Montussan

commune française du département de la Gironde

Montussan
Montussan
La mairie.
Blason de Montussan
Blason
Montussan
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes Les Rives de la Laurence
Maire
Mandat
Frédéric Dupic
2020-2026
Code postal 33450
Code commune 33293
Démographie
Population
municipale
3 451 hab. (2021 en augmentation de 11,07 % par rapport à 2015)
Densité 416 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 57″ nord, 0° 25′ 38″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 88 m
Superficie 8,3 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lormont
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Montussan
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Montussan
Liens
Site web www.montussan.fr/

Montussan est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Localisation modifier

Située dans le nord de l'Entre-deux-Mers, Montussan est une commune de l'aire d'attraction de Bordeaux et de l'unité urbaine de Bordeaux. Elle est bordée à l'est par la Laurence, un ruisseau affluent de la Dordogne.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Saint-Loubès, Pompignac, Beychac-et-Caillau, Saint-Sulpice-et-Cameyrac et Yvrac.

Sur la carte Cassini no 104 à l'échelle 1/864000 (une ligne pour 100 toises) relevée entre 1766 et 1769 par Luc et Louis Capitaine figure un lieu-dit nommé Fourton qui correspond au lieu-dit actuel Orton.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 880 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gervais à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Montussan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[11] et 1 008 509 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (45,5 %), zones urbanisées (38,6 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), forêts (4,9 %), prairies (4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports modifier

La ville est desservie par la Route nationale 89 qui relie Bordeaux à Libourne.

Deux lignes de cars régionaux de Nouvelle-Aquitaine traversent Montussan : la 302 qui relie Lormont à Libourne par la RN89, et la ligne 303 qui relie Lormont à Beychac-et-Caillau.

Autrefois Montussan était desservie par la Compagnie des Tramways de Bordeaux à Beychac-et-Cailleau[17],[18]. La gare était située devant le Café et hôtel du commerce (actuelle pizzeria Salentina).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Montussan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999, 2009, 2013 et 2021[21],[19].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[22]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montussan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 178 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 178 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1996, 2002, 2003, 2005, 2012, 2015 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Histoire modifier

La paroisse de Montussan ne fut aliénée que le . Mlle de Binet[25], veuve de François-Raymond de Brach (arrière petit-fils de Pierre de Brach), chevalier de l'ordre royal de Saint-Louis, lieutenant de la compagnie des grenadiers à cheval du roi et maître de camp de cavalerie, présenta un placet au roi, dans lequel elle disait qu'en qualité de mère et tutrice de son fils unique, elle possédait un fief considérable appelé La Motte Montussan[26]. Celui-ci se situait dans la prévôté royale de l'Entre-deux-Mers, et comprenait une partie notable de la paroisse de Montussan, où le roi n'avait que la justice, qui ne lui donnait aucun revenu. Elle demandait en conséquence, à Sa Majesté, de lui faire don de la haute, moyenne et basse justice de cette paroisse, et de l'unir au fief de La Motte Montussan. Elle faisait valoir à l'appui de sa requête, les services de son mari pendant près de quarante ans ; elle ajoutait que son fils avait perdu un de ses oncles, capitaine dans la maison du roi, et qu'il avait deux autres oncles chevaliers de Saint-Louis, l'un gouverneur de l'île Saint-Louis, et l'autre lieutenant de vaisseau. Le roi lui accorda sa demande.

Le suivant, Sébastien du Réau, conseiller du roi en la cour des aides de « Guienne », présenta une requête dans laquelle il disait que la prévôté royale d'Entre-deux-Mers était inaliénable ; que la dame de Brach n'avait demandé la justice que, sans doute, pour fatiguer les habitants de la paroisse de Montussan et que, comme il y possédait des domaines considérables, il priait le parlement de s'opposer à l'entérinement des lettres royaux du don de justice. Il est probable que le parlement passa outre[27].

Peyron Peiron serait le nom du premier maire de Montussan, à la Révolution; il dérive sans doute du prénom occitan "Pèir" (prononcer "Pèï") ou "Pèire" ("Pierre" en français).

Héraldique modifier

Les armes de Montussan se blasonnent ainsi :

Parti d’or et de gueules, au premier à un cheval et son cavalier sur une terrasse isolée, le tout de sable, brochant sur une plume d’argent posée en pal, au deuxième à trois grappes de raisin rangées en pal et posées en barre, celle du centre d’or les deux autres de pourpre ; au pal haussé orangé couvert d’une voie pavée du même brochant sur la partition[28],[29].

Signification du blason modifier

La partie gauche montre un écuyer et une plume qui représentent le poète Pierre de Brach, sieur de la Motte-Montussan. La partie de droite arbore des grappes pour évoquer l'activité viticole. Enfin, la bande centrale représente l'ancienne voie romaine qui reliait Bordeaux à Vésone (Périgueux antique).

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Montussan appartient à l'arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015, la commune est transférée du canton de Cenon au canton de Lormont remodelés[30],[31].

Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Alain David (PS).

Intercommunalité modifier

Depuis 2000, Montussan fait partie de la communauté de communes du Secteur de Saint-Loubès.

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 2 500 et 3 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 23[32].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Pierre Barbaron[33]   Ancien haut fonctionnaire
Christian Brac SE Comptable retraité
Réélu en 1989 et 1995
Claude Arnathau[34] SE Retraité de la fonction publique
Réélu en 2008
En cours Frédéric Dupic PS Technicien territorial
4e vice-président de la Communauté de communes Les rives de la Laurence (2014 → 2020), Président (depuis 2020)
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 3 451 habitants[Note 3], en augmentation de 11,07 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
589505549505625609627618628
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
590639642655611566609622658
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
669683611627646692737732829
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
9911 0241 2331 7271 9032 2072 5262 5772 643
2014 2019 2021 - - - - - -
3 0723 3643 451------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments modifier

 
L'église Saint-Martin.

Les châteaux modifier

Le château Fonchereau dépendait en tant que maison noble du Château Lamothe[26], au même titre que l'étaient les châteaux environnants de La Moune, Puymiran et Taillefer. Il appartint dans la première partie du XVIIe siècle à messire Gilles de Geneste, président du Parlement de Bordeaux. Il fut acquis en 1647 par Jean Talartry, trésorier des Finances de Guyenne. Il fut successivement la propriété du chevalier François de Cursol en 1719 puis de Dame de Guimps, cousine de Montaigne. Il demeura la propriété de la famille de Guimps jusqu'en 1863[39]. La propriété fut ensuite acquise par M. Thibaud à la fin du XIXe siècle puis vendue à Mme Nelly Postry en 1940. Durant la Seconde Guerre mondiale, il a hébergé plusieurs activités de résistance, notamment un émetteur radio clandestin, dans le cadre du réseau Jade-Amicol. Le château est aujourd'hui, depuis , la propriété d'Alfredo Ruiz Sanchez et d'une famille amie[40].

L'église Saint-Martin modifier

L'église Saint-Martin de Montussan abrite une cloche datant de 1741, classée monument historique au titre objet[41].

Montussan autrefois modifier

Vie locale modifier

Un club de football américain nommé « Crocodiles de Montussan »[42] a été constitué en avec une section flag football ; une extension au football américain est prévue.

Personnalités liées à la commune modifier

Jumelage modifier

  San Vicente de la Sonsierra (Espagne) depuis 1990[43].

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Montussan et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Orthographe de l'époque.
  18. « Bulletin des lois de la République française »  , sur Gallica, (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Montussan », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  23. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Montussan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. Marie-Louise Binet épousa en janvier 1707 François Raymond de Brach, seigneur de la Motte-Montussan. Ils eurent un fils, François Élie, qui épousa le 19 septembre 1734 sa cousine germaine Marie Élisabeth Cécile Binet.
  26. a et b Le château Lamothe à Saint-Sulpice-et-Cameyrac, construit au XIVe siècle puis détruit, reconstruit et fortifié aux XVIe et XVIIe siècles, agrandi au XIXe siècle.
  27. Archives de M. le baron Jules de Gères. - Arch. hist. de la Gironde. Extrait du livre de Léo Drouyn, Essai Historique sur l'Entre-deux-mers
  28. GASO - Banque du blason - 33293.
  29. Historique de Montussan sur le site officiel de la commune
  30. Décret no 2014-192 du 20 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Gironde sur le site de Légifrance
  31. Carte des cantons et communes de la Gironde avant et après le redécoupage de 2014 sur le site du Conseil départemental de la Gironde
  32. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  33. « Montussan : Pierre Barbaron n'est plus », Sud Ouest,‎ , p. 13.
  34. Fiche de Montussan sur le site de l'AMF (consulté le 19 février 2013)
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. La vie au château Fonchereau peu avant la Révolution française a fait l'objet d'une recherche universitaire très approfondie par Mlle Carole Rathier (de l'université de Bordeaux III) qui a étudié la correspondance reçue par Mme de Cursol de sa mère Mme Duplessy, entre 1768 et 1782, soit 756 lettres.
  40. Source Journal Sud-Ouest
  41. « Classement de la cloche de l'église », notice no PM33000603, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. Site internet des Crocodiles de Montussan
  43. Jumelage sur le site officiel de la commune, consulté le 19 février 2013.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Œuvres poétiques de Pierre de Brach, sieur de la Motte Montussan, publiées et annotées par Reinhold Dezeimeris, Pub info Paris, A. Aubry, 1861-62

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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