Monty Python : Sacré Graal !

film britannique de Terry Gilliam et Terry Jones et sorti en 1975
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Monty Python : Sacré Graal !
Description de l'image Die Ritter der Kokosnuss Logo.png.
Titre original Monty Python and the Holy Grail
Réalisation Terry Gilliam
Terry Jones
Scénario Monty Python
Acteurs principaux
Pays de production Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni
Genre comédie
Durée 91 minutes
Sortie 1975

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Monty Python : Sacré Graal ! (Monty Python and the Holy Grail) est un film britannique de Terry Gilliam et Terry Jones et sorti en 1975.

Écrit et réalisé par la troupe des Monty Python, cette comédie loufoque a pour thèmes principaux la légende d'Arthur, des Chevaliers de la Table ronde et de la quête du Graal, grandement parodiés.

Intrigue modifier

L'intrigue de Monty Python : Sacré Graal ! relève d'un style assez proche des émissions de télévision à sketches des Monty Python. La majeure partie de l'histoire est racontée sous la forme d'épisodes isolés, reliés uniquement par le thème de la quête du Graal et par les animations de Terry Gilliam.

Le générique du film annonce dès le départ la couleur de ce qui va suivre : les noms des acteurs et de l'équipe technique défilent en même temps qu'une fausse publicité pour la Suède, qui devient de plus en plus intempestive jusqu'à ce qu'un message annonce que les responsables du générique ont été virés ; le générique finit alors dans un style latino-américain flamboyant.

Synopsis modifier

 
Le heaume du Chevalier noir dans le film.
 
Le casque des soldats français dans le film.

L'histoire commence sur les tentatives du roi Arthur de recruter des chevaliers de la Table ronde à travers la Grande-Bretagne. Plusieurs d'entre elles se révèlent vaines (la rencontre du Chevalier noir par exemple, ou celle des paysans anarcho-syndicalistes) mais Arthur est finalement rejoint par Sir Bedevere le Sage, qu'il rencontre au cours du jugement d'une prétendue sorcière.

Suit alors la présentation du reste du groupe qui formera la Table ronde : Sir Lancelot le Courageux, Sir Galahad le Chaste et Sir Robin le « Pas-tout-à-fait-aussi-courageux-que-Sir-Lancelot » (ainsi que le bien nommé « Sir n'apparait-pas-dans-ce-film »[1]). Le groupe chemine d'abord vers Camelot où des chevaliers se livrent à un numéro musical puis, à la suite d'une rencontre avec Dieu, part à la recherche du Graal.

Leurs pérégrinations les amènent près d'un château tenu par des Français prétendant posséder un Graal. À la suite d'une offensive manquée, les chevaliers de la Table ronde construisent un « lapin de Troie » (en référence au cheval de Troie) mais oublient de se cacher à l'intérieur et doivent ainsi renoncer à prendre le château français.

Le groupe décide ensuite de se séparer et l'on suit les aventures individuelles des chevaliers. On assiste ainsi à la rencontre de Robin avec un géant à trois têtes, au passage de Galahad le Chaste dans le château d'Anthrax, peuplé exclusivement de jeunes filles de 16 à 19 ans et demi, au face-à-face d'Arthur et Bedevere contre les Chevaliers qui disent « Ni ! » (d'abord, puis « Ekke Ekke Ekke Ekke Ptangya Ziiinnggggggg Ni[2] ! », ensuite) et à l'irruption de Lancelot dans une noce pour secourir un jeune homme marié de force par son père, en pensant qu'il s'agissait d'une demoiselle.

À nouveau réunis, les chevaliers font la rencontre de Tim l'enchanteur, qui les mène à la grotte de Caerbannog, gardée par un terrible lapin tueur[3]. Après de lourdes pertes, et s'étant finalement débarrassés du lapin grâce à la Sainte Grenade d'Antioche, les chevaliers sont poursuivis par un monstre et finissent par atteindre le Pont de la Mort, qu'ils ne peuvent traverser qu'après avoir répondu à trois questions du vieil homme qui le garde.

Avec plus ou moins de succès, les chevaliers passent le pont pour se retrouver près d'un château tenu par les Français du début du film, qui possèdent effectivement le Graal. Alors qu'Arthur s'apprête à donner l'assaut à l'aide d'une armée surgie de nulle part, des policiers anglais surgissent à l'écran et arrêtent les chevaliers, pour le meurtre d'un historien survenu plus tôt dans le film. Le film prend alors fin brusquement, après qu'un policier a bousculé le cadreur.

Fiche technique modifier

Distribution modifier

  • Graham Chapman (VQ : Daniel Picard) : le roi Arthur / la voix de Dieu / la tête du milieu du chevalier à trois têtes / le garde du château des marais qui a le hoquet
  • John Cleese (VQ : Marc Bellier) : Lancelot / un garde du premier château / l'homme transportant le « mort » qui continue de parler / le Chevalier noir / un paysan chasseur de sorcières / le principal chevalier français / un chevalier chanteur de Camelot / Tim l'enchanteur
  • Eric Idle (VQ : Jacques Lavallée) : Robin / le collecteur de morts / un paysan chasseur de sorcières / un chevalier chanteur de Camelot / le garde du château des marais bavard / Concorde, l'écuyer de Lancelot / Roger le bosqueteur / Frère Meynard
  • Terry Gilliam (VQ : Benoît Rousseau) : Patsy, l'écuyer d'Arthur / le Chevalier vert / un chevalier chanteur de Camelot / la main de gorille / le vieil homme de la scène 24 / Bors / le dessinateur
  • Terry Jones (VQ : Daniel Lesourd) : Bedevere / la mère de Dennis / un chevalier français / la tête gauche du chevalier à trois têtes / le scribe des enluminures / le prince Herbert
  • Michael Palin (VQ : Gilbert Lachance) : Galahad / un garde du premier château / Dennis / un paysan chasseur de sorcières / le narrateur / un chevalier chanteur de Camelot / un chevalier français / la tête droite du chevalier à trois têtes / le chef des Chevaliers qui disent « Ni ! » / le roi du château des marais / un invité du château des marais / le disciple de Frère Meynard
  • Connie Booth : la « sorcière »
  • Carol Cleveland : Zoot / Dingo
  • Neil Innes : le principal ménestrel de Robin / le principal moine chantant / un paysan chasseur de sorcières / un chevalier chanteur de Camelot / un chevalier français / l'écuyer écrasé par le lapin de Troie
  • Bee Duffell : la vieille femme au chat
  • John Young (en) : Frank, l'historien célèbre / le « mort » qui continue de parler
  • Rita Davies : la femme de Frank
  • Avril Stewart : le docteur Piglet
  • Sally Kinghorn : le docteur Winston
  • Mark Zycon : Robin (doublure) / un prisonnier dans les cachots de Camelot
  • Sandy Johnson : un Chevalier qui dit « Ni ! » / un paysan chasseur de sorcières / un musicien au mariage / un moine / un chevalier lors de la bataille finale

Et, parmi les acteurs non crédités :

  • Iain Banks : un chevalier lors de la bataille finale
  • Julian Doyle : le policier qui arrête le tournage du film
  • Charles Knode : un gardien du camp / un ménestrel de Robin
  • Richard Burton : le Chevalier noir lorsqu'il n'a plus qu'une jambe (doublure)

Production modifier

Scénario modifier

Dans le documentaire Monty Python, toute la vérité ou presque, Eric Idle affirme que l'idée d'utiliser des noix de coco pour imiter le bruit des sabots est présente dans le premier jet du scénario.

Tournage modifier

Le château de Doune, utilisé dans plusieurs scènes du film.
Le château de Stalker, le lieu de la scène finale.

Le film a été tourné en grande partie en Écosse, et notamment au château de Doune pour les intérieurs de Camelot, le château d'Anthrax, le château des Français et le château des marais, et au château de Stalker pour le château de Aaaaarrrrrrggghhh.

Par ailleurs, d'après eux, les Monty Python ont fait appel à différents groupes de rock pour produire leur film. Pink Floyd, Genesis, Jethro Tull et Led Zeppelin ont répondu à l'appel et participé à la production du long métrage, en acceptant de n'intervenir à aucun moment dans le projet afin que la troupe conserve une liberté artistique totale[4].

Ce qui est singulier chez les Monty Python c'est que les acteurs jouent plusieurs rôles, par exemple John Cleese qui joue le rôle de Lancelot est également le Chevalier noir, le chevalier français, Tim l'enchanteur et un paysan.

Les deux réalisateurs se sont inspirés des films de Pier Paolo Pasolini, afin de rendre les séquences réalistes. Terry Gilliam a déclaré : « Terry Jones et moi étions fans des films de Pasolini, les images en sont tellement réalistes qu'on a l'impression de sentir les odeurs et de pouvoir toucher les matières qu'on voit à l'écran ». Ainsi, les deux hommes ont voulu retranscrire ce réalisme ; on retrouve cette volonté dans les premières minutes du film avec la séquence du collecteur des morts.

Accueil modifier

Sortie modifier

À sa sortie en France (distribuée par Yves Robert), le film avait pour slogan : « Le film à côté duquel Ben-Hur ressemble à un documentaire ». Ce sous-titre a été repris et adapté pour le film H2G2 : Le Guide du voyageur galactique tiré de l'œuvre de Douglas Adams, Le Guide du voyageur galactique.

Lors de la projection du film au festival de Cannes, une alerte à la bombe survint pendant le générique et força à évacuer la salle. Nombre de spectateurs pensèrent qu'il s'agissait d'un canular faisant partie de la projection[5].

Critique modifier

Sur le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes, Monty Python : Sacré Graal ! recueille un score de 97 % d'opinions favorables, sur la base de 78 critiques collectées et une note moyenne de 8,5/10 ; le consensus du site indique : « Un classique culte aussi terriblement hilarant que ridicule, [Monty Python : Sacré Graal !] n'a rien perdu de son charme extrêmement idiot »[6]. Sur Metacritic, le film obtient une note moyenne pondérée de 91 sur 100, sur la base de 24 critiques collectées ; le consensus du site indique : « Acclamation générale » (« Universal Acclaim »)[7].

Box-office modifier

Le film a rapporté 5 028 948 $ au box-office mondial, dont 3 427 696 aux États-Unis[8]. En France, il a réalisé 1 968 728 entrées[9].

Distinctions modifier

Le film a été nommé au Prix Hugo (catégorie Best Dramatic Presentation) en 1976[10]. En 2008, le magazine Empire le classe à la 381e place dans sa liste des 500 meilleurs films de tous les temps[11]. Il figure dans le Top 250 du classement des meilleurs films de l'Internet Movie Database, fondé sur les votes du public, avec une note moyenne de 8,4/10[12]. En , le film figure en 5e position d'un classement des 100 meilleurs films comiques publié par Time Out London[13].

Autour du film modifier

Citation modifier

La scène de l'ordalie constitue un bon exemple de l'humour absurde typique de ce film, en employant un pseudo-raisonnement analogique ayant l'apparence de reprendre celui du test du canard[14],[15],[16],[17].

Il s'agit de vérifier si une sorcière présumée pèse autant qu'un canard, au motif qu'une sorcière brûle, que le bois brûle également, qu'il flotte, qu'un canard flotte également et que « donc logiquement si [une personne] a le poids d'un canard, elle est en bois et par conséquent une sorcière » :

« — What do you do with witches?
— Burn them!
— And what do you burn apart from witches?
— Wood!
— So, why do witches burn?
— 'cos they're made of wood?
— So; how do we tell if she is made of wood?
— Build a bridge out of 'er!
— Ah, but can you not also make bridges out of stone?
— Oh yeah.
— Does wood sink in water?
— No, it floats! It floats! Throw her into the pond!
— What also floats in water?
— Bread!
— Apples!
— Very small rocks? Cider! Gra-Gravy! Cherries! Mud!
— Churches? Churches!
— Lead, Lead.
— A Duck!
— Exactly. So, logically... If she weighs the same as a duck, she's made of wood... and therefore... a witch!
 »

« — Que faites-vous avec les sorcières ?
— On les brûle !
— Et que brûlez-vous à part les sorcières ?
— Du bois !
— Alors, pourquoi les sorcières brûlent-elles ?
— Parce qu'elles sont en bois ?
— Et comment savoir si elle est en bois ?
— En en faisant un pont !
— Ah, mais ne fait-on pas aussi des ponts en pierre ?
— Ah ouais.
— Est-ce que le bois coule au fond de l'eau ?
— Non, il flotte ! Il flotte ! Jetez-la dans l'étang !
— Y a-t-il autre chose qui flotte sur l'eau ?
— Du pain !
— Des pommes !
— Des ... des petits cailloux ? Du cidre. Des cerises ! De la boue !
— Des églises ? Des églises !
— Du plomb, du plomb.
— Un canard !
— Exactement. Donc, logiquement ... Si elle a le poids d'un canard, elle est en bois ... et par conséquent ... une sorcière ! »

Dans la culture populaire modifier

Littérature modifier

  • Dans le roman Player One, ce film est le préféré du créateur de l'OASIS, et le héros doit reproduire les scènes du film pour finir la quête principale.

Cinéma modifier

Télévision modifier

Jeux vidéo modifier

  • Dans Worms, la Sainte Grenade (Holy Grenade) est utilisée depuis ses débuts comme une arme redoutable.
  • Dans Guild Wars, un boss a pour nom la « Bête Noire de Aaaaarrrrrrggghhh ». Par ailleurs, un lapin assassin peut être invoqué à partir d'une pierre d'invocation mystérieuse.
  • Dans le jeu Guild Wars 2, l'utilisation de vaches en tant que projectiles de trébuchets s'inspire de l'une des scènes du film. Par ailleurs, dans l'un des donjons, un ennemi est un lapin qui peut tuer le joueur en un coup.
  • Dans Fallout 2, lors d'une rencontre aléatoire il est possible de croiser un homme gardant un pont au-dessus d'un précipice, qui ne permet le passage au héros que s'il répond correctement à trois questions. Les deux premières questions du gardien sont les mêmes que celles du vieil homme du film. Par ailleurs, lors d'une autre rencontre aléatoire, le héros rencontre les chevaliers de la Table ronde à la recherche de la Sainte Grenade d'Antioche.
  • Dans Dofus, on peut rencontrer un homme appelé le Gardien du Pont de la Mort, qui ne permet le passage au héros que s'il répond correctement à trois questions, la dernière (permettant de le vaincre) étant similaire à celle du film. Dans la quête « Allumer le feu », il faut combattre un lapin sanguinaire devant sa grotte.
  • Dans Minecraft, le plug-in Essentials donne accès à la commande /antioch qui permet de faire apparaître une « Sainte Grenade Sacrée » à quelques mètres du personnage. Par ailleurs, une espèce de lapin blanc nommée « Lapin tueur de Caerbannog » est hostile au joueur.
  • Dans World of Warcraft, on peut rencontrer le lapin tueur à l'entrée d'une caverne, sa principale attaque consistant à attaquer le cou de ses adversaires.
  • Dans Battle Chess, une animation inspirée du film (le combat contre le Chevalier noir) apparaît quand deux cavaliers se combattent.
  • Dans SMITE, un des skins du dieu nordique Týr est inspiré du roi Arthur, avec l'expression « Tis but only a flesh wound ».
  • Dans Warcraft III: Reign of Chaos, les chevaliers (unités humaines) disent au bout de plusieurs clics « Je n'ai pas dit "Ni" ! »
  • Dans Scribblenauts Unlimited, le joueur peut invoquer un chevalier noir qui perdra un de ses membres à chaque coup subi.
  • Dans Overwatch (en version anglaise), le personnage de Brigitte peut utiliser la réplique « It's just a flesh wound ».
  • Dans Les Aventures de Sherlock Holmes : La Nuit des sacrifiés, l'extrait d'un livre trouvé dans la maison d'Arneson se termine par cette phrase tronquée : « Une autre histoire tout aussi troublante nous vient de la lande britannique où un lapin blanc »

Web-séries modifier

  • Dans l'épisode « RPG 3 » de le web-série Le Joueur du Grenier, les héros tentent d'entrer dans le château de Fougères mais sont bloqués par un elfe en haut de la muraille qui se moque d'eux, parodiant la scène du soldat français de Sacré Graal !. Il est vaincu par un lapin.
  • Dans la saga MP3 Reflets d'acide, les héros doivent explorer le Gouffre de AAAAAAAAAHHHHHHHHH[18].

Jeu de société modifier

  • Dans Zombicide - Black Plague (dans l'extension « Horde box »), le lapin est présent en tant que figurine sous le nom « Abominabunny ».

Autres modifier

  • Le personnage du lapin tueur a été repris par la presse américaine lorsque le président Carter fut attaqué par un lapin.
  • La marionnette du terroriste « Achmed » du ventriloque Jeff Dunham évoque son état squelettique et sa mort, la minimisant grâce à l'expression « It's a flesh wound » (« c'est une égratignure »)[19], reprise de celle du Chevalier noir du film.

Notes et références modifier

  1. (en) « William Palin, Sir n'apparait-pas-dans-ce-film, sur Imdb »
  2. Script présent sur le supplément de l'édition collector du DVD.
  3. Aussi connu comme le Vorpal Rabbit.
  4. (en) Steve Johnson, « Cue the coconuts: 'Holy Grail' gallops on », Chicago Tribune, (consulté le )
  5. Commentaire des acteurs dans le DVD du film.
  6. (en) « Monty Python and the Holy Grail (1975) », sur Rotten Tomatoes (consulté le ).
  7. (en) « Monty Python and the Holy Grail (1975) », sur Metacritic (consulté le ).
  8. (en) « Monty Python and the Holy Grail », The Numbers (consulté le )
  9. « Monty Python : Sacré Graal ! », JP's Box-Office (consulté le )
  10. (en) « 1976 Hugo Awards », Locus Magazine (consulté le )
  11. (en) « The 500 Greatest Movies of All Time », Empire (consulté le )
  12. « Monty Python : Sacré Graal ! », Internet Movie Database (consulté le )
  13. Est-ce les 100 meilleurs films d’humour?
  14. (en) Tomasz Dobrogoszcz, Nobody Expects the Spanish Inquisition: Cultural Contexts in Monty Python, Londres, Rowman & Littlefield, (lire en ligne), p. 66.
  15. (en) Geoff Surratt, Ten Stupid Things That Keep Churches from Growing: How Leaders Can Overcome Costly Mistakes, Grand Rapids, Zondervan, (lire en ligne), p. 98.
  16. (en) Kevin J. Harty, The Holy Grail on Film: Essays on the Cinematic Quest, Jefferson, McFarland, (lire en ligne), p. 89.
  17. (en) Christina Berti, « Monty Python and the Search for Construct Validity », sur Medium, .
  18. Neamar, « Liste des références de l'épisode 2 – Reflets d'Acide », sur neamar.fr (consulté le )
  19. (en) « Some of the Best of Achmed | JEFF DUNHAM » [vidéo], sur youtube.com, chaîne YouTube de Jeff Dunham, 24 juillet 2020 (mise en ligne)

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

  • Justine Breton, Monty Python. Sacré Graal ! de Terry Gilliam et Terry Jones, coll. « Contrechamps », éditions Vendémiaire, Paris, 2021, 144 p. (ISBN 2363583639)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier