La Ferté-Vidame

commune française du département d'Eure-et-Loir
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La Ferté-Vidame
La Ferté-Vidame
La mairie.
Blason de La Ferté-Vidame
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté de communes des Forêts du Perche
Maire
Mandat
Catherine Stroh
2020-2026
Code postal 28340
Code commune 28149
Démographie
Population
municipale
566 hab. (2021 en diminution de 20,06 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 36′ 44″ nord, 0° 54′ 06″ est
Altitude 246 m
Min. 214 m
Max. 286 m
Superficie 39,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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La Ferté-Vidame
Liens
Site web http://mairielafertevidame.fr/

La Ferté-Vidame est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Géographie modifier

Situation modifier

La Ferté-Vidame est une commune de la région naturelle du Thymerais. Elle est limitrophe du département de l'Orne et située à 36 km de Saint-Lubin-des-Joncherets, 40 km de Dreux et 49 km de Chartres.

Communes et département limitrophes modifier

Hydrographie modifier

La commune abrite la source de la Meuvette, affluent en rive droite de l'Avre, sous-affluent du fleuve la Seine par l'Eure[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 730 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Senonches à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 817,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

La Ferté-Vidame est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (79,7 %), terres arables (8,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,6 %), prairies (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %), zones urbanisées (0,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de La Ferté-Vidame est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gervaine, le ruisseau de Lamblore, le Buternay, le ruisseau de Pipe-Souris et le Meuvette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993 et 1999[16],[14].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Ferté-Vidame.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 407 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 120 sont en aléa moyen ou fort, soit 29 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme Ferteia en 985, relatif à une première fortification et atteste de l'installation d'un château primitif, vraisemblablement d'une motte[19].

Une ferté (du latin firmitas ; à rapprocher de ferme) est au Moyen Age une forteresse, un site fortifié (château fort, fortification, rempart) permettant de tenir solidement, fermement, une position et d'en assurer la défense et la sécurité.

La Ferté-Vidame, le titre de vidame de Chartres fut deux fois associé à La Ferté, car deux fois, par le jeu des alliances, le vidamé (la vidamie) de Chartres fut possédé par les seigneurs de La Ferté.

Un vidame désigne à l'origine celui qui mène l'armée d'un évêque et exerce au nom de celui-ci un certain nombre de droits féodaux. À l'époque moderne, le titre de vidame est intégré à la hiérarchie nobiliaire, et considéré comme équivalent à celui de vicomte. Certains titres de vidames étaient attachés à des fiefs, d'autres étaient héréditaires : les vidames de Chartres relèvent au début de la deuxième sorte, ils n'étaient pas au départ liés à une terre précise ; puis sous l'Ancien Régime on les associe volontiers à la terre de La Ferté-Arnaud (ou La Ferté-Ernault, devenue La Ferté-Vidame), qu'ils possèdent alors systématiquement.

Histoire modifier

Moyen Age et Époque moderne modifier

Révolution française et Empire modifier

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de La Ferté-les-Bois[20].

Époque contemporaine modifier

XIXe siècle modifier

En 1844, la Ferté-Vidame absorbe la commune de Réveillon[20].

XXe siècle modifier

Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la République espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[21], dont La Ferté-Vidame[22]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[23]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[24].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1971 Louis Poussin    
1971 2001 Jacques Dussutour RPR Conseiller général du canton de La Ferté-Vidame (1973-2004)
2001 2014 Jean-Pierre Jallot UMP Conseiller général du canton de la Ferté-Vidame (2004-2015)
2014 2020 Bernard Planque SE Retraité
2020 En cours Catherine Stroh    

Politique environnementale modifier

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[25].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8088587258087728318229741 040
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9751 0039399339791 0061 027960978
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
956966881801831778745849802
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
893793790784801818779777729
2015 2020 2021 - - - - - -
708581566------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Église Saint-Nicolas modifier

 
Église Saint-Nicolas.

Église Saint-Nicolas, XVIIe siècle,   Classé MH (1976)[28].

Dans cette église se trouve une plaque funéraire avec l'inscription suivante :

« Ci git Louis de Saint Simon, pair de France, comte de Rasse, Grand d’Espagne de première classe, marquis de Ruffec, comte de La Ferté Arnault, vidame de Chartres, gouverneur des ville, citadelle et comté de Blaye, bailly et gouverneur de Senlis, chevalier des ordres du Roy, cy devant du Conseil de Régence dès son établissement, depuis ambassadeur extraordinaire en Espagne, décédé le , âgé de 80 ans environ. Requiescat in pace. »

Château de la Ferté-Vidame modifier

 
Château de la Ferté-Vidame.

Château de la Ferté-Vidame, ancien domaine de Jean-Joseph de Laborde,   Classé MH (1976, 1991),   Inscrit MH (2007)[29].

Ancienne église Saint-Pierre de Réveillon modifier

 
L'ancienne église Saint-Pierre de Réveillon.

L’ancienne église du Réveillon comporte une représentation murale du Dit des trois morts et des trois vifs : trois jeunes gentilshommes sont interpellés dans un cimetière par trois morts, qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme,   Classé MH (1978)   Inscrit MH (1978)[30].

Le cimetière qui l'entoure accueille notamment la sépulture de Michel Jobert.

Château du Hallier modifier

Centre d'essai Citroën modifier

 
Prototypes TPV de la 2CV retrouvés en 1994 dans une grange au centre d'essai de Citroën.

Les bureaux d'étude de Citroën ont disposé à la Ferté-Vidame d'un centre d'essai secret, avec une piste dissimulée dans un parc clos. C'est ici qu'ont roulé les premiers prototypes de la 2CV, appelé projet TPV. On y a retrouvé en 1994, trois exemplaires oubliés de la présérie de 1939, qui y furent cachés aux Allemands à la veille de la guerre. Cette découverte a été révélée au grand public en 1995 et exposée au salon Rétromobile de 1998. Elles sont maintenant exposées au conservatoire Citroën.

C'est sur ce site et dans le parc du château, qu'est organisé les 19, 20 et 21 juillet 2019 le "rassemblement du siècle", organisé par la société Automobiles Citroën destiné à célébrer le centenaire de la marque, et réunissant 60 000 personnes dont 10 000 collectionneurs et 4 200 véhicules Citroën exposés.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Pierre Trouillard (vers 1620-1677), pasteur calviniste ;
  • Louis de Rouvroy (1675-1755), duc de Saint-Simon, pair de France, dont le père acquiert le château en 1635 ;
  • Jean-Joseph de Laborde (1724-1794), propriétaire du château de 1764 à 1784 ;
  • La famille Humbert, demeurant au château du Hallier.
  • Joseph Claussat (1874-1925), homme politique mort à La Ferté-Vidame ;
  • Violette Nozière (1915-1966), aussitôt après sa libération le , elle vient séjourner à la Ferté-Vidame dans la maison de rééducation du père Courtois, aumônier de l'administration pénitentiaire, que celui-ci vient d'ouvrir[31] ;
  • Michel Jobert (1921-2002), homme politique et écrivain français, dont la sépulture est à Réveillon.

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

d’azur au château de trois tours d’or maçonné de sable.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Meuvette (H4240600) » (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre La Ferté-Vidame et Senonches », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Senonches », sur la commune de Senonches - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Senonches », sur la commune de Senonches - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Ferté-Vidame », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. F. Couvin, Ferté-Vidame (La) (Eure-et-Loir) : Le château, Archéologie médiévale, t. 23, CNRS Éditions, , p. 424-425.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : La Ferté-Vidame », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  21. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps, no 44,‎ , p.43 (lire en ligne).
  22. Sodigné-Loustau 1996, p. 46.
  23. Sodigné-Loustau 1996, p. 43-44.
  24. Sodigné-Loustau 1996, p. 47.
  25. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Église Saint-Nicolas », notice no PA00097107, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Château de la Ferté-Vidame », notice no PA00097106, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Ancienne église du Réveillon », notice no PA00097108, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. France-Soir, 31 août 1945, p.2 :"Après sa rentrée fort discrète dans le monde, Violette Nozières avait pris avec sa mère le train de Paris. Elle s'est arrêtée à La Ferté-Vidame (Eure-et-Loir) pour séjourner quelque temps dans la maison de rééducation que le R.P. Courtois, aumônier de l'administration pénitentiaire vient d'ouvrir dans cette commune."