Wikipédia

Route 175 (Québec)

route au Québec (Canada)
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Route 175.

B175
Route 175
Boulevard Talbot
Image illustrative de l’article Route 175 (Québec)
Informations
Gérée par le MTQ
Longueur 243,3 kilomètres (151,2 mi)[1],[2]
Direction Nord / Sud
Ancêtres Route 54
Localisation
Régions Chaudière-Appalaches, Capitale-Nationale, Saguenay–Lac-Saint-Jean
MRC La Nouvelle-Beauce, La Jacques-Cartier, Le Fjord-du-Saguenay
Villes Lévis, Québec, Saguenay
Intersections
Extrémité sud B218 Route 218 à Saint-Lambert-de-Lauzon
Intersections B73 A-73 à Lévis

B20 Brtc A-20 à Lévis
B132 Route 132 à Lévis
B136 Route 136 à Québec
B540 A-540 à Québec
B740 A-740 à Québec
B440 A-440 à Québec
B973 A-973 à Québec
B138 Route 138 à Québec
B40 B73 A-40, A-73 à Québec
B369 Route 369 à Québec
B371 Route 371 à Stoneham-et-Tewkesbury
B169 Route 169 dans la Réserve faunique des Laurentides
B170 Route 170 à Saguenay
B70 A-70 à Saguenay
B372 Route 372 à Saguenay

Extrémité nord B172 Route 172 à Saguenay
Image
Image illustrative de l’article Route 175 (Québec)
La route 175 à Stoneham-et-Tewkesbury
Réseaux
Routes du Québec
Précédent B173 Route 173 Route 185 B185 Suivant
modifier Consultez la documentation du modèle

La route 175 (R-175) est une route nationale québécoise d'orientation nord/sud située de part et d'autre du fleuve Saint-Laurent. Elle dessert les régions administratives de Chaudière-Appalaches, de la Capitale-Nationale et du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Elle possède le statut de route principale du Canada[3] et est le principal lien routier entre le Saguenay–Lac-Saint-Jean et le reste de la province.

Parcours modifier

La route débute sur la rive sud du Saint-Laurent, où elle longe la rivière Chaudière jusqu'au fleuve. Elle le traverse via le pont de Québec avant de bifurquer vers l'est et de devenir successivement le boulevard Laurier et la Grande Allée dans le centre-ville de Québec. À la hauteur de l'Assemblée nationale, elle reprend une orientation nord-sud et prend les noms d'avenue Honoré-Mercier, côte d'Abraham et rue de la Couronne (direction nord) ou rue Dorchester (direction Sud). Ensuite, elle devient l'autoroute Laurentienne et forme en premier lieu un multiplex avec l'autoroute 973 et enfin avec l'autoroute 73. Sa section autoroute se termine environ 25 kilomètres plus au nord, à Stoneham-et-Tewkesbury, en même temps que l'autoroute 73. À partir de là, elle commence la longue traversée du massif du lac Jacques-Cartier sous le nom du boulevard Talbot. Dans cette section, la route 175 est une route montagneuse et sinueuse. Elle se termine à Saguenay dans le secteur Chicoutimi-Nord de l'arrondissement de Chicoutimi, à la jonction avec la route 172 sur le pont Dubuc.

Histoire modifier

La route tire ses origines des premiers chemins de terre de la fin du XIXe siècle[4]. Elle fut asphaltée dans les années 1940, fut inaugurée officiellement en 1951 et pris le nom de « 175 » en 1975[5].

Avant la route modifier

Jusqu’à la création officielle du parc national des Laurentides[6], aucune réglementation n’avait force de loi pour le contrôle et la préservation du territoire entre Québec et le Saguenay–Lac-Saint-Jean[7]. La chasse se pratiquait à grande échelle autant chez les nord-américains que chez les autochtones et l’orignal était une prise recherchée.

Le parc fut créé en 1895 par le premier ministre conservateur Edmund James Flynn. Dès 1927, la chasse aux orignaux sera interdite et passe sous le contrôle de l’État. Des quotas et des amendes s’appliquent sur l’ensemble du territoire. Après une chasse abusive, le gouvernement du Québec prend en main en 1928, la surveillance complète du parc tant du point de vue de la forêt que de la préservation de la faune[8].

Plusieurs gouvernements ont successivement manifesté l’intention de tracer une route praticable. Le premier projet de construction d’une route date de 1863. Le gouvernement de l’époque mandate une équipe d’arpenteurs afin de trouver le meilleur tracé pour la future route. Le groupe se compose de Joseph-Xavier Perreault, John Nelson (père) et Achille-Alfred Hamel. L’expédition dure moins d’un mois et fait peu de bruit, malgré une publication relatant ce voyage.

En 1865, le curé de Beauport, Grégoire Tremblay, propose la construction d’une route entre Québec et Chicoutimi. Le gouvernement considère cette demande et accorde une aide financière de 5 000 $. Après quelques années, le chemin de terre relie Saint-Jérôme à Québec et s’étend sur une distance de 227 kilomètres.

En 1873, Mgr Dominique Racine[9] envoie une délégation à Québec demandant que la route se rende jusqu’à Chicoutimi. Le gouvernement réaménage le chemin et construit une section du trajet menant jusqu’à Chicoutimi. Le parcours est achevé en 1882 et servira de tracé pour la future route 54.

 
Route du Parc en 1920

En 1926, à l'occasion de la construction d'une ligne de transmission électrique[10] entre l'Île-Maligne et Limoilou, on refait, par embranchement d'Hébertville, l'ancien chemin de Québec, surnommé « chemin des Poteaux », que suivait à peu près cette ligne électrique. La Shawinigan Water & Power[11] construisait une ligne électrique depuis St-Joseph d'Alma jusqu'à Beaupré, afin d'ériger une longue série de pylônes supportant de nombreux fils transportant, dans les grands centres, l'énergie développée dans les usines hydroélectriques de l'Île-Maligne[12]. Au même moment, surgit le projet d'un lien entre ce chemin et Chicoutimi en passant par Laterrière et la rivière Upika, où la compagnie Price avait un chemin de service.

En 1927, la Chambre de commerce de Roberval, organise une expédition en automobile pour traverser le Parc. Trente hommes et sept automobiles partent de l’Hôtel Lemay à Hébertville-Station, le à minuit. L’équipe arrive à Québec, le lendemain à une heure du matin. Le voyage dura 25 heures[13].

En 1934, le ministère de la voirie modifie le numérotage de la route St-Siméon-Grande-Baie-Chicoutimi-St-Bruno comme étant la route no 16. Pour sa part, la route Québec-Lac-St-Jean via le Parc des Laurentides sera désormais numérotée comme la route 54. Ce tronçon était numéroté auparavant comme étant la route 15. La route faisant le tour du Lac-St-Jean aura le numéro 55 et le numéro 56 sera attribué à la route Baie-St-Paul-St-Urbain-Grande-Baie[14].

Au cours de l’hiver de 1933-1934, 800 hommes ont travaillé pour le ministère de la voirie du Québec afin d’améliorer la route Québec-Chicoutimi-tour du Lac-St-Jean. Ces travaux consistaient à construire des ponts et ponceaux, le concassage de pierre pour le revêtement de la route ainsi que le nivelage de certaines parties de la chaussée dans la partie nord du lac Jacques-Cartier[15].

Le ministère des Mines et des Pêches du Québec publiait[16] en 1938 un dépliant touristique présentant le parc comme « The Fisherman's Paradise » et y mentionnait que le gouvernement souhaitait réaliser depuis plusieurs années l’ouverture de routes et de portages[17].

Route 54 modifier

 
La route 54 traversant le parc des Laurentides

Depuis le milieu du XIXe siècle, il existait un autre chemin[18] entre Charlevoix et Chicoutimi (la route du Petit Parc)[19]. Durant les années 1920, le gouvernement priorise l’amélioration de cet axe routier où le trajet pour aller à Québec pouvait prendre jusqu’à huit heures[20].

Le projet de la route 54 est né au cours des années 1930 même si à l'époque, les priorités des élus n’étaient pas orientées vers la construction de chemins publics. Les rapports annuels[21] de la voirie provinciale entre 1941 et 1943 se résument à des réfections et repavage de section de routes existantes. Mais en 1944, il y a début de l’arpentage et en 1945, le ministère de la voirie entreprend à environ 116 km Québec, la construction d’une nouvelle route à partir du lac Jacques-Cartier jusqu’à Laterrière. La route aura une longueur de 81 km. Les travaux seront poursuivis tôt au printemps et il était prévu que la route pourrait être ouverte à la circulation à la fin de 1947.

Les travaux de construction étaient supervisés par l’ingénieur en chef du ministère de la voirie Monsieur Ernest Gohier. En , les contrats de construction étaient accordés à la compagnie Champlain Highway Paving, pour la portion nord sur une distance de 54 milles et à la compagnie Cartier McNamara pour la section sud sur une distance de 45 milles. Ces contrats étaient les plus importants jamais accordés par le ministère de la voirie pour une somme totale de 2 500 000 $CAN. Des sous-contractants provenaient de la région.

Parallèlement, on avait renoncé aux travaux d’hiver en raison des coûts exorbitants. Se basant sur des méthodes employées pour la construction de la route de l'Alaska, chantier réalisé pendant la Seconde Guerre mondiale permettant de relier Dawson Creek et Fairbanks sur 2 400 km sur un terrain difficile et montagneux, les ingénieurs ont employé des techniques similaires. Des camps à environ tous les 16 km logeaient les travailleurs. Au plus fort des travaux, plus de 600 hommes étaient au travail embauchés par les entrepreneurs, incluant une soixantaine du ministère de la Voirie.

Entre 1945 et 1946, la machinerie lourde, venant de surplus de véhicules militaires, fait son apparition. Plus de 200 ponts et ponceaux ont été construits exigeant 120 000 verges cubes de béton, 150 000 sacs de ciment et 1 080 000 livres d’acier. Une usine de concassage fut d’abord installée à la côte de Clairval pour ensuite être transportée près du camp numéro 3 et finalement à l’intersection des Portes de l'Enfer où débouchait la route en direction du Lac-St-Jean. On trouvait une usine d’asphalte au même endroit et jusqu’en 1950. Les entrepôts, les ateliers et les forges se trouvaient pour leur part à Laterrière. Le tout fut réalisé par des professionnels et de techniciens québécois. Plusieurs années après son achèvement, des groupes d’ingénieurs européens, américains et asiatiques vinrent étudier le projet.

Le pavage de la route est complété le . À partir de 1950, la route est divisée en trois sections : la route 54 (Québec-Stoneham-lac-Jacques-Cartier), la route 54-A (lac Jacques-Cartier-Héberville, et la route 54-B (lac Jacques-Cartier-Laterrière-Chicoutimi). La section Laterrière-Chicoutimi avait été complétée en 1949[22].

La route du Parc fut inaugurée[23] le [24] en présence du Premier ministre Maurice Duplessis[25] et du ministre de la voirie Antonio Talbot[26]. Encore de nos jours, on peut voir des enseignes annonçant le boulevard Talbot[27].

La section Hébertville-lac Jacques-Cartier est entièrement reconstruite de 1955 à 1958. La section Stoneham-Notre-Dame-des-Laurentides est remplacée par une nouvelle route, asphaltée en 1959. Finalement, en 1960-1961, le boulevard des Laurentides (devenant plus tard autoroute 73) facilite l'entrée à Québec[28].

En 1975 la route 54 devient la route 175[26].

Les barrières modifier

Comme le Parc des Laurentides était un territoire à accès limité, trois barrières[29] étaient dressée à ses entrées à Laterrière, Hébertville et Stoneham. Les véhicules devaient arrêter obligatoirement à ces postes de contrôle[30]. Deux gardiens du ministère de la Faune inscrivaient les renseignements suivants :

  • Date et heure : le voyage devait s’effectuer en une heure trente minutes minimum ;
  • Le genre de véhicule ;
  • Le numéro de la plaque d'immatriculation ;
  • Le nombre de passagers et la destination.

Les statistiques à la barrière de Laterrière montraient une circulation quotidienne de 1 377 véhicules en 1962, 1 866 en 1967, 2 450 en 1972 et 3 184 en 1977. C'est en 1978 que les barrières de Mésy à l'entrée d'Hébertville, Laterrière et Stoneham ne seront plus utilisées[31].

Le mouvement Accès-Bleuets modifier

Dès le XIXe siècle, des abris distants de 12 à 20 kilomètres les uns des autres, jalonnent le parcours[32]. Dès 1869, un premier relais est établi à 95 kilomètres au nord de Québec, sur l’emplacement actuel du site de L'Étape. On y retrouve une cabane en bois et un four à pain. En 1942, s'ajoute un poste de protection des forêts. Au début des années 1950, le gouvernement provincial fait construire un complexe hôtelier qui sera démoli en 1973 afin de faire place à de nouveaux bâtiments. Le , le bâtiment principal de L'Étape est complètement ravagé par un incendie[33]. Les installations seront reconstruites[34] en 2006[35].[1]

Le , le gouvernement du Québec annonce des investissements de 4,5 millions de dollars pour le développement de l'hébergement dans la réserve faunique des Laurentides.

 
Construction de la route à quatre voies divisées dans le secteur du lac des Roches (mai 2010).

La route se situe dans un environnement montagneux au climat difficile et souvent traversée par les animaux. Les accidents y sont fréquents[36]. En , à la suite d’une série d’accidents meurtriers dans la Réserve Faunique des Laurentides, nait à Jonquière le mouvement Accès-Bleuets[37] dont l’objectif principal était de transformer la route en un lien routier à quatre voies divisées[38]. Il fut fondé[39] par Gilles Paquet, la conseillère municipale de Chicoutimi Marina Larouche[40] et l’animateur de radio Jacques Cayer[41].

Une pétition[42] de 101 000 noms est déposée à l’Assemblée Nationale afin de sensibiliser le pouvoir politique aux revendications régionales même si les dirigeants régionaux se disaient contre le projet de construction d’une autoroute à quatre voies divisées lors d’un colloque organisé par le Cégep de Chicoutimi[41]. La section régionale du Parti Vert du Québec de Sylvain Simard[43], plus tard député du Parti québécois à l’Assemblée nationale, déclara qu’il serait suffisant de s’en tenir à des travaux d’amélioration pour la sécurité routière et qu’il était inutile de revendiquer une route à quatre voies divisées car les besoins étaient injustifiés[44].

Accès-Bleuets continua ses démarches, dont l'installation d'un poste de péage symbolique sur la route 175 en [45]. La même année, le groupe LCL réalisa une étude d’opportunité d’amélioration du lien routier entre la région du Saguenay-Lac-St-Jean et la région de Québec dans le cadre des études sur la politique routière du Canada et les besoins connexes en investissements ainsi que la North American Trade Corridors de la Eastern Border Transportation Coalition (EBTC). Les premiers estimés chiffraient le coût d’un tel projet entre 500 millions $CAN et 1 milliard $CAN.

 
Avancement des travaux dans le secteur du kilomètre 123 (mai 2010).

En 1998, le ministre québécois des Transports Jacques Brassard déclarait[46] que l’amélioration des routes restait le meilleur scénario et que le plan stratégique de 1998-2003 du ministère prévoyait 17 chantiers de construction permettant de corriger des courbes sinueuses afin que la route soit convenable[47] et sécuritaire[48]. Un mois plus tard, le premier ministre de la province Lucien Bouchard, désavouait la position de Jacques Brassard[49].

De son côté, le député conservateur du comté fédéral de Chicoutimi-le-Fjord André Harvey faisait pression auprès du gouvernement canadien[50] pour faire reconnaître la 175[51] comme route faisant partie du Réseau national canadien et de l’inscrire dans les priorités du Programme stratégique d’infrastructure routière (PSIR)[52]. Appuyé par une coalition d’une dizaine d’organismes du Saguenay-Lac-St-Jean (Accès-Bleuets, la Fédération touristique régionale, le CRCD, le Regroupement des hôteliers, le maire de Saguenay[53] Jean Tremblay), les démarches d’André Harvey sont couronnées de succès au mois d’août 2002 alors que le Premier ministre du Canada Jean Chrétien et le Premier ministre du Québec Bernard Landry, annonçaient à Saguenay l’élargissement de la route 175 à quatre voies divisées[54].

Le , le Premier ministre du Canada Paul Martin et le Premier ministre du Québec Jean Charest signaient à Saguenay[55] l’accord de financement portant sur l’élargissement à quatre voies divisées de la route 175. Cet accord prévoyait des investissements[56] de l’ordre de 525 millions $CAN pour la première phase du projet[57]. En , une entente cadre est conclue entre Québec et Ottawa afin d’allouer une somme de 112,5 millions $CAN pour la phase 2 du projet.

Entre les mois d’avril à , des audiences du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) se tiennent sur les projets de réaménagement de la route 175. En octobre et novembre de la même année, deux décrets seront adoptés (décret 923-2005, décret 1050-2005) afin d’autoriser les travaux de l’axe routier 175[58] selon le calendrier suivant[59] :

  • 2002 à 2004 : 9,6 km
  • 2006 à 2008 : 48,0 km
  • 2007 à 2009 : 33,0 km
  • 2008 à 2010 : 36,0 km
  • 2009 à 2011 : 31,0 km
  • 2011 à 2013 : 3 km[60]

En , les gouvernements du Canada et du Québec annonçaient conjointement l'ouverture de l'exposition thématique portant sur le projet d'axe routier 73/175[61].

 
La route 175 en août 2014

Le , le ministre des Transports du Québec Monsieur Sam Hamad annonçait que la limite de vitesse de la route 175 passait de 90 km/h à 100 km/h sur 94 % du trajet reliant Saguenay à Québec et ce à compter du .

Le , l'ex-député fédéral André Harvey déclare dans une entrevue accordée au journal Le Quotidien que: le gouvernement de Jean Charest a réalisé la route 175 du premier au dernier coupe de pelle[62].

Le , le ministère des Transports du Québec ouvrait aux automobilistes l'échangeur à l'intersection des routes 175 et 169 dans la réserve faunique des Laurentides. Plus de 96 % des travaux de construction de l'autoroute à quatre voies divisées sont maintenant terminés[63].

En , le ministre des Transports du Québec Monsieur Sylvain Gaudreault déclare que: « le projet pourrait être inférieur au 1,1 milliard$ projeté par le ministère en  »[64].

Le , le maire de Saguenay Jean Tremblay propose de renommer la route 175 « Autoroute Marina Larouche » afin de rendre hommage à celle qui a été à l'origine des démarches pour l'obtention d'une route à quatre voies divisées[65]. Le projet du maire Tremblay suscite de nombreuses réactions, en particulier celle de l'épouse d'Antonio Talbot[66].

En , le gouvernement du Québec annonce[67] que l'inauguration officielle[68] de la 175 aura lieu le dimanche 22 du mois[69].

Selon l'historienne Russel-Aurore Bouchard, le gouvernement péquiste actuel s'attribue le travail des libéraux concernant l'inauguration de la route 175. Ce sont des « pique-assiettes »[70]. Pour sa part, la conseillère municipale et fondatrice du mouvement Accès-Bleuets qualifiait cette inauguration de « Rien qu'un show boucane »[71]. De son côté le maire de Saguenay Jean Tremblay affirmait que la Route 175 est « un complément parfait au réseau de transport »[72].

Le , la ville de Saguenay rendait hommage aux acteurs principaux qui ont contribué à la réalisation de l'autoroute 175 Madame Marina Larouche, Monsieur André Harvey ainsi que les bénévoles du mouvement Accès-Bleuets lors d'une cérémonie au conseil de ville[73].

Bilan routier modifier

La section qui traverse la réserve faunique des Laurentides est l'une des routes les plus dangereuses du Québec[74]. Elle traverse un plateau montagneux qui engendre de fortes variations de températures[74]. Le parcours routier est particulièrement difficile l'hiver en raison de la glace, de la neige et de la poudrerie. L'altitude, les forts vents et le froid rendent la visibilité et le déneigement difficiles.

Comptant un nombre important de collisions frontales[74], elle est l'une des routes où le nombre de collisions avec les orignaux est le plus élevé dans la province. On y compte ainsi en moyenne 45 collisions avec ces animaux[75] par an, dont 90 % se produisent entre le crépuscule et l'aube[74]. Il est possible d'y rencontrer d'autres animaux sauvages tels des ours et porcs-épics[76]. Ce passage est fermé quelquefois par année pour des raisons météorologiques ou à cause d'accidents[77],[78].

Une entente entre les gouvernements du Québec et du Canada va permettre de transformer cette dernière section en route à 4 voies et à 2 chaussées séparées pour en améliorer la sécurité. Selon le Ministère des Transports du Québec (MTQ), l'autoroute aura 122 km de complétée d'ici la fin de 2010. La mise en service complète est prévue pour 2012[59].

Selon le responsable du Bureau de surveillance du territoire de la Sureté du Québec pour le district du Saguenay-Lac-St-Jean, le bilan routier s'améliore depuis quelques années (2006-2009), au fur et à mesure que des tronçons de nouvelle route sont ouverts. En , la Sureté du Québec déclarait que les travaux d'aménagement de la route à quatre voies divisées dans la réserve faunique des Laurentides ont eu un effet bénéfique sur le bilan routier[79]. En effet, en 2010, il n'y a eu aucun accident mortel sur la route 175 dans la portion du territoire couverte par la Sureté du Québec Saguenay-Lac-St-Jean. D'autre part, la compilation des données de 2002 à 2011 tend à prouver que la circulation sur la 175 se fait de façon beaucoup plus sécuritaire[80] qu'entre les années 1980 à 1988[81].

En , le Ministère des Transports du Québec prend la décision de réduire la vitesse de 90 à 70 kilomètres à l'heure[82] à la hauteur de l'Étape en raison du secteur achalandé et de la fréquence d'accidents majeurs. Un tronçon de deux kilomètres près de la halte routière sera touché par cette mesure[83].

Pour la première fois dans la construction d'une autoroute au Québec, la 175 possède des dizaines de passages pour petits et grands animaux. Ces derniers ont maintenant leur propre chemin pour traverser l'autoroute en sécurité et ces passages sont très fréquentés[84].

En , le ministère des transports du Québec rend public une analyse qui compare le bilan routier des dernières années sur la 175 avec l’ère préchantier, époque où les face-à-face à haute vitesse étaient multiples. Le réaménagement de la route en quatre voies divisées a permis d’améliorer de façon importante la sécurité sur la route 175[85].

Échangeurs (du sud au nord) modifier

 
Route 175 en direction nord, à la sortie du Pont de Québec

La route 175 est une autoroute pour une trentaine de kilomètres. Voici la liste des échangeurs.

Municipalité Sortie Intersection
Section au nord du Pont de Québec
Québec 22   Route 136, Avenue des Hôtels, Boulevard Champlain
Québec 23 Chemin Saint-Louis
Début du chevauchement avec  
Québec Début Rue de la Croix-rouge, 4e Rue, Pont Drouin (Feux de circulation)
Québec 2 Rue Lee, Rue Robert-Rumilly, Rue du Cardinal-Maurice-Roy
Québec 3 Rue Bourdages (direction Sud seulement)
Québec 4-E   Route 138 Est, Boulevard Wilfrid-Hamel Est, Rue de l'Espinay
Québec 4-O   Route 138 Ouest, Boulevard Wilfrid-Hamel Ouest
Québec 5 Rue Soumande
Québec 6 Boulevard des Cèdres (direction Nord seulement)
Fin du chevauchement avec   et début du chevauchement avec  
Québec 148   A-73 Sud, Pont Pierre-Laporte
  A-40, Montréal, Sainte-Anne-de-Beaupré
Québec 149 Boulevard de l'Atrium, Boulevard Lebourgneuf
Québec 150   Route 369, Boulevard Louis-XIV
Québec 151 Boulevard Jean-Talon
Québec 154 Rue de la Faune
Québec 155 Rue Georges-Muir
Québec 156 Rue Bernier (direction Nord seulement)
Québec 157 Boulevard du Lac, Lac-Beauport
Québec 158 Rue Jacques-Bédard
Québec 159 Boulevard Talbot (direction Nord seulement)
Stoneham-et-Tewkesbury 167   Route 371, Stoneham, Tewkesbury, Lac-Delage
Fin du chevauchement avec  ; continue en chaussées divisées (avec échangeurs). Comprend quelques sorties où on peut entrer et sortir comme une route à 4 voies divisées ordinaire.
Stoneham-et-Tewkesbury 169 Chemin Crawford, Chemin des Frères-Wright
Stoneham-et-Tewkesbury 173 Chemin Saint-Edmond, Saint-Adolphe
Stoneham-et-Tewkesbury 182 Chemin du Parc National
Continue en chaussées divisées avec intersections à niveau (excepté à la jonction avec la route   Route 169)

Localités traversées (du sud au nord) modifier

Liste des municipalités dont le territoire est traversé par la route 175, regroupées par municipalité régionale de comté (MRC).

Chaudière-Appalaches modifier

La Nouvelle-Beauce

Hors MRC

Capitale-Nationale modifier

Hors MRC

La Jacques-Cartier

Traversée de la Réserve faunique des Laurentides

Saguenay-Lac-Saint-Jean modifier

Hors MRC

Notes et références modifier

  1. ↑ Ministère des Transports du Québec, Distances routière, Québec, Les Publications du Québec, , 206 p. (ISBN 2-551-19693-0, ISSN 0714-2153, lire en ligne), p. 75
  2. ↑ Google Maps, « Carte de la route 175 » (consulté le ).
  3. ↑ Voir définition du Réseau routier national (RRN) et la Liste des routes du RRN, p.8
  4. ↑ Russel Bouchard, « Le Chemin des Jésuites : de Métabetchouan à Québec », Chroniques du Saguenay-Lac-St-Jean (du mythe à la réalité), Chicoutimi, 2011, p. 149-164.
  5. ↑ « Histoire de la route 175 » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  6. ↑ (en) « Lois, règlements, etc. [microform] = Laws, regulations, etc : Laurentides National Park (Quebec) : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive », sur Internet Archive (consulté le ).
  7. ↑ Le Journal du 50e anniversaire de la Route du Parc des Laurentides, Programme souvenir, p. 5.
  8. ↑ (en) « Fish and game in the province of Quebec : laws, regulations, orders in council, etc. : Laurentides National Park : Québec (Province) : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive », sur Internet Archive (consulté le ).
  9. ↑ « Biographie – RACINE, DOMINIQUE – Volume XI (1881-1890) – Dictionnaire biographique du Canada », sur biographi.ca (consulté le ).
  10. ↑ http://www.erudit.org/revue/natcan/2012/v136/n2/1009099ar.pdf
  11. ↑ Claude Bellavance, Histoire de la Shawinigan Water and Power 1898-1963, Montréal, Éditions Boréal, 1994.
  12. ↑ Jean-Louis Fleury, Les coureurs de lignes. L'histoire du transport de l'électricité au Québec, Montréal, Stanké, 1999.
  13. ↑ « Du sentier des Jésuites à la première voiture : Le défi de la liaison Lac-St-Jean/Québec »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Le Lac-St-Jean, (consulté le ).
  14. ↑ Ministère de la voirie province de Québec, Rapport de 1934, Québec, 1934 p. 34.
  15. ↑ Ministère de la voirie province de Québec, Rapport de 1934, Québec, 1934 p.40.
  16. ↑ http://parkscanadahistory.com/publications/laurentides-1937.pdf
  17. ↑ (en) « The Laurentides National Park, Province of Quebec : the fisherman's paradise : Québec (Province). Dept. of Mines and Fisheries : Free Download, Borrow, and Streaming : Internet Archive », sur Internet Archive (consulté le ).
  18. ↑ A Daniel dit Donaldson, Une merveilleuse odyssée. De Charlevoix à Mistassini, Lac-St-Jean, Chicoutimi, tome IV, 1986, 306 pages.
  19. ↑ Rapports sur le Saguenay. Commissaires des travaux publics 1847-1848, Centre d'études et de recherches historiques du Saguenay, 1968, 48 p.
  20. ↑ François Droüin, « Promotion touristique, gestion du réseau et autonomie provinciale. La voirie du Québec de 1922 à 1954 », Cap-aux-Diamants, no 111, automne 2012, p. 27-30.
  21. ↑ http://www.bv.transports.gouv.qc.ca/per/1142846/28_1934.pdf
  22. ↑ « mtq.gouv.qc.ca/portal/page/por… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  23. ↑ Essor considérable promis par l'honorable M. Duplessis à la région de Chicoutimi, La Patrie, 1er octobre 1951.
  24. ↑ Le boulevard Talbot est la grande artère qui reliera le Nouveau-Québec à l'Ancien, déclare l'honorable Duplessis, Le Progrès du Saguenay, jeudi 4 octobre 1951.
  25. ↑ Chicoutimi sera dans quelques années la métropole de la partie la plus prospère de notre province, L'Action Catholique, 1er octobre 1951, p. 3,15.
  26. ↑ a et b « Impossible d'ignorer la 175 », Le Quotidien, (consulté le ).
  27. ↑ Yves Laberge, « Pourquoi le boulevard Talbot entre Chicoutimi et Notre-Dame-des-Laurentides porte-t-il ce nom? », Cap-aux-Diamants, no. 111, automne 2012, p. 34.
  28. ↑ http://www.bv.transports.gouv.qc.ca/per/1143092/19_1964_1965.pdf
  29. ↑ (en) « Barrière de Stoneham, Parc national des Laurentides, Québec », sur Flickr (consulté le ).
  30. ↑ « 1940 Parc des Laurentides » [vidéo], sur YouTube (consulté le ).
  31. ↑ Le Progrès du Saguenay, 27,000 personnes ont traversé le Parc, Chicoutimi, mardi, 2 septembre, 1958.
  32. ↑ « Fiche descriptive », sur toponymie.gouv.qc.ca (consulté le ).
  33. ↑ Un symbole régional disparaît en fumée, Le Quotidien, 6 septembre 2003, p. 8.
  34. ↑ Élisabeth Fleury, « L'Étape sera reconstruite, » Le Soleil, 6 septembre 2003, p. A3.
  35. ↑ Vers la reconstruction de l'Étape. La Société des établissements de plein air du Québec vient d'accepter le projet d'un entrepreneur du Saguenay, TVA Nouvelles 28 mai 2006,http://tvanouvelles.ca/video/599686917001
  36. ↑ « Parc des Laurentides. La route a fait 69 morts en 9 ans », Le Quotidien, 28 février 1989, page 2.
  37. ↑ « Accès Bleuets. Déjà 2 000 sympathisants », Le Journal de Québec, 16 février 1989.
  38. ↑ Isabelle Jincgereau, « Accès-Bleuets demande son autoroute avant l'an 2000 », Le Soleil, 1er mars 1989.
  39. ↑ Gouvernement du Québec, Inspecteur des Institutions financières, Lettres patentes, 1989-03-20.
  40. ↑ « Le Courrier du Saguenay SmartEdition », sur newspaperdirect.com (consulté le ).
  41. ↑ a et b (fr) Accès-Bleuets, « Mémoire présenté aux audiences publiques sur l’environnement concernant le Projet d’amélioration de la route 175 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Bureau d'audiences publiques sur l'environnement, (consulté le )[PDF].
  42. ↑ Catherine Delisle, 100 000 signatures, Le Quotidien, 17 octobre 1998, p. 6.
  43. ↑ Le Parti Vert dit non à une route à quatre voies, Le Quotidien, 2 décembre 1992.
  44. ↑ Des leaders tournent le dos au mouvement Accès-bleuets, Le Quotidien, février 1989.
  45. ↑ PET, « Accès-Bleuets installe un péage volaontaire », Progrès-Dimanche, 28 juillet 1991.
  46. ↑ Catherine Delisle, Brassard rejette la route à quatre voies,Le Quotidien, 24 mars 1998, p. 4.
  47. ↑ Richard Banford, « Le PQ divisé dans Chicoutimi », Le Quotidien, 26 mars 1998, p. 8.
  48. ↑ Jacques Brassard et l'autoroute à quatre voies dans le Parc, Non, non et non, Le Quotidien, mardi 24 mars 1998, p. 1.
  49. ↑ Carol Néron, « Bouchard désavoue la position de Brassard », Le Quotidien, 1er avril 1998, p. 8.
  50. ↑ Vite la 175 à quatre voies, affirme le député Harvey, le Quotidien, 11 septembre 2003, p. 10.
  51. ↑ Denis Villeneuve, « Charest a réalisé la route 175 du premier au dernier coup de pelle. », Le Quotidien, mardi 14 août 2012, p. 12.
  52. ↑ Doublement de la route 175, Harvey s'attend à une bonne nouvelle, Progrès-Dimanche, 10 février 2002, p. A4.
  53. ↑ Visite à Ottawa. Jean Tremblay crée tout un tumulte, Le Quotidien, 1er mai 2002, p. 3.
  54. ↑ Jusqu'à 700 M$ pour doubler les voies vers Chicoutimi, Les Affaires, 25 mai 2002, p. 63.
  55. ↑ Québec et Ottawa confirment, La route 175 sera élargie d'ici 2009, Le Journal de Québec, samedi 8 mai 2004, p. 7.
  56. ↑ « Premier ministre du Québec », sur qc.ca (consulté le ).
  57. ↑ Québec accorde ses premiers contrats à des firmes de génie, Le Quotidien, 27 janvier 2004, p. 7.
  58. ↑ http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/Librairie/Publications/fr/grands_projets/axe_routier_73175/axe_routier73_175.pdf
  59. ↑ a et b (fr) Ministère des Transports du Québec, « Axe routier 73 / 175 », Gouvernement du Québec, (consulté le ).
  60. ↑ http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/Librairie/Images/Fr/grands_projets/axe_routier_73175/DGQE.Axeroutier73.175.CA.2012.07.27.pdf
  61. ↑ « Ministère des Transports du Québec, Bienvenue dans la caravane 73/175, prix Zénith 2009 », sur forumcommunicateurs.gouv.qc.ca (consulté le ).
  62. ↑ Denis Villeneuve, « Selon l'ex-député André Harvey. Charest a réalisé la route 175 du premier au dernier coupe de pelle », Le Quotidien, 14 août 2012, p. 12.
  63. ↑ « Route 175 : mise en service de l'échangeur vers le Lac-Saint-Jean », sur canada.ca, Radio-Canada, (consulté le ).
  64. ↑ http://www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201210/31/01-4588760-moins-de-100-m-en-reclamations.php
  65. ↑ « En l'honneur de Marina Larouche? », sur Le Journal de Québec (consulté le ).
  66. ↑ Johanne de la Sablonnière, « Route Marina Larouche. Affront injuste et méchant envers la mémoire d'Antonio Talbot », Le Courrier du Saguenay, 23 janvier 2013, p. 5.
  67. ↑ « La route 175 est inaugurée », sur Le Journal de Québec (consulté le ).
  68. ↑ Mélyssa Gagnon, « Accès-Bleuets a gagné son pari », Le Progrès-Dimanche, 22 septembre 2013, p. 14-18.
  69. ↑ http://www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201309/21/01-4691849-linauguration-officielle-aujourdhui.php
  70. ↑ Jean-François Desbiens, « Des pique-assiettes. Le gouvernement péquiste s'attribue le travail des libéraux, selon elle. », Le Journal de Québec, Le dimanche 22 septembre 2013, p. 3.
  71. ↑ Stépgane Bégin, « Marina Larouche explique son absence à l'inauguration », Le Quotidien, lundi le 23 septembre 2013, p. 4.
  72. ↑ Stéphane Bégin, « Selon Jean Tremblay. Un complément parfait au réseau de transport », Le Quotidien, le lundi 23 septembre 2013, p. 5.
  73. ↑ http://www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201310/01/01-4695118-hommage-a-acces-bleuets.php
  74. ↑ a b c et d Daniel Carrière et Pierre Tonietto, « Construire la 175 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Découverte, Société Radio-Canada, .
  75. ↑ « Accident mortel sur la 175 : une passerelle pour orignaux suggérée », sur canada.ca, Radio-Canada, (consulté le ).
  76. ↑ Pascal Girard, « Clôtures pour contenir la faune - Les ours ont remplacé les orignaux », Le Progrès-Dimanche,‎ , p. 5
  77. ↑ Marc Allard, « Déversement sur la 175 », Le Soleil, (consulté le ).
  78. ↑ Julie Dufresne, « Un tragique accident », sur radio-canada.ca, Société Radio-Canada, (consulté le ).
  79. ↑ Stéphane Bégin, Bilan routier 2010. Moins de morts, plus de blessés, Le Quotidien, 20 avril 2011, p. 4.
  80. ↑ « La société épargne annuellement 1,3 M$ », Marc Pettersen, Le Courrier du Saguenay, 9 novembre 2011, p. 3.
  81. ↑ Jean-Marc Tremblay, « Moitié moins de morts dans le parc des Laurentides », Le Courrier du Saguenay, 9 novembre 2011, p. 3.
  82. ↑ « LaPresse.ca / Actualités et Infos au Québec et dans le monde », sur La Presse (consulté le ).
  83. ↑ « Vitesse réduite à 70 km/h à L'Étape », sur canada.ca, Radio-Canada, (consulté le ).
  84. ↑ http://www.radio-canada.ca/emissions/decouverte/2012-2013/Reportage.asp?idDoc=252948&autoPlay=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2012/CBFT/2012-10-28_18_30_00_dec_3041_03_1200.asx
  85. ↑ « L’élargissement de la route 175 préserve des vies », sur Le Journal de Québec (consulté le ).

Bibliographie modifier

  • Apogee Research / Hagler Bailly, Projet de mise à jour de l’Étude sur la politique routière nationale. Les incidences économiques d’un réseau routier national efficient, Ottawa, , 10 pages.
  • Banford, Richard, « L'échéance de construction de la 175 interroge », Le Quotidien, , page A 6.
  • Bascaron, Sylvain, « Pour en finir avec les périls de la 175 », Québec Science, , page 28 à 32.
  • Bédard, Yves, et autres, « La réfection de l'axe routier 73/175: son histoire, son déroulement et ses enjeux sociaux », Le Naturaliste canadien, vol. 136, no 2, 2012, p. 3-7. http://www.erudit.org/revue/natcan/2012/v136/n2/1009099ar.pdf
  • Bédard, Yves et autres, « Conception et suivi des passages à petite faune sous la route 175 dans la réserve faunique des Laurentides », Le Naturaliste canadien, vol. 136, no 2, 2012, p. 66-71. http://www.erudit.org/revue/natcan/2012/v136/n2/1009109ar.pdf
  • Bégin, Stéphane, « Moins stressant pour les chauffeurs », Le Quotidien, , page 2.
  • Bégin, Stéphane, « Jamais le nombre de décès n'a été aussi bas », Le Quotidien, , page 2.
  • Bégin, Stéphane, « Route à quatre voies divisées. Wow!, Le Quotidien, , page 3.
  • Bégin, Stéphane, « La fin de la Route de la mort », Le Quotidien, lundi , page 2.
  • Bégin, Stéphane, « La concrétisation d'un rêve pour André Harvey », Le Quotidien, lundi , page 3.
  • Bégin, Stéphane, « Rien qu'un show boucane », Le Quotidien, lundi , page 4.
  • Bégin, Stéphane, « Selon Jean Tremblay. Un complément parfait au réseau de transport », Le Quotidien, lundi , page 5.
  • Bégin, Stéphane, « La route 175 inaugurées », La Presse, lundi , page A11.
  • Bégin, Stéphane, « La concrétisation d'un rêve pour André Harvey », Le Quotidien , page 3.
  • Berberi, Gabriel, « Le défi de la 175. Protéger les utilisateurs, la faune et leur environnement », La Voix du Vrac, volume 36, no 5, septembre-, pages 12–13.
  • Bernier, Yvon, « Le Parti vert dit non à une route à quatre voies », Le Quotidien, .
  • Blais, Annabelle, « 4,9 milliards pour les chantiers routiers » Le Quotidien, lundi , p. 5.
  • Blackburn, Roger, Le parc des Laurentides aura 125 ans,Le Quotidien, 5 septembre 2019. https://www.lequotidien.com/opinions/le-parc-des-laurentides-aura-125-ans-4c16afbe3c0dcfe2f1c74cb67a2088b2
  • Blanchet, Jean-Nicolas « Premiers soins. La 175 à vos risques et périls », Le Journal de Québec, mercredi , p. 7.
  • Bolduc Denis, Laferrière Richard, Les effets des investissements routiers sur le développement économique du Québec, MTQ,2001.
  • Bouchard, Denis, « Jacques Brassard fait son mea culpa », Le Quotidien, , page 6.
  • Bouchard, Denis, « La 175 deviendra une route à 4 voies divisées », Le Quotidien, , page 4.
  • Bouchard, Russel, « De Chicoutimi à Québec en passant par la 175: petite histoire d'une longue controverse », Chronique d'histoire du Saguenay-Lac-St-Jean (devoir de mémoire), Chicoutimi, 2015, pp. 165-257.
  • Bouffard, Mélanie et autres, « Impacts de clôtures métalliques et de passages fauniques sur la sécurité routière et le déplacement des orignaux le long de la route 175 au Québec », Le Naturaliste canadien, vol. 136, no 2, 2012, p. 8-15. http://www.provancher.org/Naturaliste-Canadien136-2-P2012.pdf
  • Bourque, L. Perreault, Mathieu, Évolution du transport routier au Québec, Institut de recherche en économie contemporaine, , 58 p. http://www.irec.net/upload/File/rapportinfrastructureroutiereavril2014.pdf
  • Brassard, Jacques, « Sur l'autoroute du parc des Laurentides », Le Journal de Québec, vendredi , page 6.
  • Bulletin officiel du Ministère de la voirie Québec, vol.IV, . http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2105081?docref=33nGQqks8UAeGu4AYNQOvw&docsearchtext=Bulletin%20officiel%20du%20minist%C3%A8re%20de%20la%20voirie
  • Bulletin officiel du Ministère de la voirie, vol. V, Québec . http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2105081?docref=Kjpo_HhwALTqqfZsO7MXOw&docsearchtext=Bulletin%20officiel%20du%20minist%C3%A8re%20de%20la%20voirie
  • Bulletin officiel du Ministère de la voirie, Québec . http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2105081?docref=UIbl2dGvED02KUBizWp1iA&docsearchtext=Bulletin%20officiel%20du%20minist%C3%A8re%20de%20la%20voirie
  • Bulletin officiel du Ministère de la voirie, vol. VII Québec . http://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/2105081?docref=056uzwer6hZT_MQ6uhoTPQ&docsearchtext=Bulletin%20officiel%20du%20minist%C3%A8re%20de%20la%20voirie
  • Bureau d'audiences publiques sur l'environnement,Rapport d'enquête et d'audience publique, Prolongement de l'autoroute 73 vers Stoneham, 1988, 69 p.
  • Comité de travail Chicoutimi-Jonquière, Autoroute Talbot, document de réflexion et de concertation, [s. l.], , 13 pages.
  • Conseil des ministres responsables des transports et de la sécurité routière, Mise à jour de 1997 de l’Étude sur l’état du réseau routier national et les besoins en investissements, Ottawa, , 27 pages.
  • Cloutier, Jean-François, « Frictions entre Québec et Ottawa », Le Journal de Québec, , page 42.
  • Comité conjoint ville de Chicoutimi, ville de Jonquière, Projet d'autoroute Parc des Laurentides route 175, Devis technique, , 7 p.
  • Côté, Claude, « Des leaders tournent le dos au mouvement Accès-Bleuets », Le Quotidien, .
  • De Bellefeuille, Sonia, Poulin Marius, « Mesures de mitigation visant à réduire le nombre de collisions routières avec les cervidés », Études, recherches et transport, MTQ,2004, 118 pages.
  • Delisle, Catherine, « Brassard rejette la route à quatre voies », Le Quotidien, , page 4.
  • Delisle, Catherine, « L'unité régionale se réalise autour du projet de la 175 », Le Quotidien, , page 4.
  • Demers, Armand, « Le boulevard Talbot a trente ans », dans Saguenayensia, volume 20, no 6, novembre-, p. 165-171.
  • Department of Colonization, Game And Fisheries, The Fisherman's Paradise, The Laurentides National Park, Quebec, 1931, 32 pages.
  • Desbiens, Jean-François, « Une historienne scandalisée. Le gouvernement péquiste s'attribue le travail des libéraux », Le Journal de Québec, dimanche , page 3.
  • Desbiens, Jean-François, « Un moment historique », Le Journal de Québec, lundi , page 5.
  • Deschênes, André, « Route 175: la limite de vitesse passe de 90 à 100 km/h », Le Courrier de Saguenay, , page 7.
  • Doré, Catherine, « Route 175: la limite de vitesse passe à 100 km/h », Le Quotidien, .
  • Drolet, Jean-Claude, « Rôle de Mgr Dominique Racine dans l'amorce de la vie économique du Saguenay », dans Monseigneur Dominique Racine. Bâtisseur de l'Église saguenéenne, Ottawa, 1968, 232 pages.
  • Ferraris, Florence-Sara, «La voirie, fer de lance du développement québécois», Le Devoir, , https://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/458885/la-voirie-fer-de-lance-du-developpement-quebecois
  • Gauthier, Sophie, « Québec donne le feu vert à la limite de 100 km/h sur la 175 », Le Réveil, , page 2.
  • Gagné, Jean Simon, La fabuleuse histoire des débuts du Parc des Laurentides, Le Progrès, semaine du 7 au 13 août 2021, p. 14-16.
  • Gagnon, Gaston, « Le Syndicat d'initiative touristique du Saguenay-Lac-St-Jean et le tourisme de masse », Saguenayensia, volume 45, no 1, janvier-, p. 12-16.
  • Gagnon, Jean-Marc, « La pire route de la province », Progrès-Dimanche, .
  • Gagnon, Mélyssa, « Enfin! La 175 inaugurée aujourd'hui après huit ans de travaux », Le Progrès-Dimanche, dimanche , p. 14-18.
  • Gagnon, Mélyssa, « Le cheval de bataille d'André Harvey », Le Progrès-Dimanche, dimanche , page 16.
  • Gagnon, Serge, L’intervention de l’État québécois dans le tourisme entre 1920 et 1940. Ou la mise en scène géopolitique de l’identité canadienne française, https://www.cairn.info/revue-herodote-2007-4-page-151.htm
  • Gauthier, Myriam, « Des travaux de 2 M$ à l'Étape », Le Soleil, dimanche , page 10.
  • Giroux, Raymond, « Le député Harvey part en guerre contre Québec», Le Soleil, , page A 8.
  • Giroux, Thomas-Edmond, Tremblay, Mgr Victor, De Québec au Lac St-Jean, Publication de la Société Historique du Saguenay, no 32, Éditions Science Moderne, Chicoutimi, 1969, 191 pages.
  • Gravel, Denis, « Sauver une demi-heure et plusieurs vies », Le Journal de Québec, lundi , page 4.
  • Harvey, Réginald, « La route 175 arrive dans le décor. À la recherche d'infrastructures vertes », Le Devoir, 17-, page G10.
  • Hémond, Élaine, « La route du parc des Laurentides, tout un défi technique », Québec-Science, , p. 40-45.
  • Laberge, Yves, Une question de sécurité routière : les débuts de la signalisation routière au Québec, Cap-aux-Diamants : la revue d'histoire du Québec, n° 111, 2012, p. 56-59. https://www.erudit.org/culture/cd1035538/cd0331/67587ac.pdf
  • Labrie, Isabelle, « Réseau routier régional, Québec hausse les dépenses de 57 %. », Le Quotidien, , page 8.
  • Lajoie, Roger, « Une aventure digne des plus grands exploits!», Histoire Québec, vol. 12, no 1, 2006, p. 16-21. http://www.erudit.org/culture/hq1056841/hq1059818/11125ac.pdf
  • LAVALIN, Étude d'impact sur l'environnement, Amélioration de l'axe de la route 175, Charlesbourg, Stoneham et Tewkesbury, , 86 p.
  • « L'honorable Duplessis à l'inauguration du boulevard Talbot », L'Action Catholique, , p. 3, 15.
  • « La route Chicoutimi-Québec sera ouverte dans quelques semaines », Le Progrès du Saguenay, jeudi le , p. 1-2.
  • Le Progrès du Saguenay, Agréable excursion, , p. 3.
  • Le Soleil, Le boulevard Talbot est une oeuvre de prévoyance, lundi .
  • Lévesque, Kathleen, « 100e du ministère des transports. L'émergence d'une politique routière », Le Devoir, samedi et dimanche , p. A 10.
  • Lévesque, Kathleen, « 100e du ministère des transports. L'âge d'or des grands chantiers », Le Devoir, lundi , p. A2.
  • Lévesque, Kathleen, « 100e du ministère des transports. Le réseau routier en crise », Le Devoir, mardi , p. A4.
  • Lévesque, Laura, « Un mort sur le route 175 », Le Quotidien, samedi , p. 3.
  • Martel, Donald, et autres, Amélioration de la route 175 entre Québec et Saguenay :Création de 200 000 m2 d'habitats du poisson, Association des transports du Canada, Toronto, 2008, 26 pages. http://conf.tac-atc.ca/english/resourcecentre/readingroom/conference/conf2008/docs/a2/Martel.pdf
  • Middlemiss, Robert, Rapport du comité sur l'entretien du réseau routier, Québec, , 45 pages.
  • Ministère de la voirie du Québec, Québec, 1935, Rapport de 1934, 206 pages.
  • Ministère de la voirie du Québec, Carte routière et touristique 1932. Highway and Tourist Map 1932, Province de Québec 1932.
  • Ministère de la voirie du Québec, Bulletin officiel du ministère de la Voirie, 1923-1933.
  • Ministère des Transports, Étude d’opportunité d’amélioration du lien routier entre la région du Saguenay-Lac-St-Jean et la région de Québec. Problématique, Le Groupe LCL, , 192 pages.
  • Ministère des Transports, Étude d’opportunité d’amélioration du lien routier entre la région du Saguenay-Lac-St-Jean et la région de Québec. Élaboration et évaluation des solutions, Le Groupe LCL, , 87 pages.
  • Ministère des Transports Service des projets (Québec), Étude d'opportunité d'amélioration du lien routier entre la région du Saguenay-Lac-St-Jean et la région de Québec, Routes 175 et 169, Québec, , 16 p.
  • Ministère des Transports, Investissements du Ministère des Transports sur le réseau routier. Plan stratégique d'intervention sur les routes 175 et 169 de Stneham à Laterrière et à Héberville, Le transport: un acteur socioéconomique majeur, conférence du Ministre Jacques Brassard, Jonquière, , 29 pages.
  • Ministère des Transports, « Les investissements routiers sont-ils rentables », Bulletin économique du transport, , no 26, 10 pages.
  • Ministère des Transports, Problématique des routes 175 et 169 et hypothèse de solution, Québec, , 23 pages.
  • Ministère des Transports du Québec, Le projet de réaménagement à quatre voies séparées de la route 175 à Stoneham: suivi des impacts psychosociaux Rapport final, Québec , 168 pages.
  • Moisan, Mylène, « Landry et Chrétien feront une annonce conjointe », Le Soleil, , page A 10.
  • Mollé, Philippe, « L'appel du Fjord », Le Devoir, samedi dimanche 20-, p. D5.
  • Morin, Annie, « La route 175 à 100 km/h », Le Soleil, , page 13.
  • Morin, Annie, « Route 175: Des orignaux difficiles à décourager », Le Soleil, ,
  • Nadeau, Rémi, « Ottawa refuse de partager la facture », Le Journal de Québec, , page 3.
  • Nadeau, Rémi, « En colère contre le MTQ », Le Journal de Québec, , p. 3.
  • Nadeau, Rémi, « Encore 98 dossiers à régler », Le Journal de Québec », , p. 3.
  • Nadeau, Rémi, « Autoroute du Parc des Laurentides. 12 M$ pour les animaux », Le Journal de Québec, lundi , p. 3.
  • Nadiri, M.I., Mamuneas, T.P., Contribution of Highway capital to Output and productivity Growth in the US Economy and Industries, Federal Highway Administration, U.S. Department of Transportation, 1998.
  • Office du Tourisme de la Province de Québec, La province de Québec, Parcs provinciaux, Hôtel du Gouvernement, Québec, 1963, 45 pages.
  • Office provincial du tourisme. Ministère de la voirie du Québec, Carte routière et touristique. Highway and Tourist Map, Québec 1936.
  • Paquet, Sébastien, Histoire des transports et des déplacements au Québec, Université Laval, , 61 p. http://www.bv.transports.gouv.qc.ca/mono/1138564.pdf
  • Paradis, France, « La manne touristique adopte la 175 au détriment de la 169 », Le Lac-St-Jean, .
  • Perrier, Patrice-Hans, « Le projet d'élargissement à quatre voies de la route 175 entre Québec et Saguenay progresse à grands pas. Un véritable cordon ombilical », Constas, , p. 37-41.
  • Pettersen, Marc, Dossier statistique Parc des Laurentides. Quelques facteurs structurants, Université du Québec à Chicoutimi, Maîtrise en études régionales, 18 pages.
  • Potvin, Damase, Thomas. Le dernier de nos coureurs de bois. Le Parc des Laurentides, Les Éditions Garneau, Québec, 1945.
  • Presse Canadienne, « La route 175 sera élargie d’ici 2009 », Le Journal de Québec, , page 7.
  • Rainville, Patricia, « Une route parsemée de trésors », Progrès-Dimanche, , p. 4-5.
  • Rainville, Patricia, « Prévenir évite l'arrêt des travaux », Progrès-Dimanche, , p. 4-5.
  • Rivard, Marcel, « Bédard ne veut pas engager de polémique avec Harvey », Progrès-Dimanche, .
  • Rivard, Marcel, « Investissements en travaux de voirie. La région à l'avant-dernier rang » Progrès-Dimanche, .
  • Simard, Alain, « Réalisation d'une autoroute à chaussées séparées entre Québec et Saguenay. Ingénieurs et biologistes travaillent de concert pour créer une route verte », La Voix du Vrac, volume 36, no 5, septembre-, page 9-11.
  • St-Gelais, François, « Jalon historique », Le Quotidien, lundi , page 10.
  • « Sur les routes du Québec. Les 100 ans du ministère des transports », Cap-aux-Diamants, no 111, automne 2012, 64 pages.
  • The Saguenay Post, « Laterrière-Québec Road », vol. 1, no 2, Jonquière october 29 1948.
  • Transport Canada, Transport Québec, Bienvenue dans la caravane 73-175. Information sur les travaux de l'axe routier 73/175, Québec, 2008, 34 pages.
  • Transport Québec, Construction d'une route à chaussées séparées dans la réserve faunique des Laurentides, Rapport 1, étude des besoins, Coentreprise BUC, 1999.
  • Transport Québec, Construction d'une route à chaussées séparées dans la réserve faunique des Laurentides, Rapport 2, Élaboration et évaluation des solutions, Coentreprise BUC, 1999.
  • Transport Québec, Dossier réaménagement de l'axe routier 73/175. Un projet qui tient la route sur 174 kilomètres, .
  • Transport Québec, Projet de l'axe routier 73/175. Amélioration de la route 175 à 4 voies et à chaussées séparées du km 84 au km 227, .
  • Tremblay, Bertrand, « L’équipe péquiste a beaucoup de pain sur la planche », Le Quotidien, .
  • Tremblay, Diane, « Route 175. Limite à 100 km/h », Le Journal de Québec, , page 4.
  • Tremblay, Éric, Le journal du 50e anniversaire de la Route du Parc des Laurentides, Chicoutimi, 1998, 8 pages.
  • Tremblay, Louis, La 175 à quatre voies. André Harvey ne comprend pas Brassard, Le Quotidien, mercredi , p. 5.
  • Tremblay, Louis, « Œuvre de démolition », Le Quotidien, , page 2.
  • Tremblay, Louis, « Une mésentente de 150 M$ », Le Quotidien, , page 3.
  • Tremblay, Louis, « Bouchard et Bédard exigent la part d'Ottawa », Le Quotidien, , page 11.
  • Tremblay, Louis, « Il est tout à fait normal d'adopter la prudence », Le Quotidien, , page 11.
  • Tremblay, Louis, « Une dizaine d'organismes s'unissent », Le Quotidien, , page 3.
  • Tremblay, Louis, « La limite passe de 90 à 100 km/h », Le Quotidien, , page 8.
  • Tremblay, Victor, « La route Québec-Saguenay », dans Saguenayensia, volume 20, no 6, novembre-, p. 142-147.
  • Ville de Chicoutimi, Mémoire présenté à la Commission Royale sur le transport des voyageurs au Canada, Chicoutimi, , 14 pages.
  • Ville de Jonquière, Mémoire présenté à la Commission Royale sur le transport des voyageurs au Canada, Jonquière, , 18 pages.
  • Ville de Saguenay, Mémoire sur la nécessité d'un lien à quatre voies divisées entre Québec et Saguenay, Service du génie, de l'urbanisme et de l'aménagement du territoire, Saguenay, , 59 pages.
  • Vallières, Marc, Le parc des Laurentides 125 ans d'un territoire, Les Publications du Québec, Québec, 2021, 271 pages.
  • Voyer, Patrick, « Le maire Tremblay affiche de grands espoirs », Le Quotidien, , page 11.
  • « Visite des Chambres de Commerce sur la route Laterrière-Québec », La Voix de La Baie, Bagotville, .

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes modifier

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Route_175_(Québec)&oldid=213542361 ».