Rébénacq

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques
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Rébénacq
Rébénacq
L'église Saint Jean-Baptiste de Rébénacq.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée d'Ossau
Maire
Mandat
Alain Sanz
2020-2026
Code postal 64260
Code commune 64463
Démographie
Population
municipale
647 hab. (2021 en diminution de 4,57 % par rapport à 2015)
Densité 62 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 09′ 36″ nord, 0° 23′ 44″ ouest
Altitude Min. 257 m
Max. 516 m
Superficie 10,50 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Rébénacq
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Rébénacq
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Rébénacq
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Rébénacq

Rébénacq est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Rébénacquois[1].

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Rébénacq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

Elle se situe à 17 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 19 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Bescat (4,5 km), Bescat (4,8 km), Lasseubetat (5,2 km), Sévignacq-Meyracq (5,2 km), Haut-de-Bosdarros (5,5 km), Buzy (5,8 km), Bosdarros (6,3 km), Sainte-Colome (6,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Rébénacq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

Communes limitrophes de Rébénacq[7]
Gan Bosdarros
Buzy   Sévignacq-Meyracq
Bescat

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Rébénacq.

La commune est drainée par le Neez, le Soust et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Neez, d'une longueur totale de 26,1 km, prend sa source dans la commune de Sévignacq-Meyracq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Jurançon, après avoir traversé 5 communes[9].

Le Soust, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune de Sévignacq-Meyracq et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Pau, après avoir traversé 7 communes[10].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 398 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Asson à 12 km à vol d'oiseau[14], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 376,5 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[19], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[20],[Carte 2].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Rébénacq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (60,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,9 %), forêts (32,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), mines, décharges et chantiers (6,3 %), zones urbanisées (4,2 %), terres arables (1,1 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux modifier

  • Bitaube ;
  • las Bouderies ;
  • Ger ;
  • Hourquet ;
  • Pic ;
  • la Serre ;
  • Village.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Rébénacq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Soust et le Nez. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1997, 2007, 2009, 2011, 2014 et 2018[29],[27].

Rébénacq est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[30]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[31],[32].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[33]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[34].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rébénacq.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[35]. 91,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[36].

Toponymie modifier

 
Panneau bilingue français-occitan de la commune

Le toponyme Rébénacq apparaît[37] sous les formes Arrevenac (1346, contrats de Barrère[38]), Revenac (1385, censier de Béarn[39]), Bastide de Rebenacq (1445, dénombrement de Rébénacq[40]), Arrebenag (1457, notaire d'Assat[41]) et Rebenac à la Révolution.

Son nom béarnais est Revenac[42] ou Rebenac[43].

La commune tient son nom de Jean de Rébénacq, officier de Gaston Fébus chargé de la construction de la bastide[44].

Histoire modifier

En 1385, Rébénacq comptait 25 feux et dépendait du bailliage de Nay[37].

La bastide de Rébénacq est une bastide créée par Gaston Fébus en 1347. La commune tire son nom de son constructeur, Roger d'Arevenac, officier vicomtal.

Lors de la Révolution française, un suffrage censitaire est institué pour les élections municipales. Seules les personnes dont le montant de l’impôt direct était supérieur à l’équivalent de trois journées de travail pouvaient voter. Les communes pouvaient ajuster ce montant, et Rebenac le fit. Le montant prévu par l’Assemblée constituante ne permettait qu’à 11 personnes de voter. En abaissant le montant du cens à 18 sol, elle permit à 130 personnes de devenir citoyens actifs[45].

Le 14 juin 1944, trois policiers résistants, Louis Mourlhon, Michel Loustau et Pierre Cotonat sont exécutés par l'armée allemande à Rébénacq. Le corps du premier sera retrouvé dans une fosse commune à Idron.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 1989 Joël Barradat    
1989 En cours Alain Sanz MoDem  

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de quatre structures intercommunales[46] :

La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[48].

En 2021, la commune comptait 647 habitants[Note 8], en diminution de 4,57 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8106818359531 1391 0701 1031 1051 119
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0271 0051 004949945924840865785
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
840825835681665621589527559
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
543541505519672673659660681
2015 2020 2021 - - - - - -
678653647------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Rébénacq fait partie de l'aire urbaine de Pau.

Économie modifier

L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'Ossau-Iraty[51].

La pureté des eaux du Neez a permis le développement de la pisciculture.

De son passé industriel (papeterie, marbrerie), il reste surtout plusieurs carrières de roches massives, servant notamment à la construction de route et d'enrochements, en activité sur le territoire de la commune.

Culture locale et patrimoine modifier

Fête communale le jour de la Saint-Jean.

Patrimoine civil modifier

  • Bastide médiévale du XIVe siècle.
  • Château de Bitaubé (XVIIIe siècle).
  • De nombreuses fontaines et lavoirs répartis sur tout le territoire du village.
  • Des bains thermaux (XIXe siècle).

Patrimoine religieux modifier

  • Église Saint-Jean-Baptiste des XVIIIe et XIXe siècles.

Équipements modifier

La commune possède une école primaire.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Jean-Baptiste de Bitaubé, originaire de Gan et expatrié (Cadix et alentour) de retour au pays en 1775, fit construire le château qui domine le village, et qui porte son nom[52].
  • Rose Caubet (1842-1923), couturière et cafetière française proche des milieux anarchistes, notamment impliquée dans la Commune de Paris. Elle est née et a grandi dans une maison très modeste située au début de la route de Bosdarros (disparue aujourd'hui).

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes

Références modifier

  1. Gentilé sur habitants.fr
  2. « Métadonnées de la commune de Rébénacq », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Rébénacq et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Rébénacq et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches de Rébénacq », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. « Fiche communale de Rébénacq », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  9. Sandre, « le Neez ».
  10. Sandre, « le Soust ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Rébénacq et Asson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Asson » (commune d'Asson) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Asson » (commune d'Asson) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Rébénacq », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Rébénacq », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  30. « Plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Réglementation-usages du feu à l’air libre - obligations légales de débroussaillement - département 64 », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr date=16 septembre 2022 (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  33. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  34. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Rébénacq », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  36. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  37. a et b Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  38. Barrère, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle- Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  39. Manuscrit de 1385 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  40. Manuscrit du XVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  41. Notaire d'Assat - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  42. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
  43. Institut béarnais et gascon, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie moderne » [PDF] (consulté le ).
  44. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, BNF 35515059), p. 75..
  45. La rédaction, « Débat sur le suffrage censitaire en 1789 (d’après A. Aulard, Histoire politique de la Révolution, Armand Colin, 1901) ». Revue Quart Monde, N°131, consulté le 23 janvier 2013
  46. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. Institut national de l'origine et de la qualité, Ossau-Iraty [lire en ligne]
  52. Ministère de la culture, Château de Bitaubé [lire en ligne] consulté en linge le 23 juillet 2023

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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