Musée des Beaux-Arts de Chartres

musée des Beaux-Arts et des Arts Décoratifs Chartres, France
Musée des Beaux-Arts de Chartres
Entrée musée beaux-arts Chartres Eure-et-Loir (France).jpg
Entrée du musée des Beaux-Arts dans l'ancien évêché de Chartres.
Informations générales
Type
Municipal
Ouverture
Dirigeant
Grégoire Hallé[1]
Surface
5 000 m2Voir et modifier les données sur Wikidata
Visiteurs par an
13 213 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Collections
Collections
Peintures du XVIe au XXe siècle, sculptures, dessins, art océanien, objets d'arts, archéologie.
Nombre d'objets
50 000
Bâtiment
Article dédié
Ancien évêché
Protection
Localisation
Adresse
29, cloître Notre-DameVoir et modifier les données sur Wikidata
Chartres, Eure-et-Loir
Flag of France.svg France
Coordonnées
Carte

Le musée des Beaux-Arts de Chartres, dans le département français d'Eure-et-Loir, est le principal musée de la ville. Il bénéficie du label Musée de France. Situé dans l'ancien palais épiscopal classé monument historique[2] avec un ensemble des XIIIe, XVIIe et XVIIIe siècles, à côté de la célèbre cathédrale, il abrite une collection d'œuvres d'art variée : peintures, dessins, sculptures, objets d'arts, archéologie, mobilier, etc.

Le musée a été fermé durant le premier semestre 2017[3], puis rouvert le , avec un accès gratuit, excepté lors des expositions temporaires.

HistoriqueModifier

Quelques dates permettent de retracer un bref historique du musée :

  • 1833 : création le et installation dans une salle de l'hôtel de ville. L'ouverture au public a lieu le  ;
  • 1874 : construction d'une aile annexe de l'hôtel de ville ;
  • 1876 : achat de la Sainte Lucie de Zurbarán ; le musée bénéficie de legs nombreux et importants, tel celui de Noël Ballay, ancien gouverneur de l'Afrique-Occidentale française ;
  • 1939 : installation des collections dans les bâtiments de l'ancien évêché et inauguration le par Georges Huisman, directeur général des Beaux-Arts. Les dons se poursuivent, notamment celui des collections de la Société archéologique d'Eure-et-Loir ;
  • 1967 : les collections d'histoire naturelle sont transférées dans le nouveau muséum des sciences naturelles et de préhistoire ;
  • 2012 : le musée risque cependant de ne plus exister d'ici quelque temps. La municipalité n'est pas propriétaire des lieux, qui ont été affectés en 1905 au conseil général d'Eure-et-Loir, et se verra peut-être obligée de répartir toutes les œuvres d'art dans divers lieux chartrains, abandonnant à la fois un lieu imprégné d'histoire et une collection d'une grande richesse[4].
  • 2013 : un projet de rénovation du conseil général conduirait à transformer la salle à l'italienne et la chapelle de cet ancien palais épiscopal en salons de réception de la Cosmetic Valley[5].
  • 2015 : le muséum des sciences naturelles et de préhistoire est fermé et ses collections réintègrent le musée des Beaux-Arts, réduisant d'autant l'espace d'exposition : seules 1 % des œuvres sont exposées.
  • 2017 :
    • Le 1er janvier, sur décision du maire Jean-Pierre Gorges, le musée ferme, en raison de la vétusté des bâtiments à la suite du non-entretien par la municipalité. Les collections seront déplacées et le personnel redéployé[6].
    • Le 1er juillet, le musée est à nouveau ouvert.

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CollectionsModifier

PeintureModifier

La collection de peintures (peinture ancienne et moderne) est la plus riche :

RenaissanceModifier

La Renaissance italienne est notamment illustrée par une Vierge à l'Enfant de Benvenuto Tisi[7], provenant des collections du cabinet du roi Louis XIV (petite galerie, Versailles). Sont également présents Mariotto Albertinelli (Glorification de la Vierge, triptyque, huile et feuille d'or sur bois) et Orazio Sammachini (La Vierge et l'Enfant, Sainte Barbe, Saint Raymond de Penyafort et un ange, huile sur cuivre).

La Renaissance flamande et le Maniérisme hollandais sont illustrés par Quentin Metsys (La Vierge, Marie-Madeleine et saint Jean au pied de la Croix, huile sur bois), Gillis van Coninxloo (Siège d'une ville par Henri IV (Chartres ?, Rouen ?), huile sur bois, vers 1594) et Roelandt Savery (Paysage de neige au moulin à vent (attribution), huile sur toile, Pays-Bas, vers 1600).

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XVIIe siècleModifier

Pour le XVIIe siècle, sont réunies des œuvres de David Teniers le Jeune (Joueurs de boules dans la cour d'un estaminet[7], Le Concert, Tabagie de singes), Francisco de Zurbarán avec sa Sainte Lucie, Claude Vignon (Le Christ devant Pilate, esquisse[7]), Gaspard Dughet (Paysage), Pierre Mignard (Le mariage mystique de sainte Catherine) et Jacques Carrey (Vue d'Athènes en 1674).

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XVIIIe siècleModifier

La section consacrée au XVIIIe siècle est particulièrement riche, avec des œuvres de Hyacinthe Rigaud (Portrait du duc de Saint-Simon, Le Comte Jan Andrzej Morsztyn et sa fille et Portrait d'homme), Nicolas de Largillierre (Portraits de Fontenelle et Charles Gobinet), François Boucher (Berger endormi, volé en 1996[7]), Charles-Joseph Natoire (La Pêche), Carle Van Loo (Pomone et l'Adoration des bergers), Jean-Honoré Fragonard (Paysage (le Gué)), Jean Siméon Chardin (Le Singe peintre et Le Singe antiquaire), Jean-Baptiste Greuze (Portrait de Cambacérès), Claude Joseph Vernet (Marine), Hubert Robert (Vue des aqueducs de Maintenon), Jean-Germain Drouais (Philoctète sur l'île de Lemnos), Élisabeth Vigée Le Brun (Portrait de la comtesse Marie-Thérèse Antoinette de Cluzel), Pierre-Paul Prud'hon (Portrait de Marie-Louise).

Les écoles étrangères sont par exemple représentées par un portrait équestre de Catherine II, en uniforme d'officier, du peintre danois Vigilius Erichsen[7].

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XIXe siècleModifier

Concernant les œuvres du XIXe siècle, sont notamment présents François Gérard (réplique de l'Entrée de Henri IV à Paris le 22 mars 1594 en format réduit)[8], Camille Corot (Le repos des chevaux)[9], Philippe-Auguste Jeanron (Scène de Paris), Adolphe Lalyre (Sainte Cécile), Johan Barthold Jongkind (Paysage), Léon Matthieu Cochereau (Le boulevard des Capucines et Cours fait par Prévost pour apprendre à peindre les panoramas), Alexandre Ségé (Une ferme à Ouerray).

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XXe siècleModifier

Pour le XXe siècle, figurent en particulier des œuvres de Chaïm Soutine (Le Grand enfant de chœur, Les escaliers de Chartres, La raie, La Femme au lit ou La Liseuse, [7]), Paul Sérusier (La musique ou Sainte Cécile au clavecin[10]), André Derain (Portrait de Vlaminck[7]), Octave Morillot (Léda et le cygne, huile sur toile, mai 1925) et Henri Villain, auquel une exposition temporaire est consacrée en .

Deux salles sont consacrées à l'œuvre de Vlaminck avec une vingtaine d'œuvres présentées, dont Nature morte au panier de fruits, Nature morte au pichet et à l'orange (1910)[11], Bords de Seine (1912), Bouquets de pavots (1914), Effet de neige à Beauche (1932), Les bottes de navets (1933), L'incendie (1945), Les meules de blé (1950), Vue de Saint-Maurice-lès-Charencey sous la neige (1950), La baie des Trépassés (1952)[Note 1], Bouquet d'anémones (1955), Marine (1956)[12].

Une salle est consacrée à Maurice Marinot et une autre au peintre Jean Guérin, ami de Jean Cocteau ayant surtout travaillé aux États-Unis.

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ÉmauxModifier

Un ensemble exceptionnel d'émaux, classé monument historique au titre d'objet[13], de Léonard Limosin représentant les douze apôtres est présenté. Est également exposée la crosse dite de Regnault de Mouçon, évêque de Chartres de 1182 à 1217. La crosse est en émail champlevé de Limoges du XIIIe siècle.

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SculptureModifier

En sculpture, il faut remarquer le bas-relief intitulé Tuerie d'Auguste Préault (bronze de 1851 réalisé à partir du plâtre original de 1834), considéré comme le manifeste du romantisme en sculpture.

Sont également exposées des œuvres du sculpteur souabe Ivo Strigel (Sainte Catherine[14], Saint Nicolas, vers 1490), de François Marchand (Saint Paul, vers 1540, présenté dans la chapelle), de Charles-Antoine Bridan (La Fidélité, la paire Jeune garçon tenant un oiseau et Jeune fille tenant un nid, Enfants à la chèvre daté de 1768[15], 2 bas-reliefs provenant de la cathédrale), ainsi que de Gabriel Jules Thomas, avec la maquette en plâtre de la statue de Marceau afin d'orner la façade du Louvre.

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TapisserieModifier

La collection de tapisseries provient du chapitre de la cathédrale Notre-Dame, commandée puis offerte par l'évêque de Chartres Nicolas de Thou en 1578. Ces tapisseries parent l'intérieur de l'édifice lors du sacre d'Henri IV en 1594, ainsi que pour les cérémonies d'importance. Les tapisseries du trésor de Chartres achetées par l'évêque comportent 11 pièces. Dix d'entre elles, faites en laine et en soie et dont la longueur est de 40 aunes, représentent des scènes de la vie de Moïse, d'après des tableaux de Raphaël, et ont été tissées dans l'atelier bruxellois de Martin Reymbouts. Seules cinq d'entre elles nous sont parvenues.

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Autres collectionsModifier

Le musée présente également plusieurs collections à découvrir :

  • Une salle, le salon Bouge, est consacrée à l'importante collection d'art océanien et africain, avec des pièces provenant du legs en 1970 du gouverneur Louis Joseph Bouge, ainsi que de la collection personnelle de Maurice de Vlaminck ;
  • Un ensemble de clavecins des XVIIe et XVIIIe siècles, accompagné d'une collection d'instruments anciens, l'instrumentarium, dont les représentations dans la cathédrale Notre-Dame sont au nombre de 320 pour 26 instruments différents. La pratique de ces instruments a donné lieu à l'enregistrement de deux albums[16],[17],[18] ;
  • Deux globes, terrestre et céleste, rares témoins de l'édition de 1751 du géographe Didier Robert de Vaugondy, provenant du château de Crécy de Madame de Pompadour (bois, papier et cuivre) : les trépieds supportant ces globes sont ornés d'une tour rappelant les trois tours du blason de cette dernière ;
  • Une collection d'armes anciennes.
 
La Cathédrale.
 
Mammouths, des géants en vallée de l'Eure, 2022.

Expositions temporairesModifier

  • La Cathédrale de J.-K. Huysmans : illustrations de Charles Jouas, du 2 juillet au 2 octobre 2022[19].
  • Mammouths, des géants en vallée de l'Eure, du 5 février au 5 juin 2022[20],[21].
  • Pierre Carron, du 9 octobre 2021 au 4 janvier 2022[22].
  • Gabriel Loire / Gabériol, du 19 juillet au 19 septembre 2021[23].
  • Les tapisseries du sacre d'Henri IV, été 2020[24].
  • Alexandre Ségé, du 6 juin au 20 septembre 2020[25].
  • Regards sur la cathédrale, du 21 septembre 2019 au 16 février 2020[26].
  • Jean Moulin, du 5 juin au 8 septembre 2019[27].
  • L'art ancestral de l'Afrique occidentale au temps de Noël Ballay, du 29 mai au 26 septembre 2010[28].
  • L'art ancestral des Kanak, du 6 juin au 27 septembre 2009[29].
  • L'art ancestral des Îles Marquises, du 21 juin au 28 septembre 2008[30].
  • Kannibals et vahinés : les sources de l'imaginaire, du 24 octobre au 18 février 2002[31].
  • Uvea-Wallis : une île pêchée par les dieux, en 2000[32].
  • L'Art des Incas dans les collections des musées de Cusco, du 1er juin au 5 octobre 1992[33].
  • Vlaminck : le peintre et la critique, du 26 juin au 28 octobre 1987[34].
  • Le Pacifique : collection Bouge Musée de Chartres, du 1er juillet au 30 septembre 1980[35].

Notes et référencesModifier

NotesModifier

  1. Un second tableau portant le même titre est présenté au musée d'Art et d'Histoire de Dreux.

RéférencesModifier

  1. « Rencontre avec Grégoire Hallé, le nouveau conservateur du musée des Beaux-Arts de la Ville de Chartres », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
  2. a et b « Ancien évêché et ses jardins, actuellement musée des beaux-arts », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  3. Hervé Joubeaux, « Hervé Joubeaux, ancien directeur du musée des beaux-arts de Chartres, réagit à sa fermeture », sur latribunedelart.com, (consulté le ).
  4. Jacques Joannopoulos, « Les adhérents des Amis du musée se sont réunis », L'Écho Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  5. Jean-Michel Benquet, « Le musée des beaux-arts prépare sa mutation avec ses 50 000 objets », L'Écho républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. Sébastien Couratin, « La ville de Chartres ferme le musée des Beaux-Arts jugé vétuste et insalubre », lechorepublicain.fr, 23 décembre 2016.
  7. a b c d e f et g Jean-Louis Gautreau, « Peintures des Musées de France », sur http://notesdemusees.blogspot.fr, (consulté le ).
  8. Musée des Beaux-Arts de Chartres, « L’entrée d’Henri IV à Paris », sur https://www.chartres.fr/musee-beaux-arts (consulté le ).
  9. « Le repos des chevaux », notice no 000PE000605, base Joconde, ministère français de la Culture.
  10. « Sainte Cécile – Paul Sérusier », sur Musée des beaux-arts de Chartres, (consulté le ).
  11. musée d'Orsay, « Nature morte au pichet et à l'orange », sur https://www.musee-orsay.fr, .
  12. « Vlaminck, Maurice de », sur https://www.musee-orsay.fr (consulté le ).
  13. « Plaques décoratives (12) : les douze apôtres », notice no PM28000171, base Palissy, ministère français de la Culture.
  14. « Novembre 2016: Sainte Catherine », sur Musée des Beaux-Arts de Chartres (consulté le ).
  15. Photo (C) RMN-Grand Palais / Michèle Bellot, « Enfants jouant avec une chèvre », sur http://www.photo.rmn.fr (consulté le ).
  16. « Instrumentarium de Chartres », sur http://www.instrumentariumdechartres.fr (consulté le ).
  17. Laurence Gélineau, « Enregistrement d'un album : l’Instrumentarium de Chartres au diapason de l’Europe », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
  18. L’Écho républicain, « Patrimoine - La musique médiévale à l’honneur avec l’Instrumentarium », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
  19. « La Cathédrale de J.-K. Huysmans. Illustrations de Charles Jouas - Musée des Beaux-arts - Chartres », sur www.chartres.fr (consulté le ).
  20. Centre France, « Sortie - Un squelette de mammouth s'expose au musée des Beaux-Arts de Chartres ! », sur www.lechorepublicain.fr, (consulté le ).
  21. « Mammouths, des géants en vallée de l’Eure - Chartres », sur www.chartres.fr (consulté le ).
  22. « Pierre Carron - Chartres », sur www.chartres.fr (consulté le ).
  23. « Gabriel Loire / Gabériol - Chartres », sur www.chartres.fr (consulté le ).
  24. « Une exposition sur les tapisseries du sacre d'Henri IV, tout l’été, au musée des Beaux-Arts de Chartres », L'Écho républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Alexandre Ségé - Chartres », sur www.chartres.fr (consulté le ).
  26. « Regards sur la cathédrale - Chartres », sur www.chartres.fr (consulté le ).
  27. « Jean Moulin - Chartres », sur www.chartres.fr (consulté le ).
  28. Nadine Berthelier, Philippe Bihouée, Nolwenn Blanchard et Musée des beaux-arts de Chartres, L'art ancestral de l'Afrique occidentale au temps de Noël Ballay, [Ville de Chartres], (ISBN 978-2-902549-44-3 et 2-902549-44-X, OCLC 804036191, lire en ligne).
  29. Musée des beaux-arts et Impr. La Fertoise), L'art ancestral des Kanak [exposition, Chartres, Musée des beaux-arts], du 6 juin au 27 septembre 2009, [Musée des beaux-arts de Chartres], (ISBN 978-2-902549-40-5 et 2-902549-40-7, OCLC 495290224, lire en ligne).
  30. Musée des beaux-arts de Chartres, Te haa tupuna kakiu no te henua enana = L'art ancestral des îles Marquises : Musée des beaux-arts de Chartres., Musée des beaux-arts de Chartres, (ISBN 978-2-902549-39-9 et 2-902549-39-3, OCLC 260221768, lire en ligne).
  31. Musée des beaux-arts de Chartres, Kannibals et vahinés : les sources de l'imaginaire : [exposition], Musée des beaux-arts de Chartres, 24 octobre [2001]-18 février 2002, Musée des Beaux-Arts, (ISBN 2-902549-29-6 et 978-2-902549-29-0, OCLC 52813197, lire en ligne).
  32. Hélène Guiot et Musée des beaux-arts de Chartres, 'Uvea-Wallis : une île pêchée par les dieux, Musée des beaux-arts de Chartres, (ISBN 2-902549-26-1 et 978-2-902549-26-9, OCLC 50247094, lire en ligne).
  33. Musée de Chartres, L'art des Incas dans les collections des musées de Cusco, Chartres, Musée de Chartres, .
  34. Vlaminck : le peintre et la critique, Chartres, Milano, Musée des beaux-arts, Fabbri, .
  35. Musée de Chartres, Le Pacifique : collection Bouge Musée de Chartres, Chartres, Musée de Chartres, .

Voir aussiModifier

BibliographieModifier

  • Musée des beaux-arts (Chartres). Éditeur scientifique, Notice des peintures, dessins, sculptures, antiquités et curiosités qui composent le musée de Chartres (3e édition), Chartres, imprimerie Édouard Garnier, , 172 p. (BNF 40372226), lire en ligne sur Gallica ;
  • P. Bellier de La Chavignerie, Notice des peintures, dessins, sculptures, antiquités et curiosités exposés dans le musée de Chartres. 4e édition, Chartres, impr. de Garnier, , 212 p. (BNF 30080668, lire en ligne) ;
  • Marie Truffreau-Libre, Bulletin « La céramique commune gallo-romaine du musée de Chartres », Chartres, Société archéologique d'Eure-et-Loir, , 56 p. (ISSN 0222-8955), lire en ligne sur Gallica ;
  • Maïthé Vallès-Bled (dir.), catalogue du musée des Beaux-Arts de Chartres, 1991[réf. nécessaire] ;
  • Maïthé Vallès-Bled et Claude Stéfani, Guide du Musée, Chartres, Musée de Chartres, , 157 p. (ISBN 2-902549-08-3).

Articles connexesModifier

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Liens externesModifier

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