Neuvy (Loir-et-Cher)

commune française du département de Loir-et-Cher

Neuvy
Neuvy (Loir-et-Cher)
L'église Saint-Saturnin, dans l'ancien bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loir-et-Cher
Arrondissement Blois
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Chambord
Maire
Mandat
Patrick Marion
2020-2026
Code postal 41250
Code commune 41160
Démographie
Population
municipale
321 hab. (2021 en augmentation de 2,23 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 50″ nord, 1° 36′ 13″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 128 m
Superficie 31,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Blois
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chambord
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Neuvy
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Neuvy

Neuvy (parfois appelée Neuvy-sur-Beuvron) est une commune française située dans le département de Loir-et-Cher, en région Centre-Val de Loire.

Localisée au centre-est du département, la commune fait partie de la petite région agricole « la Grande Sologne », vaste étendue de bois, d'étangs et de prés aux récoltes médiocres. Elle est drainée par le Beuvron, la Bonne Heure et par divers petits cours d'eau.

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels qui occupent la quasi-totalité du territoire communal. Plusieurs espaces naturels d'intérêt sont présents sur la commune : deux sites natura 2000 et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture des céréales et des oléoprotéagineux. À l'instar du département qui a vu disparaître le quart de ses exploitations en dix ans, le nombre d'exploitations agricoles a fortement diminué, passant de 57 en 1988, à 6 en 2000, puis à 5 en 2010.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un édifice porté à l'inventaire des monuments historiques : le château d'Herbault, inscrit en 1942.

Géographie modifier

Localisation et communes limitrophes modifier

La commune de Neuvy se trouve au centre-est du département de Loir-et-Cher, dans la petite région agricole de la Grande Sologne[1],[2]. À vol d'oiseau, elle se situe à 21 km de Blois[3], préfecture du département et à 8,4 km de Chambord, chef-lieu du canton de Chambord dont dépend la commune depuis 2015[4]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Bracieux[5].

Les communes les plus proches sont[6] : Bauzy (3,1 km), Bracieux (5 km), Dhuizon (5 km), Fontaines-en-Sologne (7,2 km), Thoury (7,4 km), Tour-en-Sologne (8,3 km), Chambord (8,4 km), Vernou-en-Sologne (9 km) et Montrieux-en-Sologne (9,2 km).

Paysages et relief modifier

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage, adoptée le et entrée en vigueur en France le , un atlas des paysages de Loir-et-Cher a été élaboré en 2010 par le CAUE de Loir-et-Cher, en collaboration avec la DIREN Centre (devenue DREAL en 2011), partenaire financier[7]. Les paysages du département s'organisent ainsi en huit grands ensembles et 25 unités de paysage[Note 1],[8]. La commune fait partie de l'unité de paysage de « la Grande Sologne », dans la Sologne[9].

À l'échelle régionale, le très important taux de boisement de la Sologne en fait une sorte de gigantesque île de verdure au cœur d'un océan de cultures, entre Beauce et Champagne Berrichonne. La Grande Sologne, localisée au sud-est, entre les vallées de la Loire et du Cher, occupe à elle seule un tiers environ du Loir-et-Cher. Elle déborde ses limites en s'étendant sur le Loiret et le Cher, rejoignant la Forêt d'Orléans au nord-est et couvrant la plus grande partie du coude de la Loire jusqu'aux portes de Bourges, au sud[10].

L'altitude du territoire communal varie de 77 mètres à 128 mètres[11],[12].

Hydrographie modifier

La commune est drainée par le Beuvron (7,017 km), la Bonne Heure (2,038 km) et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 36,67 km de longueur totale[13].

Le Beuvron, d'une longueur totale de 115,2 km, prend sa source dans la commune de Coullons, dans le Loiret et se jette dans la Loire à Candé-sur-Beuvron, après avoir traversé 29 communes[14]. Sur le plan piscicole, ce cours d'eau est classé en deuxième catégorie, où le peuplement piscicole dominant est constitué de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[15].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montrieux », sur la commune de Montrieux-en-Sologne à 9 km à vol d'oiseau[18], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 672,2 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Sites Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[22]. Des parties du territoire communal sont incluses dans les sites Natura 2000 suivants[23] : deux ZSC, le « Domaine de Chambord », d'une superficie de 4 676 ha, et institué par arrêté du [24],[25] et la « Sologne », d'une superficie de 346 184 ha[26].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire. Le territoire communal de Neuvy est en lisière d'une ZNIEFF[27] : le « Domaine national de Chambord » (5 390,25 ha)[28].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Neuvy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[29],[30],[31].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Blois, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 78 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[32],[33].

 
Infrastructures et occupation des sols de la commune de Neuvy.

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols est marquée par l'importance des espaces agricoles et naturels (99,5 %). La répartition détaillée ressortant de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover millésimée 2012 est la suivante : terres arables (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), prairies (2 %), forêts (78,9 %), milieux à végétation arbustive ou herbacée (4,1 %), zones urbanisées (0,5 %), eaux continentales (0,5 %)[13].

Planification modifier

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d'un établissement public, pour déterminer les partis d'aménagement de l'espace au sein d'un SCoT, un document essentiel d'orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCOT du Blésois, approuvé en 2006 et révisé en juillet 2016[34].

En matière de planification, la commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme en révision[35]. Par ailleurs, à la suite de la loi ALUR (loi pour l'accès au logement et un urbanisme rénové) de mars 2014, un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes du Grand Chambord a été prescrit le [36].

Habitat et logement modifier

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Neuvy en 2016 en comparaison avec celle du Loir-et-Cher et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,6 %) inférieure à celle du département (18 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,6 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (79,6 % en 2011), contre 68,1 % pour le Loir-et-Cher et 57,6 pour la France entière.

Le logement à Neuvy en 2016.
Neuvy[37] Loir-et-Cher[38] France entière[39]
Résidences principales (en %) 77,5 74,5 82,3
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 11,6 18 9,6
Logements vacants (en %) 11,0 7,5 8,1

Risques majeurs modifier

Le territoire communal de Neuvy est vulnérable à différents aléas naturels : inondations (par débordement du Beuvron), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique : le risque nucléaire[40],[41].

Risques naturels modifier

 
Zones inondables de la commune de Neuvy.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[40]. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[42]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[43].

Un atlas des zones inondables du Beuvron est établi en décembre 2003. Les crues historiques du Beuvron sont celles de 1856, de 1910 et de 1936-1937. Le débit de la crue de référence varie ainsi entre 60 et 160 m3/s selon les sections[44].

Risques technologiques modifier

La totalité du territoire de la commune peut être concernée par le risque nucléaire. En cas d'accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l'atmosphère de l'iode radioactif. Or la commune se situe partiellement à l'intérieur du périmètre de 20 km du Plan particulier d'intervention de la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux. À ce titre les habitants de la commune, comme tous ceux résidant dans le périmètre proche de 20 km de la centrale ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d'iode stable dont l'ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d'une exposition à de l'iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[45],[46].

Toponymie modifier

Le toponyme de Neuvy est plutôt courant dans le centre de la France : à l'instar de Neuvy-sur-Barangeon (dans le Cher), de Neuvy-sur-Loire (Nièvre) ou de Neuvy-Saint-Sépulchre (Indre), Neuvy est une déformation du latin Novus Vicus (signifiant « nouveau village »).

Le village a un temps été appelé Neuvy-sur-Beuvron après la Révolution[47], mais l'hydronyme n'est aujourd'hui plus en vigueur.

Histoire modifier

Origines modifier

Le nom d'origine du village n'est pas connu, mais l'on sait que le bourg s'est d'abord développé sur la rive sud du Beuvron, aux alentours de l'actuelle église Saint-Saturnin.

Moyen âge et Ancien régime modifier

C'est sous le comte Jean Ier de Blois-Châtillon, au milieu du XIIe siècle, que le bourg se métamorphose. Ce-dernier prononça un édit accordant, en dédommagement des dégâts causés par le gibier, le droit de pâturage dans ses forêts en faveur des habitants des paroisses établies entre le Cosson et le Beuvron. Or, le bourg se situant sur la rive gauche du Beuvron, la plupart des habitants ont choisi de déplacer leurs propriétés sur l'autre rive afin de pouvoir jouir de ce droit dans l'immense forêt de Boulogne. Ce nouveau bourg prit le nom de Novus Vicus.

Révolution française et Empire modifier

Nouvelle organisation territoriale modifier

Le décret de l'Assemblée nationale du décrète qu'« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[48], mais ce n'est qu'avec le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II () que la paroisse de Neuvy devient formellement « commune de Neuvy »[48],[49]. En 1790, le village est par ailleurs rattaché au département de Loir-et-Cher[50], avec Blois comme chef-lieu.

En 1790, dans le cadre de la création des départements, la municipalité est rattachée au canton de Bracieux et au district de Blois[49]. Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l'élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[51],[52]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, considérés comme des rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[51]. Enfin, sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons en Loir-et-Cher de 33 à 24[53]. Neuvy est alors rattachée au canton de Bracieux et à l'arrondissement de Blois par arrêté du 5 vendémiaire an X ()[54],[49],[55]. Cette organisation va rester inchangée pendant près de 150 ans.

Époque contemporaine modifier

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune de Neuvy est membre de la communauté de communes du Grand Chambord, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le [56].

Elle est rattachée sur le plan administratif à l'arrondissement de Blois, au département de Loir-et-Cher et à la région Centre-Val de Loire[5], en tant que circonscriptions administratives[5]. Sur le plan électoral, elle est rattachée au canton de Chambord depuis 2015 pour l'élection des conseillers départementaux[57] et à la deuxième circonscription de Loir-et-Cher pour les élections législatives[58].

Politique et administration municipale modifier

Conseil municipal et maire modifier

Le conseil municipal de Neuvy, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal[59] avec listes ouvertes et panachage[60]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges au conseil municipal est de 11. Le maire, à la fois agent de l'État et exécutif de la commune en tant que collectivité territoriale, est élu par le conseil municipal au scrutin secret lors de la première réunion du conseil suivant les élections municipales, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil[61].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 1983 Pierre de Tristan    
1983 ? Michel Chéry    
avant 1995 ? Bernard Greslier PCF  
mars 2008 En cours Patrick Marion[62],[63]   Ancien cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Équipements et services modifier

Eau et assainissement modifier

L'organisation de la distribution de l'eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La compétence eau et assainissement des communes est un service public industriel et commercial (SPIC)[64].

Alimentation en eau potable modifier

Le service d'eau potable comporte trois grandes étapes : le captage, la potabilisation et la distribution d'une eau potable conforme aux normes de qualité fixées pour protéger la santé humaine[65]. En 2019, la commune est membre de la communauté de communes du Grand Chambord qui assure le service en régie dont le contrat arrive à échéance le [66].

Assainissement des eaux usées modifier

En 2019, la commune de Neuvy ne dispose pas d'assainissement collectif[67]. Une station de traitement des eaux usées est en service au sur le territoire communal[68] : « Route De Neuvy », un équipement utilisant la technique des filtres plantés, dont la capacité est de 420 EH, mis en service le [69].

L'assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[70]. La communauté de communes du Grand Chambord assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l'entretien des installations[71].

Sécurité, justice et secours modifier

La sécurité de la commune est assurée par la brigade de gendarmerie de Bracieux qui dépend du groupement de gendarmerie départementale de Loir-et-Cher installé à Blois[72].

En matière de justice, Neuvy relève du conseil de prud'hommes de Blois, de la Cour d'appel d'Orléans (juridiction de Blois)[73], de la Cour d'assises de Loir-et-Cher, du tribunal administratif de Blois, du tribunal de commerce de Blois et du tribunal judiciaire de Blois[74].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[75]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[76].

En 2021, la commune comptait 321 habitants[Note 6], en augmentation de 2,23 % par rapport à 2015 (Loir-et-Cher : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
476415402449452480437420451
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
421435446410468433463476444
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
445435457401401388377349318
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
327329288279288294321329317
2018 2021 - - - - - - -
322321-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[77] puis Insee à partir de 2006[78].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,5 % la même année, alors qu'il est de 31,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 164 hommes pour 158 femmes, soit un taux de 50,93 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,55 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[79]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,6 
11,6 
75-89 ans
9,5 
16,5 
60-74 ans
20,9 
25,6 
45-59 ans
23,4 
14,0 
30-44 ans
13,3 
14,6 
15-29 ans
16,5 
17,7 
0-14 ans
15,8 
Pyramide des âges du département de Loir-et-Cher en 2020 en pourcentage[80]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,1 
75-89 ans
11,8 
19,4 
60-74 ans
20,1 
21 
45-59 ans
20,2 
16,6 
30-44 ans
16,2 
15,3 
15-29 ans
13,2 
17,5 
0-14 ans
16 

Économie modifier

Secteurs d'activité modifier

Le tableau ci-dessous détaille le nombre d'entreprises implantées à Neuvy selon leur secteur d'activité et le nombre de leurs salariés[81] :

Établissements actifs par secteur d'activité au .
total % com (% dep[82]) 0 salarié 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 salariés ou plus
Ensemble 36 100,0 (100) 27 7 1 0 1
Agriculture, sylviculture et pêche 5 13,9 (11,8) 3 2 0 0 0
Industrie 2 5,6 (6,5) 1 0 1 0 0
Construction 6 16,7 (10,3) 4 2 0 0 0
Commerce, transports, services divers 20 55,6 (57,9) 17 2 0 0 1
dont commerce et réparation automobile 6 16,7 (17,5) 6 0 0 0 0
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 3 8,3 (13,5) 2 1 0 0 0
Champ : ensemble des activités.

Le secteur du commerce, transports et services divers est prépondérant sur la commune (20 entreprises sur 36) néanmoins le secteur agricole reste important puisqu'en proportions (13,9 %), il est plus important qu'au niveau départemental (11,8 %). Sur les 36 entreprises implantées à Neuvy en 2016, 27 ne font appel à aucun salarié, 7 comptent 1 à 9 salariés, 1 emploie entre 10 et 19 personnes

Agriculture modifier

En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[83]. Le département a perdu près d'un quart de ses exploitations en 10 ans, entre 2000 et 2010 (c'est le département de la région Centre-Val de Loire qui en compte le moins)[84]. Cette tendance se retrouve également au niveau de la commune où le nombre d'exploitations est passé de 18 en 1988 à 6 en 2000 puis à 5 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 32 ha en 1988 à 49 ha en 2010[83]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Neuvy, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l'agriculture à Neuvy (41) entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[83]
Nombre d'exploitations (u) 18 6 5
Travail (UTA) 23 9 10
Surface agricole utilisée (ha) 573 202 245
Cultures[85]
Terres labourables (ha) 409 177 226
Céréales (ha) 224 99 123
dont blé tendre (ha) 29 s s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 83 23 51
Tournesol (ha) 0 s
Colza et navette (ha) 0
Élevage[83]
Cheptel (UGBTA[Note 7]) 167 12 0

Produits labellisés modifier

Le territoire de la commune est intégré aux aires de productions de divers produits bénéficiant d'une indication géographique protégée (IGP) : le vin Val-de-loire[86] et les volailles de l’Orléanais[87],[88].

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Michel Provost, Carte archéologique de la Gaule : Le Loir-et-Cher, Paris, Académie des inscriptions et belles-lettres, , 159 p. (ISBN 2-87754-003-0)
  • Christian Poitou, Paroisses et communes de France : Loir-et-Cher, Paris, CNRS Editions, , 591 p. (ISBN 2-271-05482-6)
  • Stéphane Gendron, Les noms de lieux du Centre, Paris, éditions Bonneton, , 232 p. (ISBN 978-2-86253-226-4).
  • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut National d'Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
  • Liste des communes de Loir-et-Cher

Lien externe modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Une unité de paysage est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d'une superficie en général limitée caractérisée par la présence d'espèces, d'association d'espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d'espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).

Références modifier

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