Pamol Plantations Plc

Pamol Plantations
Création 1949, reprise en 1996
Forme juridique Plc (Public Liability Company)
Slogan Growing food for an emerging nation in second generation Agriculture
Siège social Lobé (Ekondo-Titi)
Drapeau du Cameroun Cameroun
Actionnaires État du Cameroun (79,53 %), CNPS, Socapalm, Safacam, SPFS. [réf. nécessaire]
Produits huile de palme
Site web pamol.net

La Pamol Plantations Plc est une entreprise agro-industrielle publique de la région du Sud-Ouest du Cameroun, sur une activité reprise en 1996, jadis filiale du groupe britannique Unilever de 1949 à 1996.

Histoire modifier

L'entreprise est issue du groupe néérlando-britannique Unilever[1]. Le premier moulin des Plantations Pamol, est inauguré le 14 avril 1967 à Lobé par le président camerounais Ahmadou Ahidjo. En 1987, Unilever engage la liquidation volontaire de sa filiale[2]. Cependant elle demeure une filiale de Unilever jusqu'en juillet 1996, la nouvelle société reprend les activités en novembre 1996, Pamol Plantations Ltd a été transformée en Pamol Plantations Public Liability Company en novembre 2006 pour se conformer au traité OHADA[3]. Depuis cette date l'État camerounais détient 79,53 % des actions[4].

Activités modifier

La Pamol produit de l'huile de palme, du caoutchouc naturel et quelques cultures plus marginales. Toutes ces plantations sont situées dans le sud-ouest du Cameroun.

La Pamol possède plusieurs plantations :

  • Lobé, plantation (3 263 ha), siège social
  • Ndian, plantation située en rive gauche de la rivière Ndian dans la commune de Mundemba, (≈ 2 000 employés en 2011)
  • Bai (acquise en 1910-12, près de l'endroit où la rivière Même n'est plus navigable en raison des chutes[Hrz 1]).

Notes et références modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • G. Courade; géographe ORSTOM Centre Géographique National (C.G.N.), Les plantations d’Unilever au Cameroun (Plantations Pamol du Cameroun limited) ou La croissance d’une firme multinationale dans une région marginales, Institut des Sciences Humaines ONAREBT - Yaoundé
  1. p. 24