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Janvier Février
Jacques-Charles Dupont de l'Eure

Jacques Charles Dupont de l'Eure est né en 1767 au Neubourg et mort en 1855. Une vie de 89 ans dont 64 d'une carrière politique exceptionnelle qui lui fit traverser les trois révolutions, 1789,1830 et 1848.

C'est sans doute l'homme politique eurois le plus titré, il sièga dans pratiquement toutes les assemblées, représentant l'Eure qu'il fit même rentrer dans son nom car en 1790, le département venant d'être créé, il en profita pour se distinguer des nombreux Dupont avec lesquels on aurait pu le confondre.

Membre du Conseil des Cinq-Cents, député au Corps législatif, député des Cent-Jours, député de la Restauration, député de la Monarchie de Juillet, ministre de la Justice et membre de l'Assemblée constituante de 1848... Finalement il bénéficia en quelque sorte d'une promotion à l'ancienneté lors de l'avènement de la Deuxième République puisqu'il joua le rôle de Premier ministre et fut même, d'une façon provisoire, le premier Président de la République Française avant que Louis-Napoléon Bonaparte, élu, ne prenne ses fonctions. Tout cela méritait bien que Le Neubourg lui érige une statue !

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Ruines de l'abbaye de Mortemer.

L'abbaye de Mortemer est une abbaye cistercienne fondée en 1134 par le roi d'Angleterre Henri Ier Beauclerc entre Lyons-la-Forêt et Lisors. Elle prospéra jusqu'à la Révolution française quand les quatre derniers moines furent assassinés dans le cellier. En partie en ruine, elle est actuellement propriété privée et classée monument historique.

Une des particularités du lieu est le nombre de légendes et de fantômes qui y auraient élu domicile. En premier lieu la Dame Blanche, fantôme de Mathilde l'Emperesse, fille de Henri Ier Beauclerc qui a été séquestrée 4 ans à Mortemer. Bien sûr les 4 moines auraient eux aussi été vus errant dans les ruines. Ajouté à cela la légende du Chat Goublin, le drame de La Garrache, (la femme louve), et les eaux miraculeuses de la Fontaine des célibataires, on comprend pourquoi les propriétaires actuels ont ouvert un musée des légendes et des fantômes à l'abbaye.

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Mars Avril
Le logis-donjon central

Le château d'Ivry-la-Bataille n'est revenu au jour que depuis la fin des années 60. Détruit par les Anglais en 1424, il finit par disparaître sous la végétation après avoir servi de carrière de pierres.

Ce sont des fouilleurs bénévoles de la commune d'Ivry-la-Bataille qui ont permis la résurrection de ce bâtiment dont d'importance architecturale et historique est de première importance. En effet, sa construction débute vers 960, et, à ce titre, il est l'un des plus anciens châteaux médiévaux de pierre en France à l'époque des mottes castrales où le bois était le matériau presque uniquement employé. Son premier état, le logis-donjon, présente une ressemblance frappante avec la Tour de Londres et les historiens pensent qu'il lui aurait servi de modèle.

Actuellement toujours en restauration, il est librement visitable et classé monument historique depuis 1990.

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Panoramique des bâtiments conventuels du XVIIIe siècle
Panoramique des bâtiments conventuels du XVIIIe siècle

L'abbaye Notre-Dame du Bec, au Bec-Hellouin a une histoire longue et prestigieuse. Fondée en 1044, elle devient l’un des principaux foyers de la vie intellectuelle du XIe siècle et, suite à l'accession au trône d'Angleterre de Guillaume le Conquérant, crée des relations privilégiées avec la cathédrale de Cantorbéry à qui elle a donné trois archevêques.

Subissant les aléas de l'Histoire, fortifiée pendant la guerre de Cent Ans, elle subit d'importantes destructions et reconstructions. L'église et le cloître d'origine ont disparu mais de grands bâtiments conventuels de style Régence sont reconstruits au XVIIIe siècle. L'emblématique tour Saint-Nicolas date quant à elle du XVe siècle.

Laissée en ruines par la Révolution, puis transformée en haras et à nouveau abandonnée, elle a été sauvée et classée monument historique. Elle est gérée, pour sa partie patrimoniale, par le Centre des monuments nationaux et ouverte à la visite. L'abbaye a aussi retrouvé vie grâce aux moines bénédictins qui, revenus depuis 1948, y perpétuent à nouveau une vie monastique créative et œcuménique.

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Mai Juin
Un bâtiment typique du marais

Le Marais-Vernier est une petite région naturelle de 4 500 ha constituée de marais, et aussi le nom la commune qui en couvre la moitié de la superficie. Il est situé au nord-est du département, dans un méandre abandonné de la Seine, en dessous du pont de Tancarville.

Constitutif d'un écosystème particulier, d'origine naturelle, mais aussi transformé par l'homme par endiguement et culture, le marais a été durablement habité depuis le XIIe siècle, (en 1129, consécration de l'église de Marais-Vernier). Les habitants vivaient de l'élevage bovin, de la pêche, de la chasse, des cultures maraîchères et fruitières. Auxquels s'ajoutaient des activités plus originales : la coupe du roseau et l'exploitation de la tourbe en combustible, le Marais-Vernier constitue la plus grande tourbière de France.

Mais la résistance de la nature a amené à revoir la gestion de ce milieu si particulier et si rare (les zones humides couvrent seulement 2,5 % de la superficie nationale). Deux objectifs, difficilement conciliables, étaient visés : la restauration et la gestion d'écosystèmes aux très fortes potentialités biologiques et la valorisation agricole. Depuis sa création en 1974, le parc naturel régional des Boucles de la Seine normande favorisa cette orientation. En conséquence, on créa dans les zones très humides plusieurs réserves qui sont le lieu de rassemblement et de nidification d'un grand nombre d'espèces d'oiseaux aquatiques. La Fédération départementale des chasseurs de l'Eure gère cet espace qualifié de réserve nationale cynégétique. Globalement, le Marais-Vernier accueille plusieurs espèces protégées : balbuzard pêcheur, courlis cendré, sarcelle d'hiver, cigogne blanche, etc.

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Le Jupiter du musée d'Évreux.

Gisacum est sans doute le plus important site archéologique de l'Eure, il s'étend sur cinq communes, Le Vieil-Évreux, Miserey, Cierrey, Le Val-David et La Trinité. C'était, à partir du Ier siècle, un lieu de culte et de commerce de la tribu gauloise des Aulerques Éburovices, la cité capitale d'Évreux (Mediolanum Aulercorum), toute proche, lui est contemporaine.

Le site se développe pendant trois siècles, des thermes, un théâtre, des temples, un forum et une palestre sont édifiés, puis le lieu est progressivement abandonné au moment de la crise de l'Empire romain : les thermes sont abandonnés au milieu du IIIe siècle et sont détruits au IVe siècle.

Au début du XIXe siècle, les premières fouilles sont entreprises. Vers 1830, le département de l'Eure achète les ruines des thermes. Une grande quantité d'objets sont découverts, dont le magnifique Jupiter stator en bronze, orgueuil du musée d'Évreux. Aujourd'hui, les vestiges sont conservés et prennent place dans un jardin archéologique ouvert à la visite.


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Juillet Août
Arrestation de Charles le Mauvais dans la grande salle du logis royal du Château de Rouen

Charles II de Navarre, dit Charles le Mauvais ( - † 1er janvier 1387) est roi de Navarre de 1349 à 1387 et comte d'Évreux de 1343 à 1378. Il est le fils de Philippe III de Navarre et de Jeanne II, fille du roi de France et de Navarre, Louis X le Hutin.

Sa mère, seule descendante directe du roi Louis X, est écartée et se voit évincée de la succession de Brie et de Champagne, au profit de ses oncles Philippe V et Charles IV grâce à l'introduction d'une clause de masculinité dans la succession à la couronne de France. Charles de Navarre ne naît qu'en 1332 et Jeanne de Navarre ne peut donc toujours pas revendiquer la couronne qui est attribuée en 1328 à Philippe VI de Valois, descendant le plus direct par les mâles, mais qui n'est que cousin de Louis X. Mais les premiers Valois sont confrontés à la crise économique, sociale et politique qui conduit à la guerre de Cent Ans, pendant laquelle la supériorité tactique anglaise est telle qu'ils enchaînent des désastres dans l'armée du roi de France. Le discrédit des Valois permet à Charles de Navarre, fils de Jeanne II, de contester leur légitimité et de réclamer le trône de France. Il n'a de cesse d'essayer de satisfaire son ambition et de profiter de la déstabilisation du royaume pour jouer sa carte. Pour parvenir à ses fins, il change plusieurs fois d'alliance, s'accordant avec le dauphin Charles (le futur Charles V) puis avec les Anglais et Étienne Marcel, pour ensuite se retourner contre les Jacques quand la révolte parisienne tourne court.

En 1361, il échoue à obtenir la succession du duché de Bourgogne, confié à Philippe le Hardi, le jeune fils de Jean le Bon. En représailles, il saisit l'occasion de la mort de Jean le Bon pour lever, en 1364, une puissante armée et tenter d'empêcher le sacre de Charles V, mais il est vaincu à Cocherel et doit retourner aux affaires espagnoles. Il tente un retour sur la scène française en complotant avec les Anglais en 1378, mais il est découvert. Déconsidéré, il s'isole diplomatiquement et finit vaincu et neutralisé par Charles V.

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Le blason de la ville.

Pont-de-l'Arche est un chef-lieu de canton à 10 km au nord de Louviers. Le bourg se situe au début des cours parallèles de l'Eure et de la Seine et à 10 km en amont de leur confluence. Cette configuration exceptionnelle explique la construction d'un pont stratégique sur les deux cours d'eau qui est à l'origine du développement du bourg. Toute l'histoire de Pont-de-l'Arche est intimement liée à l'existence de ce pont.

En 862, un pont de bois est jeté sur la Seine et l'Eure, protégé par deux forts, de part et d'autre. Le chantier de ces défenses fut décidé lors des plaids de Pîtres sous le règne de Charles II, dit Charles le Chauve. Vers 869, le pont et les forts semblent avoir été achevés. Ils servent notamment en 885 lors d'une offensive générale des Vikings, ayant pour but le siège de Paris. Le pont "de l'Arche" (c'est-à-dire "de la forteresse") retarde l'avancée de ces Nortmanni. Ceux-ci mettront quatre mois à gagner Paris depuis l'embouchure de la Seine.

Pont-de-l'Arche apparaît ensuite plus clairement dans les archives lors des luttes entre Richard Cœur de Lion, duc de Normandie et roi d'Angleterre, et Philippe II, dit Philippe Auguste, roi de France. Richard fait rénover le pont de la ville et concours à la fondation de l'abbaye Notre-Dame de Bonport (à deux kilomètres en aval) peu de temps avant de faire bâtir le Château-Gaillard. Ayant repris la place, Philippe Auguste fait de Pont-de-l’Arche son principal lieu de résidence en Normandie. Il fortifie la ville par des remparts en pierre de taille de Vernon encore visibles de nos jours.

Par la suite, la ville est impliquée dans presque tous les conflits, de la guerre de Cent Ans jusqu'à la Seconde Guerre mondiale au cours de laquelle ses ponts furent une des principales cibles des bombardements aériens, mais ils n’ont pas fait disparaître le patrimoine architectural de la ville : l’église gothique du XVIe siècle, les maisons bâties en pan de bois de la fin du Moyen Âge et de l’Ancien Régime, le bailliage du XVIIIe siècle principalement, la maison du gouverneur (XVe siècle, les remparts (XIIIe siècle), le manoir de Manon…

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Septembre Octobre
La châsse du saint, à l'église Saint-Taurin

Taurin d'Évreux est l'évangélisateur de la région d'Évreux dont il est considéré comme le premier évêque. Il aurait exercé entre 375 et 425, puis a été canonisé. Sa vie nous est rapportée par un manuscrit du Xe siècle dans un mélange de légendes et de sources véridiques, faisant intervenir des miracles.

À la tête des chrétiens convertis, saint Taurin détruisait temples et idoles, troublant ainsi l'autorité de l'occupant romain. Il fut donc flagellé sur le territoire du Vieil Évreux. Saint Taurin avait reçu l'annonce de sa mort prochaine, ainsi que la révélation d'une invasion qui ruinerait la ville d'Évreux et ferait fuir ses habitants (Invasions franques de la première moitié du Ve siècle). Un jeudi, à l'issue de la Messe, il s'assit au milieu de ses fidèles, les exhorta une dernière fois, et rendit l'âme. Il fut enseveli dans un cercueil de pierre, à un mille en direction de l'ouest.

Plus tard, Laudulphe, ermite, qui vivait dans une grotte à Bérangeville-la-Rivière (commune réunie actuellement à Arnières-sur-Iton), sous le règne de Clotaire Ier, vers la fin du VIe siècle, retrouva la sépulture de saint Taurin, et édifia une basilique en l'honneur de saint Martin. Un petite communauté y vivait. Il semblerait qu'il s'agit là du premier monastère placé sous le vocable de saint Taurin. Par la suite, celui-ci sera restauré au Xe siècle à l'instigation de Richard Ier de Normandie.

Aujourd'hui, à Évreux, l'église Saint-Taurin, qui domine la ville, est la partie restante de cette ancienne abbaye. Le chœur est de style gothique (XVe siècle), tandis que la nef est un mélange de roman du XIIe siècle. Elle possède cinq verrières dans le chœur et l'abside du chœur qui datent du XVe siècle. Mais son principal trésor est la châsse du saint, contenant ses reliques et datant de la deuxième partie du XIIe siècle. C'est un des chefs d’œuvre de l’orfèvrerie médiévale en France.


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Pèlerinage à Pinterville en 2004

Jacques-Désiré Laval est un prêtre et missionnaire spiritain français, considéré comme bienheureux par l’Église catholique romaine. Il est né en 1803, à Croth, petit village de l'Eure. D'abord médecin à Saint-André-de-l'Eure, il opte pour la prêtrise en 1835 et passe quatre ans au séminaire d’Issy-les-Moulineaux. Le , le père Laval fut nommé « desservant » d’une petite paroisse de 485 habitants, située au sud de Louviers, Pinterville. Il y restera deux ans ce qui lui permit de vivre son noviciat de futur missionnaire.

Mgr Collier, vicaire apostolique de l’île Maurice, accepta ses services pour l’apostolat des Noirs récemment affranchis de l’esclavage. Le père Laval entra dans la société du Saint-Cœur de Marie aujourd'hui appelée congrégation du Saint-Esprit. Il quitta Pinterville à tout jamais le et s’embarqua, les mains vides, sur le « Tanjore » le à destination de Port-Louis sur l'Île Maurice. Il ne reverra plus l’Europe.

À Maurice, le père Laval, d’abord seul puis secondé par d’autres missionnaires, sut guérir et remettre debout, physiquement et moralement, tout un peuple que les nantis se plaisaient à considérer comme marginal. Mais, plus les succès augmentaient, plus l’opposition croissait. Les blancs le surnommèrent « la grosse bête noire » et le père Laval dut même assurer ses instructions du soir sous la protection de deux policiers. Une fois l’aversion passée, les sentiments des colons blancs évolueront peu à peu vers la confiance et, pour certains, vers une profonde admiration.

Malade à la fin de sa vie, et après avoir été frappé par des attaques d’apoplexie, il mourut le vendredi . Il y eut 40 000 fidèles pour l'escorter à sa dernière demeure, au pied du calvaire, devant l’église de Sainte-Croix. Le Père Jacques-Désiré Laval fut béatifié par le pape Jean-Paul II le , en la basilique Saint-Pierre de Rome.

Très honoré à Maurice où il repose, le père Laval n'est pas oublié dans l'Eure où les mauriciens de France organisent chaque année un pèlerinage à l'église de Pinterville le deuxième dimanche de septembre.

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Novembre Décembre
L'entrée du château

Le château d'Harcourt, sur la commune d'Harcourt, est un chef-d’œuvre de l’architecture médiévale, c'est le berceau de la famille d'Harcourt, l'une des plus anciennes de la noblesse française. Le parc du château possède l'arboretum le plus ancien de France, créé en 1802. Propriété de l'Académie d'Agriculture de France, il contient plus d'un millier d'essences et sa visite est gratuite.

Au regard du site, on pense qu'à l'origine le château d'Harcourt consistait en une motte entourée par un fossé, comme beaucoup d'autres forteresses de l'époque. Ce serait un compagnon de Rollon, Bernard le Danois, qui, au tout début du XIe siècle, aurait obtenu ces terres en fief. Ce n'est que dans la seconde moitié du XIIe siècle que l'existence d'un château est avérée par les textes. Robert II d'Harcourt est le compagnon de croisade de Richard Cœur de Lion. C'est certainement lui qui bâtit le premier château de pierre. Les Harcourt figurent dès lors parmi les plus importants barons de Normandie. Jean II d'Harcourt est nommé par exemple maréchal de France.

L'architecture castrale évolue ensuite selon les progrès de la poliorcétique et avec l'ascension de ses propriétaires. Au XIIIe siècle, l'ancien donjon est intégré dans un château de forme polygonale. La basse-cour est protégée par une courtine ponctuée de 9 tours rondes. Au-devant de cette courtine, un profond fossé, la plupart du temps sec (il n'y a pas de rivière pour l'alimenter), ceinture l'ensemble.

Au XIVe siècle, la défense continue de se perfectionner. Une monumentale porte fortifiée, un châtelet, défend l'une des deux entrées, la plus exposée. Des archères sont élargies afin de permettre des tirs d'arbalètes. Plus tard, le château subira d'importants changements afin de le rendre plus habitable.

Géré aujourd'hui par le Conseil Général de l'Eure, le château et son parc sont ouverts à la visite, des salles d'expositions historiques et diverses animations y sont régulièrement organisées.

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Le château d'Acquigny.

La commune d'Acquigny, n'a qu'environ 1500 habitants mais est riche d'un notable patrimoine historique et culturel.
En premier lieu son château de style renaissance, bijou dans un écrin formé entre les bras de l'Eure et de l'Iton.
Son église est elle aussi remarquable et doit sa richesse à Pierre Robert Le Roux d'Esneval, riche magistrat rouennais.
Cependant la célébrité du village est bien plus ancienne puisque saint Mauxe et saint Vénérand y auraient été martyrisés, le culte remonterait au Ve siècle, et ce qui est sûr c'est qu'Acquigny est déjà mentionné dans un document de Charles-le-Chauve daté de 876.

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