Saint-Gilles-Vieux-Marché

commune française du département des Côtes-d'Armor

Saint-Gilles-Vieux-Marché
Saint-Gilles-Vieux-Marché
Le bourg et l‘étang de Poulancre.
Blason de Saint-Gilles-Vieux-Marché
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Communauté de communes Loudéac Communauté - Bretagne Centre
Maire
Mandat
Laurent Bertho
2020-2026
Code postal 22530
Code commune 22295
Démographie
Gentilé Saint-Gillois
Population
municipale
328 hab. (2021 en diminution de 4,37 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 14′ 38″ nord, 2° 58′ 23″ ouest
Altitude 200 m
Min. 110 m
Max. 311 m
Superficie 21,95 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Guerlédan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saint-gilles-vieux-marche.fr

Saint-Gilles-Vieux-Marché [sɛ̃ ʒil vjø maʁʃe] est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne, en France.

Ses habitants sont appelés les Saint-Gillois et les Saint-Gilloises.

Géographie modifier

Localisation modifier

Le village est situé à 6 km au nord de Mûr-de-Bretagne.

 
Carte de la commune de Saint-Gilles-Vieux-Marché et des communes avoisinantes.
Communes limitrophes de Saint-Gilles-Vieux-Marché
Saint-Martin-des-Prés Merléac
Saint-Mayeux   Le Quillio
Caurel Guerlédan

Topographie modifier

La commune possède un dense réseau de petits ruisseaux qui alimentent en eau plusieurs étangs : les étangs du Salle et du Baher, au nord, de Gourveaux au centre, de la Martyre à l'ouest et du Poulancre au sud. Le Poulancre, un cours d'eau long de 15 km, qui prend sa source au nord de la commune et se jette dans le Blavet au niveau de la section du canal de Nantes à Brest, a creusé au sud de la commune, en aval de l'étang du Poulancre, de profondes gorges dans des schistes très durs. Le bois de Quelennec occupe les terrains en pente situés dans le sud de la commune.

Cadre géologique modifier

 
Carte géologique du Massif armoricain.

Saint-Gilles-Vieux-Marché est situé au cœur du domaine centre armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui correspond à une structure s'allongeant sensiblement en direction W-E, depuis la baie de Douarnenez jusqu'au bassin de Laval. S'opposant aux bas plateaux littoraux méridionaux et septentrionaux, ce bassin sédimentaire est principalement constitué de schistes briovériens (sédiments détritiques essentiellement silto-gréseux issus de l'érosion du segment occidental de la chaîne cadomienne, accumulés sur plus de 15 000 m d'épaisseur et métamorphisés), formant un socle pénéplané sur lequel repose en discordance, dans sa partie orientale, des formations paléozoïques sédimentaires déformées lors de l'orogenèse varisque (plis d'orientation N 110° et plusieurs familles de failles d'orientations différentes)[1].

L'anticlinal Laniscat-Merléac, le synclinal de Saint-Gilles-Vieux-Marché, l'anticlinal briovérien de la forêt de Quénécan et le synclinal paléozoïque de Sainte-Brigitte font partie de ces plis hercyniens armant les crêtes appalachiennes de Bretagne[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 046 mm, avec 15,5 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Loudéac à 18 km à vol d'oiseau[6], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 922,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Habitat et paysages modifier

La commune présente un paysage agraire traditionnel de bocage avec un habitat dispersé.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Gilles-Vieux-Marché est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 1,1 % 25
Terres arables hors périmètres d'irrigation 45,4 % 1006
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 1,9 % 43
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 18,7 % 414
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 7,0 % 155
Forêts de feuillus 23,5 % 521
Forêts mélangées 2,4 % 54
Source : Corine Land Cover[15]

Toponymie, étymologie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Jairus en 1184, treffve du Vieulx Marché en 1535 et en 1536, Vieux Marché au XVIIIe siècle, Saint-Gilles-du-Vieux-Marché dès 1790.
De 1793 à l'an VIII, le nom est redevenu Vieux-Marché.
Un arrêté daté du fixe officiellement la forme définitive Saint-Gilles-Vieux-Marché[16].

Histoire modifier

Préhistoire et Antiquité modifier

La présence de plusieurs monuments mégalithiques (dolmens, menhirs) dans la région laisse penser que celle-ci était habitée dès le Néolithique.

Le presbytère de Saint-Gilles-Vieux-Marché occupait l'emplacement d'un ancien camp gallo-romain[18].

Moyen-Âge et Temps modernes modifier

Saint-Gilles-Vieux-Marché est un démembrement de l'ancienne paroisse de l'Armorique primitive de Plussulien, avant d'être ensuite une trève de Saint-Mayeux, dépendant du diocèse de Quimper, de la subdélégation de Quintin et du siège royal de Ploërmel[16].

Selon un aveu de 1471 la châtellenie de Corlay, un des trois membres de la vicomté de Rohan comprenait 12 paroisses ou trèves : « Corlé [Corlay] (résidence seigneuriale), Saint-Martin-des-Prés, Merléac, le Quilio, Saint-Mayeuc, Saint-Gilles-Vieux-Marché, Caurel, Laniscat, Saint-Guelven, Rosquelfen, Saint-Igeau, Plussulien »[19].

Des mottes féodales datant du XIe siècle ont existé à "Crémeur" ("grande côte" en breton ; des monnaies du duc Alain Fergent y ont été trouvées[16]), nom que portait alors la future localité, qui prit le nom de "Vieux-Marché", probablement en raison de l'essor des activités économiques : lin, chanvre et surtout métallurgie (une installation métallurgique comprenant un bas-fourneau, utilisant notamment le bois de la forêt de Poulancre, qui était alors plus étendue que de nos jours et le minerai de fer provenait d'un filon situé entre Gouarec et Uzel, a existé à la Martyre et à Poulancre à l’époque médiévale, avec notamment une fabrication de clous, qui était la plus importante de Bretagne) ; une fenderie[Note 2] fut installée à 150 mètres en aval du bas-fourneau[20].

Le château du Quélennec est possédé par la famille du Quélennec depuis au moins le XVe siècle. En 1431 Jean II du Quélennec est amiral de Bretagne et Jean IV du Quélennec lui succède dans cette charge en 1494. Charles II du Quelennec, dit "Soubise", fut baron du Pons et de Rostrenen ; il mourut assassiné dans la cour du Louvre lors de la nuit de la Saint-Barthélemy. Le château passe ensuite successivement aux mains des familles de Coëtquen, Le Métayer, et de Keranflec'h-Kernezne (à partir de 1825[Note 3]).

Les forges de Poulancre appartenaient au XVIIe siècle à la famille Doiseau (Doisseau ou Doysseau) qui construisit le manoir de Poulancre (Jacques Doiseau, maître des forges des forêts de Quénécan et de Poulancre acheta la forêt de Poulancre avec droit de prééminence dans la chapelle de Saint-Léon[21] ; la propriété des forges et du manoir passa par la suite (en raison du mariage d'héritières avec des hommes des familles citées) successivement aux familles Hay de Couelan (à partir de 1662), de Derval, de Saint-Pern (à partir de 1715), de La Lande de Calan (à partir de 1813), de Foucaud de Launay (à partir de 1847 ; Ludovic Foucaud de Launay fut député des Côtes-du-Nord en 1871-1872), de Kersaintgilly (à partir de 1907)[16].

Au XVIIe siècle le nom de famille "Burlot" (dérivé de "berlu", "digitale" en breton) fut attribué à de nombreux ouvriers travaillant dans la métallurgie locale en raison de leurs visages rougis en raison de leur travail. Ce nom de famille reste le plus fréquent dans la région[20].

Révolution française modifier

La commune, née en 1793, s'appelle d'abord "Gilles-Vieux-Marché" jusqu'au , date à laquelle un arrêté lui attribué le nom de "Saint-Gilles-Vieux-Marché" (au nom de l'ancienne trève est ajouté celui du saint patron de la paroisse, saint Gilles, afin de différencier la nouvelle commune de celle du Vieux-Marché)[22].

Le XIXe siècle modifier

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, indiquent que Saint-Gilles-Vieux-Marché est une ancienne trève de Saint-Mayeux, devenue succursale depuis le Concordat[23].

Les hameaux de Callac, Guermorvan, le Port, Belorient, Poulart, Kerjacob, la Cour, Kernormand, le Cosquer, le Quellenec, Resaudy, Marcoule et Kerlan, qui appartenaient à la commune de Merléac, sont annexés par celle de Saint-Gilles-Vieux-Marché (loi du )[16].

Joachim Gaultier du Mottay décrit ainsi Saint-Gilles-Vieux-Marché en 1862 :

« Territoire très tourmenté, présentant un nombre infini de vallées plus ou moins profondes dirigées dans tous les sens et arrosées par les ruisseaux de Poulancre, de Gourvaux et de la Martyre, et forment aussi des étangs. Sol passablement productif, boisé et planté de pommiers dans ses meilleures parties. L'église est dédiée à saint Gilles, dont le pardon a lieu le 1er dimanche de septembre. À l'occasion de cette fête, on conduit les petits enfants à l'église et on offre au saint, pour les garçons, un coq, et pour les filles, une poule[24] »

Vers 1870 deux carrières d'ardoises étaient exploitées à Pont-Dom-Jean (des traces d'exploitation remontent même au XVIe siècle)[25]. Le même auteur indique que l'école des garçons compte alors 32 élèves, mais n'indique pas d'école des filles.

L'église paroissiale Saint-Gilles est reconstruite de 1894 à 1896, l'ancienne église étant détruite en 1893[26].

Le XXe siècle modifier

La Belle Époque modifier

En 1902 une épidémie de fièvre typhoïde survnit dans les communes de Mûr-de-Bretagne, Caurel, Saint-Caradec, Saint-Gilles-Vieux-Marché et Saint-Guen[27].

La Première Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Saint-Gilles-Vieux-Marché porte les noms de 45 soldats morts pour la Patrie pendant la Première Guerre mondiale[28].

L'entre-deux-guerres modifier

Selon le témoignage d'Henri Gallais, il y aurait eu 22 « bistrots » à Saint-Gilles-Vieux-Marché vers 1930. Cet auteur décrit aussi la vie quotidienne dans la commune à cette époque[20].

Le un important incendie ravagea les gorges du Poulancre, atteignant le bois de Saint-Mayeux et menaçant plusieurs fermes[29].

La Seconde Guerre mondiale modifier

Le monument aux morts de Saint-Gilles-Vieux-Marché porte les noms de 10 personnes mortes pour la France durant la Seconde Guerre mondiale[28].

L'après-Seconde Guerre mondiale modifier

Un soldat (Paul Burlot) originaire de Saint-Gilles-Vieux-Marché est mort pour la France durant la guerre d'Indochine[28].

Politique et administration modifier

 
La mairie de Saint-Gilles-Vieux-Marché.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1813 1826 Alain Ollivier[Note 4]    
1826 1834 Charles Le Bréhu    
1834 1836 Esprit Le Demnat    
1836 1854 Joseph Le Clézio[Note 5]   Cultivateur.
1854 1859 Vincent Le Clézio[Note 6]   Cultivateur. Fils de Joseph Le Clézio, maire précédent.
1859 1876 Esprit Fraboulet[Note 7]   Propriétaire cultivateur.
1876 1884 Aimé Le Coidic[Note 8]   Propriétaire cultivateur.
1884 1899 Charles Joachim de Keranflech-Kernezne[Note 9]   Archéologue. Lieutenant de gardes mobiles. Président du conseil d'arrondissement de Loudéac.
1899 1900 Pierre Marie Le Dantec[Note 10]   Propriétaire cultivateur.
1900 1905 Mathurin Menguy[Note 11]   Laboureur.
1905   Hervé de Keranflech-Kernezne[Note 12] Droite Officier d'ordonnance. Capitaine de dragons. Conseiller général. Sénateur, puis député. Fils de Charles Joachim de Keranflech-Kernezne, maire entre 1884 et 1899.
         
         
mars 2001 mars 2014 Marie-Françoise de Saint-Pierre    
mars 2014 En cours Laurent Bertho DVD Agriculteur

Jumelages modifier

  Sarria (province de Lugo) (Espagne) depuis 1998[30]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 328 habitants[Note 13], en diminution de 4,37 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8017626346098058148421 1741 172
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0561 0521 0701 0091 0409989741 0151 054
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0361 0441 0531 005872850785720644
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
595543449415324302315328351
2021 - - - - - - - -
328--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Saint-Gilles-Vieux-Marché a perdu 75 % de sa population entre 1851 et 1999, passant de 1 172 à 301 habitants entre ces deux dates.

Événements modifier

  • La commune de Saint-Gilles-Vieux-Marché est un « village fleuri, quatre fleurs ».

Économie modifier

  • Exploitations agricoles.
  • Commerces.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Gilles, XIXe siècle.
  • Le château du Quellenec, XVIIIe siècle.
  • Le manoir de Poulancre, XVIIe siècle.
  • La chapelle Saint-Yves, datant initialement de 1565 ou 1585, elle a été reconstruite au XVIIIe siècle (située au hameau de Coët-Dreno) ; son retable date du XVIIIe siècle ; la chapelle possède plusieurs statues de saint Yves.
  • Menhir de Callac classé au titre des monuments historiques en 1974[35].
  • Les anciens moulins à farine du Bois[36] et de Gourveau[37]

Patrimoine naturel modifier

  • La vallée du Poulancre[38], classée site Natura 2000[39], avec sa gorge creusée dans des schistes durs du Dévonien[40], ses étangs (étang de Gourveaux au nord, étang de la Martyre à l'ouest, étang de Poulancre au sud, lieu de pêche fréquenté[41]) et son manoir éponyme[42] sont situés au sud du finage communal.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Atelier de travail constituant l’ancêtre des actuels laminoirs.
  3. En raison du mariage de Sidonie de Kernezne avec Charles Marie de Keranflec'h, né le à Saint-Brieuc.
  4. Alain Ollivier, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché, décédé le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
  5. Joseph Le Clézio, né le à Saint-Guen, décédé le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
  6. Vincent Le Clézio, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
  7. Esprit Fraboulet, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
  8. Aimé Le Coidic, né vers 1821 à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
  9. Charles Joachim de Keranflech-Kernezne, né le à Guingamp, décédé le au château du Quélennec en Saint-Gilles-Vieux-Marché.
  10. Pierre Marie Le Dantec, né le à Saint-Gilles-Vieux-Marché, décédé en 1909.
  11. Mathurin Menguy, né le à Saint-Mayeux, décédé le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
  12. Hervé de Keranflech-Kernezne, né le à Nantes, décédé le à Saint-Gilles-Vieux-Marché.
  13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. Yann Brekilien (dir.), La Bretagne, Éditions d'Organisation, , p. 35-39.
  2. Hubert Lardeux, Bretagne, Masson, , p. 111-115.
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  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Gilles-Vieux-Marché et Loudéac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Loudeac » (commune de Loudéac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Loudeac » (commune de Loudéac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  16. a b c d e et f infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Saint-Gilles-Vieux-Marché ».
  17. « Histoire de la commune de Saint-Gilles-Vieux-Marché », sur fr.topic-topos.com (consulté en ).
  18. Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord, (lire en ligne), page 803.
  19. Théodore Derome, « De l'usement de Rohan ou du domaine congéable », Revue critique de législation et de jurisprudence,‎ , p. 257-258 (lire en ligne, consulté le ).
  20. a b et c « Saint-Gilles-Vieux-Marché. Historique », sur saint-gilles-vieux-marche.fr (consulté le ).
  21. René Kerviler, Répertoire général de bio-biographie bretonne, 1886-1908 (lire en ligne), page 215.
  22. « Notice communale. Saint-Gilles-Vieux-Marché », sur cassini.ehess.fr (consulté le ).
  23. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 757.
  24. Joachim Gaultier du Mottay, Géographie départementale des Côtes-du-Nord, (lire en ligne), pages 802 et 803.
  25. « Ardoisières de Pont-Dom-Jean (Saint-Gilles-Vieux-Marché) », sur L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne, (consulté le ).
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  30. « Les Villes Jumelées avec St Gilles Vieux Marche », sur jumelage.xyz (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. « Menhir de Callac », notice no PA00089628, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Moulin à farine du Bois, actuellement maison (Saint-Gilles-Vieux-Marché) », sur L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne, (consulté le ).
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  39. Forêt de Quenecan, vallée du Poulancre, landes de Liscuis et gorges du Daoulas
  40. http://pinpinonline.online.fr/dotclear/index.php/2007/07/31/84-les-gorges-de-poulancre
  41. http://www.federation-peche22.com/No54-Etang-de-Poulancre.html
  42. http://fr.topic-topos.com/manoir-de-poulancre-saint-gilles-vieux-marche