Olivier Ka

écrivain français
Olivier Ka
Olivier Ka au salon Livres en Citadelle,
Blaye (France), décembre 2012
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Olivier KaraliVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonyme
Olivier KaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Père
Mère
Fratrie

Olivier Karali, dit Olivier Ka, né le au Liban, est un écrivain pour la jeunesse et scénariste de bande dessinée français. Il se produit également sur scène où il raconte des histoires dont il est l'auteur (Les Contes imbéciles, Obstinément Chocolat).

Il fait partie de la famille Karali, une famille de dessinateurs de bandes dessinées et d'écrivains.

Biographie modifier

Vie personnelle modifier

Olivier Karali, dit Olivier Ka, est le fils de l'auteur de bandes dessinées Paul Karali, dit Carali[1] et de l'autrice jeunesse Anne Duguël, dite Gudule[1]. Sa sœur naît en 1977, Mélanie Karali, dite Mélaka.

Il naît au Liban en 1967, sa famille quitte le pays en 1971[1]. Après ce départ, à l'âge de 4 ans, il ne retournera pas dans son pays d'origine durant des décennies, jusqu'au début des années 2020, alors quinquagénaire.

 
Une corniche à Beyrouth.

Il déclare en 2023 : « J’avais peur d’être déçu, bouleversé ou encore déstabilisé. [...] C’est en venant ici à la recherche de mes racines, à la découverte de toute cette famille qui y était restée, que je ne connaissais pas et qui m’a accueillie chaleureusement, que j’ai réalisé que j’avais toujours ressenti un manque, comme quelque chose au fond qui m’échappait, une sorte de déracinement de l’endroit d’où je viens[1]. » Il raconte et dessine ses retrouvailles avec son pays dans son ouvrage autoédité Beyrouth (Liban)[1] qu'il sort en 2023. Il souligne : « J’étais libanais depuis 54 ans et je l’ignorais ![1] », et il « récupère sa nationalité libanaise[1] ».

En 2013 il se dit influencé par la série télévisée américaine La Quatrième Dimension , par la série de bande dessinée Philémon de Fred, « et des albums de Franquin (surtout Spirou et Fantasio[2]. »

Débuts modifier

Il publie régulièrement dans les années 1990 dans le magazine Psikopat, et devient rédacteur en chef adjoint[3].

Sa première publication est un recueil de nouvelles, en 1996, Bioutifoul weurld , illustré par son oncle Édouard Karali, dit Edika, et son premier roman, pour adultes, Je suis venu te dire que je suis mort, est publié l'année suivante.

Scénariste de bande dessinée modifier

Il scénarise sa première série de bande dessinée avec Alfred aux dessins, Monsieur Rouge, entre 2002 et 2004.

En 2004 paraissent les albums C'est l'homme qui dit qu'y est !, illustré par Emmanuelle Richard, et Nénesse, Chien de vieux avec sa soeur Mélaka aux dessins, puis l'année suivante Le Philibert de Marilou, avec Capucine aux dessins. En 2006 paraît L'Ange ordinaire, avec Mélaka à nouveau.

Olivier Ka retrouve Alfred aux dessins, et est publiée en 2006 la bande dessinée Pourquoi j'ai tué Pierre. Elle obtient l'année suivante le Prix « Essentiel » d'Angoulême[4] et le Prix du public (Festival d'Angoulême)[4]. Pour son travail sur cette bande dessinée, il reçoit en 2008 le Prix Max et Moritz du meilleur scénariste international.

 
Alfred en 2010, dessinateur et illustrateur de plusieurs ouvrages d'Olivier Ka.

Dans cet album, « l'auteur raconte le traumatisme de sa jeunesse, écrasée par le secret trop lourd des abus sexuels d'un prêtre lors de ses douze ans en colonie de vacances[5] », « abusé, enfant, par un curé rondouillard, libertaire et pédophile[6] ». Il explique en 2007 pourquoi avoir écrit cette histoire autobiographique sur un sujet difficile : « Parce que justement, c’est très sérieux, très dur, et que c’est parfois en plongeant dans la douleur qu’on en sort de bonnes choses. Moi, je n’ai pas raconté cette histoire en bédé. Je l’ai racontée à Alfred, qui, lui, l’a raconté en bédé. Autrement dit, je n’ai pas écrit un scénario, mais un texte, une sorte de roman jeté, craché, qu’Alfred a empoigné pour lui donner forme. Quant à l’envie de sortir cette histoire, elle remonte à loin. Il y a vingt ans, quand j’ai commencé à rédiger mes premiers textes, je savais qu’un jour je parlerais de cet épisode de ma vie, mais j’ai dû attendre d’être suffisamment mûr, d’avoir assez recul pour pouvoir m’y mettre[7] ». La BD figure en 2024 dans la « Bibliothèque idéale » du Centre national de la littérature pour la jeunesse (BnF)[8].

En 2017, avec à nouveau Alfred au dessin, il signe la bande dessinée jeunesse Capitaine Fripouille, autour du rachat d'une librairie : « c'est la société de consommation et l'hégémonie des grandes enseignes sur les petites boutiques qui sont ici visées, et seule la culture peut combattre le fléau de l'uniformisation et du formatage. Ce Capitaine Fripouille plaira aux enfants par son impertinence et son optimisme[9] » selon La Revue des livres pour enfants.

La BD Les Mains de Ginette, sur des dessins de Marion Duclos, paraît en 2021. L'histoire se déroule dans les années 1960 autour d'une « quincaillerie [...] tenue par Marcelin Gavoche. L’intéressé éprouve une passion pour les mains – limite fétichiste[10] » selon BD Gest', et l'album aborde la jalousie de sa compagne Ginette. Pour BoDoï : « Olivier Ka y reprend le thème intime de l’enfance malmenée pour expliquer le comportement de Ginette et assume de porter l’histoire jusqu’à un paroxysme tragique. Le lecteur est saisi par l’écart entre un objet qui possède l’aspect d’une joyeuse comédie musicale et la gravité du thème de la maltraitance des enfants et au sein du couple[11] ». Pour Planète BD : « L'album aborde la thématique de la jalousie dans une relation amoureuse, et met en lumière la dangerosité de celle-ci [...] Il met également en lumière un phénomène souvent occulté : les violences conjugales envers les hommes. Les auteurs réussissent à montrer comment cela s'immisce peu à peu dans une relation, de façon imperceptible au début, puis de façon dévastatrice[12] ».

Auteur jeunesse modifier

Il publie de nombreuses œuvres de littérature jeunesse, à partir de 2000.

Albums jeunesse modifier

Plusieurs albums jeunesse sont écrits par Olivier Ka, illustrés par de nombreux illustrateurs, dont Une maman tout entière illustrations de Luc Melanson en 2008.

Mon arbre à secrets, livre-objet[13] illustré par Martine Perrin, paraît en 2013, sur une petite fille qui confie ses secrets à un arbre. Pour La Revue des livres pour enfants : « Par des jeux de calques, de découpages, de volets à soulever, les secrets sont bien cachés dans le livre. L'harmonie entre images, animations et texte est une belle réussite[14] ». Sophie Van der Linden écrit dans son avis critique de l'album, sur son site : « Martine Perrin, architecte de formation, experte en astucieux livres-objets, déploie, à partir du texte d'Olivier Ka, une somme de possibles conçus et réfléchis à partir du livre, de la reliure et du papier. Sans jamais rien dévoiler du secret, sans en faire, donc, un secret de polichinelle, l'ouvrage explore les sensations et sentiments liés au secret et, ce faisant, pénètre dans le territoire de l'intime et de la perception enfantine[13] ». L'ouvrage est sélectionné pour le Prix Sorcières 2014 catégorie Album[15].

Pieter et le Lokken est publié en 2015, illustré par Olivier Supiot. Pour Ricochet, « Dans l’atmosphère de Bruegel, pays de neige et campagne flamande de la fin du Moyen Age, vit Pieter, un garçonnet déluré et curieux. [...] Entre récit de rêve et conte de transgression, nous suivons le petit Pieter dans la forêt où il va rencontrer de méchants garnements et un adorable petit Lokken[16] ».

Quand je serai très très vieux..., illustré par Carole Chaix en 2016, évoque le sujet de la vieillesse. Pour Ricochet, « En filigrane de ce discours intérieur on lit une conception de la jeunesse comme un ensemble de contraintes pesantes et étroites et de la part du narrateur, une certaine jubilation à espérer que la vieillesse autorisera tout ce qui est interdit et nocif [...] Beaucoup d’humour grinçant dans ce récit d’Olivier Ka. La complexité des points de vue exprimés par le héros rend bien compte de la perplexité des enfants face au temps. Etre vieux c’est quand ?[17] ».

Dans Des papillons dans la nuit illustré par Christophe Alline en 2023, « L'enfant-narrateur nous emmène à la rencontre de ses pensées nocturnes et de ses rêves. Un monde imaginaire très poétique qui se déploie pour surmonter les peurs, notamment celle de l'obscurité[18] » selon La Revue des livres pour enfants. L'album Des papillons dans la nuit est finaliste du prix IBBY Belgique francophone 2023, catégorie Album[19], et il est lauréat, au Salon du livre et de la presse jeunesse, de la Pépite du livre illustré 2023[20]. « Pour le jury, « Les papillons représentent les pensées, et des pensées, on en a tout le temps avant de dormir[20] ».

Nouvelles et contes pour la jeunesse modifier

Les contes imbéciles[21], illustrés par Alfred sont publiés en 2009. « Alfred et Olivier Ka se sont visiblement bien amusés en revisitant les contes, en imaginant ces histoires gentiment déjantées aux chutes savoureuses et aux moralités parfois surprenantes, en créant des personnages hauts en couleurs, anti-héros de nos temps modernes[22] » selon Ricochet. L'ouvrage est adapté en spectacle.

En 2011 paraît le recueil de nouvelles Obstinément Chocolat, sur des illustrations de Régis Lejonc. Il est égalemet adapté en spectacle[23].

Romans jeunesse modifier

Il écrit également des romans pour la jeunesse, illustrés pour la plupart.

En 2001, Y'a pas plus trouillard qu'un vampire !, illustré par Jean-Denis Pendanx, narre l'histoire d'un petit vampire qui n'ose pas attaquer ses proies. Pour La Revue des livres pour enfants, « une succession d'échecs et de catastrophes qui nous font bien rire [...] Tendre, loufoque et drôle[24] ».

Avant le nuage illustré par Yan Thomas en 2002, aborde le thème du tabagisme. Selon Ricochet : « L’auteur a choisi une voie originale pour aborder le problème du tabac avec de jeunes lecteurs : le voyage dans le temps, qui est aussi l’occasion pour le narrateur de porter un regard d’adulte, teinté d’humour, sur ses jeunes années[25] ». L'horrible gâteau venu de l'espace ! paraît en 2006, illustré par de Patrick Ceschin.

La vie merveilleuse de la princesse Olga, illustré par Olivier Latyk en 2009, interroge sur la mémoire et la vieillesse. Pour Ricochet, « Raconté par un narrateur externe, le texte est fort, astucieux, et, s’il s’agit d’un critère d’appréciation, absolument utile[26] ».

La série Les Chroniques d'Hurluberland, sur des illustrations de Juliette Barbanègre, est publiée en 3 tomes, de 2016 à 2020. Elle met « en scène les habitants d'Hurluberland, un village moins normal qu'il y paraît. [...] Ces joyeuses fantaisies mettent en action des notions de solidarité et de tolérance[27] » selon La Revue des livres pour enfants. Le premier opus est sélectionné pour le Prix Sorcières 2017 catégorie Roman junior[28].

Journal d'un chien de campagne, illustré par Charles Dutertre, sorti en 2021, narre les mésaventures du chien Gus, « un roman animalier teinté d'humour, dont la plus grande qualité est son style syncopé reflétant les sensations du narrateur canin[29] » selon La Revue des livres pour enfants.

En 2022, illustré à nouveau par Charles Dutertre, paraît Nez rouge et dent cassée, l'histoire de Gus, 9 ans, dont le papa se déguise en clown, et décide de garder son costume au quotidien. Pour La Revue des livres pour enfants : « On ne comprend pas bien ce qui pousse le père à revêtir une tenue de clown mais là est justement tout le propos : mettre en parallèle la réaction disproportionnée de haine et de violence des villageois face à l'acte pacifique et plutôt joyeux du père, qui reste incompris et totalement rejeté à cause de sa différence[30]. » Le roman obtient le Prix Tatoulu 2023[31].

Romans pour adolescents modifier

Il écrit aussi des romans destinés à un public adolescent, dont Ce monstre qui me ressemble en 2004. Pour Ricochet, « Bastien a des sautes d'humeur et beaucoup de violence en lui. Il se sent comme envahi par un démon qui monte qui monte au point qu'il perd parfois le contrôle. [...] Bien mené, ce roman joue sur l'ambiguïté, entre paranoïa, projections et fantasmagorie. Un roman où les adolescents pourront s'identifier à Bastien trouvant écho aux changements, à la peur et à la déroute qui peuvent parfois les envahir[32] ».

Paraissent ensuite Rien qu'un enfant en 2006, Le Fils de la conteuse en 2008, Lisa et l'oiseau de sang en 2011 ou Janis est folle en 2015.

Loukoum mayonnaise en 2018 narre l'histoire d'un jeune garçon qui quitte l'Egypte pour la Belgique. Selon Ricochet, « Olivier Ka s’est inspiré de sa propre histoire pour livrer ce roman extrêmement vivant [...] Les questionnements sur les origines apparaissent en filigrane, pas pensées de façon théorique [...] Si le racisme affleure avec les différences culturelles, il est surtout question de possession affective autour d'un enfant[33] ». Selon l'avis critique de La Revue des livres pour enfants, il s'agit d'« un roman juste sur la peur de l'autre et le tiraillement identitaire entre deux cultures[34] ».

Demi-frère[35] sort en 2022. « Laureline, jeune femme libre, a la vie qu'elle a choisie. Loin des gens, voyageant en camion, elle n'a que son chien comme seule attache. [...] Ce roman d'aventure va progressivement prendre le chemin du thriller psychologique[36] », selon l'avis critique de La Revue des livres pour enfants. Pour Ricochet, il s'agit d'« un road trip aux accents dramatiques[37] ».

Récits de voyages illustrés modifier

En 2018, il raconte et illustre son voyage au Laos dans Lost in Laos : chemins et déroutes, du nord au sud du Laos, et en 2023, son retour au Liban cinquante années après son départ de son pays natal, dans Beyrouth (Liban)[1].

Sur scène modifier

Olivier Ka monte sur scène pour plusieurs spectacles - lectures de ses ouvrages[38], dont L'enfant qui voulait toucher le ciel[39] avec la dessinatrice Marion Duclos, ou des lectures de nouvelles de son recueil Obstinément chocolat dans le spectacle au même titre[23], avec la chanteuse et multi-instrumentiste Emmanuelle Troy, ou des lectures de son recueil Contes imbéciles[21].

Il crée le spectacle Crumble Club au milieu des années 2000[40] avec Alfred, « duo-cabaret loufoque dans lequel il occupe la place d'« homme-orchestre »[41] », et qui est, selon Alfred « Un cabaret noir un peu grinçant où nous faisions vivre d’étranges personnages. Dont un majordome à l’anglaise qui racontait des histoires[42] » à destination des adultes initialement, puis à destination des enfants.

Publications modifier

Livres pour adultes modifier

Livres pour la jeunesse modifier

Années 2000 modifier

Années 2010 modifier

  • Lisa et l'oiseau de Sang, Plon, 2011 - roman ado
  • Obstinément Chocolat, illustrations de Régis Lejonc, Éditions l'Édune, 2011 - recueil de nouvelles
  • Histoires malpolites, illustrations d'Olivier Ka, Éditions du Nombril, 2013
  • Mon arbre à secrets[14],[13],[43], texte Olivier Ka, illustrations de Martine Perrin, Éditions Les Grandes Personnes, 2013 - album illustré
  • Janis est folle, collection DoAdo, éditions du Rouergue, 2015 - roman ado
  • Pieter et le lokken[16], scénario Olivier Ka, dessin & couleur Olivier Supiot, Éditions Delcourt, 2015 - album illustré
  • Le Chien qui voulait sauver la planète, illustrations Loïc Faujour, Lire c'est partir, 2016
  • Série Les Chroniques d'Hurluberland , illustrations de Juliette Barbanègre, Rouergue - romans jeunesse
  1. Tome 1[27], 2016
  2. Tome 2, 2017
  3. Tome 3, 2020
  • Quand je serai très très vieux...[17], illustrations de Carole Chaix, Éditions Notari, 2016 - album illustré
  • Loukoum mayonnaise[33],[34], collection DoAdo, Rouergue, 2018 - roman ado
  • Comment le Petit Chaperon rouge est devenu le grand méchant loup, ou presque, avec René Gouichoux, Retz, 2018

Années 2020 modifier

Bandes dessinées modifier

Olivier Ka est l'unique scénariste de tous ses albums.

  1. Monsieur Rouge entre en scène, 2002.
  2. Monsieur Rouge fait ses valises, 2003.
  3. Monsieur Rouge contre Docteur Slip, 2004.
Adaptation

Récits de voyages illustrés modifier

  • Lost in Laos : chemins et déroutes, du nord au sud du Laos, textes & dessins Olivier Ka, Elytis, 2018
  • Beyrouth (Liban)[1], textes et aquarelles Olivier Ka, éd. Olivier Karali, 2023

Prix et distinctions modifier

Sa bande dessinée Pourquoi j'ai tué Pierre, dessinée par Alfred, fait partie de la « Bibliothèque idéale » du Centre national de la littérature pour la jeunesse (BnF)[8] en 2024.

Notes et références modifier

  1. a b c d e f g h et i Zéna Zalzal, « Olivier Ka : « Durant 54 ans j’ignorais que j’étais Libanais » », sur L'Orient-Le Jour, (consulté en ).
  2. « Les invités du mercredi : Olivier Ka et Séverine Vidal », sur La mare aux mots, (consulté le )
  3. Henri Filippini, « Les vacances du Psikopat … », sur BDzoom, (consulté le )
  4. a b c d e et f Biographie de Alfred, Festival d'Angoulême 2022, site officiel.
  5. Avis critique de l'ouvrage Pourquoi j'ai tué Pierre, dans Escales en littérature de jeunesse, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 1er octobre 2013, avis repris sur le site de la BnF.
  6. a et b « Pourquoi j’ai tué Pierre », sur du9, (consulté le )
  7. « Interview de Olivier Ka et Alfred », sur www.bdtheque.com, (consulté le )
  8. a b et c Les ouvrages de Oliver Ka dans la « Bibliothèque idéale », site de la BnF , consulté le 10 mars 2024.
  9. a et b Marie Roussel, avis critique de l'ouvrage Capitaine Fripouille, dans Escales en littérature de jeunesse, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 1er décembre 2017, avis repris sur le site de la BnF.
  10. a et b Philippe Magneron, « Les mains de Ginette », sur BD Gest', (consulté le )
  11. a et b Mélanie Monroy, « Les Mains de Ginette », sur BoDoï, (consulté le )
  12. a et b Léa Compère, « Les mains de Ginette : Un récit qui aborde une relation amoureuse destructrice avec beaucoup de sensibilité et des dessins colorés. », sur Planète BD, (consulté en )
  13. a b et c Sophie Van der Linden, « Mon arbre à secrets », sur www.svdl.fr, (consulté le )
  14. a et b Nathalie Beau, avis critique de l'ouvrage Mon arbre à secrets, dans La Revue des livres pour enfants, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 7 novembre 2013, avis repris sur site de la BnF.
  15. a et b Fred Ricou, « Les nommés pour les Prix Sorcières 2014 », sur ActuaLitté.com, (consulté le )
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  17. a et b Danielle Bertrand, « Avis critique de Quand je serai très très vieux... », sur Ricochet, (consulté en ).
  18. a et b Agnès Bergonzi, avis critique de l'ouvrage Des papillons dans la nuit, dans La Revue des livres pour enfants, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 1er janvier 2024, avis repris sur le site de la BnF.
  19. a et b « Les 40 finalistes des Prix IBBY Belgique francophone 2023 sont dévoilés », sur ActuaLitté, (consulté le )
  20. a b c et d Cécile Ribault Caillol, « Le palmarès des Pépites 2023 du Salon du livre et de la presse jeunesse », sur Franceinfo.fr,
  21. a b et c Manon Maury, « Coup de coeur sur le salon : Contes imbéciles – Olivier Ka, Alfred », sur Monde du Livre, (consulté le )
  22. a et b Catherine Gentile, « Avis critique de Les contes imbéciles », sur Ricochet, (consulté en ).
  23. a et b « Obstinément Chocolat », sur AR'KHAN, (consulté le )
  24. a et b Avis critique de l'ouvrage Y'a pas plus trouillard qu'un vampire !, dans La Revue des livres pour enfants, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 2001, avis repris sur le site de la BnF.
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  29. a et b Avis critique de l'ouvrage Journal d'un chien de campagne, dans La Revue des livres pour enfants, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 1er novembre 2021, avis repris sur site de la BnF.
  30. a et b Julie Le Douarin, avis critique de l'ouvrage Nez rouge et dent cassée, dans La Revue des livres pour enfants, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 1er juin 2022, avis repris sur le site de la BnF.
  31. a b et c Lauréats du Prix Tatoulu sur le site de référence en littérature jeunesse Ricochet (site).
  32. a et b « Avis critique de Ce monstre qui me ressemble », sur Ricochet, (consulté en ).
  33. a et b Sophie Pilaire, « Avis critique de Loukoum mayonnaise  », sur Ricochet, (consulté en ).
  34. a et b Christophe Patris, avis critique de l'ouvrage Loukoum mayonnaise, dans La Revue des livres pour enfants, Centre national de la littérature pour la jeunesse (CNLJ), 1er décembre 2018, avis repris sur le site de la BnF.
  35. a et b Camille Billard, « La bibliothèque des ados : "Demi-frère" d'Olivier Ka », sur France Inter, (consulté le )
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  37. a et b Sophie Pilaire, « Avis critique de Demi-frère  », sur Ricochet, (consulté en ).
  38. Les spectacles d'Olivier Ka sur son site officiel.
  39. « L’enfant qui voulait toucher le ciel », sur L'Alsace, (consulté le )
  40. Laurent Cirade, « Dossier : Le désert d'épaves », sur BD Gest', (consulté le )
  41. « ALFRED (Illustrateur,Illustrateur,scénariste,scénariste,coloriste,coloriste) », sur www.editions-delcourt.fr (consulté le )
  42. Rédaction, « Alfred : “Enfants, surtout, restez imbéciles !” », sur Casemate Magazine, (consulté le )
  43. « Mon arbre à secrets, Réseau IDée », sur www.reseau-idee.be (consulté le )

Annexes modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

  • La famille Karali :
  • Psikopat le magazine duquel il fut rédacteur en chef adjoint pendant 9 ans.
  • Antijour magazine parisien dans lequel il écrit des contes de fées horrifiques.

Liens externes modifier