Rians (Var)

commune française du département du Var

Rians
Rians (Var)
Blason de Rians
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Brignoles
Intercommunalité Communauté de communes Provence Verdon
Maire
Mandat
Nicolas Bremond
2020-2026
Code postal 83560
Code commune 83104
Démographie
Gentilé Riansais, Riansaises
Population
municipale
4 272 hab. (2021 en augmentation de 0,42 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 36′ 28″ nord, 5° 45′ 28″ est
Altitude Min. 291 m
Max. 651 m
Superficie 96,87 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Rians
(ville isolée)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Rians
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Rians
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Rians
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Rians
Liens
Site web https://www.ville-rians.fr/

Rians [ʁjɑ̃s] est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune située dans le nord-ouest du Var comprend un vaste territoire boisé et trois larges vallées.

Chef-lieu d'un canton limitrophe de plusieurs départements : les Alpes-de-Haute-Provence, le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône, Rians se trouve à proximité du massif de la Sainte-Baume, de la montagne Sainte-Victoire, du pays d'Aix et des lacs du Verdon.

Géologie et relief modifier

Le village est construit en colimaçon au pied de la tour de l'horloge, à 385 m d'altitude.

Massifs environnants :

  • Massif du Concors. Par décret du , une majorité du massif est protégée au titre des sites naturels classés. Le classement a été étendu à la commune de Rians[1].
  • Montagne de Vautubière,
  • Mont Major,
  • Mont Gaugnon,
  • Colline de Saint-Pierre.

Sismicité modifier

Il existe trois zones de sismicité dans le Var :

  • Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer.
  • Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel.
  • Zone Ib : Risque faible. Ce risque le plus élevé du département, qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.

La commune de Rians est en zone sismique de faible risque Ib[2].

Hydrographie et eaux souterraines modifier

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

  • ruisseaux de Castillon, le Réal, du Béarn ;
  • vallats du Carm, de Saint-Paul, de Monseigneur Claude ;
  • vallon Derrière.

Rians dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 3 000 équivalent-habitants[4].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 727 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 2,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vauvenargues », sur la commune de Vauvenargues à 14 km à vol d'oiseau[7], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 738,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41 °C, atteinte le ; la température minimale est de −12,3 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

  • Route départementale 561 depuis Artigues (6,2 km) et Esparron.

Transports en commun modifier

Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

Commune desservie par le réseau régional de transports en commun Zou !. Les collectivités territoriales ont en effet mis en œuvre un « service de transports à la demande » (TAD), réseau régional Zou ![12].

Intercommunalité modifier

Commune membre de la communauté de communes Provence Verdon et du Pays de la Provence Verte.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Rians est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rians, une unité urbaine monocommunale[16] de 4 232 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].

Rians dispose d'un plan local d'urbanisme[21] dont la dernière procédure a été approuvée le [22].

L'aire de la commune est intégrée dans le Schéma de cohérence territoriale (SCoT) Provence Verte Verdon approuvé le [23].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (14,6 %), terres arables (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), zones urbanisées (4 %), cultures permanentes (2,4 %), prairies (0,6 %)[24]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Son nom en provençal est également Rians[25]. La prononciation locale est /rjaŋs/.

Histoire modifier

Dès la Préhistoire, le site fut occupé. Les foyers allumés il y a plus de 40 000 ans dans la grotte de Rigabe (Artigues) en témoignent.

Plus tard les Celto-Ligures élèvent au sommet des collines, les murailles de pierres de nombreux oppidums. Le plus vaste couronne le Montmajor (-200 av. J.-C. à +200).

Au début de notre ère, les Romains font la conquête de la Provence et installent leurs « villas » dans les vallées qu'ils assainissent et cultivent. Au domaine des Toulons, les archéologues ont mis au jour les installations agricoles d'une « villa romaine ». Cette cave viticole romaine serait l'une des plus importantes du monde méditerranéen.

Au Moyen Âge, le « castrum » d'Amirat[26] s'installe sur un promontoire, au confluent de trois vallées fertiles séparées par de vastes collines boisées. Château et village fortifiés sont protégés par un rempart circulaire. Du château, demeurent le donjon, tour de l'horloge qui domine le village, et les restes d'une tour formant la base du clocher. On peut suivre les anciens remparts et pénétrer dans l'espace médiéval par la porte du Portail, flanquée d'une belle tour carrée.

Rians est alors très fréquenté par les personnes et les marchandises qui d'Aix doivent se rendre dans les Alpes. La traversée de la Durance par le bac de Mirabeau étant trop hasardeuse, on préférait emprunter les bacs de Vinon ou de Quinson sur le Verdon.

Seigneurie des vicomtes de Marseille, puis des Fabri au XVIIe siècle, des Valbelle et des Castellane[27]. Rians fut érigé en marquisat par lettres patentes de pour Claude de Fabri, Conseiller au Parlement d'Aix[28].

Grâce à sa situation géographique, à la proximité de la ville d'Aix, aux nombreuses libertés que lui accordent ses seigneurs (foires, marchés, fours, etc.), Rians trop à l'étroit dans sa ceinture circulaire, va se développer.

Jusqu'à la Révolution, un pèlerinage était organisé aux îles de Lérins. Un cantique spécifique en provençal expliquait le chemin du pèlerinage. On peut le consulter dans le livre Les îles de Lérins, Cannes, et les rivages environnants, de l'abbé Alliez[29].

Peu avant la Révolution française, l'agitation monte. Outre les problèmes fiscaux présents depuis plusieurs années, la récolte de 1788 avait été mauvaise et l’hiver 1788-89 très froid. L'élection des États généraux de 1789 avait été préparée par celles des États de Provence de 1788 et de , ce qui avait contribué à faire ressortir les oppositions politiques de classe et à provoquer une certaine agitation[30]. C’est au moment de la rédaction des cahiers de doléances, fin mars, qu’une vague insurrectionnelle secoue la Provence. Une émeute se produit à Rians le [31].

Les armoiries de Rians sont celles des Fabri  , barons, puis marquis de Rians. Cette branche de la famille Fabri n'étant pas l'ainée, ses armoiries sont brisées par le lambel « rouge »[32].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[33],[34]
Période Identité Étiquette Qualité
Paul Clary PCF Agriculteur
Conseiller général du canton de Rians (1948 → 1949)
Réélu en 1947 et 1953
Léopold Carpe    
[35] Suzanne Janetti[36] PS Institutrice puis directrice d'école
Réélue en 1977 et 1983
Paul Courtial   Réélu en 1995
Alain Brémond UMP-DVD Médecin
Suppléant de la députée Josette Pons (2002 → 2012)
[37] Magali Massot DVD Reélue en 2009[38]
[39] Yves Mancer DVD Ingénieur préventionniste
en cours Nicolas Brémond DVD Salarié en immobilier

Budget et fiscalité 2020 modifier

En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi[40] :

  • total des produits de fonctionnement : 4 278 000 , soit 996  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 3 793 000 , soit 883  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 965 000 , soit 225  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 1 152 000 , soit 268  par habitant.
  • endettement : 325 000 , soit 76  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 12,26 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 17,05 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 114,47 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 560 [41].

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

Tourisme modifier

  • Hébergement et restauration : Nombreuses possibilités : restaurants, hôtels, chambre d'hôtes, gîtes.
  • Animation : La fête de la courge, grande fête des cucurbitacées[45].

Commerces et services modifier

  • Commerces et services de proximité[46].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[48].

En 2021, la commune comptait 4 272 habitants[Note 4], en augmentation de 0,42 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 3002 8283 2783 0752 9733 0343 0143 0112 738
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6632 6032 6602 5792 5112 3872 3192 2321 916
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8111 6461 5421 3451 2671 2711 144957892
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 0861 4921 4581 7232 7203 6284 1274 1944 197
2015 2020 2021 - - - - - -
4 2544 3014 272------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Établissements d'enseignements[51] :

  • École maternelle,
  • École primaire[52],
  • Collèges à Vinon-sur-Verdon, Peyrolles-en-Provence, Manosque,
  • Lycées à Saint-Maximin-la-Sainte-Baume.

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[53] :

  • Médecins,
  • Pharmacies à Rians et Jouques,
  • Hôpitaux à Brignoles, Manosque, Pertuis, Aix en Provence

Maison de retraite spécialisée Saint Jacques[54].

Cultes modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
L'église et la tour-beffroi.
 
Tour de l'horloge.

Patrimoine religieux :

le grand orgue de Pascal Leray[57],[58],
et ses cloches des XVIe siècle[59] et XVIIe siècle[60],[61].
  • Chapelles :
  • 19 oratoires.
  • Plaque commémorative[70],[71].
  • Le , un cimetière a été créé pour servir de sépulture aux Pénitents bleu (confrérie).

Autres patrimoines :

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armoiries de Rians se blasonnent ainsi[75] :

D'or au lion de sable, lampassé de gueules et surmonté d'un lambel de gueules.

Armorial de Provence Louis de Bresc.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Décret de protection du site sur Légifrance
  2. sismicité du Var sur le site de la préfecture
  3. L'eau dans la commune
  4. RIANS Village
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Rians et Vauvenargues », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Vauvenargues », sur la commune de Vauvenargues - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Vauvenargues », sur la commune de Vauvenargues - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. Réseau régional de transports en commun
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Unité urbaine 2020 de Rians », sur insee.fr (consulté le ).
  17. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence », sur insee.fr (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. PLU
  22. PLU sur Géoportail
  23. SCOT Provence Verte
  24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  25. Lou tresor dóu Felibrige / Le trésor du Félibrige, F. Mistral, vol. 2, p. 787, édition CPM 1979
  26. « bourg castral d'Amirat », notice no IA83001227, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017).
  28. AD13 B3359 f°111v°
  29. Les Iles de Lérins, Cannes, et les rivages environnants, par l'abbé Alliez
  30. Monique Cubells, « Les mouvements populaires du printemps 1789 en Provence », Provence historique, volume 36, no 145, 1986, p. 309
  31. M. Cubells, op. cit., p. 310 et 312.
  32. « Amiel de Fabri », sur roglo.eu (consulté le ).
  33. Liste des maires de Rians, sur mairie-rians.fr
  34. Joseph Salvarelli, Les Administrateurs du département du Var (1790-1897). Notices biographiques, Draguignan, 1897, pp.365-366 [1]
  35. Élue maire après des élections municipales partielles.
  36. « Suzanne Janetti, ancienne maire de Rians, nous a quittés », Var-Matin,‎ (lire en ligne).
  37. « Rians: le printemps aura encore une consonance électorale », Var-Matin,‎ (lire en ligne).
  38. Le tribunal administratif ayant invalidé le scrutin de 2008, des élections municipales partielles sont organisées : Magali Massot est réélue avec 57% des suffrages. [2]
  39. « Yves Mancer, nouveau maire de Rians », Var-Matin,‎ (lire en ligne).
  40. Les comptes de la commune
  41. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  42. « Coopérative vinicole de Rians et Artigues », notice no IA83001364, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Le Château Vignelaure
  44. Le Domaine Les Toulons
  45. Fête de la courge
  46. Commerces et services de proximité
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. Établissements d'enseignements
  52. École maternelle et élémentaire
  53. Professionnels et établissements de santé
  54. Maison de retraite spécialisée Saint Jacques
  55. Notre Dame de Nazareth
  56. L'église Notre-Dame-de-Nazareth, sur l'Observatoire du patrimoine religieux
  57. Le grand orgue de Rians
  58. Orgue de tribune
  59. Notice no PM83000439, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1511
  60. Notice no PM83000440, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de 1683
  61. Inventaire des cloches à Rians par Monsieur Porre délégué du Var de la Société Française de Campanologie
  62. Chapelle Saint Roch : Saint Enfant
  63. Rians sur le site Provence 7
  64. Pénitents en Provence
  65. Rians , quartier Saint Pierre
  66. « Chapelle Saint-Estève », notice no PA00125725, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  67. Chapelle Saint-Estève (ancienne)
  68. Chapelle de Lambruisse
  69. Chapelle Templière
  70. Plaque commémorative
  71. Monuments aux morts - Var
  72. L'église et la tour de l'horloge
  73. Histoire de Rians
  74. Tumulus Âge du Bronze / Âge du Fer Inventaire des mégalithes
  75. Verdon Mont-Major : Rians, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier