Razines

commune française du département d'Indre-et-Loire

Razines
Razines
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Val de Vienne
Maire
Mandat
Franck Libéreau
2020-2026
Code postal 37120
Code commune 37191
Démographie
Gentilé Razinois
Population
municipale
225 hab. (2021 en diminution de 5,86 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 58′ 35″ nord, 0° 22′ 43″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 134 m
Superficie 14,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Sainte-Maure-de-Touraine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Razines
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Razines
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Voir sur la carte topographique d'Indre-et-Loire
Razines
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Razines

Razines est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie modifier

Le village se trouve dans une campagne très reculée, à environ 10 km de Richelieu (Indre-et-Loire) ; Razines est bordé par le petit cours de la Veude. Les villages aux alentours sont Jaulnay, Braslou, Braye-sous-Faye, ou encore Faye-la-Vineuse. L'accès le plus simple à Razines se fait par la RD 749.

Communes limitrophes de Razines
Braye-sous-Faye Braslou
 
Faye-la-Vineuse Jaulnay

Hydrographie modifier

 
Réseau hydrographique de Razines.

Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 12,1 km, comprend un cours d'eau notable, la Veude (5,3 km), et trois petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

La Veude, d'une longueur totale de 42,2 km, prend sa source à une altitude de 150 m sur la commune de Thuré (Vienne) et se jette dans la Vienne à 36 m d'altitude[3], à la limite entre les communes d'Anché et de Rivière, après avoir traversé 14 communes[4]. La station hydrométrique de Lémeré permet de caractériser les paramètres hydrométriques de la Veude. Le débit mensuel moyen (calculé sur 22 ans pour cette station) varie de 0,32 m3/s au mois d'août à 2,31 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 24,90 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 2,57 m ce même jour[5],[6]. Sur le plan piscicole, la Veude est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Courcoué à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 688,4 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Razines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,7 %), forêts (26 %), prairies (16 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), cultures permanentes (2,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Razines est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Razines.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 139 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 127 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

Toponymie modifier

Attestée sous les formes Ecclesia Razinae en 1062, puis Razina en 1085.

Ce nom est issu du mot gaulois ratis, pour indiquer la "fougère", avec un suffixe diminutif -ina qu'il faut interpréter non pas comme une "petite fougère" mais un "petit lieu où pousse la fougère".

Le -s qui a été ajouté plus tard, est ce qu'on appelle adventice: il ne faut pas y voir une marque du pluriel.

Histoire modifier

Une très ancienne tradition veut qu'à la veille de la bataille de Poitiers, en 732, les Sarrasins soient venus camper à Razines avec leurs chevaux, attirés par l'abondance et la pureté des eaux vives qui y jaillissaient un peu partout. Ils auraient baptisé l'endroit « Ras el-Aïn », le « pays des sources », qui nous aurait donné « Razines ». Dès le XIIe siècle en tout cas, Razines figure dans le cartulaire de l'abbaye du Noyers sous le nom d'« ecclesia Beata Maria de Razina ». Sur ce document il apparaît qu'en 1106, un certain Adémar de Granier, résident de Faye-la-Vineuse dont relevait, à titre de fief, le territoire de Razines, fit don de l'intégralité de ses droits sur l'église de Razines tout juste construite, à l'abbaye de Noyers. Razines fut l'un des fiefs de Faye-la-Vineuse durant des siècles. Razines est aujourd'hui rattachée à la province ecclésiastique de Tours.

Politique et administration modifier

Le maire actuel de Razines est Franck Libéreau, et le conseil municipal est composé de onze conseillers et conseillères. Razines fait partie du diocèse de Tours et du canton de Richelieu. Si Razines a aujourd'hui son église, son presbytère, sa mairie et son école, ce ne fut pas toujours le cas : au milieu du XIXe siècle Razines ne possédait plus ces bâtiments, et était destinée à mourir. En effet, en 1860, le préfet d'Indre-et-Loire estima que Razines était bien trop pauvre pour bénéficier encore du statut de commune, et décida que l'espace communal devait être divisé en trois et rattaché aux communes voisines. Pour sauver le village, un des concitoyens, le docteur Paulin Archimbault, fit construire à ses frais une église, un presbytère ainsi qu'une école. Le restant des villageois offrit une mairie à la commune. Et c'est ainsi qu'en 1861, la commune fut sauvée. L'église continue encore aujourd'hui d'organiser des messes, dites par le curé de village de Braslou. L'école accueille les deuxièmes années de maternelle des quatre villages alentour, celle de Jaulnay, les premières années, et celle de Braslou, les troisièmes années. L'ancienne épicerie de la rue des Caves est fermée depuis 1998, le seul commerce restant sur la commune de Razines étant maintenant l'auberge de la place. Les principales activités agricoles sur la commune sont la culture intensive du melon et des céréales, et la viticulture.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1830   Charles Reverdy    
1874 1884 Désiré Beausse (1er du nom)    
1884 1904 Désiré Beausse (2e du nom)    
1971 1995 Henri Beausse SE Négociant-Agriculteur
1995 2008 Cécile Giraudet SE Agricultrice
2008 2020 Daniel Dupuy SE Agriculteur
mai 2020 en cours Franck Libéreau SE Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 225 habitants[Note 2], en diminution de 5,86 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
297291265298299332355341331
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
350345344300323322372365356
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
347363360323344332328351366
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
333316254253262246243242244
2018 2021 - - - - - - -
234225-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Razines se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

L'école maternelle accueille les élèves de la commune.

Lieux et monuments modifier

Razines est un vieux village aux confins de la Touraine et du Poitou. Son passé est on ne peut plus riche pour un si petit village.

La vieille église modifier

L'ancienne église Sainte-Catherine de Razines fut l'un des premiers monuments et bâtiments construits sur la commune. Elle fut construite bien en dehors du bourg au Xe siècle. Elle possède une façade orientale, encore bien conservée, présentant une belle porte en plein cintre aux élégantes voussures, un larmier soutenu par des modillons sculptés, le tout surmonté d'un clocher à peigne à deux baies jumelles. À la suite de son rachat par la commune, une association « Les amis de l’Ancienne Église de Razines » a été créée en 2017 par trois razinoises. Cette structure a pour but premier la restauration et la sauvegarde de l’édifice. À terme, le projet est de faire revivre le monument en y installant une activité artisanale. Une page facebook a été créée à cette occasion.


Le château de Chargé modifier

Ancien fief de l'abbaye de Noyers, le château fut construit par un certain Isembard de Chargé, qui l'a offert, avec l'abbaye du Noyers, à sa femme Oda. Passé ensuite en différentes mains, profondément remanié aux XVIe siècle, XVIIe siècle et XVIIIe siècle, par la famille de Blet, ses propriétaires, saisi à la Révolution en qualité de bien national, il existe toujours et ses bâtiments abritent une exposition agricole. Le château possédait des dépendances, notamment la bâtisse de Haute-Claire, désormais propriété de la famille Beausse depuis le XVIIIe siècle. Un souterrain de plus de 800 mètres, assez large pour accueillir un attelage de chevaux, courait depuis le château vers la ferme de Haute-Claire. Il existait également une chapelle accolée au château construite au XIVe siècle, celle-ci sera détruite en 1890.

Le prieuré de Saint-Gilles-des-Cols modifier

Situé au nord de Saulnay, dépendance de l'abbaye de Noyers et fief du château de Saumur, Ce prieuré aurait été construit au XIe siècle, sur un tumulus. Il y aurait eu ici une source qui guérissait de la folie. À 800 mètres de cette chapelle, se trouvait un champ de foire et les fouilles archéologiques menées à cet emplacement font remonter son origine à l'époque gallo-romaine. Bien après l'époque médiévale s'y tenait encore une foire annuelle en mémoire d'une victoire sur les musulmans. Il y a d'ailleurs non loin de la chapelle le « Carroi des sept chemins », où se tenaient deux foires au bestiaux annuelles jusqu'en 1900. Les derniers vestiges de la chapelle étaient encore visibles en 1850. Il n'en reste aujourd'hui pour seule trace qu'un bénitier en calcaire, propriété d'une famille du village.

Autres sites historiques modifier

Le château du Pont, « Terra de ponte araldi », était au XIe siècle un pont fortifié dépendant de l'abbaye du Noyers et entouré de douves. C'était à cette époque le seul pont sur la Veude. Il était en 1500 propriété de René de Razines. L'édifice a été entièrement rebâti au XVIIe siècle ; n'en subsiste aujourd'hui qu'un pavillon à deux étages.

Le manoir de Réveillon et le château de Milly sont quant à eux deux excellents exemples de bâtisses tourangelles de style directoire telles que l'on pouvait en voir au XVIIIe siècle.

Le domaine de la Garelière, où sur 22 hectares s'étend l'un des meilleurs vignobles de la région, est une ancienne propriété du cardinal de Richelieu, d'où il tirait autrefois son propre vin de table, le faisant venir à Paris. Le vignoble bénéficie aujourd'hui d'une appellation A.O.C

Beaucoup d'autres monuments sont encore à découvrir sur la commune de Razines, comme le château du Fougeray, construit au XIXe siècle par les Pradeau, et d'autres vestiges : four, lavoir, souterrains, moulin (comme celui de Girrault, pont, joubert)…

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Article connexe modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Razines », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Confluence de la Veudre avec la Vienne » sur Géoportail (consulté le 25 janvier 2019)..
  4. « Fiche Sandre - la Veude », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  5. « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  6. « Station hydrométrique L7123001, la Veude à Lémeré »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  7. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Razines et Courcoué », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Courcoué », sur la commune de Courcoué - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Courcoué », sur la commune de Courcoué - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Razines », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.