Naujan-et-Postiac

commune française du département de la Gironde

Naujan-et-Postiac
Naujan-et-Postiac
La mairie (oct. 2012)
Blason de Naujan-et-Postiac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité Communauté de communes Castillon-Pujols
Maire
Mandat
François Raynaud
2020-2026
Code postal 33420
Code commune 33301
Démographie
Gentilé Naujanais
Population
municipale
626 hab. (2021 en augmentation de 13,82 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 22″ nord, 0° 10′ 49″ ouest
Altitude Min. 6 m
Max. 91 m
Superficie 11,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux de Dordogne
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Naujan-et-Postiac
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Naujan-et-Postiac
Liens
Site web www.naujan-et-postiac.fr/

Naujan-et-Postiac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

Naujan-et-Postiac est une commune tout au sud de l'ancien canton de Branne, du nouveau canton des Côteaux de Dordogne et de l'arrondissement de Libourne, à la limite avec l'ancien canton de Targon, le nouveau canton de l'Entre-deux- Mers, et l'arrondissement de Langon.

L'habitat en est en grande partie dispersé, comme dans la plupart des communes de la région, avec de nombreux hameaux, écarts et lieux-dits, dont l'activité est évidemment liée à l'agriculture.

Un petit affluent de la Dordogne, l'Engranne, grossie elle-même d'un estey[1], sépare la commune de sa voisine Jugazan.

La commune se trouve à 35 km à l'est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 18 km au sud-sud-est de Libourne, chef-lieu d'arrondissement et à 6 km au sud de Branne, siège de la communauté de communes du Brannais[2].

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Rauzan au nord-est, Jugazan à l'est, Bellefond au sud-est, Romagne au sud-ouest, Daignac à l'ouest, Guillac au nord-ouest, Lugaignac au nord-nord-ouest et Saint-Aubin-de-Branne au nord,

Communes limitrophes de Naujan-et-Postiac[3]
                    Lugaignac

Guillac
Saint-Aubin-de-Branne Rauzan
Daignac   Jugazan
Romagne Bellefond

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 839 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 12 km à vol d'oiseau[7], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Naujan-et-Postiac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (61,6 %), forêts (14,4 %), terres arables (11 %), zones agricoles hétérogènes (7,5 %), prairies (5,6 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports modifier

Les principales voies de communication routière sont la route départementale D128 qui traverse le village et mène vers le nord-ouest à Guillac et vers le sud-ouest à Jugazan et Rauzan et la route départementale D19 qui traverse l'ouest du territoire communal et mène vers le nord à Branne et vers le sud à Romagne ; sur la D128, à environ 500 mètres à l'est du village, la route départementale D128e5 permet de rejoindre Saint-Jean-de-Blaignac vers le nord-est.

L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est le no 2, dit de Podensac, qui se situe à 29 km vers le sud-ouest.
L'accès no 1, dit de Bazas, à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 44 km vers le sud.
L'accès le plus proche à l'autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'échangeur autoroutier avec la route nationale 89 qui se situe à 16 km vers le nord-ouest.

La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 18 km par la route vers le nord-ouest, de Libourne sur la ligne TGV Atlantique Paris - Bordeaux, la ligne Intercités ligne Lyon - Bordeaux et le réseau TER Nouvelle-Aquitaine.
La gare de Cérons sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine est distante de 25 km par la route vers le sud-ouest.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Naujan-et-Postiac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels modifier

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2009[19],[17].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[20]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Naujan-et-Postiac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 285 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 285 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2015 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage sur la Dordogne de classe A[Note 3] soumis à PPI, disposant d'une retenue de 477 millions de mètres cubes[24]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].

Toponymie modifier

Le nom de la commune provient des patronymes romains Noviacus et Postius[26].

En gascon, le nom de la commune est Naujan e Postiac.

Histoire modifier

Comme le reste de l’Entre-deux-Mers, le peuplement de ce territoire est ancien et s’est intensifié après la fin du 1er millénaire, puis surtout celle de la guerre de Cent Ans qui a ramené un peu de sécurité dans l’habitat rural. En même temps que les proches bastides se sont solidement installées, des villages très nombreux, régulièrement répartis, mais peu peuplés, se sont multipliés, donnant à la carte de cette zone un aspect tout à fait unique dans la région. La stabilisation de la population par la suite a favorisé la conservation d’une architecture de qualité traditionnelle, au sein d’une géographie également très attrayante.

À la Révolution, la paroisse Saint-Pierre de Naujan forme la commune de Naujan et son annexe, Notre-Dame de Postiac, forme la commune de Postiac. En l'an X, la commune de Postiac est rattachée à celle de Naujan qui devient Naujan-et-Postiac[27].

La viticulture est, comme dans toute la région, très ancienne. La Révolution française, comme dans le reste du pays, en rétablissant la liberté de culture, en morcelant les biens de l’Église et des nobles exilés, en regroupant la propriété du sol avec celle du droit d'exploiter et créant ainsi des millions de propriétaires, a ici aussi profondément bouleversé le paysage viti-vinicole. Le développement a été rapide sous le Second Empire, période florissante avant le mildiou ou autres phylloxéra, où de nombreux domaines ont ajouté, dans le style châtelain de l’époque, de beaux éléments au patrimoine rural déjà existant. Sur le plan administratif, le regroupement des paroisses de Naujean (dédiée à saint Jean) et de Postiac, au sein du comté de Blaignac au XVIIIe siècle, a été pérennisé par la Révolution (An X) dans la création d’une commune unique. L’inféodation et l’absorption de la seconde, inférieure en superficie et population, ont été rendues définitives par la cession de son église et des éléments associés (dans le cadre de la vente des biens nationaux), devenus par la suite la chapelle particulière et le lieu de sépulture de la famille détentrice.

L’organisation administrative de la République, par le rattachement au canton de Branne, (canton des Coteaux de Dordogne à la suite de la réorganisation de 2015) et l’arrondissement de Libourne, a confirmé l’orientation vers le nord des échanges, et la séparation assez nette avec les communes au sud, rattachées au canton de Targon (canton de l'Entre-deux-mers depuis 2015), et l’arrondissement de Langon.

La croissance de la métropole bordelaise, déjà très importante pour le commerce, la santé, l’éducation, l’activité professionnelle de nombreux habitants, ne fait qu'accentuer sa lourde présence à l’ouest, et s'impose par sa luminosité inévitable dans le ciel nocturne de toute la région. Quelques accents d’habitat dortoir, limités par l’importance de la viticulture dans l’activité locale, sont visibles surtout par le sens de la circulation bi-quotidienne sur les routes départementales reliant la commune à Bordeaux ou à Libourne. Du fait de ces relatives proximités, l'exode des années 1960 s'est interrompu, et presque inversé. L'activité touristique, avec plusieurs gîtes ou maisons d'hôtes se développe raisonnablement.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995 ? André Roye DVD  
mars 2001 2014 Michel Clabé SE Chef d'entreprise retraité
mars 2014 En cours
(au Réélu le 14 juin 2020)
François Raynaud[28] SE Fonctionnaire retraité

Population et société modifier

Démographie modifier

Les habitants sont appelés les Naujanais[29].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31]. En 2021, la commune comptait 626 habitants[Note 4], en augmentation de 13,82 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
627551542682710693630628645
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
631638637669619602540494580
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
564578584570579610597529586
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
553500435423520500498498554
2018 2021 - - - - - - -
595626-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

Fête locale le dernier week-end de juillet.

Économie modifier

L'économie locale est basée très majoritairement sur la viticulture, à laquelle est dédiée une très grande partie du territoire de la commune. Les vins produits, majoritairement rouges, appartiennent aux AOC bordeaux ou bordeaux-supérieur ; les blancs, secs, entrent dans le cadre de l'appellation Entre-deux-Mers. La commercialisation depuis les propriétés se fait selon les trois grands modes :

  • Mise en bouteille à la propriété
  • Cession à des négociants de Libourne ou de Bordeaux, grands centres de négoce (méthode devenue très minoritaire)
  • Apport de la récolte à l'une des caves coopératives les plus proches, surtout pour les exploitations les moins étendues.

Ce secteur économique reste quasiment unique pourvoyeur d'emplois salariés sur la commune.

L'activité de gîtes ruraux ou maisons d'hôtes se développe et apporte des revenus indépendants supplémentaires.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Le patrimoine est très bien conservé, comme dans beaucoup des communes faiblement peuplées au sud de Branne : le patrimoine commun, essentiellement religieux, avec son église ; celui lié à la viticulture avec de nombreux châteaux ou domaines de qualité ; mais aussi l'habitat, harmonieusement dispersé pour les motifs historiques.

  • Croix de mission et croix de carrefour : La ferveur religieuse a été mise à mal lors de la Révolution Française. Des croix de mission ont été plantées sur tout le territoire français au début du XIXe siècle. Chacune d’elles manifeste le passage d’un de ces missionnaires diocésains que l’on charge à l’époque de mener une nouvelle évangélisation des campagnes. Les croix de carrefour, comme les croix de chemin, se sont multipliées au XIXe siècle et étaient particulièrement destinées à marquer les limites d'une paroisse et de ses différents hameaux.
  • Château d'Arpaillan, propriété privée.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Jean-Emmanuel Roy (1887-1962), maire de 1919 à 1940 et de 1944 à 1962, député de 1932 à 1941 ; le , Jean-Emmanuel Roy vota contre les pleins pouvoirs à Philippe Pétain.

Héraldique modifier

  Blason
Écartelé en sautoir : au premier de gueules à la cloche d’or, au deuxième d’azur à la roue de moulin d’argent issant d’une rivière de six filets ondés alésés de sable décroissant vers la pointe en chevron renversé, au troisième d’azur à la tour portillée d’argent maçonnée de sable, au quatrième de sable au cep de vigne feuillé d’or, fruité de trois grappes de raisin de gueules, tortillé sur son échalas aussi d’or[35].
Détails
Officiel, présenté sur le site internet de la commune[36]

Voir aussi modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Estey : nom générique régional pour un cours d'eau.
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distances orthodromiques sont respectivement de 31,7 km pour Bordeaux, 14,8 km pour Libourne et 4,7 km pour Branne. Données fournies par lion1906.com, consulté le 7 novembre 2012.
  3. Naujan-et-Postiac sur Géoportail, consulté le 7 mai 2015.
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Naujan-et-Postiac et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Naujan-et-Postiac », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Naujan-et-Postiac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. Article R214-112 du code de l’environnement
  24. « barrage de Bort-les-Orgues », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  26. Naujan-et-Postiac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 7 mai 2015.
  27. Historique des communes, p. 37, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 7 mai 2015.
  28. Commune de Naujan-et-Postiac sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 7 novembre 2012.
  29. Nom des habitants des communes françaises sur habitants.fr, consulté le 7 novembre 2012.
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Inscription de l'église Saint-Pierre », notice no PA33000047, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2012.
  35. GASO - Banque du blason - 33301.
  36. Site de la mairie de Naujan-et-Postiac, consulté le 20 mai 2013.