Omerville

commune française du département du Val-d'Oise
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Omerville est aussi le nom d'une commune fusionnée avec Magog, une ville du Québec

Omerville
Omerville
La mairie et l'école
Blason de Omerville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC Vexin - Val de Seine
Maire
Mandat
Denys de Magnitot
2020-2026
Code postal 95420
Code commune 95462
Démographie
Gentilé Omervillois
Population
municipale
324 hab. (2021 en augmentation de 3,51 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 00″ nord, 1° 43′ 00″ est
Altitude 125 m
Min. 42 m
Max. 157 m
Superficie 11,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vauréal
Législatives 1re circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Omerville
Liens
Site web https://omerville.fr/

Omerville est une commune française située dans le département du Val-d'Oise et la région Île-de-France,

Ses habitants sont appelés les Omervillois.

Géographie modifier

Description modifier

Omerville est un village rural du Vexin français situé sur le rebord du plateau du Vexin et qui domine la rive sud de l'Aubette de Magny, à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest de Paris, à 11 km au nord-est de La Roche-Guyon et de la Seine, à 29 km au nord-ouest de Pontoise et à 14 km au sud de Gisors. Il est aisément accessible par l'ancienne route nationale 14.

Le village est fortement regroupé autour de son église et de son manoir et possède un important patrimoine.

La commune se trouve dans le périmètre du parc naturel régional du Vexin français, et est traversée par le GR 11 surnommé « Grand Tour De Paris ».

 
Paysage du village, depuis La Louvière.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes d’Omerville[1]
Saint-Gervais
Ambleville   Hodent
Chaussy Genainville

Hydrographie modifier

La commune est drainée par les bras de l'Aubette de Magny, un affluent de l'Epte et donc un sous-affluent de la Seine.

Un ruisseau qui prend sa source à la Fontaine Saint-Martin y conflue.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Étrépagny à 20 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 774,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Omerville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Lieux-dits, hameaux et écarts modifier

La commune possède quatre écarts : Gerville, Louvières, le Mesnil, et Amiel, tous situés sur la moitié nord du territoire communal, de l'autre côté de l'Aubette de Magny.

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme Omervilla en [13].

Omerville est mentionné pour la première fois dans un document datant de l'an mille[réf. nécessaire].

Il s’agit d’une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Albert Dauzat considère que l'élément Omer- représente l'anthroponyme germanique Audomar que l'on retrouve dans Omécourt (Oise, Omercurt 1152)[14], à environ 71 km au nord d’Omerville, et dans le nom de saint Omer (autrement appelé Audomar, latin médiéval Audomarus, néerlandais Odemaar, Omaar, allemand Otmar), en revanche Ernest Nègre qui ne cite aucune forme ancienne, émet l'hypothèse d'un autre nom de personne germanique, à savoir Aldemarus[15].

Histoire modifier

Omerville est demeuré un village à vocation agricole, malgré l'existence de quelques activités artisanales au XIXe siècle (fabrique de petits objets, tire-bouchons, tire-gants, pinces...)[16].

Les Hospitaliers modifier

Les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem y installent à partir de 1212 la maison de Louvières et de Vaumion, qui deviendra la commanderie Louviers-Vaumion à Omerville à partir de 1633[17]. La Commanderie d'Omerville, écart au nord de la commune, elle a été fondée par les Hospitaliers en 1222. La commanderie templière de Villedieu-les-Maurepas y fut rattachée en 1312, après la dissolution de l'ordre du Temple.

Jusqu'à sa dissolution à la suite de la Révolution française, quarante-deux commandeurs se succèdent à sa tête. Vendue comme bien national en 1790, il n'en subsiste que des caves voûtées d'ogives, intégrées à une ferme. Ce ne sont pas les seuls vestiges dignes d'intérêt : des différents remaniements aux XVIe et XVIIe siècles, subsistent une tour et une porte du bâtiment sud. La ferme reste par ailleurs entourée d'une haute mur d'enceinte[18]. Des différents remaniements aux XVIe et XVIIe siècles, subsistent une tour et une porte du bâtiment sud. La ferme reste par ailleurs entourée d'une haute mur d'enceinte[18].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[19], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Magny-en-Vexin de Seine-et-Oise puis du Val-d'Oise[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune est membre depuis 2014 du canton de Vauréal

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité modifier

Omerville est membre depuis 2013 de la communauté de communes Vexin - Val de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1925 ? E. Tercinet    
         
? 2001 Roger Doré    
mars 2001 mai 2009 Jean-Paul Drut    
mai 2009 En cours Denys de Magnitot SE Réélu pour le mandat 2020-2026[22],[23]

Démocratie participative modifier

La municipalité s'est « engagé à respecter le choix des habitants à l'issue de ces sondages » menés à l'initiative d'un particulier sur Facebook[24]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 324 habitants[Note 3], en augmentation de 3,51 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
375336363364400416401400408
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
443534505439415396385350328
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
323341319305307296244260288
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
256207241252280337305300311
2017 2021 - - - - - - -
319324-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

Le salon Unique(s) est organisé par des artisans d’art en collaboration avec la mairie d’Omerville, son comité des fêtes et son foyer rural. La seconde édition a eu lieu les 19 et [28]

Le Foyer rural d’Omerville propose des balades familiales sur les chemins de la commune les vendredis en fin d'après-midi[29].

Équipements et services publics modifier

Un marché nocturne annuel de producteurs est organisé à Omerville, dont la deuxième édition a eu lieu le 31 juillet 2021[30], ainsi qu'un marché, également de producteurs, le premier dimanche du mois au matin, place Saint-Marin[31].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Omerville possède un riche patrimoine historique, dont l'église et un calvaire sont classés au titre des monuments historiques, et trois autres éléments inscrits:

Elle se singularise par son plan allongé, à vaisseau unique, avec des travées de quatre époques différentes qui se succèdent en enfilade, et un clocher central roman. Avec les murs de la deuxième et de la troisième travée de la nef, il représente la partie la plus ancienne de l'église, et devrait remonter au moins au dernier quart du XIe siècle, ou sinon au tout début du XIIe siècle. Malheureusement, l'élégante flèche de pierre ajoutée au milieu du XIIe siècle a été démolie vers 1905, et remplacée par un simple toit. À l'intérieur, le caractère roman s'est bien conservé dans la base du clocher voûtée en berceau.
Un chœur de deux travées, dont le style du voûtement reflète les dernières années de la première période gothique, est substitué à l'abside primitive vers 1220-1230. Lors de l'agrandissement du chœur par l'adjonction d'une abside à pans coupés au dernier quart du XIIIe siècle ou au début du XIVe siècle, la seconde travée est partiellement démolie pour des raisons inconnues. Sa voûte avec des supports de style gothique rayonnant appartient donc à la campagne de construction de l'abside. Elle constitue la partie la plus élégante de l'église, même si le remplage de la plupart de ses fenêtres a été simplifié lors de restaurations anciennes. Une fois le nouveau chevet achevé, l'église ne peut être allongée qu'en ajoutant une travée devant la façade de la nef romane.
Par son style reflétant la transition du gothique flamboyant vers la Renaissance, ce qu'illustrent parfaitement bien les fonts baptismaux, elle peut être datée du milieu du XVIe siècle. Par manque de place à l'ouest, l'accès se fait par le sud, par un portail de style classique aménagé au XVIIe siècle. Ainsi, pratiquement toutes les époques sont représentées en l'église d'Omerville. Son caractère hétérogène constitue plutôt la règle dans le Vexin français, qu'une exception, et son architecture n'offre rien d'exceptionnel, si ce n'est la facture archaïque du clocher. C'est surtout par sa silhouette particulière et par son bon état de conservation que l'église Saint-Martin séduit[33],[34].
  • Manoir de Mornay-Villarceaux, ou Hôtel des Essarts, sur la place du village (inscrit monument historique par arrêté du [35])
Dit également hôtel des Essarts, il remplace l'ancien château seigneurial des Essarts. À en juger d'après les armoiries figurant sur un bandeau de cheminée, le constructeur du manoir pourrait être Jean d'Isque, héritier de la seigneurie. La longue façade sur la place est assez simple, seules les deux échauguettes de taille différente et l'impressionnant portail permettant de deviner la fonction initiale du bâtiment. La plus petite des deux portes s'inscrit par ailleurs sous un arc ogival. La partie droite de la façade garde ses petites fenêtres d'origine, alors que la partie gauche est percé de vastes baies entourées en partie de moulures du goût de la Renaissance. La corniche aux modillons sculptés renvoie également à cette époque. La façade sur cour présente un ensemble rustique à colombages avec des galeries à balustres. Louis de Mornay acquiert le manoir en 1647 et y abrite un temps ses amours avec Ninon de Lenclos[36],[34].
  • Croix monumentale dite croix Fromage, sur la place du village (inscrite monument historique par arrêté du [37])
La colonne qui se rajeunit vers le sommet et la croix sont taillées dans un seul bloc de pierre monolithique, peut-être un menhir. L'ensemble mesure 2,5 m de haut. La croix elle-même se présente comme un disque ajouré avec la forme d'une croix pattée en son centre[38],[34].
  • Croix de cimetière (classée monument historique par arrêté du [39])
C'est l'une des deux croix de cimetière de la commune, Omerville ayant possédé un deuxième cimetière plus petit, au sud de l'église, jusqu'en 1862. Sa croix est entreposée sous la chaire de l'église depuis. Elle possède les mêmes caractéristiques que la croix en place sur le cimetière actuel. La croix est dotée d'une ornementation très filigrange sculptée dans la pierre, dans le style flamboyant. La colonne octogonale repose sur un socle et un soubassement à trois paliers, également octogonaux[38],[34].
Vendue comme bien national en 1790, il n'en subsiste que des caves voûtées d'ogives, intégrées à une ferme.

On peut également signaler :

  • Croix pattée d'Omerville : Petite croix trapue de seulement 52 cm de haut, située originellement à la sortie du village, puis ramenée sur la place de l'Église au XXe siècle. La vocation de ces croix était celle d'une borne[41]. Des croix similaires existent à Villers-en-Arthies (croix de Carnage) et près du hameau de Ducourt, sur la commune de Saint-Gervais (croix Dançon)[38].
  • Croix latine dite Croix quatre-pieds, à la sortie du village en direction de Magny-en-Vexin : Elle tient son nom des quatre blocs de pierre sur lesquels elle repose. Au XIXe siècle, elle a été faussement identifiée comme monument mégalithique par Paul de Mortillet[42] (sans illustration).
  • Manoir de Trie, du XVe siècle, aménagé en ferme[43].
  • Ancien abreuvoir, à l'entrée sud du village, rue Charles-de-Gaulle[41].
  • Ancien réservoir à eau, rue de l'École : Exemple intéressant de bâtiment utilitaire de la fin du XIXe siècle. Le réservoir était initialement alimenté en eau par un bélier hydraulique[41] (sans illustration).
  • Domaine de Gerville, au hameau du même nom à la limite nord du territoire communal, près du château de Magnitot : Ce fut un fief des hospitaliers, dépendant de la commanderie de Louvières. En subsistent notamment un portail cantonné par deux courtes demi-tours, ainsi qu'un pan de mur de l'ancienne tour carré. Le mur est percé d'une meurtrière, ainsi que de deux petites baies ogivales géminées au premier étage[44].
  • Sentiers de randonnée GR 11 et PR.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Parti : au 1er d'azur à la « Croix Quatre Pieds » du lieu d'argent, au 2e de gueules à la « Croix Fromage » du lieu d'argent.
Détails
Adopté par la municipalité.

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 2, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Omerville », p. 578–582
  • Roland Vasseur et Françoise Waro, Villages du Vexin : Omerville : architecture et société, Pontoise, Société historique et archéologique de Pontoise, du Val-d'Oise et du Vexin, , 112 p.
  • Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, , 808 p.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références modifier

  1. « Communes limitrophes d'Omerville » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Omerville et Étrépagny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Etrepagny » (commune d'Étrépagny) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 507b.
  15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume II : formations non romanes, formations dialectales, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 945, n° 16946 (lire en ligne sur GoogleBooks) lire en ligne).
  16. Jean Aubert, La grande histoire du Val-d'Oise, p. 130
  17. Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, , 808 p., p. 105.
  18. a et b Vasseur et Waro 1988, p. 18-21.
  19. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Les maires de Omerville », sur francegenweb.com (consulté le ).
  22. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires du Val-d'Oise » [PDF], Les élus du Val-d'Oise, Préfecture du Val-d'Oise, (consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. Pacôme Bassien, « Val-d’Oise : à Omerville, des projets se concrétisent… grâce aux sondages Facebook : Des habitants de ce village du Vexin ont pris l’habitude de questionner ses concitoyens via le réseau social, sur des sujets communaux. Et la mairie s’est engagée à suivre les recommandations », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Julien Ducouret, « Deuxième édition du salon Unique(s) à Omerville ce week-end : L’A15, association d’artisans d’art du Val-d’Oise, organise la seconde édition du salon Unique(s)#2 dans le village prisé d’Omerville, dans le Val-d'Oise », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Baptiste Ringeval, « Retour des randonnées du vendredi soir à Omerville : Devant le succès rencontré l’année dernière, le Foyer rural d’Omerville (Val d'Oise) organise tous les vendredis soir une nouvelle randonnée », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Baptiste Ringeval, « Omerville. Le marché nocturne des producteurs locaux reconduit cette année : Ce samedi 31 juillet se tiendra le deuxième marché nocturne des producteurs locaux et des artisans d’art à Omerville (Val-d'Oise) de 18h à 22h sur la Place du village », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Maxime Laffiac, « Une trentaine de producteurs locaux attendus à Omerville ce dimanche : Le marché mensuel des producteurs et artisans locaux d'Omerville (Val-d'Oise) fait son retour ce dimanche 2 mai 2021 », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Église Saint-Martin », notice no PA00080152, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Vasseur et Waro 1988, p. 79-98.
  34. a b c d et e Daniel Baduel, « Omerville, village templier… : Le village d’Omerville est construit sur une colline. Ses charmantes demeures sont resserrées autour de l’église. Il est demeuré un village à vocation agricole.… », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Manoir de Mornay-Villarceaux », notice no PA00080153, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Vasseur et Waro 1988, p. 24-38.
  37. « Croix fromage », notice no PA00080150, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. a b et c Vasseur et Waro 1988, p. 99.
  39. « Croix de cimetière », notice no PA00080151, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  40. « Ancienne commanderie des Templiers », notice no PA00080149, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. a b et c Jean-Loup Corbasson, Pascal Goutrat et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Omerville », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II,‎ , p. 578-582 (ISBN 2-84234-056-6).
  42. Vasseur et Waro 1988, p. 99-100.
  43. Vasseur et Waro 1988, p. 22-23.
  44. Vasseur et Waro 1988, p. 17-18.
  45. Le guide du Vexin français, p. 241.