Rue de la Branlette
La rue de la Branlette est une voie de Saint-Jean-Port-Joli au Québec.
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| Rue de la Branlette | |
| Situation | |
|---|---|
| Coordonnées | 47° 12′ 26″ nord, 70° 15′ 32″ ouest |
| Pays |  Canada |
| Province | Québec |
| Région administrative | Chaudière-Appalaches |
| Municipalité régionale de comté | L'Islet |
| Ville | Saint-Jean-Port-Joli |
| Début | Rue de l’Église |
| Fin | Impasse |
| Morphologie | |
| Type | Rue |
| Fonction(s) urbaine(s) | Résidentielle |
| Forme | Linéaire |
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|
Description modifier
Situation et accès modifier
La rue de la Branlette est située à Saint-Jean-Port-Joli[N 1],[1],[2],[3],[4],[5]. La rue est rectiligne et longue d’un peu moins de 100 m. Le début de la rue de la Branlette se situe à l’intersection avec la rue de l’Église[1],[N 2]. La rue se termine en impasse[N 3],[3].
Dénomination modifier
La provenance de cet odonyme est incertaine. Selon la Commission de toponymie du Québec, l’hypothèse la plus probable met en avant la mauvaise qualité de la chaussée, faite de billots de bois à travers une zone marécageuse. Les travaux de la Commission s’appuient notamment sur ceux de Jean-Guy Toussaint du journal de Saint-Jean-Port-Joli L’Attisée qui affirme par ailleurs que « les fermiers du deuxième rang qui transportaient leur crème à la beurrerie se faisaient secouer et on disait qu’ils en avaient la branlette »[2],[3],[6].
La seconde hypothèse se rapporte à un mendiant qui vivait dans cette rue à la fin du XIXe siècle et dont le nom de famille était difficile à prononcer, ce qui fait qu’il a hérité du surnom « La Branlette »[7],[8].
Historique modifier
Le tracé de la rue est reporté sur une carte topographique de Saint-Jean-Port-Joli éditée en 1984, toutefois la voie n’est pas nommée[9].
Fonction urbaine modifier
La rue de la Branlette n’est bordée que de quelques logements[3].
Dans la littérature modifier
Liste non-exhaustive des ouvrages dans lesquels la rue de la Branlette est mentionnée :
- Henri Dorion et Marc Richard, Nommer le monde : Essai de toponymie d ̓ici et d ̓ailleurs, Fides, (ISBN 9782762143638, OCLC 1104210412);
- Karen Dolby, Secrets d'Histoire et autres histoires d'alcôve, Hachette, , 192 p. (ISBN 9782012316201), p. 36.
Notes et références modifier
Notes modifier
- La rue de la Branlette a pour coordonnées : 47° 12′ 26″ N, 70° 15′ 32″ O.
- Le début de la rue de la Branlette a pour coordonnées : 47° 12′ 25″ N, 70° 15′ 34″ O.
- La fin de la rue de la Branlette a pour coordonnées :47° 12′ 27″ N, 70° 15′ 30″ O.
Références modifier
- Jean-François Nadeau, « Cent curiosités de l’île d’Orléans », sur ledevoir.com, Le Devoir, (consulté le ).
- Marie-Joëlle Parent, « Des noms de lieux qui font sourire », sur journaldemontreal.com, Le Journal de Montréal, Montréal, (consulté le ).
- Stéphanie Gendron, « On pourra acheter la « rue de la Branlette » », sur journaldequebec.com, Le Journal de Québec, Québec, (consulté le ).
- Jean-Pierre Robichaud, « Les « saints lieux » au Québec », sur journallepont.ca, Journal Le Pont, Palmarolle, (consulté le ).
- « Et à la dernière minute, Beaufou remplace Mariol… », sur bienpublic.com, Le Bien public, Dijon, (consulté le ).
- Jean-Guy Toussaint, « La rue de la Branlette », L'Attisée, vol. 25, no 10, , p. 49.
- Stéphanie Gendron, « Maintenant possible d'acheter la rue de la Branlette », sur tvanouvelles.ca, (consulté le ).
- Stéphanie Gendron, « Des répliques du panneau de la rue de la Branlette à vendre », Le Placoteux, Saint-Pascal, vol. 40, no 36, , p. 3 (lire en ligne).
- Ministère de l'Énergie et des Ressources, [Carte topographique du Québec à l'échelle de 1:20 000], Québec, (lire en ligne).
