Nieul-lès-Saintes

commune française du département de la Charente-Maritime
Nieul-lès-Saintes
Nieul-lès-Saintes
Une rue du centre-bourg et l'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saintes
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Saintonge
Maire
Mandat
Mikaël Moinet
2020-2026
Code postal 17810
Code commune 17262
Démographie
Gentilé Nieulais
Population
municipale
1 239 hab. (2021 en augmentation de 4,12 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 38″ nord, 0° 43′ 52″ ouest
Altitude Min. 19 m
Max. 68 m
Superficie 20,41 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saintes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Porchaire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web https://www.nieul-les-saintes.fr/

Nieul-lès-Saintes est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Nieulais et les Nieulaises[1].

Géographie modifier

Présentation et situation modifier

La commune de Nieul-lès-Saintes se situe dans le centre du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi atlantique[2], au cœur de l'arc atlantique, elle peut être rattachée à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français.

Nieul-lès-Saintes appartient à la couronne périurbaine de Saintes (banlieue ouest), important pôle d'emplois et de services qui exerce son influence sur toute la région.

La commune est traversée au sud par la D728 - route de Marennes à Saintes, ainsi que par la D125 - de moindre importance, et traversant le bourg - reliant Port-des-Barques à Saint-Fort-sur-Gironde.

Elle est aussi traversée par le GR4 reliant Royan à Grasse, sur son tronçon reliant Royan à Saintes via Marennes.

Cadre géographique modifier

 
Carte de la commune de Nieul-lès-Saintes

Le finage communal d'une étendue de 2041 hectares occupe un plateau calcaire du crétacé. Les altitudes sur la commune varient entre 19m et 68m. Le bourg est quant à lui à l'altitude de 40m (au niveau de la mairie).

Le territoire communal est intégralement situé dans la vallée de l'Arnoult - affluent de la Charente - qui coule à l'ouest de la commune, et la sépare de celle de Corme-Royal. Les rivières de la Charrière et du Primaud structurent le territoire communal, la première au centre et dont la source se situe dans le bourg, la seconde en situation limitrophe avec la commune de La Clisse et dont la source se situe au hameau des Gentils.

Une ceinture boisée, constituée de nombreux bois de feuillus, traverse la commune, dont les principaux sont le bois du Chantreau en situation limitrophe avec les communes de Pessines et La Clisse, et le bois du Logis au cœur du finage et à proximité du bourg et du château.

La commune de Nieul-lès-Saintes est située dans un système de polycultures, lié à sa diversité de paysages : marais, bois, terres argileuses et limoneuses, landes. En effet, les terres dans la commune sont vouées aux grandes cultures (blé, maïs, tournesol...) mais aussi la viticulture et l'élevage.

Le bourg de Nieul se situe au nord-est du territoire communal, et à proximité du bourg de Saint-Georges-des-Coteaux, commune limitrophe. Il présente autour de son église un aspect villageois typique, étant situé en extrémité du tissu urbanisé développé surtout en direction de Saintes via Saint-Georges-des-Coteaux par l'aspect de quartiers résidentiels qui ont successivement annexé de quelques lieux-dits (le Moulin-Drugeon, la Gaillarderie, la Chagnasse, la Gare). Celui-ci s'étire le long d'un vallon sec s'étalant sur la commune voisine où celle-ci même s'est fortement développée.

La commune contient aussi plusieurs hameaux : Touche-Marteau, le Maine-Bernard, les Guillets, les Primaudières, le Grois, les Charriers, les Rollands, les Gentils, les Rogers, les Erroneaux.

Communes limitrophes modifier

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Nieul-lès-Saintes est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saintes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,8 %), zones agricoles hétérogènes (19,5 %), forêts (17,3 %), prairies (5,3 %), zones urbanisées (2,2 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Nieul-lès-Saintes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arnoult. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2010 et 2019[11],[9].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nieul-lès-Saintes.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[12]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[13].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 83,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 597 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 562 sont en aléa moyen ou fort, soit 94 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[14],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[13].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1996, 2003, 2005 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].

Toponymie modifier

Il s'agit d'un composé dont les deux parties sont d'origine gauloise : novio- ("nouveau") et -ialo ("clairière"), mais plus tard -ialo prend aussi le sens d'"habitation", "village".
Nieul est donc une "nouvelle clairière" ou plus simplement un "nouveau village".

Histoire modifier

Nieul s'est développée pendant les grands défrichements de la forêt de Baconnais s’étendant à l’ouest de Saintes au milieu du XIe siècle. C'est au siècle suivant que l'église romane Saint Martin est édifiée.

À partir de 1259, la rive gauche de la Charente passe sous contrôle anglais. Le seigneur du Château de Nieul et maire de La Rochelle, Jean Chaudrier a joué un rôle primordial pour la libération de la ville de manière pacifique.

En 1472, Louis XI confie à René Chaudrier la châtellenie de Nieul, Soulignonne et La Clisse.

Sur la commune, des logis datent de l’Ancien Régime, comme Les Touches, La Sendière, Les Guillets et Rousselet, résidence d’été au XVIIe siècle du prieur de Saint Eutrope de Saintes, qui exerce le droit de patronage sur la paroisse.

À la Révolution, la garenne de Nieul approvisionne en bois le port de Rochefort. Vers 1830, la commune compte deux fours à chaux et un moulin à foulon, pour les tissus de laine[16].

À la fin du XIXe siècle, le phylloxéra provoque la disparition du vignoble. L'élevage se développe et une laiterie coopérative est ouverte en 1911, qui ferme au début des années 1980. À partir de cette période, Nieul se transforme en un village résidentiel de la périphérie saintaise, le bâti se développant à l'est du bourg dans la continuité du village voisin de Saint-Georges-des-Coteaux.

Administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1859 1902 Théodore Guillet   Fondateur de la maison de cognac Rouyer-Guillet[17]
Les données manquantes sont à compléter.
  2001 Marie-Claire Boisson    
2001 2020 Denise Turgné DVD Employée
2020   Mikaël Moinet SE Artisan
Les données manquantes sont à compléter.
 
L'ancienne mairie, devenue bibliothèque municipale

Région modifier

À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

Canton modifier

La commune de Nieul-lès-Saintes appartient au canton de Saint-Porchaire depuis . Avant cette date, la commune appartenait au canton de Saintes-Ouest qui regroupait huit communes et une fraction de la ville de Saintes. Ce canton était issu d'un remaniement de la carte administrative qui a eu lieu en 1985 et a succédé à l'ancien canton de Saintes-Sud formé dès son origine en 1790. Première commune via sa superficie dans ce canton, elle est désormais la deuxième après la commune de Sainte-Gemme dans celui de Saint-Porchaire.

Intercommunalité modifier

Nieul-lès-Saintes adhère à la Communauté de communes Cœur de Saintonge dont le siège administratif est situé à Saint-Porchaire. De même, la commune appartient au Pays de Saintonge Romane dont le siège est fixé à Saintes.

Circonscription législative modifier

La commune est située dans la troisième circonscription de la Charente-Maritime qui englobe l'arrondissement de Saint-Jean-d'Angély dans sa totalité et la partie nord de l'arrondissement de Saintes (cantons de Burie, Saintes-Est - à l'exception des communes de Colombiers et La Jard -, Saintes-Nord et Saintes-Ouest).

Politique locale modifier

Le vote dans la commune de Nieul-lès-Saintes est plutôt orienté à droite de l'échiquier politique.

Scores des candidats aux élections présidentielles à Nieul-lès-Saintes depuis 2002
Élections 1er tour 2d tour
1er 2d 3e 4e 1er 2d
2002[18] J.Chirac (RPR) 18,62 % J-M. Le Pen (FN) 17,32 % J. Saint-Josse (CPNT) 13.78% L. Jospin (PS) 8.75% J.Chirac (RPR) 81,06 % J-M. Le Pen (FN) 18,94 %
2007[19] N. Sarkozy (UMP) 27,32 % S. Royal (PS) 21,03 % F. Bayrou (UDF) 18,17% J-M. Le Pen (FN) 13,59% N. Sarkozy (UMP) 53,44 % S. Royal (PS) 46,56 %
2012[20] N. Sarkozy (UMP) 27,14 % M. Le Pen (FN) 23,26 % F. Hollande (PS) 22,73% J-L. Mélenchon (FG) 10,03% N. Sarkozy (UMP) 52,56 % F. Hollande (PS) 47,44 %
2017[21] M. Le Pen (FN) 30,7 % E. Macron (EM) 18,17 % F.Fillon (LR) 17,67% J-L. Mélenchon (FI) 16,79% E. Macron (EM) 54,88 % M. Le Pen (FN) 45,12 %
2022[22] M. Le Pen (RN) 29,67 % E. Macron (LREM) 26,14 % J-L. Mélenchon (FI) 13,01% É. Zemmour (REC) 6,57% M. Le Pen (RN) 52,66 % E. Macron (LREM) 47,34 %

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 1 239 habitants[Note 3], en augmentation de 4,12 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8608687889371 0089991 0571 0871 031
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 004933930846844805812763740
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
701720705626648649623622660
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6476365697639539759799791 116
2017 2021 - - - - - - -
1 2521 239-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

Patrimoine historique et culturel modifier

Une plaque funéraire en marbre noir atteste de l'inhumation de messire Gabriel Isaie Lemouzin, chevalier, seigneur et baron de Varzay, Nieul et autres places, décédé le à l'âge de 86 ans. Cette plaque a été inscrite aux Mobiliers Historiques le .

Une grande toile (205 cm sur 127) représente saint Martin partageant son manteau. Elle a été commandée par Maryon, un lieutenant des chirurgiens de Saintonge, et peinte par Bragny en 1646. Cette peinture a été inscrite aux Mobiliers Historiques le .

  • Le château de Nieul-lès-Saintes[28], construit en 1372 par Jean Chaudrier, seigneur de Nieul-lès-Saintes, et maire de La Rochelle à quatre reprises[29].
  • Le lavoir de la fontaine Saint-Martin
  • La mairie de Nieul-lès-Saintes, ancien presbytère réhabilité pour accueillir les locaux de la municipalité en 2011-2012[30]. L'ancien maire, Théodore Guillet qui y est né le 15 mai 1833 est le donateur de cette maison à la commune. Par acte notarié, il en avait accordé l'occupation au curé de la paroisse. L'acte mentionnait qu'au décès du dernier prêtre occupant la cure, la demeure serait donnée à la commune à condition que la mairie y soit transférée[31].
  • Le monument aux morts
  • Fosse et plaque commémorative du crash du bombardier Little Girl II, entraînant la mort du capitaine Charles Donald Cole, à proximité du lieu-dit Rochevent, le 5 janvier 1944[32].

Patrimoine naturel modifier

 
Le bassin du Trou de Pampin reflétant la lumière du jour
  • La grotte de Pampin, aussi appelée Trou de Pampin s'ouvre sur la "salle du grand étang". Un massif effondrement obstrue une partie importante de la cavité. Au delà, se trouve le "couloir du petit étang". Les deux plans d'eau se situent au niveau de la nappe phréatique de l'Arnoult, 200m plus à l'ouest. La profondeur de l'étang de Pampin est inconnue, celui-ci continuant à travers un système de fissures. La grotte fait l'objet d'une légende héritée d'un drame médiéval mettant en scène le jeune "Pampin". Elle rapporte que chaque nuit de Noël, les eaux turquoises de la grotte se teintent en rouge sang[33].
  • La grotte du Maine-Bernard est composée d'une vaste salle circulaire présentant un foisonnement de concrétions. L'entrée est interdite au public[34].

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
  3. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Nieul-lès-Saintes », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  13. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Nieul-lès-Saintes », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  16. « Naissance d’un village », sur nieul-les-saintes.fr (consulté le ).
  17. cths.fr, « GUILLET Jacques Philippe Théodore », sur comité des travaux historiques et scientifiques (consulté le ).
  18. « Nieul-lès-Saintes (17810) : Résultats de l'élection présidentielle 2002 », sur LExpress.fr (consulté le ).
  19. « Nieul-lès-Saintes (17810) : Résultats de l'élection présidentielle 2007 », sur LExpress.fr (consulté le ).
  20. « Nieul-lès-Saintes (17810) : Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur LExpress.fr (consulté le ).
  21. « élections présidentielles Nieul-lès-Saintes (2017) ».
  22. « élections présidentielles Nieul-lès-Saintes (2022) ».
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Nieul lès Saintes, église Saint-Martin », sur ch.lerolle.free.fr (consulté le ).
  28. a et b « NIEUL-les-SAINTES en SAINTONGE », sur chapiteaux.free.fr (consulté le ).
  29. « Château de Nieul-lès-Saintes (Site officiel) | Château Saintes | Château charente maritime | château 17 », sur chateau-de-nieul-les-saintes.fr (consulté le ).
  30. « RÉNOVATION D'UN ANCIEN PRESBYTÈRE EN MAIRIE NIEUL LES SAINTES », sur Architectes Berthet Roche (consulté le ).
  31. culture-histoire.over-blog.com, « 4 - Hiver de glace - Inauguration mairie de Nieul les Saintes - Neige et solidarité », sur Culture - Histoire - Société - Saintes (consulté le ).
  32. « Capitaine Charles Donald Cole - Nieul-lès-Saintes le 5 Janvier 1944 | Aérostèles », sur aerosteles.net (consulté le ).
  33. « CAVERNES EN SAINTONGE », sur cavernes-saintonge.info (consulté le ).
  34. « CAVERNES EN SAINTONGE », sur cavernes-saintonge.info (consulté le ).

Liens externes modifier

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