Morschwiller-le-Bas

commune française du département du Haut-Rhin

Morschwiller-le-Bas
Morschwiller-le-Bas
La mairie.
Blason de Morschwiller-le-Bas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Haut-Rhin
Arrondissement Mulhouse
Intercommunalité Mulhouse Alsace Agglomération
Maire
Mandat
Josiane Mehlen
2020-2026
Code postal 68790
Code commune 68218
Démographie
Gentilé Morschwillerois
Population
municipale
3 642 hab. (2021 en diminution de 0,68 % par rapport à 2015)
Densité 482 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 12″ nord, 7° 16′ 16″ est
Altitude Min. 248 m
Max. 311 m
Superficie 7,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Mulhouse
(banlieue)
Aire d'attraction Mulhouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Kingersheim
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Morschwiller-le-Bas
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Morschwiller-le-Bas

Morschwiller-le-Bas est une commune de la banlieue de Mulhouse[1], limitrophe du quartier de Dornach, un des principaux quartiers bourgeois de la ville-centre. Elle est située dans le département du Haut-Rhin, dans la région Grand Est et se rattache à la région historique et culturelle d'Alsace. La commune est membre de Mulhouse Alsace Agglomération et fait partie des 20 communes de l'agglomération mulhousienne[2] ayant l'obligation de mettre en place une ZFE-m avant le 31 décembre 2024[3].

Ses habitants sont appelés les Morschwillerois et les Morschwilleroises.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Morschwiller-le-Bas
Reiningue Lutterbach Mulhouse quartier de Dornach
Heimsbrunn   Mulhouse quartier de Dornach
Hochstatt Hochstatt Didenheim

Géographie modifier

La commune de Morschwiller-le-Bas est limitrophe de la ville de Mulhouse et des communes de Didenheim, Heimsbrunn, Hochstatt, Lutterbach et Reiningue.

Le village est traversé par le ruisseau Steinbächlein (ou Steinbaechel), un bras secondaire de la Doller qui alimentait autrefois l'usine Hofer de blanchisserie et d’impression textile, et par son affluent le Markrübe, un ried qui draine les eaux des plateaux du Rohrberg et du Lechenberg qui surplombent la commune.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 668 mm, avec 8,9 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,5 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Morschwiller-le-Bas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mulhouse, une agglomération intra-départementale regroupant 20 communes[14] et 246 692 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mulhouse dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 132 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,8 %), zones urbanisées (16,8 %), forêts (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire modifier

Les premières traces d'occupation humaine sur le ban communal datent du mésolithique (- 8500). Vers - 3100, une communauté d'agriculteurs se sédentarise sur le site. Ils ont laissé un alignement de pierre de 15 m de long par 5 m de large dans une orientation Est-Ouest qui pourraient être une sépulture collective[20].

En 735, le comte Eberhard, duc d'Alsace fait don de terres au monastère de Murbach. Au début du Moyen Âge, la localité fait partie des terres des comtes d'Eguisheim, successeurs des ducs d'Alsace[21]. En 1324, le village devient une possession des Habsbourg, à la suite du mariage de la dernière héritière de Ferrette. En 1361, les Habsbourg l'inféodent aux de Dornach puis aux « Zu Rhein » en 1438. Au XVe siècle, la seigneurie d'Altkirch érige Morschwiller-le Bas en mairie, et Louis XIV[Quoi ?] cède aux Reinach les 3/4 du village.

Les Anglais incendient le village en 1376, puis les Armagnacs sévissent à leur tour en 1444. Vingt-trois ans plus tard, c'est les Suisses qui endommagent le village. Le village est incendié à deux reprises en 1629 et 1631, et ne compte plus que 7 familles en 1648. En 1700, Véréna, épouse de Hertrich Zu Rhein hérite de la localité et ajoute à son nom « de Morschwiller ».

Morschwiller-le-Bas est intégré au canton de Brunstatt entre 1790 et 1795, puis est intégré au canton de Lutterbach entre 1795 et 1802, au canton de Mulhouse entre 1802 et 1861 et est finalement rattaché au canton Mulhouse-sud depuis 1861. Durant la guerre de 14-18, la population est évacuée vers 38 localités du nord de l'Alsace et en Pays de Bade, pour cause de bombardements. La commune est décorée le de la croix de guerre 1914-1918[22]. En 1945, une partie de la population est de nouveau évacuée. L'église est fortement endommagée.

Héraldique modifier


Les armes de Morschwiller-le-Bas se blasonnent ainsi :
« Parti, au premier d'azur à la fasce d'or accompagné de trois étoiles à cinq rais d'argent, au second d'argent au lion rampant de sinople lampassé de gueules. »[24]

Les armoiries de la commune ont été approuvées par le Conseil municipal le .

En langage courant, le blasonnement indique un écu divisé verticalement en deux parties égales. La partie de gauche en regardant l’écu possède un fond bleu (azur) sur lequel est posée une fasce jaune (or), de part et d’autre de ce meuble sont placées des étoiles à cinq rais blanches (argent), deux au-dessus, une en dessous, la partie droite étant garnie par un lion de couleur verte sur fond argent.

La composition des nouvelles armoiries est inspirée de celles des seigneurs qui ont possédé le village avant la Révolution :

  • à droite de l’écu : les armoiries de la famille Zu Rhein (lion), qui succédèrent à la famille de Dornach et furent propriétaires d’une partie du village ;
  • à gauche, les armoiries des de Bergeret (étoiles) qui ont détenu une autre partie du village de 1730 à 1789. Les armoiries de cette famille se trouvent d’ailleurs sur une pierre-borne du ban.

Avant 1979, les armoiries (non officielles) de Morschwiller-le-Bas ne représentaient que les armes de la famille de Bergeret. Or la commune de Richwiller, qui a également appartenu aux de Bergeret[25],[26], a en premier adopté officiellement les armes de cette famille. Deux communes ne pouvant avoir les mêmes armoiries, le Conseil municipal a définitivement opté pour la composition décrite ci-dessus.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Charles Umhauer    
Auguste Kirchhoff    
Edmond Bauer    
Édouard Schneider    
Joseph Wurth    
Jean-Paul Wurth[27] PS Professeur de collège, maire honoraire
Conseiller général de Mulhouse-Sud (1988 → 1994)
Vice-président de la CA Mulhouse Sud-Alsace (1997 → 2008)
Suppléant du député Jean-Marie Bockel (1988 → 1993)
Fils du précédent
En cours
(au 31 mai 2020)
Josiane Mehlen-Vetter[28]
Réélue pour le mandat 2020-2026
UDI Professeure de sciences et techniques économiques
Conseillère départementale de Kingersheim (2015 → 2021)
2e vice-présidente du conseil départemental (2017 → 2021)
Vice-présidente de Mulhouse Alsace Agglomération (2014 → )

Budget et fiscalité 2015 modifier

En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[29] :

  • total des produits de fonctionnement : 2 257 000 , soit 624  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 1 982 000 , soit 548  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 542 000 , soit 150  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 477 000 , soit 132  par habitant ;
  • endettement : 2 155 000 , soit 596  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 10,53 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,77 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 59,45 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 3 642 habitants[Note 4], en diminution de 0,68 % par rapport à 2015 (Haut-Rhin : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7347088631 0451 3341 4111 4281 2421 658
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 8232 0562 1972 1742 0921 9681 9931 9971 929
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9762 2382 3091 6922 0802 0921 9771 8461 944
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 9101 9202 1222 2062 4452 6062 8043 0393 432
2015 2020 2021 - - - - - -
3 6673 6483 642------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Accès et transports modifier

La commune est desservie par l’échangeur routier sur la rocade ouest de Mulhouse (D 68) qui permet de rejoindre l'autoroute A36. La commune est traversée d'ouest en est par la D 166.

La localité est reliée au réseau de bus de l'agglomération de Mulhouse exploité par l'entreprise Soléa. En semaine, la ligne 13 traverse la commune d'ouest en est et permet de rejoindre l’hôpital Émile Muller (Station Émile Muller Mulhouse). Les dimanches, jours fériés et soirées, un service de taxis desservant les mêmes arrêts que le bus no 13 permet d'assurer la continuité du trafic.

Le village compte les arrêts de bus suivants : Campanule(Terminus de la ligne 13), Oberdorf (quartier du haut du village), Cure qui dessert le centre du village, Pèlerins (domaine du Kirchberg), Hofer qui dessert le quartier (cité Hofer), Source qui dessert la zone commerciale de Morschwiller-le-Bas, et Collines IKEA, situé sur la ligne de bus no C6, qui dessert IKEA et la Zac du Parc des Collines.

Lieux et monuments modifier

La commune de Morschwiller-le-Bas possède une église néo-gothique réalisée sous la maîtrise d'œuvre de Charles Winkler[34] avec un orgue[35]. Elle a été construite en 1877 et son nom est Saint-Ulrich[36].

Ancien château des Zu Rhein[37] : château reconstruit en 1726 à l'emplacement d'un ancien château par François Joseph Conrad Zu Rhein ; armoiries au-dessus de la porte martelées pendant la Révolution ; château acheté en 1860 par Albert Tachard (avocat parisien) qui aurait fait ajouter un étage au château et qui a fait construire une ferme modèle Napoléon III en briques polychromes dans l'enclos ; du château, très endommagé pendant la dernière guerre, ne subsistent que des vestiges ; la chapelle funéraire a disparu.

Le monument aux morts[38].

Lieux de cultes modifier

Le culte protestant se célèbre à l'église "La Maison de l'Évangile"[39].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Alfred Giess, peintre et Grand Prix de Rome (1929), qui a donné son nom à l'école primaire communale.
  • Sylvie Blocher, artiste vidéaste.
  • Albert Tachard, avocat parisien né à Mulhouse, qui deviendra propriétaire du château. Donne son nom à l'une des rues du village.
  • Julien Koszul, compositeur et organiste, qui prendra la direction du Conservatoire national de musique de Roubaix.

Bibliographie modifier

Voir aussi modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Communes constituant l'agglomération mulhousienne (Mulhouse + Banlieue) sur le site de l'INSEE
  2. Legifrance - Arrêté du 22 décembre 2021 établissant les listes d'agglomérations de plus de 100 000, 150 000 et 250 000 habitants conformément à l'article R. 221-2 du code de l'environnement et à l'article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales : « Baldersheim, Bollwiller, Brunstatt-Didenheim, Feldkirch, Habsheim, Illzach, Kingersheim, Lutterbach, Morschwiller-le-Bas, Mulhouse, Pfastatt, Pulversheim, Reiningue, Richwiller, Riedisheim, Rixheim, Sausheim, Staffelfelden, Wittelsheim, Wittenheim. »
  3. Legifrance - Article L. 2213-4-1 du code général des collectivités territoriales
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Morschwiller-le-Bas et Mulhouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Mulhouse », sur la commune de Mulhouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Mulhouse », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mulhouse », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Nicols Lehr, « Une structure monumentale du néolithique à Morschwiller le bas », L'alsace,‎ , p. 39
  21. « Village », notice no IA00051575, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
  23. : Tachard, ministre plénipotentiaire
  24. Archives Départementales du Haut-Rhin
  25. « château des Roggenbach », notice no IA00051584, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « Maison aux dîmes ou maison des Roggenbach, dite Maison Robach », notice no IA00051582, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Adrien Lerch, « L'ancien maire Jean-Paul Wurth est décédé », L'Alsace,‎ (lire en ligne)
  28. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  29. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Charles Winkler, le Viollet-le-Duc alsacien ?
  35. Morschwiller-le-Bas, inventaire de l'orgue de St-Ulrich
  36. « Eglise paroissiale Saint-Ulrich », notice no IA00051576, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Château des Zu Rhein », notice no IA00051585, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Monument aux morts
  39. « La Maison de l'Évangile ».