La course est remportée pour la deuxième année consécutive par l'Allemand Maximilian Schachmann, membre de l'équipe Bora-Hansgrohe. Le Russe Aleksandr Vlasov et l'Espagnol Ion Izagirre (Astana-Premier Tech) complètent le podium, terminant respectivement deuxième et troisième. Le Slovène Primož Roglič, numéro un mondial, qui occupait la tête du général lors de la dernière étape, a perdu plus de trois minutes lors de celle-ci en raison de chutes, terminant finalement quinzième.
Comme c'est le cas depuis 2010, la Course au soleil démarre des Yvelines, avec une étape bosselée autour de Saint-Cyr-l'École. Le lendemain, l'étape est plate mais pourrait être rendue piégeuse par le vent. Après un contre-la-montre de 14,4 km, une première arrivée au sommet est programmée, après un parcours accidenté, vers le col du Fut d'Avenas dans le Beaujolais. Les sprinteurs ont ensuite une dernière opportunité de lever les bras, avant une fin d'épreuve plus montagneuse dans l'arrière pays-niçois. Les coureurs disputent une étape difficile, sur un parcours similaire à la 7e étape de l'édition 2011, une arrivée pour la 3e fois en quatre ans au col de la Colmiane, et la traditionnelle boucle finale autour de Nice[1],[2],[3].
Les coureurs parcourent deux fois une grande boucle autour de Saint-Cyr-l'École, à travers les Yvelines et l'Essonne, pour 166 km de course. Lors de chacun de ces deux tours, les coureurs escaladent deux côtes de 3e catégorie, la côte de Senlisse (1,1 km à 5,5 %) et la côte de Méridon (1,4 km à 5,2 %), puis disputent un sprint intermédiaire, au sommet d'un mur à Châteaufort. Dans le premier tour, ces rendez-vous sont placés au km 49.5, au km 55 et au km 65 ; dans le second tour, ils sont situés au km 133.5, au km 140 et au km 150,5.
Malgré plusieurs tentatives d'échappées, le peloton reste groupé dans les premiers kilomètres. Au km 16, Fabien Doubey (Total-Direct Energie) attaque et prend vite du champ sur le peloton. Son avance grimpe jusqu'à 5 minutes 20 au km 36, puis l'équipe Deceuninck-Quick Step enclenche la poursuite, rejointe ensuite par les formations Trek-Segafredo et Groupama-FDJ.
Doubey passe en tête au sommet de la côte de Senlisse, avec 5 minutes d'avance sur Tim Declercq (Deceuninck-Quick Step), Julien Bernard (Trek-Segafredo) et le reste du peloton. Au sommet de la côte de Méridon, l'homme de tête possède toujours 5 minutes d'avance sur le peloton, mené par Bernard et Bruno Armirail (Groupama-FDJ). L'écart est d'environ 4 minutes 30 lors du premier sprint intermédiaire, où Michael Matthews (Team BikeExchange) va chercher la 2e place, devant le champion de Grande-BretagneBen Swift (Ineos-Grenadiers). L'échappé aborde le second tour avec 3 minutes 25 d'avance sur le peloton. Le retard du peloton n'est plus que de 1 minute 19 à 60 km de l'arrivée.
Alors que l'avance de l'homme de tête est passé sous la barre de la minute, Philippe Gilbert (Lotto-Soudal) attaque à environ 54 km de l'arrivée, suivi par son coéquipier Stefano Oldani, ainsi que Anthony Perez (Cofidis) et Christopher Lawless (Total-Direct Energie). Fabien Doubey est rejoint par ce quatuor à 52,2 km du but. Le peloton est alors pointé à 30 secondes. A 50,8 km de la ligne, alors que l'avance du quintet s'est réduite d'une dizaine de secondes, Gilbert laisse partir Oldani et Perez pour piéger les deux coureurs de Total-Direct Energie, avant de faire l'effort pour recoller sur la tête de course. Doubey y parvient également, mais pas Lawless. Ce dernier est vite repris par le peloton. L'écart entre le groupe de tête et le peloton va ensuite se stabiliser autour des 30 secondes. Richie Porte (Ineos-Grenadiers) chute au pied de la côte de Senlisse. Il repart dans un premier temps, avant d'abandonner l'épreuve. Doubey passe en tête au sommet, devant Oldani et Perez, s'assurant ainsi de terminer l'étape en tête du classement de la montagne. Le peloton franchit la ligne 43 secondes plus tard. Doubey se relève après l'ascension. Les équipes de sprinteurs (Deceuninck-Quick Step, Groupama-FDJ, Team BikeExchange et Bora-Hansgrohe) vont ensuite nettement accélérer, le trio de tête est repris au pied de la côte de Méridon. Nils Politt (Bora-Hansgrohe) passe en tête au sommet, devant Amund Grøndahl Jansen (Team BikeExchange) et Anthony Perez. Kobe Goossens (Lotto-Soudal) sort du peloton à 25,4 km de l'arrivée. Il creuse rapidement un écart de 20 secondes, mais est revu à 17,6 km du but.
Tiesj Benoot (Team DSM) accélère dans le mur de Châteaufort, mais Michael Matthews le devance sur la ligne du sprint intermédiaire, tandis que Jasper Stuyven (Trek-Segafredo) prend la 3e place. Pierre Latour (Total-Direct Energie) attaque à 15 km de la ligne, suivi par Søren Kragh Andersen (Team DSM), Edward Theuns (Trek-Segafredo), Mattia Cattaneo (Deceuninck-Quick Step), David de la Cruz (UAE Emirates), Cyril Gautier (B&B Hotels p/b KTM) et Kristian Sbaragli (Alpecin-Fenix). Les sept hommes sont repris à 11 km de l'arrivée, Gautier contre-attaque, mais il est rejoint par le peloton 800 m plus loin. Les trains des sprinteurs se mettent progressivement en place dans les 10 derniers kilomètres. Alors qu'il était dans les premières positions du peloton, Miles Scotson (Groupama-FDJ) chute à la flamme rouge, ce qui perturbe la préparation du sprint final. Bien emmené par son équipe, Pascal Ackermann (Bora-Hansgrohe) lance le sprint, mais Sam Bennett (Deceuninck-Quick Step) est le plus rapide et s'impose devant le champion de FranceArnaud Démare (Groupama-FDJ) et Mads Pedersen (Trek-Segafredo). Bennett s'empare ainsi des maillots jaunes et verts, avec 4 secondes d'avance sur Démare et 5 sur Mathhews. 4e de l'étape et 8e du classement général, à 10 secondes du leader, Jasper Philipsen (Alpecin-Fenix) prend le maillot blanc.
La première partie de l'étape est légèrement vallonnée, avec notamment la côte des Granges-le-Roi (1,5 km à 3,5 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est situé au km 72,5. La suite du parcours est une traversée des plaines de la Beauce, jalonnée par les deux sprints intermédiaires (km 91,5 et km 154,5). L'arrivée est jugée à Amilly, après 188 km de course depuis Oinville-sur-Montcient, à travers les Yvelines, l'Essonne, l'Eure-et-Loir et le Loiret.
Plusieurs chutes émaillent les derniers kilomètres. Parmi les coureurs qui vont à terre, seul Alexis Vuillermoz (Total-Direct Energie) est contraint à l'abandon. Les formations Trek-Segafredo, puis Team DSM prennent en main le peloton dans les 4 derniers kilomètres. Une chute à la flamme rouge empêche certains sprinteurs, comme Nacer Bouhanni (Arkéa-Samsic) ou Alexander Kristoff (UAE Emirates) de se battre pour la victoire. Bien emmené par son équipier Jasper Stuyven, Mads Pedersen (Trek-Segafredo) lance le sprint, mais Cees Bol (Team DSM) se montre le plus rapide, et s'adjuge l'étape devant Pedersen et Matthews. Ce dernier s'empare du maillot jaune, avec 4 secondes d'avance sur Bennett, Pedersen et Bol. 8e du classement général à 12 secondes, Florian Vermeersch est le nouveau meilleur jeune. 5e du jour, Sam Bennett conserve son maillot vert, à égalité de points avec Mads Pedersen mais au bénéfice de sa victoire d'étape.
Les coureurs disputent lors du 3e jour de l'épreuve un contre-la-montre individuel, long de 14,4 km autour de Gien, à travers le Loiret. Le parcours est plat, néanmoins les 400 derniers mètres sont à 6,3 % de pente moyenne.
Si les premiers kilomètres sont plats, le parcours est vallonné. Quatre ascensions de 2e catégorie jalonnent la première moitié de l'étape : le col des Chèvres (2,3 km à 7,6 %), le col de la Pistole (3,1 km à 6,6 %), la côte de Croix de Montmain (3,6 km à 5,4 %) et la côte de la roche de Solutré (4,1 km à 5,5 %), dont les sommets sont situés respectivement au km 28, au km 47.5, au km 63,5 et au km 85. Une quinzaine de kilomètres plus loin, à partir de Fleurie, les coureurs parcourent une boucle de 45 km. Deux montées sont programmées lors de cette boucle : le Mont Brouilly (3 km à 7,7 %), classé en 2e catégorie et dont le sommet est au km 122, et le col de Durbize, en haut duquel est disputé le premier sprint intermédiaire (km 140). Les coureurs empruntent ensuite une seconde fois les deux premiers tiers de cette boucle, franchissant ainsi le sommet du mont Brouilly au km 167 et disputant le second sprint intermédiaire au col de Durbize (km 185). Après ce sprint, la route continue cette fois-ci de grimper, jusqu'à l'arrivée au lieu-dit « La Terrasse »[9] (7,3 km à 6 %) à seulement un kilomètre du col du Fut d'Avenas[10] dans la commune de Chiroubles , classée en 1re catégorie, après 188 km de course depuis Chalon-sur-Saône, à travers la Saône-et-Loire et le Rhône.
Une échappée de six coureurs (Julien Bernard, Fabien Doubey, Oliver Naesen, Anthony Perez, Oscar Riesebeek et Joaquín Rojas) obtient jusqu'à cinq minutes d'avance. Anthony Perez récolte les points du grimpeur.
Alors que ses compagnons d'échappés se relèvent, Julien Bernard continue seul. Rémi Cavagna attaque dans le peloton lors d'une temporisation. Alors qu'il allait revenir sur Bernard, il est victime d'un problème sur son vélo et doit s'arrêter. Luis León Sánchez qui est sorti du peloton après Cavagna, rejoint la tête de course mais les favoris reviennent. Dans l'ascension finale, Primož Roglič place une attaque à trois kilomètres du sommet et de l'arrivée. Il n'est pas rejoint et remporte l'étape.
Le parcours est extrêmement plat, avec une seule ascension, la côte de Saint-Restitut (1,4 km à 4,8 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est situé au km 169,5. Les deux sprints intermédiaires sont programmés au km 57 et au km 187. L'arrivée est jugée à Bollène, après 203 km de course depuis Vienne, à travers l'Isère, la Drôme, l'Ardèche et le Vaucluse.
Cette étape est entamée en mode mineur et ne commence réellement à s'animer qu'à 70 kilomètres du but quand une échappée de onze coureurs s'extrait du peloton. Ce groupe d'attaquants qui a l'étonnante particularité de ne compter que des coureurs belges est toutefois repris après 6 kilomètres. Il est à noter que le maillot jaune Primož Roglič est impliqué dans une chute à 35 km de l'arrivée qui se révèle plus grave pour Tony Martin qui est contraint d'abandonner. Maximilian Schachmann prend des secondes de bonification. Bien emmené par son équipe, Sam Bennett règle le sprint du peloton et signe une deuxième victoire dans cette épreuve.
La première partie de l'étape est légèrement vallonnée, avec notamment la côte des Tuillières (2,2 km à 7,8 %), classée en 2e catégorie et dont le sommet est situé au km 52, et la côte du Mont-Méaulx (1,5 km à 4,3 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est au km 67,5. Après le sommet de la côte de Cabris (7,6 km à 5,8 %), classée en 1re catégorie, au km 102.5, il n'y a pas de descente, mais quelques kilomètres de plat, le col du Ferrier (4,3 km à 6,8 %), une montée de 1re catégorie dont le sommet est placé au km 113, une petite dizaine de kilomètres de plat puis une longue descente, comprenant un bref passage en léger faux plat montant aux alentours du km 135. Après cette descente, les coureurs enchaînent une montée vers le premier sprint intermédiaire (km 145,5) et la côte de Gourdon (4 km à 3,7 %), classée en 3e catégorie. Une fois le sommet franchi (km 156,5), le parcours descend pendant une quinzaine de kilomètres, avant de grimper jusqu'au second sprint intermédiaire (km 185). Le final est ensuite légèrement bosselé. L'arrivée est jugée à Biot, après 202,5 km de course depuis Brignoles, à travers le Var et les Alpes-Maritimes.
Une échappée de six coureurs se forme après la côte des Tuillières, au tout début de l'étape. Ce groupe comprend Victor Campenaerts (Qhubeka ASSOS), Julien El Fares (Education First-Nippo), Alexey Lutsenko (Astana), Kenny Elissonde (Trek-Segafredo), Anthony Perez (Cofidis) et Jonathan Hivert (B&B Hotels). À la mi-course, le porteur du maillot blanc et troisième du classement général Brandon McNulty chute et doit abandonner. Le groupe de tête perd régulièrement des unités et le dernier à être repris est le Français Kenny Elissonde qui est rattrapé par l'Allemand Jonas Rutsch (Education First-Nippo) sorti du peloton à 14 km de l’arrivée. Le duo tente de résister au retour du peloton mais Elissonde est repris à 3 kilomètres du but et Rutsch en vue de la flamme rouge. À moins de cinq cents mètres, Guillaume Martin arrive à l'avant du peloton pour cette arrivée en côte, suivi par le maillot jaune Primož Roglič qui le remonte pour s'imposer devant Christophe Laporte et Michael Matthews.
Le départ de l’étape devait initialement se faire à Nice mais les mesures contre le coronavirus en place dans la cité niçoise et sur la bande côtière ont poussé les organisateurs à réduire l’étape. Le départ est déplacé au Broc et arrive au sommet de Valdebore La Colmiane (col de 1ère catégorie) après 119,2 km. Cette étape de montagne qui pourrait être décisive pour le classement général comprend aussi les cols de 2ème catégorie de Gilette après 6,7 km, de la Sigale après 34,4 km et de Saint-Antonin après 47 km. La montée finale vers Valdebore La Colmiane est un col de 16,3 km avec une pente moyenne de 6,3 %.
Un groupe de 13 coureurs part à l'attaque après la côte de Gilette, première difficulté de la journée. Ce groupe comprenant Thomas De Gendt (Lotto Soudal), Dylan Teuns et Gino Mäder (Bahrain Victorious), Laurens De Plus et Andrey Amador (Ineos Grenadiers), Mattia Cattaneo et Sam Bennett (Deceuninck-Quick Step), Julien Bernard et Kenny Elissonde (Trek-Segafredo), Neilson Powless (Education First-Nippo), Alexey Lutsenko (Astana-Premier Tech), Anthony Perez (Cofidis) et David de la Cruz (UAE Emirates) compte jusqu'à presque trois minutes d'avance sur le peloton qui commence à réagir dès la mi-course. Au fur et à mesure des kilomètres, la plupart des échappés sont repris, le premier étant Anthony Perez qui a pris le maximum de points au classement du meilleur grimpeur et s'assure ainsi la victoire finale pour ce classement. Dans la longue montée finale, les trois fuyards encore en tête ont pour noms Mäder, Powless et Elissonde. Ces deux derniers sont finalement avalés par le peloton des favoris. Seul à deux kilomètres du sommet, le Suisse Gino Mäder fait de la résistance. Dans les derniers hectomètres, le peloton des favoris réduit à une douzaine d'unités voit le maillot jaune Primož Roglič placer deux accélérations successives pour rattraper et dépasser l'infortuné Gino Mäder quelques mètres avant la ligne d'arrivée au sommet de Valdebore La Colmiane.
Le tracé initial de cette ultime étape a été complètement modifié à la suite des mesures prises contre la pandémie de Covid-19 par les autorités plus particulièrement à Nice et sur la bande côtière. La 8e étape consiste en un circuit local à accomplir trois fois pour un total de 92,7 km. Le départ a lieu au Plan-du-Var pour arriver à Levens. La seule difficulté de la course est la côte de Duranus, longue de 3,9 km pour une pente moyenne de 3,7 % et reprise en deuxième catégorie. Cette côte doit donc être franchie trois fois avec un dernier sommet situé à 8,4 km de l'arrivée. Il s'agit d'une courte étape très vallonnée et sinueuse avec peu de portions planes.
Cette courte étape s'est pourtant assimilée à un long chemin de croix pour le maillot jaune Primož Roglič. À une soixantaine de kilomètres de l'arrivée, il chute mais est ramené dans le peloton grâce à l'aide de ses coéquipiers de Jumbo. Par contre, une seconde chute et un problème mécanique à 25 et 23 km du but l'immobilisent un certain temps. Ne pouvant plus compter sur aucun équipier, il ne parvient pas à réintégrer le peloton emmené par son dauphin au classement général Maximilian Schachmann. Son écart avec le peloton ne cesse de croître et il perd son maillot jaune, concédant plus de trois minutes à l'arrivée.
Après plusieurs tentatives d'échappées plus ou moins abouties mais chaque fois annihilées, un groupe d'une vingtaine de coureurs se présente à l'arrivée à Levens. Le Danois Magnus Cort Nielsen (Education First-Nippo) s'impose devant les Français Christophe Laporte (Cofidis) et Pierre Latour (Total Direct Energie).
Le classement général, dont le leader porte le maillot jaune, s'établit en additionnant les temps réalisés à chaque étape, puis en ôtant d'éventuelles bonifications (10, 6 et 4 s à l'arrivée des étapes en ligne et 3, 2 et 1 s à chaque sprint intermédiaire). En cas d'égalité, les critères de départage, dans l'ordre, sont : centièmes de seconde enregistrés lors du contre-la-montre, addition des places obtenues lors de chaque étape, place obtenue lors de la dernière étape.
Le classement par points, dont le leader porte le maillot vert, est l'addition des points attribués à l'arrivée des étapes (15, 12, 9 et 7 points, puis en ôtant 1 pt par place perdue jusqu'au 10e, qui reçoit donc 1 pt) et aux sprints intermédiaires (3, 2 et 1 points). En cas d'égalité de points, les critères de départage, dans l'ordre, sont : nombre de victoires d'étape, de sprints intermédiaires, classement général.
Le classement du meilleur grimpeur, dont le leader porte le maillot à pois, consiste en l'addition des points obtenus au sommet des ascensions de 1re (10, 5, 3, 2 et 1 pts), 2e (5, 3, 2 et 1 pts) et 3e (3, 2 et 1 pts) catégorie. En cas d'égalité de points, les critères de départage, dans l'ordre, sont : nombre de premières places dans les ascensions de 1re, puis de 2e, enfin de 3e catégorie, classement général.
Le classement par équipes de l'étape est l'addition des trois meilleurs temps individuels de chaque équipe. En cas d'égalité, les critères de départage, dans l'ordre, sont : addition des places des trois premiers coureurs des équipes concernées, place du meilleur coureur sur l'étape. Calculer le classement par équipes revient à additionner les classements par équipes de chaque étape. En cas d'égalité, les critères de départage, dans l'ordre, sont : nombre de premières places dans le classement par équipes du jour, nombre de deuxièmes places dans le classement par équipes du jour, etc., place au classement général du meilleur coureur des équipes concernées.
Un prix de la combativité est attribué à chaque étape en ligne par un jury, pour récompenser « le coureur le plus généreux dans l’effort et manifestant le meilleur esprit sportif »[7].
Tableau récapitulatif de l'évolution des différents classements de la compétition