Noyers-Auzécourt

commune française du département de la Meuse
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Noyers-Auzécourt
Noyers-Auzécourt
Voie romaine au hameau de Maison du Val.
Blason de Noyers-Auzécourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Bar-le-Duc
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Revigny-sur-Ornain
Maire
Mandat
Mathieu Kimenau
2020-2026
Code postal 55800
Code commune 55388
Démographie
Gentilé Nussériens [1]
Population
municipale
275 hab. (2021 en diminution de 3,51 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 07″ nord, 4° 58′ 22″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 191 m
Superficie 17,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bar-le-Duc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Revigny-sur-Ornain
Législatives Première circonscription
Localisation
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Noyers-Auzécourt
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Noyers-Auzécourt

Noyers-Auzécourt est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Géographie modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 912 mm, avec 13,4 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vassincourt », sur la commune de Vassincourt à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 871,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,4 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Noyers-Auzécourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-le-Duc, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 86 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,1 %), prairies (31,6 %), forêts (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), zones urbanisées (1,5 %), eaux continentales[Note 4] (0,4 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Noyers devient Noyers-le-Val par décret en 1919[15].

Histoire modifier

Le , Noyers-le-Val devient Noyers-Auzécourt à la suite de sa fusion-association avec Auzécourt[16].

 
L'église d'Auzécourt en 1916.

L'abbaye de Montiers[17],[18]

L'abbaye de Montiers-en-Argonne fut fondée en 1134, par l'évêque de Châlons, Geoffroy Ier, sous l'invocation de la Vierge, entre Sommeilles et Laheycourt, en un lieu qui porte aujourd'hui le nom de Vieux-Monthiers (territoire de Noyers-Auzécourt). C'était une communauté de chanoines réguliers de l'ordre de saint Augustin, d’où était issu son premier abbé, Eustache. Sous l'influence de l’abbaye cistercienne de Trois-Fontaines voisine, et après l’abbaye de Cheminon en 1138, la nouvelle abbaye intégra elle aussi l'ordre de Cîteaux en 1148 (bulle du pape Eugène III).

Trop exposé dans la plaine de la Chée, le site fut délaissé au profit d’un nouvel emplacement, situé 7 km à l’ouest dans la forêt de Tremblay (commune de Possesse) vers 1160, sur des terrains donnés par Gipuin de Dampierre en vue de la construction d'une nouvelle abbaye. Le site primitif fut transformé en grange (qui signifie ferme à l'époque) et pris le nom de Vieux-Monthier qui subsiste de nos jours.

Le chemin de fer[19],[20],[21]

Un programme national avait été décidé par une loi de 1865 : les chemins de fer d'intérêt local sur routes. L'idée est de créer des lignes à moindre coût, en utilisant l'accotement des routes, ce qui facilite la construction tant pour l'emprise que pour l'approvisionnement en matériaux. À l'époque, les cultivateurs sont demandeurs pour transporter céréales, lait, fromages, mais aussi les industries métallurgiques en Meuse. C'est dans ce programme qu'une ligne de chemin de fer à voie étroite (1 m) est mise en service le entre Laheycourt et Revigny, soit 15 km. Elle est prolongée jusqu'à Triaucourt soit 20 km en 1880 (mise en service le ). Elle était surnommée le "tramway". Elle desservait les villages de : Triaucourt, Vaubecourt, Lisle-en-Barrois, Villotte-devant-Louppy, Laheycourt, Auzécourt, Noyers, Brabant-le-Roy, Revigny (carte de la ligne[22],[23]). La ligne fermera en 1936.

La voie était sur l'accotement de la D137 quand on vient de Laheycourt et la quittait à l'entrée d'Auzécourt pour continuer tout droit entre les habitations et le ruisseau de Morival. Elle rejoignait la D137 à la sortie du village[24]. La gare était vers la sortie au niveau du confluent du ruisseau et de la Chée. Ensuite, elle quitte la route pour contourner Noyers par le nord puis rejoint la route, coupe la voie romaine à la Maison du Val[25], continue sur la D137 puis la D994 vers Brabant-le-Roi[26]. Elle côtoie alors la ligne à écartement normal Saint-Dizier-Vouziers. Il y avait une gare à Noyers et Maison du Val (un petit bâtiment tuilé près de l'arrêt de bus est un vestige de la gare) et une halte à Nettancourt, au niveau de la ferme de Rennecourt. En 1914, il y avait trois trains dans chaque sens par jour. La durée du trajet depuis Auzécourt était d'environ 40 min[26] jusqu'à Revigny. La ligne était mixte voyageurs-marchandises. Elle servait surtout au transport du bois de Laheycourt, et des phosphates extraits à Laheycourt et Villotte-devant-Louppy, pour y être repris sur le réseau ferré à Revigny pour expédition dans d'autres régions. À Auzécourt, il n'y avait que des voyageurs.

La construction et l'exploitation de la ligne fut confiée à Léon Soulié, ingénieur, par convention avec le préfet de la Meuse du [19]. Toutefois, sa société Compagnie des chemins de fer d'intérêt Local de la Meuse fit faillite le , après sept ans d'exploitation. L'activité fut reprise par le département de la Meuse puis par la Compagnie Meusienne des Chemins de Fer (Compagnie Varinot) en 1892. Une petite locomotive 031T-C.M. no 26, de 14 tonnes à vide, baptisée « La Suzanne » fut mise en service en sur la ligne[27]. Elle a été restaurée et se trouve à Bar-Le-Duc (chemin du Varinot).

Sur le territoire de Noyers passait aussi la ligne n°6 Saint-Dizier-Vouziers (qui desservait aussi par Revigny, Givry, Sainte-Menehould), ligne à écartement normal et à deux voies. Elle côtoyait la ligne de tramway (une voie) depuis Brabant et s'en écartait un peu avant la Maison du Val[25] et remontait alors le long de la D137B. La gare de Sommeille-Nettancourt (Sommeille sans "s" à cette époque) était à l'intersection avec la D27.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945   Léon Courot DVD Propriétaire agricole
Conseiller général du canton de Vaubecourt (1945-1979)
avant 1981 ? Pierre Courot    
mars 2001 mars 2008 Ernest van Elsen    
mars 2008 septembre 2011 Antoine Thenot   Décédé en cours de mandat
septembre 2011 mai 2020 Jean-Claude Nycz    
3 juillet 2020 En cours Didier Kimeneau [28]   Agent de maîtrise

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 275 habitants[Note 5], en diminution de 3,51 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
467418382383378388396417403
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
376357346340329328336361343
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
323342354308327380398305347
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
349323346325247244242242280
2018 2021 - - - - - - -
279275-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Martin, construite en 1625 d'Auzécourt.
  • L'église Saint-Martin de Noyers-le-Val.
  • La chapelle Notre-Dame-du-Val, construite en 1876, ancien monastère trappiste de la Maison du Val, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1999[33].

Maison du Val modifier

  • Voie romaine au hameau de Maison du Val
  • Ancienne fromagerie : dans le hameau de Maison du Val se trouvait autrefois une importante fabrique de fromages, comme l'atteste toujours le nom de la « rue de la Fromagerie ». Cette fromagerie, créée en 1856 par Louis Bailleux-Adrien, était alors la première fromagerie industrielle[réf. souhaitée] de France. Elle est aujourd'hui en ruines. Dans les dépendances de cet établissement sont compris de vastes locaux construits au XIXe siècle, pour servir de résidence à une communauté de trappistes. Ce monastère était placé sous le vocable de Notre-Dame-du-Val. Dans le parc se trouve une chapelle construite en 1874 qui fait partie du recensement des Monuments Historiques[33], mais malheureusement tous les vitraux ont été volés. En effet, Louis Bailleux va proposer aux moines trappistes de l'abbaye du Port-du-Salut à Entrammes dans la Mayenne de venir à Maison-du-Val pour y lancer la fabrication de Port-Salut, dont ils ont le secret, et va leur offrir une partie de ses propriétés pour y construire un monastère. Mais les religieux ne resteront que peu de temps sur place. Arrivés en 1876, ils repartiront dès l'année suivante en . Sur la grille en fer forgé du parc figurent les initiales LBC entrelacées.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Écartelé en sautoir : au 1er de sinople à l'oie volant d'argent allumée, becquée et membrée d'or posée en bande, au 2e de gueules à la noix d'or, au 3e de gueules au besant d'or chargé d'un masque de renard de gueules tenant un fromage d'argent, au 4e de sinople au diadème d'or.
Détails
Création Robert André Louis. Adopté le 8 juillet 2016.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Le nom des habitants du 55 - Meuse - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Noyers-Auzécourt et Vassincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Vassincourt », sur la commune de Vassincourt - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Vassincourt », sur la commune de Vassincourt - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. République française, « Table annuelle du Journal officiel de la République française Lois et décrets (page 20/420) », sur Gallica.bnf, (consulté le ).
  16. « Géographie administrative et d'étude / Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Jackie Lusse, « Les limites dans les chartes de l'abbaye de Montiers-en-Argonne », Nouvelle revue d'onomastique,‎ , pp. 223-240 (lire en ligne).
  18. Christophe Wissenberg, « Ancienne abbaye de Montiers-en-Argonne », sur inventaire-patrimoine.cr-champagne-ardenne.fr (consulté le ).
  19. a et b Ernest Chabrier, Les chemins de fer d'intérêt local sur routes, Nancy, Berger-Levrault, (lire en ligne).
  20. Jean-Marc Dupuy, Gares et tortillards de Lorraine, Editions Cheminements, , 333 p., page 293.
  21. Fédération des amis des chemins de fer secondaires (FACS), « Liste des chemins de fer secondaires. Meuse », sur facs-patrimoine-ferroviaire.fr (consulté le ).
  22. Passions métrique et étroite, « Forum: le tacot meusien », sur passion-metrique.net (consulté le ).
  23. Atlas des lignes de chemins de fer disparues, « Lorraine/Meuse/Revigny Triaucourt », sur archeoferroviaire.free.fr (consulté le ).
  24. Jacquemin, « Monographie communale. Auzécourt (page 14/15) », sur archives.meuse.fr, (consulté le ).
  25. a et b Marson, « Monographie Communale. Noyer (page 8/15) », sur archives.meuse.fr, (consulté le ).
  26. a et b Passions métrique et étroite, « Forum: le meusien », sur passion-metrique.net (consulté le ).
  27. Chemin de Fer Historique de la Voie Sacré, « Histoire de la Suzanne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur cfhvs.fr (consulté le ).
  28. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. a et b « La chapelle Notre-Dame-du-Val », notice no PA55000020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.