Famille Papeians de Morchoven

famille de la noblesse belge
(Redirigé depuis Papeians de Morchoven)

Famille Papeians de Morchoven dit van der Strepen
Image illustrative de l’article Famille Papeians de Morchoven

Lignées Papeians
Branches Papeians de Morchoven dit van der Strepen
Papeians de Barlestein (éteinte)
Période XVIIe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Gand (Comté de Flandre)
Allégeance Saint Empire Romain Germanique
Pays-Bas autrichiens
Drapeau de la Belgique Royaume de Belgique
Fiefs tenus Hoetsele, Puyhen, Eertbrugge, Barlestein, Wansele, Schellebelle
Demeures Château de Barelsteyn
Château de Heeswijk
Hôtel Papeians (Cercle Royal La Concorde)
Hôtel Papeians (Hôtel Falligan)
Château de Niel (Nieldebroeck)
Château de Serskamp
Charges Échevin de Gand
Conseiller au conseil de Flandre
Auditeur au conseil des comptes à Bruxelles
Haut-échevin du pays de Waes
Conseiller et maître de la cour des comptes de Bruxelles
Grand maréchal de la cour
Ambassadeur, etc.
Fonctions militaires Officiers : commandant du port de Messine, lieutenant-colonel, colonel aviateur, commandant des troupes blindées, capitaine, etc.
Fonctions ecclésiastiques Moine bénédictin
Chanoinesse
Révérende mère
Récompenses civiles Ordre de la Couronne (Belgique)
Ordre de Léopold
Ordre de Léopold II
Ordre d'Orange-Nassau
Ordre de la Légion d'honneur
Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem
Récompenses militaires Médaille de l'Yser
Croix de guerre belge
Croix de guerre française
Croix des évadés 1940-1945

La famille Papeians de Morchoven dit van der Strepen olim Papejans est une famille contemporaine de la noblesse belge, originaire de Gand dans le comté de Flandre. Anoblie en 1717 avec le titre de chevalier et permission de s’appeler Papeians de Morchoven dit van der Strepen[1], elle obtient reconnaissance de noblesse en Belgique en 1876[2] et concession du titre de chevalier en 1921 et de baron en 1930 et 1955[3].

La filiation suivie de la famille Papeians remonte à Jean Papejans, marié à Élisabeth Soetebroeck, père de Philippe Papeians, marié en 1608 à Gand à Jeanne van de Putte et mort en 1652[4].

Hôtel Papeians.

Histoire modifier

Origine modifier

La famille Papeians de Morchoven dit van der Strepen a une filiation suivie qui remonte à Jean Papeians, marié à Élisabeth Soetebroeck, dont le fils Philippe Papeians, mort en 1652 épousa à Gand en 1608 Jeanne van de Putte[4].

Par diplôme du 25 juin 1717 de l'empereur Charles VI souverain des Pays-Bas autrichiens, Jean-Baptiste Papeians, auditeur de la chambre des comptes de Bruxelles est autorisé lui et sa descendance à s'appeler Papeians de Morchoven dit van der Strepen[1] en considération que son aïeule Marie Blanquaert était la petite fille d'Anne van der Strepen, fille de Jean de Morchoven dit van der Strepen, secrétaire de l'empereur Charles Quint[5]. Ses deux frères Emmanuel-Joseph et Jacques François reçurent la même autorisation.

Généalogie modifier

Généalogie connue à ce jour de la famille Papeians, en ligne de primogéniture masculine (les généalogies plus anciennes des familles de Morchoven dit van der Strepen et Glavimans dont elle est issue en ligne féminine ne sont pas représentées ici).

  • Jean Papeians ∞ Elisabeth Soetebroeck
    • Philippe Papeians (1590-1651) ∞ Jeanne van de Putte (†1652)
      • Philippe Papeians (1614-1674) ∞ Josine-Marie Blancquaert (1616-1661)
        • Jean-Baptiste Papeians (1649-1708) ∞ Marie-Anne Tanghe (1649-1730)
          • Chevalier Jean-Baptiste-Joseph Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1677-1754), seigneur d'Eertbrugghe, Schellebelle, Wanzele, etc. ∞ Thérèse-Suzanne van der Zee (1683-1762)
            • Chevalier Jean-Baptiste-Joseph Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1706-1771), seigneur d'Eertbrugghe ∞ Jeanne-Livine Le Fevere (1723-1757)
              • Chevalier Jacques-Joseph Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1753-1804) ∞ Thérèse-Barbe Piers de Welle (1770-1817)
                • Écuyer Charles-Ghislain Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1799-1848), bourgmestre de Serskamp ∞ Victoire de Wilde (1808-1871)
                  • Chevalier Louis-François Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1842-1920), ∞ Augusta Kervyn (1848-1935)
                    • Chevalier Werner-Albéric Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1875-1926), juge ∞ Pauline Morel de Westgaver (1883-1931)
                      • Chevalier Jacques Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1912-1988) ∞ Marthe van Outryve d'Ydewalle (1916-2016)

Armes modifier

 
Armes de la famille Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1723). États présent de la noblesse belge, 1978.

Écartelé aux 1 et 4 de gueules au lion d’or, couronné d’argent, armé et lampassé de sable, qui est Glavimans ; aux 2 et 3 d'or à six fleurs de lis de gueules, posées 3, 2, 1, qui est de Morchoven dit van der Strepen ; sur le tout de gueules à la fasce d'or, chargée d’une trangle vivrée de trois pièces d’azur, qui est Papeians[6].

 
Vitrail du château de Heeswijk, avec au centre et au sommet les armes van den Bogaerde van terbrugge et Papeians de Morchoven dit van der Strepen.

Les armoiries de chacune de ces branches figuraient encore dans la Liste des titres de noblesse, chevalerie, et marques d'honneur, accordées par feue SM l'impératrice-reine Marie-Thérèse[7], éditée et parue en 1783.

Noblesse et titres modifier

  • Par lettres patentes du 8 août 1718 de l'empereur Charles VI, Philippe-Dominique Papeians, seigneur de Hoetsele et de Puyhen et conseiller au conseil de Flandre, fut anobli avec le titre de chevalier[8] (branche aînée éteinte).
  • Par lettres patentes du 25 juin 1717 de l'empereur Charles VI souverain des Pays-Bas autrichiens, les 3 fils de Jean-Baptiste Papeians, auditeur de la chambre des comptes de Bruxelles en 1677 et de Anne-Adrienne Tanghe : Jean-Baptiste, auditeur de la chambre des comptes de Bruxelles, Jacques-François, seigneur de Calsbourg, gardien et commandant du port de Messine au Royaume de Sicile (branche éteinte) et Emmanuel-Joseph, haut-échevin du pays de Waes, reçoivent concession de noblesse pour eux et leurs descendance et concession du titre de chevalier sans hérédité[9],[10],[11].
  • Par lettres patentes du 19 février 1876 du roi Léopold II, François (1829-1899) (branche aînée éteinte), Louis-François (1842-1920)) et Adolphe-Emile-Ghislain ( (1846-1940)) Papeians de Morchoven dit van der Strepen (frères) reçoivent reconnaissance de noblesse en Belgique[2].
  • Titre de chevalier transmissible par ordre de primogéniture en 1921.
  • Titre de baron transmissible par ordre de primogéniture en 1930 et 1955[3]

La légende de l'église de Schellebelle modifier

Une légende associée à l'origine de l'église de Schellebelle apparue sous forme de livre dans la première moitié du XIXe siècle sous le titre : « L'origine du maître-autel de la Kerspelkerk de Schellebelle ». (Kerspelkerk est un mot obsolète pour église paroissiale)[12] raconte les aventures imaginaires d'un chevalier Hugo Papejans De Morchoven qui participa à la quatrième croisade (1202 à 1204) et au retour fut capturé et emprisonné pendant des années par des pirates sarrasins. Il promit à Dieu de construire une église à l'endroit où il reverrait pour la première fois sa bien-aimée Schellebelle. Un soir de Noël, il fut libéré de ses fers par un ange, transporté dans les airs et placé chez lui sur les bords de l'Escaut. Il tint alors sa promesse et construisit une église à l'endroit même où il avait été autorisé pour la première fois à ouvrir les yeux sur la liberté[12],[13].

Cette légende (on ne connait pas la famille Papeians au delà du XVIIe siècle et elle ne posséda la seigneurie d'Ertbrugge qu'à partir de 1759) fait référence à Saint Gaugericus (Goorik), qui fut le saint patron de cette église paroissiale jusqu'en 1681 et aurait libéré de nombreux captifs de leurs cachots par la prière[12].

Personnalités modifier

  • Jean Baptiste Papeians de Morchoven, avocat au Conseil de Flandre, greffier de Wetteren et auditeur de la chambre des comptes de Bruxelles[14]. Il épousa, le 19 décembre 1674 à Gand, Anne-Adrienne Tanghe, née à Gand le 21 juillet 1649[14].
  • Jean-Baptiste-Joseph Papeians de Morchoven (Gand, 8 février 1706 - Gand, 2 novembre 1771), seigneur d'Eertbrugghe et Barlestein, Wansele et Schellebelle, Haut-échevin du Pays de Waes en 1732, épousa Jeanne-Livine le Fevere, née à Audenarde; fille de Louis-Ignace le Fevere, châtelain d'Audenarde, et Barbe Odemaer.
 
Carte du château de Barelsteyn, 1787.
  • Chevalier Théodore François Marie Philippe Papeians de Morchoven (Gand, 1792 - Gand, 1846), d'abord militaire et ensuite botaniste, fut élève à l'école impériale militaire de Saint-Germain. Il fut d'abord sous-lieutenant au 12e régiment des chasseurs à cheval, avant d'être élevé au grade de lieutenant en 1813, et de capitaine d'escadron en 1814[15]. Il prit part, durant sa carrière militaire, aux mémorables campagnes de Russie, de Saxe et de France[16]. Son engagement lors de la bataille de Leipzig lui valut la haute estime et les honneurs de la part du Général de Gigny, pour sa bravoure et sa conduite exemplaire[16]. Il quitta le service militaire après la Restauration, pour intégrer la Société royale d'agriculture et de botanique de Gand, dont il devint président[15]. C'est durant cette période que fut nommée, en son honneur, la Cattleya de Papeians[17] ou Cattleya Papeiansiana, parfois également appelée Cattleya Harrisoniana. Ce type d'orchidée fut identifiée par le naturaliste belge Charles Morren.
  • Edouard Papeians de Morchoven dit van der Strepen, frère jumeau de Théodore, officier de cavalerie au sein de la Grande Armée et mort durant la Campagne d'Allemagne, le 11 juin 1813[18].
     
    Cattleya Papeiansiana. Annales de la Société royale d'agriculture et de botanique de Gand: journal d'horticulture et des sciences accessoires, 1845.
  • Louis-Marie-Ghislain Papeians de Morchoven dit van der Strepen (Gand, 9 mars 1801 - Gand, 27 mars 1863), épousa Adèle Damiens (1799-1859) le 5 juin 1833. Il fut Lieutenant-Colonel de cavalerie de l'armée belge, combattant durant la révolution de 1830 et mécène de Gustave Courbet[19].
  • François Papeians de Morchoven dit van der Strepen ( Schellebelle, 3 décembre 1829 - Lokeren, 18 mars 1899 ) est reconnu dans la noblesse héréditaire en 1876. Il épouse Marie-Stéphanie Debbaudt (1839-1863) à Kalken en 1861. Le couple a eu deux filles et la branche familiale s'est éteinte.
  • Louis François Papeians de Morchoven dit van der Strepen (Schellebelle, 10 janvier 1842 - Bruges, 9 juillet 1920), lieutenant-colonel, lieutenant-commandant à Liège, fut reconnu dans la noblesse héréditaire en 1876. Il épouse Augusta Kervyn (1848-1935) à Bruges en 1873. Le couple avait cinq enfants.
  • Werner Papeians de Morchoven (1875-1926), juge des enfants au tribunal de première instance de Bruges, membre de la Noble Confrérie du Saint-Sang, obtient le titre de chevalier en 1921, transmissible sur primogéniture. Il épouse Paule Morel de Westgaver (1883-1931) à Bruges en 1910. Ils ont eu neuf enfants. Avec des descendants à ce jour.
  • Adolphe Emile Ghislain Papeians de Morchoven dit van der Strepen (Schellebelle, 20 août 1846 - Bruxelles, 15 février 1940) est reconnu dans la noblesse héréditaire en 1876. En 1930, il obtient le titre de baron par le Roi Albert Ier, transmissible sur primogéniture. Il épousa Marie Alves Machado de Andrade de Carvalho (1850-1943) en 1877. Ils ont eu trois enfants, avec des descendants à ce jour.
  • Charles (Carlos) Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1878-1966), épousa en 1912 Joachine Vieira Monteiro (1888-1969) à Paris, fille du Chevalier Francisco Vieira Monteiro, Ministre plénipotentiaire du Brésil et Chambellan de l'Empereur Pedro II. Il devient envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire, grand maréchal et maître de cérémonie à la cour royale de Belgique.
  • Jean Papeians de Morchoven dit van der Strepen (Lisbonne, 1913 - Bruxelles, 1983), Ambassadeur du Royaume de Belgique et Ministre plénipotentiaire, Représentant permanent du Royaume de Belgique auprès de l'OTAN, Chef de délégation du Royaume de Belgique auprès de l'UNESCO, marié en 1960 à Geneviève Poret (1926-2006), Marquise de Civille.
  • Charles Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1914-1995), épousa Colette van Praet d'Amerloo (1922-1996) à Bruxelles en 1946. Il devient président de l'Association de la Noblesse du Royaume de Belgique. Il reçut le titre de baron en 1955, transmissible sur primogéniture.
  • Pierre Papeians de Morchoven (1914-2008) est devenu bénédictin à l'abbaye de Zevenkerke sous le nom de Werner, missionnaire en Chine, cofondateur de l'abbaye de Valyermo (Californie), peintre.
  • André Papeians de Morchoven dit van der Strepen (Belgique, 1916- France, 2005), Colonel d'aviation, Représentant du Royaume de Belgique à l'OTAN, Commandeur de l'Ordre de Léopold, Commandeur de l'Ordre équestre du Saint-Sépulcre, Récipiendaire de la Croix de guerre belge et de la Croix de guerre française pour faits d'armes durant la Seconde guerre mondiale.
  • François Papeians de Morchoven (1924-2008) est devenu bénédictin à l'abbaye de Zevenkerke sous le nom de Christian. Il était l'archiviste et l'historiographe de l'abbaye.
  • Elisabeth Papeians de Morchoven dit van der Strepen (Rome, 1916 - Bruxelles, 2003), mariée en 1942 avec Gabriel de Meester de Betzenbroeck.
  • Arnould Papeians de Morchoven dit van der Strepen (1947 - 2023), marié en 1984 à la comtesse Elisabeth d'Aspremont Lynden (°1958), fille de Gobert d'Aspremont Lynden. Il devient administrateur de la Banque Degroof avec un doctorat en droit. Il devient membre de l'ordre souverain de Malte, trésorier, chancelier puis président de l'association belge des membres de l'ordre de Malte.

Alliances modifier

Les principales alliances de la famille Papeians de Morchoven dit van der Strepen sont : Soetebroeck, van de Putte (1608), Sonius (1641), Blancquaert, Tanghe (1649), van der Bruggen, Valcke (1701), de Brune (1745), de Heems (1772), Flocquet, Goethals, van der Zee (1701), de Locquenghien, Fravendienst, le Fevere, van den Hecke (1772), de Fiquelmont (1780), Piers (1791), de Keerle (1821), de Guaita (1820/1825), van den Bogaerde (1821), Damiens (1833), de Richterich (1762), Huens, o'Donnoghue de Glansfleke (1750), de Heere (1782), Baut de Rasmon (1780), Wirix de Kessel, du Quesne[4], de Lausnay[20], Machado de Andrade de Carvalho (1877)[21], de Wilde[22], Kervyn[23], Morel de Westgaver[23] etc.

Notes et références modifier

  1. a et b Annuaire de la noblesse de Belgique, Volume 14, Decq, 1860, page 317.
  2. a et b Pasinomie: collection des lois, décrets, arrêtés et règlements généraux qui peuvent être invoqués en Belgique, 1882, page 383.
  3. a et b Fernand de Ryckman de Betz, Armorial général de la noblesse belge, H. Dessain, 1957, page 354.
  4. a b et c Fel. Vict Goethals, Miroir des Notabilités nobiliaires de Belgique, des Pays-Bas et du Nord de la France, volume 1, Polack-Duvivier, 1857, page 643.
  5. Annuaire de la noblesse de Belgique, volume 14, Decq, 1860, page 318.
  6. de Vegiano (Seigneur d'Hovel.), Nobiliaire des Pays-Bas et du comté de Bourgogne, F. et E. Gyselynck, (lire en ligne)
  7. Liste des titres de noblesse, chevalerie, et marques d'honneur, accordées par feue SM l'impératrice-reine Marie-Thérèse ... et par SM l'empereur et roi, depuis l'année 1763 jusqu'à la fin de 1782, Flon, (lire en ligne)
  8. Jean Charles Joseph de Vegiano, Nobiliaire des Pays-Bas et du comté de Bourgogne, volume 3, 1868, page 1277.
  9. Felicien Victor Goethals, Miroir des Notabilités nobiliaires de Belgique, des Pays-Bas et du Nord de la France, volume 1, Polack-Duvivier, 1857, page 649.
  10. Liste des titres de noblesse, chevalerie, et autres marques d'honneur, octroyées par le roi Philippe V..., Chez Harrewijn, (lire en ligne).
  11. Jean Charles Joseph De Vegiano, Nobiliaire des Pays-Bas et du Comté de Bourgogne, volume 2, F. et E. Gyselynck, 1865, page 1520.
  12. a b et c (nl) Attractive-Design bvba- Thomas Van den Bulcke, « Heemkring Schellebelle - de-kerk », sur Heemkring Schellebelle (consulté le )
  13. (nl) Frans De Potter, Geschiedenis van de gemeenten der provincie Oost-Vlaanderen: Arrondissement Dendermonde. Reeks 4, (lire en ligne)
  14. a et b Fel Vict Goethals, Miroir des Notabilités nobiliaires de Belgique, des Pays-Bas et du Nord de la France: I, Polack-Duvivier, (lire en ligne)
  15. a et b Fel Vict Goethals, Miroir des Notabilités nobiliaires de Belgique, des Pays-Bas et du Nord de la France: I, Polack-Duvivier, (lire en ligne)
  16. a et b Charles François Antoine Morren, Annales de la société royale d'agriculture et de botanique de Gand, (lire en ligne)
  17. Charles Morren et Société royale d'agriculture et de botanique de Gand, Annales de la Société royale d'agriculture et de botanique de Gand : journal d'horticulture et des sciences accessoires., Société royale d'agriculture et de botanique,, (lire en ligne)
  18. Félix-Victor Goethals, Miroir des notabilités nobiliaires de Belgique, des Pays-Bas et du Nord de la France, Polack-Duvivier, (lire en ligne)
  19. Gustave Boston College, Jeffery W. Howe, McMullen Museum of Art et Musées royaux des beaux-arts de Belgique, Courbet : mapping realism : paintings from the Royal Museums of Fine Arts of Belgium and American collections, (ISBN 978-1-892850-21-8, lire en ligne)
  20. Annuaire de la noblesse de Belgique, 1892, page 241.
  21. Annuaire de la noblesse de France, 1878, page 249.
  22. État présent de la noblesse du royaume de Belgique, volume 14, Tradition & vie, 1966, page 299.
  23. a et b La noblesse belge, annuaire de 1921, 1922, page 387.

Bibliographie modifier

  • Généalogie Papeians de Morchoven, in : Annuaire de la noblesse de Belgique, Bruxelles, 1888.
  • Gobert D'ASPREMONT LYNDEN, In memoriam, Le baron Papeians de Morchoven, in : Bulletin de l'Association de la Noblesse du Royaume de Belgique, 1967.
  • Inventaire des archives de la famille Papeians de Morchoven, Rijkssarchief Gent.
  • Oscar COOMANS DE BRACHÈNE, État présent de la noblesse belge, Annuaire 1995, Bruxelles, 1995.