Saint-Aubin-sur-Mer (Calvados)

commune française du département du Calvados

Saint-Aubin-sur-Mer
Saint-Aubin-sur-Mer (Calvados)
La mairie.
Blason de Saint-Aubin-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Nacre
Maire
Mandat
Alexandre Berty
2020-2026
Code postal 14750
Code commune 14562
Démographie
Gentilé Saint-Aubinais
Population
municipale
2 139 hab. (2021 en diminution de 11,54 % par rapport à 2015)
Densité 706 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 45″ nord, 0° 23′ 19″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 30 m
Superficie 3,03 km2
Unité urbaine Luc-sur-Mer
(ville-centre)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Courseulles-sur-Mer
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web saintaubinsurmer.fr

Saint-Aubin-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 2 139 habitants[Note 1] (les Saint-Aubinais).

Station balnéaire de la Côte de Nacre, elle est surnommée « la Reine de l'iode »[1].

Géographie modifier

La commune est une station balnéaire de la Côte de Nacre. Son bourg est à 5 km au nord-ouest de Douvres-la-Délivrande, à 18 km au nord de Caen et à 27 km à l'est de Bayeux.

Le point culminant (30 m) se situe en limite sud, dans la moitié rurale du territoire.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 661 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernières-sur-Mer à 2 km à vol d'oiseau[6], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

 
Entrée de la commune.

Saint-Aubin-sur-Mer est une commune urbaine[Note 2],[10]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Luc-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[13] et 9 701 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[18]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[19],[20].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,1 %), zones urbanisées (38,6 %), zones humides côtières (1,3 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Créée en 1851, la commune a pris le nom de la paroisse dédiée à Aubin d'Angers.

La "Rue-de-la-Mer" était un hameau de la commune[22].

Histoire modifier

Origines modifier

 
Au Haut-Empire romain, Saint-Aubin-sur-Mer fait partie du territoire de la cité des Baiocasses.

L'occupation du site est très ancienne, comme en témoignent les vestiges archéologiques retrouvés sur son territoire dont la déesse-mère de Saint-Aubin-sur-Mer.

Une fortification existait au lieu-dit le Castel. Sur ordre du roi Charles V, le bailli de Caen la fit réparer en 1371 pour la mettre en état de résister aux attaques des Anglais.

Jusqu'en , Saint-Aubin faisait partie de la commune de Langrune[23],[24]. À l'époque de sa création, on recensait 1 153 habitants à Saint-Aubin et 1 129 à Langrune. Puis la population de Saint-Aubin a décliné dans la deuxième partie du XIXe siècle ; en 1901, il n'y avait plus que 727 habitants[24]. En , l'ouverture de la gare de Saint-Aubin-sur-Mer sur la ligne de Caen à la mer permit le développement d'une station balnéaire. À partir de 1901, l'évolution démographique se fit à nouveau positive ; en un demi-siècle, sa population a plus que doublé[24].

Le débarquement modifier

Saint-Aubin-sur-Mer est localisée à l'extrémité orientale du secteur Nan de Juno Beach, Nan Red, un des sites de débarquement du Jour J.

C'est un groupe de la 8eme brigade d'infanterie canadienne qui était chargée de sa libération. La 5eme compagnie du Génie canadien était affectée à la neutralisation des engins explosifs des obstacles de la plage; elle était aussi chargée d'ouvrir des voies,

L'infanterie du Royal North Shore régiment a débarqué à cet endroit avec le soutien des chars DD du 10ème régiment blindé Fort Garry Horse, des canons autopropulsés du 19eme régiment d'artillerie de campagne et des mitrailleuses et mortiers d'un peloton du Cameron Highlanders of Ottawa. De son côté, le 48e commando britannique des Royal Marines, sous commandement canadien, assisté par les blindés du 22nd Dragoons, atteignit la plage de Saint-Aubin-sur-Mer d’où il prit pied pour commencer l’assaut sur Langrune, qui ne fut libérée qu’après de violents combats et des pertes sévères.

L'emplacement fortifié de Saint-Aubin n'a pas été trop touché par le bombardement préliminaire.

Défendant le nid de résistance de Saint-Aubin, le canon antichars de 50 mm, sous casemate, a causé de graves difficultés dans les premières phases de l'assaut. Il a mis hors de combat les premiers chars DD à arriver sur place, mais par la suite trois autres blindés l'ont réduit au silence. Les quelque 70 douilles d'obus vides trouvées autour de son emplacement témoignent de la détermination de ses servants.

La zone était nettoyée dès 11 h 15, quatre heures après le débarquement, mais les tirs isolés n'ont pas, alors, cessé et les occupants de l'emplacement fortifié ne se sont définitivement rendus qu'à 18 h.

Environ 100 soldats allemands étaient en garnison en ville et ils opposèrent une lourde résistance sur la plage et dans la ville pendant que les Canadiens attaquaient vers l'intérieur des terres.

Des civils périrent également ce jour-là dans les combats, leur mémoire est honorée avec celle des soldats canadiens et britanniques sur un monument situé près de la plage.

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

 
Le monument aux morts.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
ca. 1914   Henri Pillier    
? mai 1935 Georges Pepineaux    
mai 1935 1946
(démission)
M. Roy   Ancien gendarme
1946 avril 1968 Eugène Mériel   Instituteur, directeur du collège technique de Douvres-la-Délivrande
avril 1968 avril 1975
(démission)
Paul Roy   Colonel, maire honoraire
Commandeur de la Légion d'honneur
avril 1975 juin 2007
(démission)
Pierre Letellier UDF-PR Principal clerc de notaire puis agent immobilier
Conseiller général de Douvres-la-Délivrande (1988 → 2001)
juin 2007 avril 2014 Jean-Alain Tranquart SE Retraité de l'Éducation nationale
avril 2014[25] mai 2020 Jean-Paul Ducoulombier DVG Cadre supérieur retraité
7e vice-président de la CC Cœur de Nacre (2014 → 2020)
mai 2020[26] En cours Alexandre Berty SE Professeur de lycée professionnel
8e vice-président de la CC Cœur de Nacre (2020 → )

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[26].

La commune est membre de la communauté de communes Cœur de Nacre, avec deux représentants.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1851. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 2 139 habitants[Note 4], en diminution de 11,54 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
1 1531 1361 0921 051949913873867847
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
7367277687907849771 0171 0101 669
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006
1 2311 0061 0531 1891 4461 5261 8101 8471 851
2010 2015 2020 2021 - - - - -
2 1542 4182 1622 139-----
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Saint-Aubin-sur-Mer fait partie de l'unité urbaine de Douvres-la-Délivrande - Luc-sur-Mer, formée par les communes de Bernières-sur-Mer, Douvres-la-Délivrande, Langrune-sur-Mer, Luc-sur-Mer et Saint-Aubin-sur-Mer[30].

Économie modifier

Une trentaine de petites entreprises (commerces, services, artisanat…) animent l'activité économique de la commune. La plus emblématique est le Casino, auquel est adjoint une salle de cinéma. Sur le plan touristique, outre le camping de la Côte de Nacre, l'hébergement est assuré par les trois hôtels-restaurants (le Saint-Aubin, l'hôtel de Normandie et le Clos normand). Une petite dizaine de restaurants sont à même de satisfaire les besoins des résidents et des touristes de passage. Deux agences immobilières et une douzaine d'artisans du bâtiment sont présents, dans un contexte d'urbanisation continue (zone d'habitat pavillonnaire de l'agglomération caennaise et résidences secondaires des estivants). Le marché se tient tous les jeudis et dimanches matin, sur la place de la Gare[31].

Lieux et monuments modifier

Outre les monuments aux morts de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, plusieurs lieux méritent l'attention :

Activité culturelle et manifestations modifier

Label modifier

La commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[32].

Sports modifier

  • L'Entente sportive saint-aubinaise fait évoluer une équipe de football en division de district[33].
  • Le tennis club de Saint-Aubin-sur-Mer (TCSA), créé en 1894, avec sept terrains en terre battue.

Jumelages modifier

Manifestations modifier

  • Le , dépôts de gerbes et commémorations conjointe de Saint-Aubin et Langrune du Jour J, sur la plage Nan Red autour des derniers survivants du débarquement à Juno Beach.
  • Tous les ans (depuis 2006), autour du , se déroule un festival intitulé La Semaine acadienne. Offrant un programme composé de concerts de groupes acadiens, d’un bal, d’expositions, de conférences, de projections de documentaires, etc. ; ce festival entend ainsi rendre tout d’abord hommage aux soldats acadiens du North Shore regiment du Nouveau-Brunswick qui, en débarquant sur cette plage le , la libérèrent du joug allemand, mais également célébrer la culture, la vitalité de ce peuple acadien si éloigné par la distance mais si proche par la langue et l’histoire.
  • Festival des libertés de la presse depuis mai 1994.

Saint-Aubin-sur-Mer et le cinéma modifier

Personnalités liées à la commune modifier

 
Villa personnelle de Jean Fayeton.
  • Jean-Baptiste Couture (1651 à Saint-Aubin - 1728), professeur au Collège royal, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres.
  • Hector Malot (1830-1907) romancier, a séjourné à Saint-Aubin ; il y a placé l'action de son roman Cara ainsi qu'à Tailleville.
  • Émile Zola (1840 - 1902), écrivain, a séjourné à Saint-Aubin du au , pour la santé de sa femme Alexandrine. Il y termina Son Excellence Eugène Rougon et commença celle de L'Assommoir, roman qui allait asseoir sa notoriété[35].
  • Gustave Canet (Belfort, - Saint-Aubin, ), commandeur de la Légion d'honneur, ingénieur d'École centrale, inventeur du canon Canet, conseiller municipal de Saint-Aubin, bienfaiteur de la commune. Il possédait sur la digue la villa La Tourelle détruite en 1944. Il y est mort en 1908.
  • Gustave Courbet, a peint en 1867, "Les enfants du pêcheur" dit aussi 'Marine" ou "La Plage de Saint Aubin sur Mer" - Musée Thyssen-Bornemisza de Madrid.
  • Louis Pasteur (1822-1895) séjourna plusieurs années dans la station balnéaire[36],[37].
  • Léon Lecornu (1854 - 1940 à Saint-Aubin-sur-Mer), ingénieur et physicien. Il épouse en 1882 à Saint-Aubin-sur-Mer Henriette Favreau, la fille de Léon Favreau plusieurs fois maire de la commune. Léon Lecornu habitait la Romillonne, maison actuellement située rue du Maréchal-Foch.
  • Lucy Arbell (1878-1947), cantatrice, de son vrai nom Georgette Wallace, y possédait, sur la digue, la villa La Favorite qui existe toujours. Le compositeur Jules Massenet (1842-1912) lui rendit fréquemment visite.
  • Watson, chansonnier, tenait un cabaret à Paris et un autre établissement, « le Watson », à Saint-Aubin.
  • Maurice Duclos (1906-1981), dit Saint Jacques, débarqué le par une vedette de la Royal Navy, à Saint-Aubin où il a des attaches familiales. Il fut le premier officier à être envoyé par le général de Gaulle en zone occupée pour y organiser la résistance ; il jette les bases du réseau Saint-Jacques, le premier et l'un des plus importants réseaux de la Résistance ; compagnon de la Libération, officier de la Légion d'honneur, officier de l'Empire britannique.
  • Alexandre Beresnikoff (1908-1996) dit "Corvisart" qui débarque à Saint Aubin le avec Maurice Duclos.
  • Le maréchal Pierre Kœnig (1898-1970) était citoyen d'honneur de Saint-Aubin[pourquoi ?] et lui a offert un livre d'or.
  • Jean-Louis Fayeton (1908-1968), architecte et ingénieur, diplômé de l'École centrale. On lui doit notamment le pont d'Aquitaine à Bordeaux. Il séjourna à Saint-Aubin pendant plusieurs années, il possédait une villa qu'il avait construite sur la digue.
  • Michel Hug (1930-2019) Ingénieur des Ponts et Chaussées, y possédait une villa;acteur majeur de la filière nucléaire française en tant que directeur de l'Equipement d'EDF de 1972 à 1982.
  • Jean Lemonnier (né en 1950 à Saint-Aubin), sculpteur, peintre officiel de la Marine titulaire en 2012.
  • Olivier Mériel (né en 1955 à Saint-Aubin-sur-Mer), photographe.
  • Scholastique Mukasonga (née en 1956), écrivain, lauréate du prix Renaudot 2012 pour Notre-Dame du Nil, est alors installée à Saint-Aubin-sur-Mer[38].

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

D’azur aux trois colonnes d'argent à chapiteau corinthien surmontées de trois coquilles du même et mouvant d'une mer de sinople[39].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Petit futé Normandie, Nouvelles Éditions de l'Université, (lire en ligne), p. 183
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Saint-Aubin-sur-Mer et Bernières-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bernieres » (commune de Bernières-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Bernieres » (commune de Bernières-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Luc-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  19. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 246.
  23. Collection complète des lois, décrets, ordonnances, règlements et avis du Conseil d'État, 1851, p. 282 [lire en ligne]
  24. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Saint-Aubin-sur-Mer (14750) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. a et b « Municipales à Saint-Aubin-sur-Mer. Alexandre Berty élu maire et ses cinq adjoints nommés », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Liste des unités urbaines officielles en France avec les villes les composant, disponible en téléchargement au format texte (Insee)
  31. « Secteurs d'activités et commerces de la commune », sur Mairie de Saint-Aubin-sur-Mer (consulté le ).
  32. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  33. « Site officiel de la Fédération française de football – Ent. S. St-Aubinaise. » (consulté le ).
  34. a et b Jalouse, Magazine Jalouse no 32 de 2002
  35. [doc] « Comptoir littéraire - André Durand présente Émile Zola » (consulté le ). Page 36.
  36. « Louis Pasteur séjourna dans la commune », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  37. Louis Pasteur, Correspondance de Pasteur, 1840-1895. 4 / réunie et annotée par Pasteur Vallery-Radot,..., Paris, Flammarion, 1940-1951 (lire en ligne)
  38. « Ouest-france.fr - Le Prix Renaudot décerné à la Normande Scholastique Mukasonga » (consulté le ).
  39. « GASO, la banque du blason - Saint-Aubin-sur-Mer Calvados »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier