Saint-Jacques (Alpes-de-Haute-Provence)

commune française du département des Alpes-de-Haute-Provence

Saint-Jacques
Saint-Jacques (Alpes-de-Haute-Provence)
Cadran solaire à Saint-Jacques.
Blason de Saint-Jacques
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Castellane
Intercommunalité Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Alix Chaillan
2020-2026
Code postal 04330
Code commune 04180
Démographie
Population
municipale
76 hab. (2021 en augmentation de 20,63 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 13″ nord, 6° 22′ 33″ est
Altitude Min. 780 m
Max. 1 447 m
Superficie 4,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Digne-les-Bains
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Riez
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Jacques
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Saint-Jacques
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Saint-Jacques
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Saint-Jacques

Saint-Jacques (Sant Jaume en occitan provençal) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Saint-Jacquois[1] ou les San Jaumiers.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Saint-Jacques et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Saint-Jacques est village bâti sur un éperon à 800 m d’altitude[2], perché au-dessus de la vallée de l’Asse avec un panorama.

La commune la plus proche est Barrême (2 km), sur la route Napoléon.

Les communes limitrophes de Saint-Jacques sont Clumanc, Saint-Lions, Barrême et Chaudon-Norante.

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

Transports en commun modifier

Géologie modifier

Relief modifier

Le point culminant de la commune est le sommet Saint-Martin (1451 m).

Risques naturels et technologiques modifier

La commune de Saint-Jacques est exposée à trois risques naturels[3] :

  • feu de forêt,
  • inondation,
  • mouvement de terrain : plusieurs versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[4].

La commune de Saint-Jacques n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[5] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[5] ; le Dicrim existe depuis 2011[6].

Sismicité modifier

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barrême auquel appartient Saint-Jacques est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 888 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens à 12 km à vol d'oiseau[10], est de 9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 891,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,9 °C, atteinte le [Note 1],[11],[12].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[13]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Toponymie modifier

Le nom du village apparaît pour la première fois vers 1200 (castrum Sant Jacobi) ; il est nommé d’après saint Jacques le Majeur, sous sa forme occitane Jacme, qui a été francisée par la suite[15].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Jacques est une commune rurale[Note 2],[16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Digne-les-Bains, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (67,5 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), forêts (7,7 %)[21].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

Tourisme modifier

Commerces modifier

Un seul commerce est présent dans cette commune : un restaurant appelé Domaine d'Aiguines.

Histoire modifier

Auguste fait la conquête de la vallée des Asses en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en 14 av. J.-C.. Il est difficile de connaître le nom du peuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de la civitas dont Saint-Jacques dépendait au Haut-Empire : Eturamina (Thorame), ou Sanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle de Sanitensium, et à son diocèse, sont avérés avec la disparition de celle de Thorame[22]. La via salinaria ou via Vintinia, de Cagnes à Digne-les-Bains, et dont le tracé est presque intégralement connu de Vence à Digne, passait sur la commune[23].

Le village de Saint-Jacques est la possession d’une prévôté de moines augustins[24], attestée en 1108, installée à quelques centaines de mètres du village mais sur la même colline[23],[25]. Ce monastère prend la suite d’une église qui y aurait existé depuis le VIIIe siècle[23]. Le fief appartient aux Villeneuve du XVe siècle au milieu du XVIIIe siècle[24].

En 1570, pendant les guerres de religion, la prévôté des augustins est détruite sur ordre du gouverneur de Provence, le comte de Carcès, pour empêcher les protestants de s’y fortifier[25].

Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Jacques-lès-Barrême[26].

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1838 que le cadastre dit napoléonien de Saint-Jacques est achevé[27].

Héraldique modifier

  Blason
D'azur à un saint Jacques vêtu en pèlerin d'or[28],[29].
Détails
  Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945   Antoine Olivier[30]    
         
1977(?) 1983(?) Jules Daumas[31]    
avant 2005 mars 2008 Marc Olivier    
mars 2008 2014 Gilles Mistral[32]    
avril 2014 En cours
(au 21 octobre 2014)
Alix Chaillan[33] SE Agricultrice
Les données manquantes sont à compléter.

Budget et fiscalité 2016 modifier

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[34] :

  • total des produits de fonctionnement : 53 000 , soit 955  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 39 000 , soit 703  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 28 000 , soit 513  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 23 000 , soit 412  par habitant.
  • endettement : 10 000 , soit 176  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 6,90 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 6,19 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 23,91 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 17,17 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014[35].

Intercommunalité modifier

Saint-Jacques fait partie:

Urbanisme modifier

La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[36].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

En 2021, Saint-Jacques comptait 76 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2007, 2012, 2017, etc. pour Saint-Jacques). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

Évolution démographique
1315 1471 1765 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841
36 feux3 feux151150102135147206184190
1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
167151149158162162149142118110
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
100929184777164545557
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2021 - -
4838312939365676--
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ; population municipale depuis 2006
(Sources : Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[24], EHESS[37], Insee à partir de 1968[38],[39],[40])

L’histoire démographique de Saint-Jacques est marquée par la saignée des XIVe et XVe siècles.

Au XIXe siècle, Saint-Jacques arrive au bout d’un mouvement de croissance, et connait une période d’ « étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Ensuite, la commune est touché par l’exode rural : sa population décroît régulièrement, et 65 ans après le maximum démographique de 1831, elle a perdu plus de la moitié de sa population[41]. La baisse se poursuit jusqu’aux années 1980 ; depuis, Saint-Jacques a connu une inversion de tendance et a pratiquement doublé sa population.

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Comme de nombreuses communes du département, Saint-Jacques se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle possède déjà une école qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[42]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[43], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Saint-Lions[44] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Saint-Lions sont régulièrement scolarisées.

Santé modifier

Cultes modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux

Patrimoine civil

  • Four communal du XVIIIe siècle.
  • Fontaine avec lavoir ombragés de châtaigniers.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Roger Brunet, « Canton de Barrême », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
  2. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
  3. a et b Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
  4. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37
  5. a et b Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97
  6. Document, base Dicrim, consultée le 15 août 2012
  7. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), 2008, p. 39
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Saint-Jacques et La Mure-Argens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 3 : Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 195), , 1852 p. (lire en ligne)., § 28434, p 1621
  16. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
  23. a b et c Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p 412
  24. a b et c Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 195
  25. a b c et d Daniel Thiery, « Saint-Jacques », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 15 août 2012
  26. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 113
  27. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN 978-2-86004-016-7), p. 10.
  28. Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
  29. Dominique Cureau, « Moyen Verdon. 3 : Saint-Jacques », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  30. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  31. Jules Daumas est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Marie-France Garaud (RPR, candidate non officielle) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1049, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
  32. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013
  33. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  34. Les comptes de la commune
  35. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  36. Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Jacques », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  38. « Résultats du recensement de la population - Saint-Jacques », sur le site de l'Insee (consulté le )
  39. « Recensement de la population au 1er janvier 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  40. « Populations légales 2011 en vigueur le 1er janvier 2014 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  41. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
  42. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
  43. Labadie, op. cit., p. 16.
  44. Labadie, op. cit., p. 18.
  45. « église paroissiale Saint-Jacques », notice no IA04000342, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  46. « chapelle Saint-Joseph », notice no IA04000883, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture