Saint-Front (Charente)

commune française du département de la Charente

Saint-Front
Saint-Front (Charente)
L'église Saint-Front et le monument aux morts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Sébastien Charriaud
2020-2026
Code postal 16460
Code commune 16318
Démographie
Population
municipale
361 hab. (2021 en diminution de 1,63 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 41″ nord, 0° 17′ 24″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 120 m
Superficie 13,35 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Front
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Saint-Front
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Saint-Front

Saint-Front est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

La commune de Saint-Front est située au nord-est de la Charente, à 9 km à l'est de Mansle et 29 km au nord d'Angoulême, sur la route de Mansle à Saint-Claud.

Le bourg de Saint-Front est aussi à 5 km au nord de Saint-Angeau, 8 km à l'ouest de Cellefrouin, 14 km à l'ouest de Saint-Claud, 15 km au sud-ouest de Champagne-Mouton et 17 km au sud-est de Ruffec[1]; il étage ses maisons sur les flancs de la colline qui domine la vallée du Son-Sonnette.

La route de Mansle à Cellefrouin et Saint-Claud, la D 739, parcourt le sud de la commune et passe à 1,5 km du bourg. La route d'Aunac à Chasseneuil, la D 27, traverse la commune du nord-ouest au sud-est et dessert le bourg de Saint-Front et l'important hameau de Romefort; enfin la route de Valence à Couture, la D 26, dessert l'angle nord-est de la commune[2].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hameaux et lieux-dits modifier

Le principal centre de population est le hameau de Romefort, situé dans le sud de la commune. Parmi les autres hameaux, on peut citer : Chez Pacaud, Sonne, les Amborderies, le Couvent, le Chatelard près de la route d'Aunac ; le Bourdelais dans l'ouest ; Saint-Germain, le Sablon, le Coq, Bois Négrier sur la rive droite du Son-Sonnette ; le Cluzeau, la Négraudrie, Loubarière, Chez Bouty sur la rive gauche du Son-Sonnette ; le Pont, Mortagne près du bourg ; Chez Tête, Chanteloube, Anguinlais dans le nord ; La Grosbauche, Morte Font dans le nord-est près de la route de Valence-Couture ; Le logis de Romefort, la Brousse et Chez Cornu au sud de la D 739, etc.[2],[3].

Communes limitrophes modifier

Géologie et relief modifier

Le sol de la commune est constitué de calcaire datant du Jurassique moyen (Callovien). Les plateaux au nord de la commune sont couverts d'argile rouge et altérite datant du Tertiaire. Au sud de la vallée du Son-Sonnette, on trouve des grèzes et dépôts de sable argileux datant du quaternaire (glaciation de Riss). La vallée du Son-Sonnette elle-même est occupée par des alluvions récentes[4],[5],[6],[7].

Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 100 m traversé par la vallée est-ouest du Son-Sonnette. Le point culminant de la commune est à une altitude de 120 m, situé près de la limite nord-est et la Grosbauche. Le point le plus bas est à 66 m, situé le long du Son-Sonnette sur la limite ouest. Le bourg, surplombant la vallée, est à 90 m d'altitude[2].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Tiarde, qui constituent un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La commune est parcourue de l'est à l'ouest par la rivière le Son-Sonnette, affluent de la Charente, qui coule au fond d'une vallée étroite, et limitée à l'ouest par un de ses affluents, le ruisseau de la Tiarde[2].

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Front est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,2 %), zones agricoles hétérogènes (15,5 %), prairies (10,7 %), forêts (4,5 %), zones urbanisées (0,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Front est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Front.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 198 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 121 sont en aléa moyen ou fort, soit 61 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie modifier

Une forme ancienne est Sanctus Fronto (non datée, Moyen Âge)[22].

Saint Front était le premier évêque de Périgueux, au IIIe ou IVe siècle[23],[Note 2].

Limite dialectale modifier

Selon Tourtoulon et Terracher, la commune se trouvait encore au XIXe siècle dans la partie occitane de la Charente qui en occupe aujourd'hui le tiers oriental, et son dialecte était marchois[24]. Elle se nomme Sent Front en occitan[25].

Histoire modifier

Près du hameau de Saint-Germain, sur la rive droite du Son-Sonnette, on a découvert, en 1896, un ancien cimetière, datant probablement de l'époque mérovingienne[26]. Chaque sarcophage était recouvert d'une longue pierre, plate en dessous et bombée en dessus[27].

Le hameau du Bourdelais était, au Moyen Âge, le siège de deux fiefs, qui paraissent avoir été réunis vers la fin du XVIe siècle. L'un de ces fiefs relevait de la seigneurie d'Aunac et l'autre de la seigneurie de Tourriers.

Vers la fin du XVe siècle, le premier de ces fiefs avait pour possesseur Pierre Clerc, écuyer. En 1516, le fils de Pierre Clerc, Michau Clerc le céda à Hélie Mangon, seigneur d'Andreville, en échange d'une maison et d'un mas de terre dans la châtellenie de Jarnac. Des difficultés s'élevèrent à propos de cet échange. Elles ne furent aplanies qu'en 1538 par une transaction qui remit Michau Clerc et ses héritiers en possession de la seigneurie du Bourdelais.

À la même époque, en 1497, le Petit Bourdelais, qui dépendait de la seigneurie de Tourriers, appartenait à la famille de Moulinais, famille apparentée à la famille Clerc. Les Moulinais conservèrent la seigneurie du Petit Bourdelais pendant près d'un siècle (1583).

C'est vraisemblablement vers cette époque que les deux fiefs furent réunis en un seul. En effet, en 1583, Hercule Jay n'était que sieur du Petit-Bourdelais, alors que six ans plus tard, il portait le titre de seigneur du Bourdelais[Note 3].

La maison noble du Bourdelais comprenait notamment une grosse tour carrée, qui a été détruite dans le dernier quart du XIXe siècle. Cette tour avait été édifiée par Hercule Jay en 1589[27].

Au XVIIIe siècle, le Bourdelais est passé par mariage en 1713 aux Bouchard d'Esparbès de Lussan, seigneurs d'Aubeterre, puis par vente en 1790 à Jacques Coudert, négociant en tissus de Ruffec[28].

Au début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était encore représentée par un petit moulin.

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Confolens par Saint-Angeau appelée le Petit Mairat[27].

Administration modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2004 Daniel Bouchaud    
2004 2008      
2008 2014 Marcel Goyer PS Agent SNCF
2014 En cours Sébastien Charriaud SE Ouvrier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 361 habitants[Note 4], en diminution de 1,63 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
558658708708791859869857808
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
719739736760762701661623587
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
589588548549544475460447390
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
408378372301315319322344367
2020 2021 - - - - - - -
364361-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 46,7 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 161 hommes pour 206 femmes, soit un taux de 56,13 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
5,6 
90 ou +
10,6 
13,8 
75-89 ans
21,3 
23,2 
60-74 ans
18,1 
21,4 
45-59 ans
15,2 
15,8 
30-44 ans
13,2 
10,1 
15-29 ans
9,3 
10,1 
0-14 ans
12,3 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Agriculture modifier

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[35].

Équipements, services et vie locale modifier

Enseignement modifier

L'école est un RPI entre Saint-Front et Valence. Saint-Front et Valence accueillent chacune une école élémentaire[36]. Les élèves de cycle 2 (GS- CP-CE1) sont scolarisés à Saint-Front, ceux de cycle 3 (CE2-CM1-CM2) le sont à Valence. Depuis 2008, ce RPI s'appelle Célestin-Freinet, en hommage à ce grand pédagogue du XXe siècle, dont s'inspirent les enseignants de cette école dans leur pratique de classe.

Le secteur du collège est Mansle[36].

Lieux et monuments modifier

 
L'intérieur de l'église.

L'église paroissiale Saint-Front, des XIIe et XIIIe siècles, et XIVe et XVe siècles, présente une particularité qui se retrouve dans de nombreuses églises du Moyen Âge ; une partie en est déviée pour représenter le geste du Christ inclinant la tête sur ses épaules au moment de sa mort. Elle est inscrite aux monuments historiques le [37].

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Vénéré en Aquitaine, il a donné aussi son nom à quatre communes de Dordogne (Saint-Front-sur-Nizonne, Saint-Front-d'Alemps, Saint-Front-de-Pradoux, Saint-Front-la-Rivière), une de Lot-et-Garonne (Saint-Front-sur-Lémance) et une de Haute-Loire (Saint-Front).
  3. La carte IGN indique cependant que la moitié sud-ouest du Grand Bourdelais est sur la commune de Mouton.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Front » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  2. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  3. Service de consultation du cadastre
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le )
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ruffec », sur Infoterre, (consulté le )
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  9. « Fiche communale de Saint-Front », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
  10. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  12. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Front », sur Géorisques (consulté le )
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Front », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  22. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 176
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 599.
  24. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  25. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le )
  26. Nécropoles mérovingiennes
  27. a b et c Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 329-330
  28. Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 662
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Front (16318) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  35. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
  36. a et b Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
  37. « Église Saint-Front », notice no PA00104500, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier