Musée Artizon

musée d'art à Tokyo

Le musée d'art Bridgestone (ブリヂストン美術館, Burijisuton Bijitsukan?) se trouve à Tokyo au Japon[1]. Il a été fermé en mai 2015 pour reconstruction de l'immeuble, Son nom a été changé en Musée Artizon (アーティゾンミュージアム). « Artizon » est un mot inventé combinant «art » et « horizon », avec pour objectif de faire ressentir aux gens l’horizon de l’art traversant les époques. Le musée a rouvert le 23 juin 2020.

Le Musée Artizon bénéficie d'importantes modifications, notamment en ce qui concerne les expositions et l'éducation, outre la rénovation du bâtiment et des installations. La collection de 3 200 œuvres s’étend de l'impressionnisme à la peinture abstraite, à la peinture japonaise de style occidental et aux antiquités japonaises.

Le musée d’art Artizon est situé dans la partie inférieure de la « Museum Tower Kyobashi », bâtiment de 23 étages. La salle d’exposition est située sur trois étages, du 4e au 6e étages, pour une superficie environ deux fois supérieure à celle de l’ancien musée, avec un éclairage et une climatisation modernes.

Musée Artizon
Entrée du musée d’Art.
Informations générales
Type
Ouverture
Gestionnaire
Ishibashi Foundation (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Bâtiment
Architecte
Localisation
Localisation
104-0031 Kyōbashi
 Japon
Coordonnées
Carte

Le musée a été fondé en 1952 par le fondateur de la Bridgestone Tire Co., Shōjirō Ishibashi (1889-1976) (Son nom de famille signifie « pont de pierre »)[2]qui avait ouvert un musée au 2e étage du bâtiment Bridgestone, construit en 1952 à Kyobashi, Tokyo, et y avait exposé sa collection. En 1956, la fondation Ishibashi a été créée pour développer le musée en tant qu’entreprise permanente.

Sélection d'artistes représentés modifier

Sélection d’œuvres exposées modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

  1. Nussbaum, Louis-Frédéric. (2005). "Museums" in Japan Encyclopedia, pp. 671-673.
  2. (en) Michael Dunn, Bridgestone museum celebrates 50th anniversary, The Japan Times, Ltd, (lire en ligne)
  3. (en) Yuhei Wada, Why is it Masterwork?, The Japan Times, Ltd, (lire en ligne)