Pierre Tal Coat

peintre français

Pierre Tal Coat[1], pseudonyme de Pierre Jacob, né le à Clohars-Carnoët et mort le à Saint-Pierre-de-Bailleul[2], est un peintre, graveur et illustrateur français de l'École de Paris.

Pierre Tal Coat
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Biographie
Naissance
Décès
Nom dans la langue maternelle
Tal CoatVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Pierre Louis Corentin JacobVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Période d'activité
Autres informations
Mouvement
Distinction
Œuvres principales
Accent vert (d), Arlequin (d), Jour de pluie (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Biographie modifier

Fils de marin-pêcheur, Pierre Tal Coat naît en 1905 à Clohars-Carnoët, à dix kilomètres de Quimperlé (Finistère). Il fréquente l'école primaire de 1912 à 1914. En 1915 son père meurt sur le front d'Argonne. Apprenti forgeron à partir de 1918 tandis qu'il commence à dessiner et sculpter, Tal Coat obtient une bourse de pupille de la Nation et entre à l'école primaire supérieure de Quimperlé. Clerc de notaire en 1923 à Arzano, mouleur et peintre céramiste à la faïencerie Henriot de Quimper en 1924, il dessine au crayon, au fusain ou au pastel, des personnages et des paysages de la campagne bretonne.

Arrivé à Paris en 1924, Tal Coat devient modèle à l’Académie de la Grande-Chaumière, mouleur à la Manufacture de Sèvres et se lie avec le peintre Émile Compard. En 1925 et 1926, il accomplit son service militaire dans les cuirassiers à Paris. Il rencontre alors Auguste Fabre et Henri Bénézit, et expose dans leur galerie sous le pseudonyme de Tal Coat (« Front de bois » en breton) qu’il gardera toute sa vie, pour éviter l'homonymie avec le poète quimpérois Max Jacob. De retour à Paris en 1930, après un séjour en Bretagne à Doëlan de 1927 à 1929, il se lie avec Francis Gruber, puis André Marchand, Gertrude Stein, Francis Picabia, Ernest Hemingway, Alberto Giacometti, Balthus, Antonin Artaud, Tristan Tzara et Paul-Émile Victor. À partir de 1932, il est membre du groupe Forces nouvelles. En 1936, il proteste contre la guerre d'Espagne avec sa série des Massacres.

 
Paul Cézanne, Le Château Noir (1900-1904), où s'installe Tal Coat en 1946.

Mobilisé en 1939 à Saint-Germain-en-Laye puis à Ermenonville dans le service du camouflage, et démobilisé en 1940 à Montauban, Tal Coat gagne Aix-en-Provence avec André Marchand, ville où se sont réfugiés de nombreux artistes, notamment Charles-Albert Cingria et Blaise Cendrars. Il participe en 1941 à l'exposition des « Vingt jeunes peintres de tradition française » organisée par Jean Bazaine et expose à la galerie de France en 1943. Rentré à Paris en 1945 où il participe au premier Salon de Mai, il retourne l'année suivante à Aix, au Château Noir[3] (remise de Paul Cézanne quand il peignait au Tholonet), où il fait bientôt la connaissance d'André Masson, du philosophe Henri Maldiney et du poète André du Bouchet qui demeureront ses intimes. Sa peinture devient alors non figurative.

Avec les artistes de la nouvelle École de Paris, la galerie de France (de 1943 à 1965), les galeries Maeght (de 1954 à 1974), Benador (de 1970 à 1980) puis la galerie H-M, la galerie Clivages et la galerie Berthet-Aittouarès exposent ensuite régulièrement sa peinture. En 1956, seize de ses peintures sont présentées à la Biennale de Venise avec celles de Jacques Villon et de Bernard Buffet. Aux côtés de Joan Miró et de Raoul Ubac, il collabore en 1963 aux réalisations de la Fondation Maeght par une mosaïque pour le mur d'entrée et reçoit en 1968 le grand prix national des arts. Une exposition rétrospective lui est consacrée au Grand Palais à Paris en 1976.

À partir de 1961, Tal Coat s'installe à la chartreuse de Dormont (Saint-Pierre-de-Bailleul), près de Vernon (Eure), en Normandie. Il y meurt en 1985.

L'œuvre modifier

La peinture de Tal Coat s'est développée en séries, notamment :

  • 1936-1937 : série des Massacres de la guerre d'Espagne ;
  • 1938-1939 : série de Paysages (Bretagne, Bourgogne, Île-de-France) ;
  • 1942 : série de Natures mortes ;
  • 1945-1946 : séries des Poissons et des Aquariums ;
  • 1946 : séries des Mouvements d'eau et des Rochers ;
  • 1952-1953 : séries des Passages et des Signes ;
  • 1958 : séries des Lignes de pierre et de silex, des Troupeaux et des Vols ;
  • 1961 : séries des Colzas et des Coquelicots.

Expositions modifier

  • 2019 : Tal Coat 1905-1985, Musée de Pont-Aven.
  • 2017 : Tal Coat, regard sans frontières, musée Quesnel-Morinière, Coutances.
  • 2017 : La liberté farouche de peindre, musée Granet, Aix-en-Provence.
  • 2017 : Pierre Tal-Coat et André du Bouchet, Fondation Saint John Perse, Aix-en-Provence.
  • 2016 : Pierre Tal-Coat, Nous sommes visités par le monde, Galerie Berthet Aittouarès, Paris.
  • 2015-2016 : Hôtel de Limur, Vannes.
  • 2011 : Domaine de Kerguéhennec.
  • 2011 : Musée des Beaux-Arts, Mons.
  • 2011 : Galerie Berthet Aittouarès, Paris.
  • 2009 : Musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence.
  • 2009 : Musée des Beaux-Arts, Tarbes.
  • 2009 : Galerie Berthet Aittouarès, Paris.
  • 2008-2009 : Musée des Beaux-Arts, Vannes.
  • 2008 : Centre Pierre Tal-Coat, Domaine de Kerguéhennec, Bignan.
  • 2007 : Pierre Tal-Coat Traverse, Galerie Berthet-Aittouares, Paris.
  • 2006 : Centre méditerranéen d'art, Toulon.
  • Galerie Pierre Tal-Coat, Hennebont.
  • 2005-2006 : Carré d'arts, Nîmes.
  • 2005 : Pierre Tal-Coat aurait 100 ans, Galerie Berthet-Aittouares, Paris.
  • 2002 : Centre d'art plastique, Royan.
  • 2002 : Galerie Berthet-Aittouares, Paris.
  • 2000 : Au fil de l'eau, Musée d'Aix-en-Provence.
  • 2000 : De Cézanne à Giacometti, Musée d’Orsay, Paris.
  • 1999 : Tal Coat - L'énergie du blanc, Bibliothèque nationale de France, Paris.
  • 1998 : Kunstmuseum, Winterthur, Suisse.
  • 1998 : IVAM, Centre J.Gonzales, Valencia, Espagne.
  • 1997 : Musée d'Art et d'Histoire de Genève, Suisse.
  • 1997 : Musée d'Unterlinden, Colmar.
  • 1997 : Musée Picasso, Antibes.
  • 1996 : Chapelle des Ursulines, Quimperlé.
  • 1996 : Les années Provence, Espace 21, Aix-en-Provence.
  • 1995 : Centre d'Art Nicolas de Staël, Braine l'Alleud.
  • 1994 : Hommage à Pierre Tal Coat, Biennale de Sao Paulo, Brésil.
  • 1993 : Château du roi René, Tarascon.
  • 1991 : Musée Matisse, Le Cateau-Cambrésis.
  • 1988 : Musée des Beaux-Arts de Rennes.
  • 1987 : Maison de la culture, Bourges.
  • 1987 : Musée artothèque-médiathèque et école régionale des Beaux-Arts, Valence.
  • 1985 : New Museum of contemporary Art, New York, USA.
  • 1985 : Musée des Beaux-Arts de Quimper.
  • 1985 : Musée d'Art et d'Histoire de Genève, Suisse.
  • 1984: Centre culturel Noroit, Arras.
  • 1976: Rétrospective Pierre Tal Coat, Grand Palais, Paris.
  • 1975: Rétrospective Pierre Tal Coat (présentation de Gérald Collot), Musée royal d'Ueno, Tokyo, et Musée en plein air de Hakone, Japon[4].
  • 1969: Trente ans de dessins, Palais de l'Europe, Menton.

Illustration modifier

Tal Coat a illustré de gouaches, dessins, pointes sèches ou aquatintes de nombreux livres d'art, notamment d'André du Bouchet (Cette surface, 1956 ; Sur le pas, 1959 ; Laisses, 1975 ; Où le soleil, 1978 ; Sous le linteau en forme de joug, 1978 ; Une tache, 1988 ; Deux traces vertes, 1991), Pierre Schneider (Traverse d'un plateau, 1963), Pierre Torreilles (Espace déluté, 1974), Philippe Jaccottet (À travers un verger, 1975), Claude Esteban (Veilleurs aux confins, 1978), Maurice Blanchot (Le Dernier à parler, 1984), Yves Peyré (Le Lointain foyer du jour, 1984), Pierre Lecuire (Bestiaire, 1985), Jacques Chessex (La Bête de Tal Coat, 1998 ; Sur une gravure de Tal Coat, 1998).

Décorations modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Tal Coat, texte de Jacques Lassaigne, Galerie de France, Paris, 1943.
  • Tal Coat, texte de Henri Maldiney, Galerie de France, Paris, 1950.
  • Tal Coat, texte de Henri Maldiney et André du Bouchet, « Derrière le Miroir », no 64, Maeght éditeur, Paris, 1954.
  • Tal Coat, textes de Georges Duthuit et Georges Limbour, « Derrière le miroir », no 82-84, Maeght éditeur, Paris, 1956.
  • Tal Coat, texte de Henri Maldiney, « Derrière le miroir », no 114, Maeght éditeur, Paris, 1959.
  • Tal Coat, dessins d'Aix, texte de Pierre Schneider, « Derrière le miroir », no 120, Maeght éditeur, Paris, 1960.
  • Georges Charbonnier, Entretien avec Pierre Tal Coat, dans « Le Monologue du peintre », vol. II, Julliard, Paris, 1960; réédition Guy Durier, 1980.
  • Michel Ragon, Galerie Mathias Fels, Nouvelle figuration II : Baj, Christoforou, Hultberg, Lindström, Messagier, Petlin, Pouget, Rebeyrolle, Salles, Tal Coat, Galerie Mathias Fels, Paris, du 1er juin au [6].
  • Tal Coat, texte de Charles Estienne, « Derrière le miroir », no 131, Maeght éditeur, Paris, 1962.
  • Pierre Tal Coat, dessins, galerie Beno d’Incelli, Paris, 1964.
  • Tal Coat, texte de Henri Maldiney, « Derrière le miroir », no 153, Maeght éditeur, Paris, 1965.
  • Tal Coat, 30 ans de dessins, Palais de l’Europe, Menton, 1969.
  • Tal Coat, peintures, dessins, gravures, galerie Benador, Genève, 1970.
  • Tal Coat, textes de Pierre Tal Coat, "Derrière le miroir", no 199, Maeght éditeur, Paris, 1972
  • Tal Coat, peintures, galerie Maeght, Zürich, 1974.
  • Tal Coat, textes de Raoul-Jean Moulin, Pontus Hulten, Henri Maldiney et André Du Bouchet, Notes 1970-1975 de Tal Coat, Exposition au Grand Palais du au , Catalogue publié par le Centre Georges Pompidou, Paris, 1976.
  • Tal Coat, extrait de la correspondance de Tal Coat, Galerie de France et du Benelux, Bruxelles, 1976.
  • Peintures, Galerie Clivages, Paris 1981.
  • Vert Mai, Galerie Clivages, Paris 1982.
  • Lavis, Galerie Clivages, Paris 1983.
  • Tal Coat, parcours 1945-1983, musée d’Évreux, 1983.
  • Tal Coat, galerie Patrice Trigano, Paris, 1983.
  • Michel Dieuzaide, Vers la courbure : l’atelier de Pierre Tal Coat, Clivages, Paris, 1983.
  • Christine Martinent, L’œuvre de Pierre Tal Coat de 1950 à 1980, thèse de doctorat de 3e cycle sous la direction de Fanette Roche, université de Paris I-Panthéon-Sorbonne, 1983.
  • "Peintures" Galerie Clivages, Paris 1984
  • Tal Coat, 1964-1984, texte de Raoul-Jean Moulin, Centre culturel Noroit, Arras, 1984.
  • Claude Esteban, « Démarches de la nudité », dans Traces, figures, traversées : essais sur la peinture contemporaine, Paris, Galilée, 1985, p. 171-176.
  • Tal Coat, gravures 1970-1984, Cabinet des estampes du Musée d’art et d’histoire, Genève, 1985.
  • Aquarelles, Galerie Clivages, Paris 1985.
  • Tal Coat le breton, texte d'André Cariou, dans le catalogue de l’exposition Pierre Tal-Coat, Musée des beaux-arts de Quimper, 1985.
  • Peintures, Galerie Clivages, Paris 1986.
  • Tal Coat, lavis, peintures, maison de la Culture, Bourges, 1987.
  • Dessins au crayon gras, Galerie Clivages, Paris 1987
  • Tal Coat, rétrospective des dessins et œuvres sur papier, Bibliothèque de Rennes Métropole (Les Champs Libres), 1988.
  • Peintures, aquarelles, dessins et lavis, Galerie Clivages, Paris 1988
  • Aquarelles peintures, Galerie Clivages, Paris 1989
  • Tal Coat, œuvres de 1926 à 1946, galerie Fanny Guillon-Laffaille, Paris, 1989.
  • Tal Coat, œuvres de 1948 à 1965, galerie Fanny Guillon-Laffaille, Paris, 1990.
  • Peintures, Galerie Clivages, Paris 1990
  • Peintures Aquarelles, Lavis, Dessins, 1930- 1984, Galerie Clivages, Paris 1991
  • Tal Coat, lavis et aquarelles, textes de Jean-Claude Schneider, Jean-Pascal Léger, et Jean-Pierre Greff, musée Matisse, Le Cateau-Cambrésis, 1991.
  • Cati Chambon, L'œuvre gravée de Pierre Tal Coat, mémoire de DEA sous la direction de Bruno Foucart, Université de Paris IV-Sorbonne, 1991.
  • Gravures, Galerie Clivages, Paris 1992
  • Jean Guichard-Meili, L'Homme, 21 dessins de Tal Coat, Porte du Sud, Villeneuve-sur-Yonne, 1992.
  • Jean Leymarie, Tal Coat, Skira, Genève, 1992.
  • Lydia Harambourg, Dictionnaire des peintres de l'École de Paris, 1945-1965, Éditions Ides et Calendes, Neuchâtel, 1993 (ISBN 2825800481); nouvelle édition, 2010, p. 460-463 (ISBN 978-2-8258-0241-0)
  • Henri Maldiney, Aux déserts que l’histoire accable : l’art de Tal Coat, Deyrolle, Cognac, 1995.
  • Pierre Tal Coat, les années Provence, Espace 13, Aix-en-Provence, 1996.
  • Tal Coat, devant l’image, Genève, musées de Genève, Colmar, Antibes, Winterthur, Valence (ES) 1997-98.
  • Tal Coat, galerie Berthet Aittouares, Paris, 1997.
  • Pierre Tal-Coat, Paris, galerie Bernard Bouche. - .
  • Portraits de Pierre Tal Coat, texte d'Emmanuel Pernoud, Bibliothèque Nationale de France, galerie Mansart, Paris, 1999.
  • Pierre Tal Coat, textes de Yves Peyré et Pierre Tal-Coat, galerie Berthet Aittouares, 1999
  • Pierre Tal Coat, Galerie Vidal-Saint Phalle, Paris 2001
  • Lettres à Françoise Simecek, Pierre Tal Coat, Area revue n°2, juin 2002
  • Pierre Tal-Coat, Royan, Centre d’Arts Plastiques, - .
  • Pierre Tal Coat, Galerie Vidal-Saint Phalle, Paris 2005
  • les livres de Pierre Tal-Coat, Nîmes, Carré d’Art, - .
  • Pierre Tal-Coat, Élément de nature, Hennebont, galerie Pierre Tal-Coat, - .
  • La couleur de Tal-Coat, Toulon, Hôtel des Art, - .
  • L'immobilité battante, Galerie Vidal-Saint Phalle, Paris 2007
  • Pierre Tal-Coat, Bignan, Château de Kerguéhennec, - .
  • Pierre Tal-Coat, de Château Noir à Dormont, catalogue d'exposition, texte de Philippe Latourelle et Jean-Pascal Léger, Musée Estrine, Saint-Rémy-de-Provence, 2009.
  • Pierre Tal-Coat, Tarbes, Le Carmel, - .
  • Nancy, Musée des Beaux Arts, Francis Gruber l’œil à vif, - 17 aout 2009.
  • Clermont Ferrand, Musée d’Art Roger-Quilliot, Francis Gruber : l’œil à vif, - .
  • En regard (s), Bignan, Château de Kerguéhennec, - .
  • Pierre Tal Coat, Galerie Vidal-Saint Phalle, Paris 2011
  • Pierre Tal Coat, peintures et dessins 1946 - 1985, BAM - Beaux-Arts Mons, Belgique, - .
  • Dieulefit, galerie Artenostrum, Hommage à André du Bouchet,
  • San Francisco, San Francisco Muséum of Modern Art, Matisse, Cézanne, Picasso...L’aventure des Stein, - .
  • Paris, Grand Palais, Galeries Nationales, Matisse, Cézanne, Picasso...L’aventure des Stein, - .
  • Rueil-Malmaison, atelier Grognard, Abstraction 50 - l’explosion des libertés, - .
  • New York, The Metropolitan Muséum of Art, Matisse, Cézanne, Picasso...L’aventure des Stein, - .
  • Belgique, Machelen-Zulte, musée Roger Raveel, Abstrait, la nature de la peinture, - .
  • Sèvres, Cité de la céramique, Jacqueline Lerat, l’être et la forme, - .
  • Huelgoat, L'école des filles, Pierre qui roule…, - .
  • Bignan, Château de Kerguéhennec, exposition permanente, - .
  • L'Immobilité battante, Entretiens avec Jean-Pascal Léger, L'Atelier contemporain, 2017.
  • Tal Coat, Pierre et front de bois, Jean-Pascal Léger, Somogy, 2017.
  • Georges Limbour, Tal Coat, préface de Pierre Brullé, Le Bruit du temps, 2017.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

  1. Ou Pierre Tal-Coat.
  2. Archives départemenales du Finistère, commune de Clohars-Carnoët, année 1905, acte de naissance no 124, vue 22/25, avec mention marginale de décès
  3. « La maison de Tal Coat n'est pas moins célèbre que la route et le paysage, car elle-même et les roches qui l'entourent s'appellent le Château Noir et Cézanne l'a immortalisé. » (Georges Limbour, Dans le secret des ateliers, Paris, L'Élocoquent, 1986, p. 69 (ISBN 2868260012).
  4. Raphaël Mariani, « L'art moderne au musée de Metz (1957-1987) », La collection d'art moderne, Silvana Editoriale / Musée de la Cour d'Or Metz-Métropole, 2014.
  5. Archives des nominations et promotions dans l'ordre des Arts et des Lettres.
  6. Site centrepompidou.fr, Michel Ragon, Galerie Mathias Fels, Nouvelle figuration II, à propos d'un document lire (consulté le 27 juin 2013).