Préguillac

commune française du département de la Charente-Maritime

Préguillac
Préguillac
La mairie, ancienne école communale.
Blason de Préguillac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saintes
Intercommunalité CA de Saintes
Maire
Mandat
Martine Mirande
2022-2026
Code postal 17460
Code commune 17289
Démographie
Gentilé Préguillacais
Population
municipale
431 hab. (2021 en diminution de 7,31 % par rapport à 2015)
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 18″ nord, 0° 36′ 55″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 69 m
Superficie 6,60 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saintes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thénac
Législatives 3e circonscription de la Charente-Maritime
Localisation
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Préguillac
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Préguillac
Liens
Site web https://www.preguillac.fr

Préguillac est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Préguillacais et les Préguillacaises[1].

Géographie modifier

Description modifier

La commune de Préguillac se situe dans le centre du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l’ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi de la France — on parle plus précisément de « Midi atlantique »[2], elle est au cœur de l’arc atlantique.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Préguillac
Les Gonds
Thénac   Berneuil
Tesson

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Préguillac est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saintes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,2 %), zones agricoles hétérogènes (29,3 %), forêts (20,6 %), zones urbanisées (3,8 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 209, alors qu'il était de 198 en 2013 et de 174 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 93,8 % étaient des résidences principales, 1,4 % des résidences secondaires et 4,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Préguillac en 2018 en comparaison avec celle de la Charente-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,4 %) inférieure à celle du département (22,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 79,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,9 % en 2013), contre 65,2 % pour la Charente-Maritime et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Préguillac en 2018.
Typologie Préguillac[I 1] Charente-Maritime[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 93,8 70,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,4 22,1 9,7
Logements vacants (en %) 4,8 7,1 8,2

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Préguillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Boutonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[11],[9].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Préguillac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[12].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 27,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 204 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 164 sont en aléa moyen ou fort, soit 80 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[13],[14].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[15].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[16].

Toponymie modifier

Le toponyme est caractéristique des toponymes en -ac, la première partie est issue d'un anthroponyme gallo-romain, suivi par le suffixe -acum.

Histoire modifier

Préhistoire modifier

Des premières fouilles sont réalisées par Louis-René Nougier en 1965 sur le site du Clône Flanquet. L’archéologue Claude Burnez[17] y fait la découverte d’outils du Campignien[18].

À l’occasion de gros travaux d’aménagement d’un poste électrique à haute tension sur la commune, des fouilles ont été entreprises en 1988 sur le site de Pédeau[19]. En 2005 et 2006, le lieu-dit les Arnoux[20] est également fouillé en prévision de la construction d’un lotissement pavillonnaire.

  • Le Pédeau : les fouilles de 1988 ont permis de découvrir les traces d’un habitat de l’Âge du fer, à l’époque Protohistorique, c’est-à-dire de -800 à -400[21],[22].
  • Les Arnoux : au nord-ouest se trouve un site néolithique contemporain de la civilisation de Peu-Richard tout proche (Thénac distante de 3 km) d’environ 3000 av. J.-C. Seule une petite zone a été mise à jour, la majeure partie restante étant située au-delà la route du moulin[23]. Sur la partie sud-est, ce sont des traces d’une occupation à l’époque du haut Moyen Âge vers .

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Saintes du département de la Charente-Maritime.

Elle faisait partie de 1801 à 1985 du canton de Saintes-Sud, année où elle intègre le canton de Saintes-Ouest[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Thénac

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Charente-Maritime.

Intercommunalité modifier

Préguillac était membre de la communauté de communes du Pays Santon, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010, qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération de Saintes, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 mai 2020[25] Bernard Machefert DVG Retraité de l'enseignement
mai 2020 2022 Raymond Mohsen   Démissionnaire
novembre 2022[26] En cours
(au 16 décembre 2022)
Martine Mirande   Cadre de santé retraitée

Équipements et services publics modifier

Quelques services sont proposés au sein de la commune, notamment une épicerie multi-services et bar dans l’ancienne école communale, une bibliothèque-médiathèque et le centre de loisirs Préguineuil.

Enseignement modifier

Une école primaire, nommée en l’honneur du physicien français Pierre-Gilles-de-Gennes est ouverte à la rentrée 2008. Elle remplace les deux bâtiments qui formaient l’ancienne école, réaffectés en épicerie et mairie du village.

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 431 habitants[Note 3], en diminution de 7,31 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
718688678519554534524507488
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
450446457408395372375334321
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
313275276273236228209212190
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
240244243278305323396417458
2018 2021 - - - - - - -
443431-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

Le , l’église Sainte-Eulalie a été mise à l’honneur à l'occasion des Nuits romanes. Le programme ayant été un succès d’affluence pour la commune, l’église est l’objet d'une seconde édition, le même jour, en [réf. souhaitée].

Vie associative modifier

La commune de Préguillac est le lieu de rencontre de nombreuses associations, comme des groupes de conversation anglaise, des associations sportives et d’une troupe de théâtre amateur, les Préglissants. L’Association Familiale Rurale propose des ateliers de décoration et de loisirs, un Club de l’amitié regroupe les aînés du village tous les mercredis de l’année pour des moments conviviaux.

L’association Préguifiesta est chargée de l’organisation du dîner de la Saint-Sylvestre. Préguillac fait partie d’un regroupement de communes, avec Chermignac et Thénac pour la création d’un festival écolier appelé Préchernac. Il a lieu en fin d’année scolaire sur l’une des trois communes.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Église de Préguillac.
  • L' Église Sainte-Eulalie, inscrite aux monuments historiques depuis [30] :
    Cette église romane est bâtie entre le XIe et le XIIe siècle, en plein Moyen Âge, période probable de l’édification du village. Cette église se trouvait autrefois sur la voie romaine reliant les villes de Pons et de Saintes.
    Son nom prend son origine dans l’histoire de Sainte Eulalie, vierge et martyre originaire d’Espagne qui fut persécutée par l’Empire romain à la fin du IIIe siècle après Jésus-Christ. Son martyre est raconté dans Le Chant d'Eulalie, composée de 29 versets.
    Une crypte ossuaire est présente sous l’autel de l’église. Des sépultures antiques ont été mises au jour aux environs de l’édifice et certaines d’entre elles, dit-on, ont été retrouvées en position debout[31],[32].
L’église originelle avait un prolongement en bois de 15 mètres qui a brûlé en l'an 1589 et qui n’a depuis jamais été reconstruit ;
La cloche originelle de l’église avait été baptisée Angélique en juillet 1656[réf. nécessaire].
Les travaux de rénovation de l’église Sainte-Eulalie se sont déroulés en plusieurs temps depuis les années 1990}
  • En premier lieu, la rénovation est faite sur le clocher de l’église et certains extérieurs, de 1990 à 1994 ;
  • en 2008, le porche de l’église et les façades nord et ouest sont rénovés ;
  • en 2012 et 2013, les façades est et sud sont rénovées, nettoyées et réparées.
 
Source du village de Préguillac.
  • La fontaine de Préguillac se situe au pied de la colline, à la sortie du village. Une source d’eau claire y coule en continu. C’était jusqu’au XXe siècle un lieu utilisé par les agriculteurs pour y puiser de l’eau pour leurs plantations et leurs animaux.
    On trouve aussi sur le site deux mares, de l’autre côté du chemin qui borde la source.
  • Chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle  :
    Le village de Préguillac est traversé sur une longueur d’environ trois kilomètres par ce chemin rural et historique, reliant Paris et Compostelle, la Via Turonensis. Cette route est bornée par trois fois sur la commune de Préguillac par une stèle où est taillée une coquille Saint-Jacques, symbole utilisé par les pèlerins pour s’identifier, mais aussi en référence à Saint Jacques de Zébédée auquel le pèlerinage est voué.
 
Vue du Clône Flanquet, à Préguillac
  • L'étang communal du Clône Flanquet, situé à la sortie sud du village, en direction de la commune de Tesson. C’est un lieu ombragé propriété de la commune et géré par une association de pêche locale. Il s’agit d'un ancien lieu archéologique dans lequel des fouilles ont été réalisées durant l'année 1965, des outils du Campignien ont été mis au jour. Parmi eux, nombre de grattoirs, pointes, burins, perçoirs et de nombreuses céramiques[18].
    L’étang communal fait tous les ans l’objet d'un concours de pêche organisé par le comité des fêtes.

Héraldique modifier

  Blason
D’azur à la barre d’or chargée en chef d’un pèlerin d’argent, vêtu de gueules, le bourdon, le chapeau et les sandales de sable, et en pointe d’une coquille d’argent, accompagnée en pointe de l’église du lieu d’argent posée en perspective, le tout enfermé dans une filière cousue de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier


Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Notes de type "Carte"
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Cartes modifier

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. « Le nom des habitants du 17 », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Louis Papy, Le Midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris,
  3. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Préguillac », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  13. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  14. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  15. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Préguillac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  17. Claude Constantin et José de Gomez de Soto, « Claude Burnez, archéologue bénévole (1927-2011) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 109, no 3,‎ , p. 605-611 (lire en ligne)
  18. a et b Claude Burnez, « L’outillage campignien de la station du Clône-Flanquet à Préguillac (Charente-Maritime) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 62, no 8,‎ , p. 268-272 (lire en ligne)
  19. 45° 40′ 25″ N, 0° 36′ 23″ O
  20. 45° 40′ 22″ N, 0° 37′ 08″ O
  21. Thierry Lejars, « Préguillac, « Le Pédeau » », AAPC, Association des éditeurs de Poitou-Charentes, vol. 19,‎ , p. 28-29
  22. Thierry Lejars, Laporte et Petorin, « Le Pedeau, site d’habitat protohistorique », Carte archéologique de la Gaule − La Charente Maritime, vol. 17, no 1,‎ , p. 27 (lire en ligne)
  23. Audrey Blanchard, Le Néolithique récent de l’Ouest de la France (IVe - IIIe millénaires avant J.-C.) : productions et dynamiques culturelles, Université Rennes 1, , 399 p. (lire en ligne), p. 274-282
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Olivier Bertrand, « La tête est trouvée », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Quand Bernard Machefert, maire en place depuis 25 ans, s'est ouvert de sa décision de quitter son poste, il s'est retourné… mais n'a vu personne .. ».
  26. Olivier Bertrand, « Préguillac : une femme dans le fauteuil de maire », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Martine Mirande a obtenu le poste par un vote unanime de huit voix sur huit ».
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Église Sainte-Eulalie », notice no PA00104854, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. « Notre église Sainte-Eulalie », sur preguillac.fr, (consulté le ).
  32. Stèle informative présente devant le portail du bâtiment