Paulhac-en-Margeride

commune française du département de la Lozère

Paulhac-en-Margeride
Paulhac-en-Margeride
Fontaine-abreuvoir au centre du village.
Blason de Paulhac-en-Margeride
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes des Terres d'Apcher-Margeride-Aubrac
Maire
Mandat
Alain Guennou
2020-2026
Code postal 48140
Code commune 48110
Démographie
Gentilé Paulhacois
Population
municipale
97 hab. (2021 en diminution de 3 % par rapport à 2015)
Densité 6,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 56′ 52″ nord, 3° 22′ 53″ est
Altitude Min. 1 056 m
Max. 1 496 m
Superficie 15,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Alban-sur-Limagnole
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Paulhac-en-Margeride
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Paulhac-en-Margeride
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Voir sur la carte topographique de la Lozère
Paulhac-en-Margeride
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Paulhac-en-Margeride

Paulhac-en-Margeride est une commune française, située dans le nord du département de la Lozère en région Occitanie.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Desges et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « montagne de la Margeride ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Paulhac-en-Margeride est une commune rurale qui compte 97 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 350 habitants en 1881. Ses habitants sont appelés les Paulhacois ou Paulhacoises.

Géographie modifier

Localisation modifier

Paulhac-en-Margeride est la commune la plus dans le nord du département de la Lozère. Elle est limitrophe des départements de la Haute-Loire et du Cantal.

Elle est surmontée par le mont Grand, le Montchauvet, le mont Mouchet et est parcourue par la D 989 qui rejoint le Malzieu-Ville en passant par le col de la Croix du Fau à 1 268 mètres d'altitude.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 922 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 7,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 061,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records PAULHAC-EN-MARGERIDE_SAPC (48) - alt. : 1 170 m, lat : 44°56'51"N, lon : 3°22'47"E
Records établis sur la période du 01-09-1998 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −2,9 −3,3 −0,7 1,9 5,2 8,7 10,4 10,4 7,6 5 0,6 −2 3,4
Température moyenne (°C) 0,1 0,2 3,5 6,6 10,3 14,6 16,4 16,3 12,7 9,1 3,7 1 7,9
Température maximale moyenne (°C) 3 3,6 7,8 11,4 15,4 20,4 22,5 22,1 17,8 13,2 6,8 4 12,3
Record de froid (°C)
date du record
−16,5
19.01.17
−18,3
05.02.12
−20,5
01.03.05
−8,3
08.04.03
−3,9
01.05.04
−0,9
04.06.01
2,8
12.07.00
2,9
28.08.11
−1,2
27.09.10
−10
25.10.03
−14
22.11.1998
−17,4
16.12.01
−20,5
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
19,3
01.01.22
19,8
26.02.19
21,1
17.03.04
23,8
30.04.05
29,2
22.05.22
35
28.06.19
33,3
31.07.20
34,6
23.08.23
30,3
04.09.23
27,7
08.10.23
20
07.11.15
16,3
09.12.16
35
2019
Précipitations (mm) 72,6 62,7 65,2 97,4 110,9 92 84,7 84 95,3 108,2 106 82,2 1 061,2
Source : « Fiche 48110001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

 
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « montagne de la Margeride »[8], d'une superficie de 9 400 ha, une longue colonne granitique au climat montagnard ayant permis le maintien de tourbières remarquables[9].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[10] : le « sud du mont Mouchet, sources de la gourgueyre » (465 ha), couvrant 4 communes dont une dans le Cantal, deux dans la Haute-Loire et une dans la Lozère[11], et les « tourbières de la montagne du Liconès » (319 ha), couvrant 2 communes du département[12] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[10] :

  • la « Margeride » (37 011 ha), couvrant 35 communes dont 13 dans le Cantal, 16 dans la Haute-Loire et six dans la Lozère[13] ;
  • la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » (29 590 ha), couvrant 20 communes du département[14].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Paulhac-en-Margeride est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[I 1],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,3 %), zones agricoles hétérogènes (30,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Paulhac-en-Margeride est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels modifier

Paulhac-en-Margeride est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[20]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 5],[20],[21].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982.

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Paulhac-en-Margeride est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].

Toponymie modifier

Histoire modifier

L'actuelle commune de Paulhac est marquée par deux événements majeurs :

Les Hospitaliers modifier

Les villages de la commune se situant au pied du Mont Mouchet étaient jusqu'à la Révolution Française, des terres du Domaine de Paulhac dépendant de la Commanderie de Gap-Francès de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.

Politique et administration modifier

Liste des maires de Paulhac-en-Margeride
Période Identité Étiquette Qualité
  1813 Joseph Chabanel    
1813 1824 Jean Barlier    
1824 1833 Guillaume Cellier    
1833 1835 Laurent Lèbre    
1835 1848 Joseph Vissac    
1848 1856 Pierre-Félix Privat    
1857 1868 Jean-Pierre Pascal    
1867 1870 Jean-Baptiste Vissac    
1870 1878 Pierre-Félix Privat    
1878 1900 Jean-Baptiste Lèbre    
1900 après 1902 Férréol Privat    
    ....    
1995 2014 Edmond Martin   Aubergiste
2014 2020 Alain Guennou   Instituteur retraité à Paulhac

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 97 habitants[Note 6], en diminution de 3 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
320204315215274302282311302
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
324329340328325350336327330
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
338349326244268217241200217
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
211192178154127120110108102
2017 2021 - - - - - - -
10197-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 1,5 % 3,3 % 5,3 %
Département[I 5] 5 % 6,4 % 7,1 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 57 personnes, parmi lesquelles on compte 78,9 % d'actifs (73,7 % ayant un emploi et 5,3 % de chômeurs) et 21,1 % d'inactifs[Note 7],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 7]. Elle compte 27 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 37 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 42, soit un indicateur de concentration d'emploi de 64,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 8].

Sur ces 42 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 62 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 59,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 19 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 21,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine culturel modifier

Langue modifier

Le dialecte de langue occitane encore parlé dans le village est le nord-occitan, comme celui des communes qui le jouxtent au sud[29].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique, logotype et devise modifier

  Blason
D’argent, à deux bêtes du Gévaudan affrontées de sable, animées et armées de gueules, posées sur un mont de sinople et surmontées en chef d’une croix de Malte de gueules.
Détails
Le mont de sinople représente la Margeride, territoire montagneux qui sert de déterminant au nom de la commune.

Les deux bêtes du Gévaudan indiquent que Paulhac-en-Margeride a été le lieu où elle a sévi le plus fortement. Cet animal monstrueux était en réalité un gros loup, mais la légende s’est nourrie des descriptions de l’époque. L’une d’elles, celle qui est la plus connue, décrit la bête comme ayant la tête d’un loup, les pattes avant d’un ours et le reste du corps d'un lion. C’est ainsi qu’elle est figurée dans l’écu.

L’argent et la croix de Malte signalent que Paulhac-en-Margeride a été un prieuré qui dépendait de la Commanderie d’Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.

Les ornements sont deux branches de sapin de sinople, fruitées d'or, mises en sautoir par la pointe et liées d'or afin d'indiquer la présence de vastes bois propices à de grandes randonnées.

La croix de guerre 1939-1945 ayant été attribuée à la commune avec étoile de bronze pour faits de résistance avec citation à l’ordre de la brigade, elle figure donc en pointe de l’écu.

Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Paulhac-en-Margeride » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Paulhac-en-Margeride » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Paulhac-en-Margeride_sapc » (commune de Montrodat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Paulhac-en-Margeride_sapc » (commune de Paulhac-en-Margeride) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Paulhac-en-Margeride », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « site Natura 2000 FR9101355 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Paulhac-en-Margeride », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF le « sud du mont Mouchet, sources de la gourgueyre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF les « tourbières de la montagne du Liconès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF la « Margeride » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF la « montagne de la Margeride et massif du plateau du Palais du Roi » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Les risques près de chez moi - commune de Paulhac-en-Margeride », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. a et b « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Paulhac-en-Margeride », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  29. « Atlas sonore des langues régionales de France », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .