Parti de l'Alliance des libéraux et des démocrates pour l'Europe
Parti de l'Alliance des libéraux et des démocrates pour l'Europe | |
![]() Logotype officiel. | |
Présentation | |
---|---|
Président | Hans van Baalen |
Fondation |
|
Siège | Rue d'Idalie, 11 Bruxelles, Belgique |
Branche jeunesse | LYMEC |
Position politique | Centre gauche à Centre droit |
Idéologie | Libéralisme[1] Idéologies internes :
|
Groupe au Parlement européen | RE |
Affiliation internationale | Internationale libérale |
Couleurs | Bleu et magenta |
Site web | aldeparty.eu |
Présidents de groupe | |
Parlement européen | Dacian Cioloș |
Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe | Jacques Maire (ADLE) |
Représentation | |
Députés européens | 76 / 705 |
Conseil européen (chefs d'États et de gouvernements) |
6 / 27 |
Chambres hautes nationales | 536 / 2 273 |
Chambres basses nationales | 744 / 7 124 |
modifier ![]() |
Le Parti de l'Alliance des libéraux et des démocrates pour l'Europe (Alliance of Liberals and Democrats for Europe Party, soit ALDE Party ou juste ALDE)[2] est un parti politique européen, centriste et libéral qui a pris ce nom en du groupe parlementaire homonyme. Constitué en , comme Fédération des partis libéraux et démocrates en Europe, il devient, le , le Parti européen des démocrates, libéraux et réformateurs (ELDR[3]). Il rassemble les partis politiques européens partageant les mêmes idéaux libéraux-démocrates et réformateurs et constitue le forum au sein duquel ses partis membres développent ensemble une politique concertée. L'ALDE, parti politique européen, prend la forme d'une association internationale sans but lucratif de droit belge financée en partie par le Parlement européen.
L'ELDR est devenu un parti politique européen en 1993 et continue depuis lors à se développer en taille et en importance sur la scène européenne. Il rassemble actuellement 58 partis libéraux-démocrates des États membres de l'Union européenne, y compris des nouveaux adhérents et du sud-est de l'Europe. Près d'un tiers de ses partis sont au gouvernement dans leur pays.
Son président actuel est le député européen néerlandais Hans van Baalen.
L'ALDE a également une organisation de jeunesse, le LYMEC, qui regroupe plus de 170 000 jeunes libéraux européens.
Représentant un total de plus de 20 millions d'électeurs européens, l'ALDE se veut être un lien entre les citoyens et les institutions de l'Union européenne ; il est représenté au Parlement européen au sein du groupe Renew Europe.
HistoireModifier
Les contacts internationaux entre les libéraux remontent à 1924 avec la création de l'Union mondiale libérale dans le cadre de la Société des Nations[4]. En 1947, est relancée sous le nom d'Internationale libérale sur l'impulsion des libéraux belges et britanniques[4]. Contrairement à d'autres Internationales, elle ne groupe pas les partis politiques eux-mêmes, mais des personnes occupant des fonctions importantes dans ces partis[4]. Elle associe progressivement les membres du groupe libéral au Parlement européen dans ses travaux[4].
La Fédération des partis libéraux et démocrates en Europe est fondée en mars 1976 après quatre ans de travaux préparatoires[4]. Les membres du groupe libéral au parlement européen siège automatiquement au Congrès, comme ceux du Parti populaire européen[4]. Le but de la Fédération est de veiller à ce que la Communauté européenne se développe en suivant les principes du libéralisme[4]. Un programme commun est approuvé lors du Congrès qui se tient en à Bruxelles[4].
Le Mouvement des radicaux de gauche, en France, et le Parti social-libéral, au Danemark, font partie des membres fondateurs de la Fédération, mais en ressortent avant les élections européennes de 1979[4]. Les sociaux-libéraux danois y reviendront en 1992.
La Fédération des partis démocrates et libéraux en Europe devient, le , le Parti européen des démocrates, libéraux et réformateurs (ELDR).
OrganisationModifier
Le travail de l'ALDE est basé sur une triple structure. Il est dirigé au jour le jour par le bureau du parti dont les membres sont directement élus par le Congrès.
- Président : Hans van Baalen, Pays-Bas, VVD ;
- Vice-présidents : Henrik Bach Mortensen (Danemark, Venstre), Dita Charanzová (République tchèque, ANO 2011), Ilhan Kyuchyuk (Bulgarie, Mouvement des droits et des libertés), Markus Löning (Allemagne, FDP), Timmy Dooley (Irlande, Fianna Fáil), Luis Garicano (Espagne, Ciudadanos), Fredrick Federley (Suède, Centern), Joanna Schmidt (Pologne, .Moderne), Annelou van Egmond (Pays-Bas, D’66).
- Trésorier : Gašper Koprivšek (en) (Slovénie, SMC)
Le président, les vice-présidents et le trésorier sont élus tous les deux ans lors du Congrès annuel de l'ALDE, organe décisionnel suprême du parti. Le Congrès réunit les délégués de tous les partis membres, les membres du groupe ADLE, les commissaires libéraux et des représentants du LYMEC.
Au-delà du programme habituel du Congrès, celui-ci traite d'un sujet politique d'actualité et offre aux délégués un forum pour un débat de qualité. Voici les thèmes les plus récents du Congrès :
- « Préparer l'élargissement », 2000
- « L'avenir de l'Union », 2001
- « Plus de liberté pour plus de croissance », 2002
- « Libérer le potentiel de l'Europe », 2003
- « Œuvrer ensemble à une Europe compétitive », 2005
- « La Sécurité et la Défense intérieures de l’Union européenne », 2006
- « Une Europe libérale pour un monde de liberté », 2007
- « Les 12 étoiles de l’ELDR pour une Europe libérale », 2008
- « Les réponses des Libéraux pour une nouvelle forme de prospérité », 2009
- « Réponses libérales aux défis du Changement démographique », 2010
Entre deux réunions du Congrès, le Conseil ALDE est habilité à parler et agir au nom du Parti. Le Conseil se réunit deux fois par an et est constitué des représentants des partis membres de l'ALDE, des députés européens ADLE et des commissaires libéraux européens qui peuvent s'ils le souhaitent participer et parler aux réunions du Conseil.
Son rôle consiste essentiellement à approuver les demandes d'adhésion, à adopter le budget annuel, les contributions, les rapports d'audit et sur proposition du Bureau, à désigner le Secrétaire général de l'ALDE dont la tâche sera d'assister les organes du parti.
De plus le parti organise des réunions des leaders et des ministres ALDE. Celles-ci ont lieu au moins deux fois par an à la veille de la réunion du Conseil européen et permettent aux leaders politiques de ses partis membres, Premiers Ministres, ministres des affaires étrangères et commissaires libéraux, ainsi qu'aux autres personnalités qui leur sont apparentées et qui assistent au Sommet européen, de procéder à un échange de vues sur les sujets à l'ordre du jour du Conseil européen.
Le Parti dispose également d'un réseau de femmes libérales européennes et des groupes de travail suivants :
- Steering Committee
- Political Committee
- Committee on internal Rules
Une des principales tâches de l'ALDE consiste à rédiger tous les cinq ans en préparation de la campagne pour les élections européennes, le manifeste électoral ELDR. Ce manifeste formera la base du travail politique du groupe parlementaire du Parti ALDE.
Partis membresModifier
Date d’adhésion entre parenthèses. 39 partis membres et 7 membres associés en 2019. Seule la Grèce, au sein de l’Union, n’est plus représentée par un parti en 2018[5].
Union européenne :
- Allemagne
- Parti libéral-démocrate (FDP, Freie Demokratische Partei, membre fondateur en 1976)
- Autriche
- NEOS - La nouvelle Autriche et le Forum libéral (NEOS – Das Neue Österreich, 2014)
- Belgique
- Mouvement réformateur (MR, membre fondateur en 1976 en tant que Parti des réformes et de la liberté de Wallonie)
- Libéraux et démocrates flamands (Open VLD, Open Vlaamse Liberalen en Democraten, membre fondateur en 1976 en tant que Partij voor Vrijheid en Vooruitgang)
- Bulgarie
- Mouvement des droits et des libertés (DPS-HÖH, Движение за права и свободи, 2001)
- Croatie
- Alliance civique libérale (GLAS, Građansko-liberalni savez, membre associé depuis 2017)
- Parti populaire croate - Démocrates libéraux (HNS, Hrvatska narodna stranka - liberalni demokrati, 2001)
- Parti social-libéral croate (HSLS, Hrvatska socijalno-liberalna stranka, membre associé, 1994)
- Diète démocrate istrienne (IDS-DDI, Istarski demokratski sabor - Dieta democratica istriana, 2006)
- Pametno (membre associé, 2017)
- Chypre
- Démocrates unis (E.DI., 1996)
- Danemark
- Parti social-libéral danois (B, Det Radikale Venstre, 1992)
- Venstre (V, Venstre, Danmarks Liberale Parti, membre fondateur en 1976)
- Espagne
- Ciudadanos (Cs, Ciudadanos, 2016)
- Estonie
- Parti du centre d'Estonie (KESK, Eesti Keskerakond, 2003)
- Parti de la réforme d'Estonie (Eesti Reformierakond, 1995)
- Finlande
- Parti du centre (KESK, Suomen Keskusta, 1992)
- Parti populaire suédois (SFP, Svenska Folkpartiet, 1992)
- France
- Mouvement radical (MRSL, 2018)
- Union des démocrates et indépendants (UDI, 2016)
- Hongrie
- Parti libéral hongrois (MLP, Magyar liberális párt, 2013)
- Mouvement Momentum (2018)
- Irlande
- Fianna Fáil (FF, depuis )
- Italie
- +Europa (+E, )
- Radicaux italiens (RI, Radicali italiani, 2004)
- Team Köllensperger (TK, membre associé en 2019)
- Lettonie
- Développement letton (LA, Latvijas Attistibai, 2013)
- Lituanie
- Parti du travail (DP, Darbo Partija - leiboristai, 2012)
- Mouvement libéral de la république de Lituanie (LRLS, Lietuvos Respublikos Liberalų sąjūdis, 2006)
- Malte
- Parti démocratique (Partit Demokratiku, PD, 2017)
- Luxembourg
- Parti démocratique (DP, Demokratesch Partei, membre fondateur en 1976)
- Pays-Bas
- Démocrates 66 (D'66, 1994)
- Parti populaire pour la liberté et la démocratie (VVD, Volkspartij voor Vrijheid en Democratie, membre fondateur en 1976)
- Pologne
- .Moderne (.Nowoczesna, 2016)
- Portugal
- Initiative libérale (2017)
- République tchèque
- ANO 2011 (Akce nespokojených občanů, 2014)
- Royaume-Uni
- Libéraux-démocrates (LibDems, Liberal Democrats, 1988)
- Parti de l'Alliance d'Irlande du Nord (Alliance Party of Northern Ireland, 2018)
- Parti libéral de Gibraltar (LP, Liberal Party of Gibraltar, membre associé, 2015)
- Slovaquie
- Slovaquie progressiste (PS, Progresívne Slovensko, 2018)
- Slovénie
- Parti du centre moderne (SMC, Stranka modernega centra, 2014)
- Parti d'Alenka Bratušek (SAB, Stranka Alenke Bratušek, membre associé en 2014)
- Liste de Marjan Šarec (LMS, Lista Marjana Šarca, 2018)
- Suède
- Parti du centre (C, Centerpartiet, 2000)
- Les Libéraux (L, Liberalerna, 1991)
Hors de l'Union européenne :
- Andorre
- Libéraux d'Andorre (L, Partit Liberal d'Andorra)
- Arménie
- Azerbaïdjan
- Parti Müsavat
- Bosnie-Herzégovine
- Parti libéral-démocrate de Bosnie-et-Herzégovine (LDS, Liberalno Demokratska Stranka)
- Géorgie
- Kosovo
- Alliance pour un nouveau Kosovo (AKR, Aleanca Kosova e Re)
- Parti libéral du Kosovo (PLK, Partia Liberale e Kosoves)
- Macédoine du Nord
- Parti libéral-démocrate (LD, Либерално демократска партија)
- Moldavie
- Parti libéral (PL, Partidul Liberal)
- Norvège
- Venstre (V)
- Russie
- Union populaire et démocrate russe (RNDS, Российский народно-демократический союз) aujourd'hui partie de l'union RPR-PARNAS (en)
- Iabloko (Яблоко)
- Serbie
- Parti libéral-démocrate (Liberalno Demokratska Partija, LDP)
- Suisse
- Parti libéral-radical (PLR)
- Parti Vert'libéral (PVL) (28.06.2019[6])
- Ukraine
- Parti européen d'Ukraine (EPU, Європейська партія України)
Anciens partis membres :
- Bulgarie
- Espagne
- Centre démocrate libéral (CDL, 2006-2014)
- Parti démocrate européen catalan (anciennement Convergence démocratique de Catalogne, exclu en )
- Italie
- Mouvement des républicains européens (MRE, Movimento Repubblicani Europei, disparu en 2011)
- Italie des valeurs (IdV, Italia dei Valori), jusqu’en 2014
- Finlande
- Centre ålandais (C)
- Grèce
- Lituanie
- Union centriste et libérale (LiCS, Liberalų ir centro sąjunga)
- Macédoine du Nord
- Parti libéral de Macédoine (LPM, Либерална партија на Македонија (Liberalna partija na Makedonije))
- Pologne
- Parti démocrate - demokraci.pl (PD, Partia Demokratyczna)[7]
- Portugal
- Parti de la Terre (MPT, Partido da Terra)
- République tchèque
- Ordre de la nation (LD, Liberalni Demokrate)
- Roumanie
- Parti national libéral (PNL, Partidul National Liberal) (jusqu'en 2014)
- Alliance des libéraux et démocrates (ALDE, Alianța Liberalilor și Democraților, jusqu'en 2019)
- Slovaquie
- Liberté et solidarité (SaS, Sloboda a Solidarita)
- Slovénie
- Démocratie libérale slovène (LDS, Liberalna Demokracija Slovenije)
- Liste civique (DL, Drzavljanska Lista)
- Réel - Les sociaux-libéraux (Zares - socialno liberalni)
Représentation dans les institutions de l'Union européenneModifier
Conseil européenModifier
L'ALDE est le deuxième parti le plus représenté au Conseil européen avec cinq chefs d'État ou de gouvernement, derrière le Parti populaire européen (onze membres), à égalité avec le Parti socialiste européen (six membres).
Membre | Photo | État membre | Titre | Membre depuis |
---|---|---|---|---|
Alexander De Croo | Belgique | Premier ministre | ||
Kaja Kallas | Estonie | Première ministre | ||
Micheál Martin | Irlande | Premier ministre | ||
Xavier Bettel | Luxembourg | Premier ministre | ||
Mark Rutte | Pays-Bas | Ministre-président | ||
Andrej Babiš | République tchèque | Président du gouvernement |
Parlement européenModifier
Les députés de l'ALDE siègent au Parlement européen dans un groupe commun avec le Parti démocrate européen. Ce groupe compte 98 membres, dont 67 sont membres du parti de l'ALDE. Le groupe est présidé par Dacian Cioloș, député européen (PLUS) et ancien Premier ministre roumain.
Commission européenneModifier
L'ALDE compte 5 commissaires sur les 28 membres de la Commission Juncker. Il y est le troisième parti politique représenté, derrière le PPE et le PSE.
Commissaire | Photo | Portefeuilles | État membre | Parti politique national |
---|---|---|---|---|
Andrus Ansip | Vice-président, chargé du Marché numérique unique | Estonie | Parti de la réforme d'Estonie | |
Cecilia Malmström | Commerce | Suède | Les Libéraux | |
Violeta Bulc | Transports | Slovénie | Parti du centre moderne | |
Věra Jourová | Justice, Consommateurs et Égalité des genres | République tchèque | ANO 2011 | |
Margrethe Vestager | Concurrence | Danemark | Parti social-libéral |
Comité européen des régionsModifier
Au Comité européen des régions, le groupe de l'ALDE compte 45 membres[8] sur 350. Le groupe est présidé par Bart Somers, bourgmestre (OpenVld) de Malines en Belgique.
Représentation au sein du Conseil de l'EuropeModifier
Assemblée parlementaireModifier
L'ALDE possède un groupe de 92 membres à l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. Il est présidé par Jacques Maire, député français (LREM).
Congrès des pouvoirs locaux et régionauxModifier
Au sein du CPLR du Conseil de l'Europe, les membres de l'ALDE siègent au sein du Groupe indépendant et libéral démocratique (GILD) qui compte 103 membres[9] (sur 648) et est présidé par Marc Cools, premier échevin (MR) d'Uccle en Belgique.
PrésidentsModifier
- Gaston Thorn (1978-1981)
- Willy De Clercq (1981-1985)
- Colette Flesch (1985-1990)
- Willy De Clercq (1990-1995)
- Uffe Ellemann-Jensen (1995-2000)
- Werner Hoyer (2000-2005)
- Annemie Neyts-Uyttebroeck (2005-2011)
- Graham Watson (2011-2015)
- Hans van Baalen (depuis 2015)
Financements privés et groupes d'intérêtModifier
Selon le journal Le Monde, l’ALDE a reçu d'importants financements de la part des entreprises multinationales Bayer, Uber, Google ou encore du géant suisse des pesticides Syngenta. Pour la seule année 2018, le parti centriste libéral a reçu 122 000 euros de la part de huit multinationales et lobbies. Celles-ci ont payé un droit d’entrée compris entre 7 000 et 18 000 euros pour pouvoir intervenir lors du congrès annuel du parti, organisé à Madrid en , ou lors de colloques. On trouve des représentants de Bayer et de Walt Disney lors d'un débat sur « l’avenir du commerce, des investissements et de l’innovation » ou encore des représentants de Uber et Stuart dans une table ronde sur « la flexibilité et le futur du travail ». Le directeur général du lobby de l’agroalimentaire FoodDrinkEurope donne égaldement son avis sur « le marché unique après 2019 »[10].
Après la mise en garde de La République en marche (LREM), son probable allié français au Parlement de Strasbourg aux élections européennes de , et suite à l'accusation du Rassemblement national de Marine Le Pen d'avoir reçu de l'argent de Bayer-Monsanto, vendeur du Glyphosate, un herbicide contesté, l'ALDE a annoncé, le , qu’il renonçait au sponsoring d'entreprises privées pour financer l’organisation de ses congrès[11].
Notes et référencesModifier
- (en) Wolfram Nordsieck, « European Union », sur parties-and-elections.eu (consulté le 5 juillet 2015).
- « Présentation du parti ALDE. »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- Dans sa version anglaise, Parti européen des libéraux, démocrates et réformateurs, avec l'inversion Démocrates/Libéraux entre les deux versions linguistiques qui perdure dans le groupe parlementaire.
- (en) Paul‐H. Claeys et Nicole Loeb‐Mayer, « Trans‐European Party Groupings: Emergence of New and Alignment of Old Parties in the Light of the Direct Elections to the European Parliament », Government and Opposition, vol. 14, no 4, , p. 455–478 (ISSN 0017-257X et 1477-7053, DOI 10.1111/j.1477-7053.1979.tb00257.x, lire en ligne, consulté le 14 février 2021)
- (en) « List of member parties ALDE » [PDF], sur epgencms.europarl.europa.eu
- [1]
- qui succède à l'Union pour la liberté (UW).
- (en-US) « CoR - Membres », sur cor.europa.eu (consulté le 29 mars 2018).
- Alnetis, Matthieu Lahache, « GILD - Titre groupes politiques », sur www.congress-political-groups.eu (consulté le 29 mars 2018).
- Maxime Vaudano, « Oui, des multinationales privées financent bien des partis politiques européens », Le Monde, (lire en ligne).
- « Le parti centriste européen ALDE renonce aux financements par des entreprises », Le Monde, (lire en ligne, consulté le 27 mars 2019).
ComplémentsModifier
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
- (en) Site officiel