Saint-Arnoult-des-Bois

commune française du département d'Eure-et-Loir

Saint-Arnoult-des-Bois
Saint-Arnoult-des-Bois
Église Saint-Arnoult, vue de la route de Billancelles.
Sur la droite, le lit à sec du Coisnon.
Blason de Saint-Arnoult-des-Bois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité CC Entre Beauce et Perche
Maire
Mandat
Bertrand de Lacheisserie
2023-2026
Code postal 28190
Code commune 28324
Démographie
Gentilé Saint-Arnolphiens
Population
municipale
887 hab. (2021 en diminution de 0,45 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 36″ nord, 1° 15′ 50″ est
Altitude Min. 163 m
Max. 247 m
Superficie 20,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Illiers-Combray
Législatives 4e circonscription d'Eure-et-Loir
Localisation
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Saint-Arnoult-des-Bois
Liens
Site web https://saintarnoultdesbois.fr/

Saint-Arnoult-des-Bois est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie modifier

Situation modifier

 
Localisation de la commune dans son arrondissement.

Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

La commune est traversée par la vallée du Coisnon[Note 1], affluent en rive gauche de l'Eure donc de la Seine, dont la confluence est à Saint-Luperce, ainsi que par la vallée du Petit Coisnon.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Thimert », sur la commune de Thimert-Gâtelles à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 634,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Arnoult-des-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), forêts (3 %), zones urbanisées (1,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

On peut citer : La Charmoie, Goinville, Besnez, Chigneaux, les Rostys, le Tronchay, le Brosseron, le Breuil Saint-Nicolas, Fleurfontaine.

Habitat et logement modifier

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 400, alors qu'il était de 382 en 2015 et de 367 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 87,4 % étaient des résidences principales, 6,3 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Arnoult-des-Bois en 2020 en comparaison avec celle d'Eure-et-Loir et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (6,3 %) supérieure à celle du département (5,8 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 89,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (90,8 % en 2015), contre 66,2 % pour d'Eure-et-Loir et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Saint-Arnoult-des-Bois en 2020.
Typologie Saint-Arnoult-des-Bois[I 1] Eure-et-Loir[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,4 85,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 6,3 5,8 9,7
Logements vacants (en %) 6,3 8,9 8,2

Voies de communication et transports modifier

La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Courville-sur-Eure, desservie par des trains du réseau TER Centre-Val de Loire reliant Paris-Montparnasse ou Chartres et Le Mans ou Nogent-le-Rotrou.

Risques naturels et technologiques modifier

Le territoire de la commune de Saint-Arnoult-des-Bois est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vallée. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1996 et 1999[15],[13].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Arnoult-des-Bois.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 77,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 414 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 413 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme Sanctus Arnulfus en 1218[18], Saint-Arnoult-des-Bois en 1801[19].

Saint-Arnoult est un hagiotoponyme. Saint Arnoul : martyr au diocèse de Reims, vivait au VIe siècle. Il voulait être enterré à Tours mais au cours du voyage, on du laisser le corps dans la Forêt d'Yveline. Cela explique l’existence du bourg de Saint-Arnoult (Yvelines)

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

Geoffroy de Lèves, évêque de Chartres de 1115 à 1149, donne avec son frère Gosselin de Lèves [Note 4], seigneur de Lèves, sur leurs terres familiales[20],[21]., en 1117 pour la fondation de l'abbaye Notre-Dame de Josaphat, les cures de Saint-Arnoult-des-Bois et de Saint-Martin d'Orouër, et d'autres terres dans le Perche[22]

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Chartres du département d'Eure-et-Loir.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Courville-sur-Eure[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Illiers-Combray

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription d'Eure-et-Loir.

Intercommunalité modifier

Saint-Arnoult-des-Bois était membre de la communauté de communes du pays Courvillois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Entre Beauce et Perche, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[23]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1800 1815 Pierre Louis Fiacre Desvaux    
1815 1837 Louis Garnon    
1837 1852 Charles Michel Cabaret    
1852 1870 André Mathurin Petit    
1870 1872 Maximilien Nicolas Bouchet    
1872 1876 Alexandre Éloi Guyet    
1876 1884 Émile Séverin Fauquet    
1884 1895 Jacques Zacharie Legrand    
1895 1896 François Hippolyte Secouet    
1896 1900 Émile Séverin Fauquet    
1900 1904 François Hippolyte Secouet    
1904 1919 Émile Alcide Legrand    
1919   Dieudonné Eugène Émile Decourtye    
1932   Léon Honoré Gaubert    
1935   Jules Pierre Paul Martin    
1940   Camille Ernest Pipereau    
         
    André Maurice Couve    
         
1983   Pierre Camille Marcel Pipereau    
1989   Maryvonne Buhot    
         
mars 2002 mars 2008 Maryvonne Buhot[24]   Chevalière de l'Ordre national du mérite
mars 2008 2014[25] Joël Racinet   Chef d'entreprises spécialisées dans les expertises
Juge au tribunal de commerce à Chartres
2014 25 juin 2023[26] Christian Meunier   Agriculteur
Mort en fonction
octobre 2023[27] En cours
(au 30 novembre 2023)
Bertrand de Lacheisserie   Président du Sirtom de Courville-sur-Eure, La Loupe et Senonches (2020 → )

Politique environnementale modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 887 habitants[Note 5], en diminution de 0,45 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
538773768748756767739761758
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
744705710684711706775750700
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
605576583549546521534530495
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
396360355480646667815856886
2018 2021 - - - - - - -
887887-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Arnoult
  • Vestiges du canal inachevé de l'Eure :
    Deux arches marquant le chemin suivi par le canal sont visibles sur la commune de Saint-Arnoult-des-Bois :

« À l’ouest, dans la direction de Chuisnes et Pontgouin, au nord, à côté de Saint-Arnoult-des-bois et de Fontaine-la-Guyon, on remarque dans les environs de Courville les traces d’un ancien canal que la tradition populaire appelle encore la Rivière neuve : c’est l’ancien aqueduc de Maintenon ou canal de Louis XIV.
On sait que le grand roi, désirant procurer de l’eau vive aux jardins du château et à la ville de Versailles, conçut le projet de s’emparer du cours de l’Eure à Pontgouin[31], et ce au moyen d’un vaste barrage de maçonnerie […] d’une hauteur de 12 à 15 mètres, fermant hermétiquement la vallée d’une colline à l’autre ; ce barrage, arrêtant sur ce point le volume d’eau, devait le forcer à l’amener dans un canal creusé à côté de la rivière. […]
Sous la direction de Vauban[32] et de La Hire[33], les travaux commencèrent en 1684 et furent poussés avec activité : 30 000 ouvriers dont un tiers de maçons et terrassiers, et les deux autres tiers de soldats […] travaillèrent à cette gigantesque entreprise.
Sur toute la ligne des ouvrages, des régiments entiers vinrent cantonner pendant 3 ou 4 ans ; à Pontgouin, à Chuisnes, à Courville des camps furent établis. […]
L’entreprise, dit M. de Noailles, fut si rapidement conduite qu’en moins d’un an le canal depuis Pontgouin jusqu’à Berchères fut établi et que le , l’académie s’y transporta dans la personne de La Hire, Cassini[34], Sédileau et de plusieurs membres, pour assister à l’entrée dans le canal qui devait avoir lieu, comme épreuve, ce même jour. L’épreuve réussit complètement, et l’eau arriva sans obstacle de Pontgouin à Berchères.
Quelques jours après, le , le roi Louis XIV lui-même vint à Courville pour examiner l’entreprise […].
Cependant pendant la durée des travaux, les maladies qui décimèrent les troupes, puis la guerre qui éclata à la fin de l’année 1688 firent abandonner ce projet grandiose. »

— Armand Pelé, Courville, Essais historiques, collection Monographies des villes et villages de France.

.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Parti : au 1er coupé au I d'or à la pompe à eau du lieu au naturel, au II d'or à deux arbres au naturel, celui de dextre penché en barre et brochant sur l'autre, au 2e de gueules à saint Arnoult évêque d'or tenant de sa senestre une crosse contournée du même, à la bordure de sinople chargée en flanc et en pointe de douze épis de blés feuillés de deux pièces d'or posés dans le sens de la bordure, sur le tout au comble d’argent chargé de l’inscription en lettres gothiques de sable « Saint-Arnoult-des-Bois ».
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

Notes modifier

  1. À distinguer du Coinon, également affluent en rive gauche de l'Eure, dont la confluence est à Lèves.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Ne pas le confondre avec son neveu Gosselin de Lèves qui lui succéda sur le siège épiscopal de Chartres de 1149 à 1155
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Arnoult-des-Bois et Thimert-Gâtelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Thimert », sur la commune de Thimert-Gâtelles - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Thimert », sur la commune de Thimert-Gâtelles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Arnoult-des-Bois », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1529.
  19. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Eugène-Louis-Ernest de Buchère de Lépinois, « Couvents dans la ville et sa banlieue : 4-Abbaye Notre-Dame de Josaphat », dans Histoire de Chartres, t. 1, Garnier, (lire en ligne).
  21. Métais 1911, p. VII.
  22. Abbé Charles Métais, Cartulaire de Notre-Dame de Josaphat, 2 vol. 1911
  23. « Saint-Arnoult-des-Bois », Histoire des communes, sur https://www.perche-gouet.net, Centre de recherches généalogiques du Perche-Gouët (consulté le ).
  24. Décret du 30 janvier 2008 portant promotion et nomination, sur Légifrance.
  25. Alain Thibaud, « Joël Racinet, un mandat et puis s’en va », L'Écho républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Christian Meunier, le maire de Saint-Arnoult-des-Bois, est décédé : Christian Meunier, maire de Saint-Arnoult-des-Bois, s’est éteint dimanche 25 juin dans la matinée, à l’âge de 72 ans, suite à une crise cardiaque », L'Écho républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le Saint-Arnolphien a commencé sa carrière politique en 1989 en tant que conseiller municipal. Il devient second adjoint au maire en 1995 puis premier adjoint en 2001. Christian Meunier est élu maire de Saint-Arnoult-des-Bois en 2014 avant d’être réélu en 2020. L’élu a également siégé, pendant plusieurs années, au sein de la communauté des communes Entre Beauce et Perche ».
  27. « Un nouveau maire dans la commune », L'Écho républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Depuis début octobre, Bertrand de Lacheisserie est le nouveau maire de Saint-Arnoult-des-Bois, suite au décès brutal de Christian Meunier fin juin. Ce dernier était maire de la commune depuis mars 2014 ».
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Au lieudit « les écluses de Boizard »
  32. Vauban, maréchal de France, il dirigea plusieurs sièges et fortifications de frontière
  33. La Hire, astronome et mathématicien français, son nom est resté attaché aux grands travaux géodésiques de l’époque
  34. Cassini, astronome et géodésien, organisateur de l’Observatoire de Paris