.

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Métadonnées de la commune de Saint-Jeures » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Jeures » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Jeures - Section LOG T2 » (consulté le ).
  7. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Jeures - Section LOG T7 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Saint-Jeures » (consulté le ).
  11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Jeures (43199) », (consulté le ).
  12. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  13. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Jeures » (consulté le ).
  14. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  15. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Jeures » (consulté le ).
  16. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  17. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  19. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Jeures » (consulté le ).
  20. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  21. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. « Collection-jfm.fr | 43 haute loire : autres communes (43) », sur collection-jfm.fr (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jeures et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jeures et Yssingeaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jeures et Tence », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Saint-Jeures », sur villorama.com (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Saint-Jeures et Mazet-Saint-Voy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Mazet-Volamont », sur la commune de Mazet-Saint-Voy - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Mazet-Volamont », sur la commune de Mazet-Saint-Voy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), p. 1623
  16. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. « communauté de communes du Haut-Lignon - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  18. « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  19. Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 28 août 2014).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « Église paroissiale Saint-Georges », notice no IA43000062, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. « Temple », notice no IA43000163, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. « Château des Changheas », notice no PA43000009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « Château de Salcrupt », notice no PA43000002, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Menhir de Saint-Jeures », notice no PA00092931, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.