Remy (Oise)

commune française du département de l'Oise

Remy
Remy (Oise)
La mairie.
Blason de Remy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes de la Plaine d'Estrées
Maire
Mandat
Sophie Mercier
2020-2026
Code postal 60190
Code commune 60531
Démographie
Gentilé Remynois
Population
municipale
1 973 hab. (2021 en augmentation de 12,55 % par rapport à 2015)
Densité 99 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 26′ 19″ nord, 2° 42′ 30″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 100 m
Superficie 19,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Remy
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Remy
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Remy
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Remy
Liens
Site web https://www.remy60.fr/

Remy (prononcer [ʁemi] ; nommé également Rémy non officiellement) est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Remynois[1].

Géographie modifier

Description modifier

Remy est située sur le plateau picard, à une distance orthodromique de 9 km de Compiègne, 45 km de Beauvais, 59 km d'Amiens et 70 km de Paris[2].

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 8 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Remy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,8 %), forêts (19,1 %), zones urbanisées (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), prairies (2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Remy se situe près de l'autoroute du Nord et peut être rejointe par la D 26. Elle est également accessible par les anciennes RN 17 et RN 31 par le biais des RD 26 et RD 36.

La Gare de Remy, située sur la ligne de Rochy-Condé à Soissons, est desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares d'Amiens et de Compiègne. En 2009, sa fréquentation était de 16 voyageurs par jour[16].

La commune est desservie, en 2024, par le service Hoplà Le Bus mis en place par la communauté de communes de la Plaine d'Estrées et par les lignes 662, 663, 6301 et 6343 du réseau interurbain de l'Oise[17].

Toponymie modifier

L'étymologie de Remy viendrait de Rem Minus qui signifie "petite voie" en latin. Remy est mentionné pour la première fois en 1156 dans un acte du pape Adrien. Les anciens pensent que le toponyme "Remy" vient de "Remis", le village aurait été déplacé à une époque puis "remis" à sa place, ce qui expliquerait l'absence d'accent.

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Remin (1156) ; Remeium) (1159) ; de Remeio (1159) ; Remin ; Remiacum (1182) ; de Remino (1207) ; Reminium (1208) ; Remim (1210)[18].

Remy est un nom de baptême et patronyme, représentant la forme populaire de Remi de Reims (VIe siecle), qui baptisa Clovis, avec qui se sont confondus quelques saints moins connus (VIIIe-IXe siecles) du nom de Remedius, surnoms latins

Histoire modifier

Si l'on trouve des traces d'occupation pendant la Préhistoire et l'époque gauloise, en témoigne les nombreuses trouvailles au XIXe siècle, Remy se développe à l'époque romaine. En 1245, Remy est laissé à Saint Louis par Gautier de Chatillon, sire de Saint Agnan. Le comté dont le village fait partie fut légué à son cinquième fils, Robert. Un fort fut alors construit dans le village. Il fut pris par les anglais en 1358 et 1429. En 1588, pendant les guerres de religion, Charles d'Humières attaqua le fort. Il fit pendre nombre de vaincus et mit le bourg à sac. Le village disposait à cette époque d'une maladrerie, d'un marché et organisait diverses foires[19]. Le village atteignit au XIVe siècle les 1700 habitants, mais à la suite des guerres et des épidémies diverses, sa population descendit à 700 avant la révolution.

Le village connu de nouveau la croissance avec le développement de la ligne de chemin de fer Soissons-Rochy-Condé. Deux briqueteries virent notamment le jour, l'une dans le village et l'autre dans le hameau de la Patinerie. En 1871, les Prussiens occupèrent le village.

En 1914, le village fut de nouveau brièvement occupé par les allemands. A la fin de la Première guerre mondiale, le village de Remy, situé à quelques kilomètres du front (voir Bataille du Matz) reçoit la croix de guerre[20].


En 1940, l'aviateur Jean Lacombe est abattu au-dessus du village. En 1944, un train allemand explose en gare de Remy après une attaque aérienne. Cette explosion coûte la vie à un jeune homme du village et au pilote de l'avion Houston Lee Braly Junior. La dépouille de ce dernier fut cachée pour qu'elle ne tombe pas aux mains des allemands. L'explosion fut si forte qu'elle explosa les vitraux de l'église, pourtant distante de plus d'un kilomètre et coûta la vie à un jeune habitant du village. La gare et son quartier furent rasés (voir Gare de Remy ) . Le village recevra la médaille militaire 39-45. Ce n'est que 55 ans plus tard que les vitraux furent restaurés, quand à la suite du cinquantenaire, Roy Blaha, qui participa au raid de la gare et touché par la bienveillance des rémynois pour son ami pilote, lança une cagnotte et récolta 200 000 dollars. Cet argent permit de restaurer les vitraux, inaugurés en 2000.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise (département).

Elle faisait partie depuis 1802 du canton d'Estrées-Saint-Denis[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité modifier

Remy est membre de la communauté de communes de la Plaine d'Estrées, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 1995 Michel Campion    
Les données manquantes sont à compléter.
1995 4 septembre 2012[22] Denis Panse   Démissionnaire
octobre 2012 En cours
(au 2 décembre 2020)
Sophie Mercier   Présidente de la Communauté de communes
Réélue pour le mandat 2020-2026[23],[24]

Politique de développement durable modifier

Dans le cadre de la mise en œuvre du programme régional « un million d’arbres en Hauts-de-France[25] » , la municipalité a fait planter 500 arbres fin 2020 afin de renforcer la biodiversité, sur une parcelle proche de la gare, destinée à devenir une zone de balade et de cueillette[26].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 1 973 habitants[Note 3], en augmentation de 12,55 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
715781804772810816802829864
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9209249289749781 0131 0571 0721 005
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9389229199391 0261 035907936983
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0411 1281 1911 1661 7831 8521 7661 7461 763
2018 2021 - - - - - - -
1 8811 973-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 935 hommes pour 946 femmes, soit un taux de 50,29 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,2 
4,3 
75-89 ans
7,0 
16,0 
60-74 ans
14,7 
21,7 
45-59 ans
22,1 
18,5 
30-44 ans
20,1 
18,0 
15-29 ans
14,6 
21,0 
0-14 ans
20,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Sports modifier

Le stade communal porte le nom de Michel Vasquez, président du club de foot de Rémy depuis 1990[32].

Autres services publics modifier

La commune dispose en 2021 d'un bureau de poste.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Remy compte un monument historique sur son territoire :

  • Église Saint-Denis, rue de l'Église (classée monument historique par arrêté du [33]) : C'est un vaste édifice de style gothique flamboyant et Renaissance, qui se substitue à un édifice plus ancien du début du XIIIe siècle, dont certains éléments subsistent, notamment les murs d'extrémité de l'ancien transept. Assez marquant pour le paysage est le clocher-porche du XVIe siècle haut de 35 m, dont les principaux éléments stylistiques, réseaux des baies de l'étage de beffroi, balustrade et flèche, sont des aménagements des années 1861 / 1873. Il y a, surtout à l'extérieur, une nette séparation entre nef des fidèles et chœur liturgique. Les murs gouttereaux des bas-côtés, un peu rustiques et de faible hauteur, sont en fort contraste avec l'élégance et la hauteur des parties orientales, et le raffinement de son décor Renaissance. À l'intérieur, le style flamboyant prévaut, et les différences entre nef et chœur sont moindres. Ils sont surtout de la même hauteur et de la même largeur. Cependant, les voûtes de la nef et de son bas-côté sud datent seulement du XIXe siècle, et sont dénuées d'intérêt artistique. Seul le bas-côté nord conserve son beau plafond lambrissé du XVIe siècle. Plus impressionnant est le double transept, qui forme un ensemble homogène avec l'abside à pans coupés, et est assez unique dans son genre en raison du type de piliers à huit ondulations et autant d'arêtes, et des frises Renaissance en guise de chapiteaux. Tout en puisant ses sources dans l'architecture antique, ils ne reproduisent pour autant aucun des ordres classiques. L'on peut seulement déplorer le manque de soin apporté à certains éléments de la modénature. Exceptionnelle pour une église rurale, qui n'a jamais été que simple église paroissiale, l'église Saint-Denis offre aussi un mobilier riche et varié, avec notamment un ensemble de vingt-six stalles du milieu du XVIe siècle, et neuf verrières de l'abbé Deligny. Curé de Remy de 1863 à 1883, il s'était improvisé vitrailliste dès son premier ministère à Jonquières, et laisse une œuvre à la marge des conventions, préfigurant l'Art nouveau[34]. Les vitraux seront soufflés par l'explosion d'un train de munitions en 1944. Dans les années 90, l'un des deux pilotes ayant détruit le train récoltera des fonds (près d'un million de francs) pour que l'église dispose de nouveaux vitraux, inaugurés en 2000[35].

On peut également signaler :

  • Nécropole nationale de Remy : La nécropole a été créée en 1920 et accueille les soldats enterrés dans les cimetières des alentours. On compte 1829 tombes de soldats français, 56 de victimes civiles et 6 de soldats de la Seconde Guerre Mondiale. A l'occasion du centenaire de l'armistice, la nécropole a été rénovée.
  • Château de Rémy. Situé au nord du village, il a subsisté jusqu'en 1797. On retrouve des restes de remparts dans le village. La prévôté y tenait audience, elle était composée d'un procureur du roi, d'un prévôt et de deux avocats, d'un huissier et d'un greffier. Ce système a perduré jusqu'à la révolution.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Philippe de Remy sire de Beaumanoir (vers 1215-1265), bailli du Gâtinais. Il publia plusieurs ouvrages, dont un roman courtois Jehan et Blonde, un récit imaginaire La Manekine. Il traite dans ses romans un idéal chevaleresque, où les valeurs morales sont finalement récompensées après bien des épreuves.
  • Philippe de Beaumanoir (1250-1296) juriste, conseiller du roi, et auteur des premières Coutumes du Beauvaisis. C'est un des tout premiers ouvrages de jurisprudence. Ces recueils de lois permettaient de rendre une meilleure justice, moins dépendante du pouvoir féodal. Il fut successivement bailli de Clermont, de Saintonge, de Vermandois, de Touraine, puis de Senlis. Il est le bâtisseur du château de l'abbaye royale du Moncel, où deux tours et une porte sont encore visibles. Les fondations ont été récemment dégagées.
  • Abraham Ravaud, dit Abraham Remy (1600-1646), poète réputé en son temps. Ses œuvres majeures sont écrites en vers latins. À sa mort, il fit un legs important en faveur de la restauration et de l'embellissement de l'église de Remy. Une stèle en son hommage fut installée dans l'église mais fut en partie détruite à la révolution. Une rue porte son nom dans le village.
  • François-Louis Bourdon (1758-1799) était un très actif député de l'Oise pendant la Révolution française. Sa famille acheta la Tasche-Fresnel, manoir du village qui prendra le nom de ses propriétaires quelques années plus tard "Le Clos-Bourdon". Fervent révolutionnaire puis réactionnaire, participant à la chute de Robespierre, il fut déporté à Cayenne et y mourut.
  • L'Abbé Deligny (1808-1887) Curé du village de 1861 à 1883. C'est lui qui créa les vitraux de l'église Saint Denis. C'est à lui que le village doit le presbytère, construit à ses frais, après la guerre de 1870.

Héraldique modifier

Les armes de Remy se blasonnent ainsi :

de sinople à la grande losange de gueules bordée d’or, chargée d’une quintefeuille du même, cantonnée de quatre merlettes d’argent, adossées deux à deux

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Nom des habitants de Remy », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Distance orthodromique entre Remy et... »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
  3. « Communes limitrophes de Remy » sur Géoportail..
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Remy et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. résumé de la ligne
  17. « Transports en commun à Remy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  18. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes, formations dialectales, Genève, Droz, , p. 857.
  19. Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-S.t-Denis, arrondissement de Compiègne (Oise), (lire en ligne)
  20. « Les deux guerres mondiales », sur Mairie de Remy (consulté le ).
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « CONSEIL MUNICIPAL DE RÉMY - LE 13 SEPTEMBRE 2012 » [PDF], Mairie de Rémy (consulté le ) : « Madame Sophie MERCIER rappelle que le préfet de l’Oise a accepté la démission de Monsieur Denis PANSE de ses fonctions de maire à compter du 4 septembre 2012, et que conformément aux dispositions de l’article L.2122-17 du code général des collectivités territoriales, il lui appartient, en tant que première adjointe, de le remplacer dans la plénitude de ses fonctions jusqu’à l’élection des nouveaux maire et adjoints », p. 1.
  23. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Remy – le 28 mars 2014 - PROCÈS-VERBAL DE L’ÉLECTION DU MAIRE ET DES ADJOINTS » [PDF], sur Mairie de Rémy (consulté le ).
  24. « Procès-verbal de la séance du conseil municipal du mardi 26 mai 2020 » [PDF], Comptes-rendus officiels, sur remy60.fr (consulté le ).
  25. Yannick Boucher, « La Région Hauts-de-France vote la plantation d’un million d’arbres en trois ans : Appels à projets pour les communes, soutien aux associations, actions dans les lycées : les premières plantations d’arbres sont programmées cet automne », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Raphael Nappey, « Rémy et ses 500 arbres : Dans le cadre d’un plan lancé par la Région, la commune de Rémy a commencé la plantation de 500 arbres », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Remy (60531) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. « Michel Vasquez va donner son nom au stade de Rémy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Église Saint-Denis », notice no PA00114833, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « En savoir plus… », sur Mairie de Remy (consulté le ).
  35. Par C. D. Le 30 juillet 2000 à 00h00, « L'émouvante histoire des vitraux de Remy », sur leparisien.fr, (consulté le ).