Saint-Étienne-de-Puycorbier

commune française du département de la Dordogne

Saint-Étienne-de-Puycorbier
Saint-Étienne-de-Puycorbier
La mairie de Saint-Étienne-de-Puycorbier.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Dominique Degeix
2020-2026
Code postal 24400
Code commune 24399
Démographie
Population
municipale
108 hab. (2021 en diminution de 3,57 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 32″ nord, 0° 19′ 46″ est
Altitude Min. 50 m
Max. 157 m
Superficie 13,54 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Isle
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Étienne-de-Puycorbier
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Étienne-de-Puycorbier
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Saint-Étienne-de-Puycorbier
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Étienne-de-Puycorbier

Saint-Étienne-de-Puycorbier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Généralités modifier

La commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier est située dans l'ouest du département de la Dordogne, en forêt de la Double.

À proximité de la route départementale (RD) 40, le hameau de Saint-Étienne-de-Puycorbier se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-nord-ouest de Mussidan et seize kilomètres au nord-est de Montpon-Ménestérol.

Le territoire communal est également desservi au sud par la RD 38 et par le sentier de grande randonnée GR 646.

Communes limitrophes modifier

 
Carte de Saint-Étienne-de-Puycorbier et des communes avoisinantes.

Saint-Étienne-de-Puycorbier est limitrophe de cinq autres communes.

Géologie et relief modifier

Géologie modifier

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Étienne-de-Puycorbier est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e5-6, est la formation de Guizengeard supérieur (Lutétien supérieur à Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 781 - Montpon-Ménestérol » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

 
Carte géologique de Saint-Étienne-de-Puycorbier.

Relief et paysages modifier

 
La forêt de la Double sur le territoire communal.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 50 m[5] au sud-ouest, près du lieu-dit Fougeraud, là où le Grolet quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Martin-l'Astier et Saint-Michel-de-Double, et 157 m[5] à l'extrême sud-est, près du lieu-dit Colombat, en limite des communes de Saint-Front-de-Pradoux et de Saint-Martin-l'Astier[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie de la Double, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (233 m au sud de Tocane-Saint-Apre). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 m[9]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,54 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est également de 13,54 km2[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par le Grolet, le ruisseau de la Boulbène, la Mouline et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[15],[Carte 1].

Le Grolet, d'une longueur totale de 14,32 km, prend sa source dans la commune de Saint-André-de-Double et se jette en rive droite de l'Isle en limite des communes de Saint-Martin-l'Astier et de Saint-Laurent-des-Hommes, face à Saint-Médard-de-Mussidan[16],[17]. Il borde la commune à l'ouest sur 6 km, face à Saint-Michel-de-Double.

Son affluent de rive gauche la Boulbène traverse la commune du nord-est à l'ouest sur 4 km, lui servant de limite territoriale sur 2 km, face à Beauronne.

Autre affluent de rive gauche du Grolet, la Mouline prend sa source dans le sud de la commune et l'arrose sur près de 3 km.

Gestion et qualité des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 892 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac à 15 km à vol d'oiseau[23], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 916,6 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Étienne-de-Puycorbier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[27],[28],[29]. La commune est en outre hors attraction des villes[30],[31].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,9 %), zones agricoles hétérogènes (16,6 %), prairies (11,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques modifier

Le territoire de la commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].

Saint-Étienne-de-Puycorbier est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[35]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[36],[37].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Étienne-de-Puycorbier.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[38]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[39]. 97,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[40].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1992 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[33].

Toponymie modifier

Le nom de la commune fait référence à saint Étienne alors que « Puycorbier » provient de « puy », dérivé de podium signifiant « colline », et de « corbier », en rapport avec les corbeaux ou tiré d'un nom de personne[41]. Ainsi Puycorbier pourrait signifier soit la « colline aux corbeaux », soit la « colline de Corbier ».

En occitan, la commune porte le nom de Sent Estefe de Puei Corbier[42].

Histoire modifier

Les gallo-romains ont laissé quelques traces de présence sur le territoire de la commune[41].

La première mention de Puycorbier remonte au XIIIe siècle sous la forme « Poi Corber », suivie de « Corbene » à la fin du siècle suivant, puis de « Podium Corbier » au milieu du XVIe siècle[41].

Lors de la Seconde Guerre mondiale, la commune fut un lieu important de la Résistance à l'occupant en Dordogne[43].

Un maquis des Francs-tireurs et partisans (FTP) avait installé un camp au lieu-dit Virolle(s)[44]. Le , vingt-neuf résistants de ce camp meurent au village d'Espinasse, à Saint-Germain-du-Salembre, face aux Allemands, renforcés de la Légion nord-africaine[45]. En souvenir, un mémorial de la Résistance a été érigé à Virolle(s)[44].

Politique et administration modifier

Intercommunalité modifier

Fin 2002, Saint-Étienne-de-Puycorbier intègre dès sa création la communauté de communes du Mussidanais en Périgord. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

Administration municipale modifier

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[46],[47].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1995 2008 Guy Dumas PCF  
2008[48] mai 2020 Daniel Tournier SE[49] Exploitant agricole
mai 2020 En cours Dominique Degeix    

Équipements et services publics modifier

Justice modifier

Dans le domaine judiciaire, Saint-Étienne-de-Puycorbier relève[50] :

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52].

En 2021, la commune comptait 108 habitants[Note 5], en diminution de 3,57 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
315233269273339289277300303
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
294310315278264272249239251
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
247231229183180162179162138
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
15112499117118113103102116
2017 2021 - - - - - - -
106108-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Emploi modifier

En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante personnes, soit 44,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinq) a diminué par rapport à 2010 (sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,6 %.

Établissements modifier

Au , la commune compte seize établissements[55], dont neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, cinq au niveau des commerces, transports ou services, un dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[56].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Étienne.
  • Mémorial de la Résistance : ce monument s'élève à l'endroit où les maquisards de la Double appartenant au 4e régiment FTP avaient organisé leur camp. Au plus fort des combats, au printemps et en été 1944, lorsque la mission des résistants de l'intérieur consistait à retarder la montée des renforts allemands vers la Normandie, le camp de Virolles avait un effectif de plus de 600 hommes. Un rassemblement commémoratif y a lieu chaque 1er dimanche de juillet.

Patrimoine naturel modifier

 
Le Grolet en limites de Saint-Étienne-de-Puycorbier et de Saint-Michel-de-Double.

Longeant le territoire communal à l'ouest, le Grolet fait partie, avec ses affluents le ruisseau de la Boulbène et la Mouline, des vallées de la Double, considérées comme site important par le réseau Natura 2000[57] pour la conservation d'espèces animales européennes menacées. On peut y trouver notamment la cistude d'Europe (Emis orbicularis), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), la loutre (Lutra lutra), le vison d'Europe (Mustela lutreola), le chabot commun (Cottus gobio) ou encore la lamproie de Planer (Lampetra planeri)[58].

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Étienne-de-Puycorbier » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références modifier

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Saint-Étienne-de-Puycorbier » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
  4. « Notice associée à la feuille no 781 - Montpon-Ménestérol de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  5. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier », sur le site de l'Insee (consulté le )
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  15. « Fiche communale de Saint-Étienne-de-Puycorbier », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
  16. « Confluence Grolet-Isle au nord-ouest du lieu-dit Chandos » sur Géoportail (consulté le 18 septembre 2022).
  17. Sandre, « le Grolet »
  18. « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  23. « Orthodromie entre Saint-Étienne-de-Puycorbier et Saint-Martin-de-Ribérac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  24. « Station Météo-France « Saint-Martin Rib. » (commune de Saint-Martin-de-Ribérac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  25. « Station Météo-France « Saint-Martin Rib. » (commune de Saint-Martin-de-Ribérac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  26. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  27. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  29. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  33. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier », sur Géorisques (consulté le )
  34. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  36. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le )
  37. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le )
  38. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  39. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  40. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le )
  41. a b et c Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000 (ISBN 2-86577-215-2), p. 316.
  42. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Estefe de Puei Corbier sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  43. Florence Broussaud-Le Strat, La Double Un pays en Périgord, Éditions Fanlac, 2006 (ISBN 2-86577-252-7), p. 93.
  44. a et b « Éclaircir les zones d'ombre des massacres de 1944 », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20.
  45. « Le massacre d'Espinasse dans les mémoires », Sud Ouest édition Périgueux, 8 août 2013, p. 18.
  46. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.
  47. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.
  48. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 27 août 2014.
  49. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 16.
  50. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  52. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  54. Dossier complet - Commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier (24399) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
  55. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  56. Dossier complet - Commune de Saint-Étienne-de-Puycorbier (24399) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
  57. Carte des Vallées de la Double sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 26 mars 2013.
  58. Vallées de la Double sur le site du réseau Natura 2000, consulté le 26 mars 2013.