Montesquieu-Volvestre

commune française du département de la Haute-Garonne
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Montesquieu-Volvestre
Montesquieu-Volvestre
Vue générale en 2008.
Blason de Montesquieu-Volvestre
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Communauté de communes du Volvestre
Maire
Mandat
Frédéric Bienvenu
2020-2026
Code postal 31310
Code commune 31375
Démographie
Gentilé Montesquiviens, Montesquiviennes
Population
municipale
3 096 hab. (2021 en augmentation de 0,52 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 31″ nord, 1° 13′ 50″ est
Altitude Min. 208 m
Max. 523 m
Superficie 59,82 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Montesquieu-Volvestre
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auterive
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Montesquieu-Volvestre
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Montesquieu-Volvestre
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Montesquieu-Volvestre
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Montesquieu-Volvestre
Liens
Site web Site officiel

Montesquieu-Volvestre (occitan : Montesquiu de Volvèstre) est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arize, le ruisseau de l'Argain, le ruisseau de Lazaou, le ruisseau de Bonis, le ruisseau de la Baraque, le ruisseau de Latour et par divers autres petits cours d'eau. le ruisseau de ParisLa commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Montesquieu-Volvestre est une commune rurale qui compte 3 096 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle appartient à l'unité urbaine de Montesquieu-Volvestre et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Montesquiviens ou Montesquiviennes.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : le château de Palays, inscrit en 1980, et l'église Saint-Victor, classée en 1983.

Géographie modifier

Localisation modifier

Représentations cartographiques de la commune
 
  La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune de Montesquieu-Volvestre se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Sur le plan historique et culturel, Montesquieu-Volvestre fait partie du Volvestre, constitué des vallées de l'Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans[1].

Elle se situe à 47 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, à 29 km de Muret[3], sous-préfecture, et à 25 km d'Auterive[4], bureau centralisateur du canton d'Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Montesquieu-Volvestre[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Thouars-sur-Arize (2,7 km), Gouzens (4,1 km), Latour (4,2 km), Fornex (4,7 km), Mailholas (4,8 km), Goutevernisse (4,8 km), Loubaut (5,0 km), Bax (5,2 km).

Montesquieu-Volvestre est limitrophe de quinze autres communes dont cinq dans le département de l'Ariège.

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune de Montesquieu-Volvestre est de 5 982 hectares ce qui en fait la deuxième plus grande superficie de la Haute-Garonne ; son altitude varie de 208 à 523 mètres[7].

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Montesquieu-Volvestre.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par l'Arize, le ruisseau de la Boussège, le ruisseau de l'Argain, le ruisseau de Lazaou, le ruisseau de Bonis, le ruisseau de la Baraque, le ruisseau de Latour, le ruisseau de Paris, le ruisseau des castagnès, le Bourgault, le Pédale, le Rimau, Les Tailladés, le ruisseau de coumebère,, constituant un réseau hydrographique de 96 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 812 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 6 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Palaminy à 13 km à vol d'oiseau[12], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 715,2 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité modifier

 
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[16] :

  • l'« Arize et affluents en aval de Cadarcet » (380 ha), couvrant 21 communes dont 18 dans l'Ariège et trois dans la Haute-Garonne[17] ;
  • les « landes à l'est de Montesquieu-Volvestre » (6 ha)[18],
  • « le Plantaurel occidental » (5 042 ha), couvrant 10 communes dont huit dans l'Ariège et deux dans la Haute-Garonne[19] ;

et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] : « le Plantaurel » (42 116 ha), couvrant 72 communes dont 68 dans l'Ariège, deux dans l'Aude et deux dans la Haute-Garonne[20].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Montesquieu-Volvestre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[21],[I 2],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montesquieu-Volvestre, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 3 096 habitants en 2021, constituant une ville isolée[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (26,1 %), zones agricoles hétérogènes (24,8 %), prairies (24,5 %), forêts (21,5 %), zones urbanisées (3,1 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Morphologie urbaine modifier

L'essentiel des constructions est situé le long de la vallée de l'Arize, autour de son église.

Logement modifier

L'urbanisation croissante s'explique par la périurbanisation due à la proximité de Toulouse, Montesquieu-Volvestre faisant partie de son aire urbaine[I 8].

Voies de communication et transports modifier

Véritable carrefour par tradition, à 50 km de Toulouse, de Foix et Saint-Gaudens et à 40 km de Saint-Girons. La station de ski la plus proche est Guzet (à 45 min).

La ligne 322 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare de Carbonne, en correspondance avec les TER Occitanie en direction de Toulouse-Matabiau, et la ligne 359 relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse.

Risques majeurs modifier

Risques naturels et technologiques modifier

Montesquieu-Volvestre est située sur une zone à risque d'inondation limité en bordure de l'Arize et de ses affluents crue[24].

La commune est également concernée par un risque de séisme de 2/5 (faible)[24].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Bastide créée en 1238 par le comte de Toulouse Raymond VII, qui décide d'implanter une nouvelle ville dans une boucle de l'Arize.

Les archives ne nous ont pas laissé par écrit la preuve de l'existence d'une entité administrative, civile ou religieuse, qui aurait pu correspondre au Volvestre. Mais la présence, avérée encore en toponymie aujourd'hui, d'une forteresse (Le Castéra), construite à la romaine avec des pieux de bois, bien antérieure aux châteaux forts bâtis en dur, laisse supposer que notre Volvestre pourrait représenter un pagus (pays) carolingien et même, plus haut dans le temps, un fundus gallo-romain. La présence d'un pont gallo-romain, appelé dans les textes anciens « pont de Tersac », connu aujourd'hui sous le nom de « pont du Diable » qui franchissait le Volp sur une route importante qui reliait Montesquieu à Cazères et Palaminy plaide en faveur de cette hypothèse, tout comme la puissance agraire que représentait les seigneurs de Tersac avec des terres qu'ils tenaient en fief, dans le Volvestre de la part des puissants comtes de Toulouse, de Comminges et de Foix.

Le Volvestre constituait donc une sorte de marche, ou de limen qui en faisait un pays partagé, lieu de passage et d'échanges entre les trois comtés et donc étroitement convoité.

Ch. Higounet dans son Histoire du comté de Comminges nous donne la clef de l'énigme de la fondation de la nouvelle bastide de Montesquieu. Analysant un document d'archives (Archives nationales J.326 no 28 et 29) il écrit : « Dans cet acte, Gentile de Gensac déclare que le domaine qu'elle tenait de son père sur Rieux et Montesquieu était tombé en commise pour n'avoir pas reçu de Raymond VII d'investiture dans l'an et un jour ( ») Page 284 note 295.

C'est à cette date que Raymond VII décide d'implanter une cité nouvelle dans une boucle de l'Arize, sur des terres récupérées sur les Tersac par suite de la « tombée en commise ». Dès cette époque Montesquieu s'inscrit dans le Volvestre comme métropole, ville la plus importante par sa démographie et par le développement économique. Elle est encore dans un recensement de 1880 la septième ville en peuplement du département de la Haute-Garonne.

Les sept moulins fariniers ou à batan (foulon), témoignent d'une activité liée d'une part aux productions agricoles et d'autre part à la fabrication et à la commercialisation du drap. Aujourd'hui, la vocation agricole n'a pas disparu mais l'industrie drapière n'est plus qu'un lointain souvenir. La dernière « usine » occupant une vingtaine d'ouvriers ayant disparu dans les années 1880. Mais une nouvelle vocation s'est fait jour, celle du tourisme. Située au centre de tout, elle nourrit ses ambitions de cette capacité à offrir au touriste tout ce qu'il peut souhaiter : des vieilles pierres (archéologie) aux paysages verts, de la préhistoire à l'histoire sans compter la qualité de vie, le sens de l'accueil (gîtes et chambres d'hôtes) et bien sûr la gastronomie.

À partir du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Montesquieu-Volvestre faisait partie du diocèse de Rieux.

La commune a bénéficié d'une gare du tacot du Volvestre[25] dont la ligne reliait Carbonne au Mas-d'Azil jusqu'à sa fermeture en 1938.

Héraldique modifier

Les armes de Montesquieu-Volvestre se blasonnent ainsi : D'azur à la pique d'or en pal fichée dans une motte de sinople, aux trois serpents d'argent en fasce brochant sur le fût de la pique..

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-trois[26],[27].

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune fait partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne et du canton d'Auterive (avant le redécoupage départemental de 2014, Montesquieu-Volvestre était le chef-lieu de l'ex-canton de Montesquieu-Volvestre).

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

 
L'Arize et la mairie en arrière-plan.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 Pierre Dumas Gauche Agriculteur
1974 Fernand Couzinet[29] SFIO
puis PS
Professeur de CEG
Député de la Haute-Garonne (1962 → 1967)
Conseiller général de Montesquieu-Volvestre (1945 → 1976)
Démissionnaire
1974 André Massat PS Directeur d'école, syndicaliste
Conseiller général de Montesquieu-Volvestre (1976 → 1990)
Décédé en fonction
Patrick Lemasle PS Exploitant agricole
Député de la Haute-Garonne (7e circ.) (1997 → 2017)
Conseiller général de Montesquieu-Volvestre (1991 → 2015)
Démissionnaire
Henri Déjean PS Retraité France Telecom
Patrick Lemasle PS Exploitant agricole
Député de la Haute-Garonne (7e circ.) (1997 → 2017)
Conseiller général de Montesquieu-Volvestre (1991 → 2015)
Président de la CC du Volvestre (2013 → 2017)
En cours Frédéric Bienvenu SE Chef d'entreprise
4e vice-président de la CC du Volvestre (2020 → )

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31]. En 2021, la commune comptait 3 096 habitants[Note 6], en augmentation de 0,52 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 6702 8983 2883 2793 7173 6723 7453 8813 918
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 9804 1194 0503 9933 8803 6053 4123 3403 133
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 1113 0653 0232 3142 3552 1842 1711 9811 986
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 9151 9241 9502 0882 1172 3142 6603 1123 020
2021 - - - - - - - -
3 096--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
Rang de la commune dans le département 30 48 53 67 68 70 68 67
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement modifier

Montesquieu-Volvestre fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune de Montesquieu-Volvestre de la crèche à l'école maternelle et l'école élémentaire, jusqu'au collège Stella-Blandy, agrémenté d'une médiathèque.

Service public modifier

Montesquieu-Volvestre possède un service départemental d'incendie et de secours, une gendarmerie, une poste, un centre de la DDE, une déchèterie, une police municipale.

Santé modifier

La commune possède une maison de retraite, un centre intercommunal d'action sociale (CIAS), des infirmiers, des sages-femmes, des médecins généralistes, des professionnels de la rééducation, de l'appareillage, des pédicures-podologues, psychothérapeute, des dentistes[38].. ainsi qu'une pharmacie

Culture et événements modifier

Salle polyvalente, marché fermier, club de cinéma, école de musique.

 
Chapiteau du Festival L'île au théâtre

Festival L'île au théâtre, tous les ans, le 1er week-end de juin[39].

Sports modifier

Piscine municipale d'été, un club de rugby à XV, de volley-ball et de basket-ball ainsi que des courts de tennis, un terrain de basket-ball, un terrain de beach-volley au sein de la piscine municipale, des boulodrommes extérieurs et intérieurs, un dojo, une salle de danse

Rugby

Lors de la saison 2012-2013, l'AS Montesquieu-Volvestre rugby, évolue an sein de la division de Fédérale 3 qui est une division nationale.

En 2010, l'AS Montesquieu-Volvestre rugby en entente avec ses voisins de Daumazan et Lezat, a été champion de France Junior Phliponneau de rugby à XV en battant l'US Portet-Roquette 27 à 15 sur le terrain de Rieumes -le .

En 2011, l'AS Montesquieu-Volvestre rugby a été champion de France Honneur de rugby à XV en battant l'US Capbreton 18 à 11.

Écologie et recyclage modifier

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 419 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 3 083 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 510 [I 9] (23 140  dans le département[I 10]). 40 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (55,3 % dans le département).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 11] 8,9 % 9,3 % 10,7 %
Département[I 12] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 782 personnes, parmi lesquelles on compte 75,5 % d'actifs (64,8 % ayant un emploi et 10,7 % de chômeurs) et 24,5 % d'inactifs[Note 9],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 14]. Elle compte 687 emplois en 2018, contre 698 en 2013 et 646 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 165, soit un indicateur de concentration d'emploi de 59 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,6 %[I 15].

Sur ces 1 165 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 421 travaillent dans la commune, soit 36 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,9 % les transports en commun, 7,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Activités hors agriculture modifier

Secteurs d'activités modifier

232 établissements[Note 10] sont implantés à Montesquieu-Volvestre au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 18].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 232 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
30 12,9 % (5,7 %)
Construction 38 16,4 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
45 19,4 % (25,9 %)
Information et communication 4 1,7 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 9 3,9 % (3,8 %)
Activités immobilières 10 4,3 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
40 17,2 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
34 14,7 % (16,6 %)
Autres activités de services 22 9,5 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 19,4 % du nombre total d'établissements de la commune (45 sur les 232 entreprises implantées à Montesquieu-Volvestre), contre 25,9 % au niveau départemental[I 19].

Entreprises et commerces modifier

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[40] :

  • SARL Jamon, supermarchés (7 578 k€)
  • Maison Patignac, préparation industrielle de produits à base de viande (1 836 k€)
  • Artis, commerce de gros (commerce interentreprises) d'autres biens domestiques (881 k€)
  • F3B Montage, travaux de montage de structures métalliques (750 k€)
  • Ambulances Montesquieviennes, ambulances (633 k€)

Agriculture modifier

La commune est dans le Volvestre, une petite région agricole localisée dans l'est du département de la Haute-Garonne, constituée de collines de terrefort à fortes pentes autrefois consacrées à l’élevage s’orientent aujourd’hui vers les grandes cultures[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 112 63 58 63
SAU[Note 13] (ha) 3 498 2 820 2 703 3 179

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 112 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 63 en 2000 puis à 58 en 2010[43] et enfin à 63 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[44],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 3 498 ha en 1988 à 3 179 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 31 à 50 ha[43].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Église Saint-Victor XIIIe siècle.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Raymond VII, dernier comte de Toulouse de la lignée des Saint-Gilles, fondateur de la cité en 1238. Il octroie aux habitants de Montesquieu une charte de coutumes en mai 1246.
  • Jean Froissart, chroniqueur du XIVe siècle raconte son passage à Montesquieu lors de son voyage de Mazères d’Ariège à Orthez en Béarn pour rencontrer Gaston Fèbus (orthographe occitane).

Citation de Jehan Froissart : « Nous avons, dit-il, passé le château d’ortingas (Artigat)… Ainsi chevauchâmes-nous jusqu’à Montesquieu, une bonne ville fermée qui est au comte de Foix (Gaston Phoebus suzerain de Montesquieu), ville que les Armanageois prirent et emblèrent (pillèrent) une fois… »

  • Jean Bertrand, capitoul de Toulouse en 1498, premier président aux Parlements de Toulouse et de Paris. Garde des sceaux de Henri II en 1551 (le premier à porter ce titre). Cardinal, évêque de Comminges, archevêque de Sens. Ambassadeur à Venise. C’est un ancêtre (branche aînée) de la famille des Bertrand dont deux descendants seront seigneurs de Montesquieu au XVIIIe siècle.
  • Barthélemy de Donadieu de Griet, seigneur de Villepinte né à Montesquieu le 24 août 1592. Après une courte carrière militaire il entre au séminaire Saint-Magloire à Paris et est ordonné prêtre en 1624. Ami d’hommes d’église célèbres, abbé de Saint-Cyran, Vincent de Paul, Bérulle, Olier… et bénéficiant de hautes protections il est fait évêque de Comminges en 1625. Il veillera à la formation des prêtres et sera à l’origine de la fondation du séminaire de Polignan. Il meurt le 12 novembre 1637 et est enseveli dans la cathédrale de Saint-Bertrand de Comminges[46].
  • Antoine de La Loubère, né à Montesquieu en 1600, mort à Toulouse en 1664. Élève des jésuites et entré dans l’ordre il professa les humanités (grec et latin), la rhétorique, l’hébreu et les mathématiques. Il fut un des seuls (ils étaient deux) à répondre et à proposer une solution au problème que Pascal avait posé aux savants de l’Europe. Pascal qui n’aimait pas les Jésuites se moqua méchamment de la solution de la Loubère qu'il condamna comme un raisonnement juste sur des bases fausses. Les mathématiciens modernes qui ont analysé la réponse du père Antoine de La Loubère y voient le travail d’un homme de génie condamné par un autre mathématicien, de génie certes, mais aveuglé par sa haine pour les Jésuites.
  • Les Trois Seigneurs:

1.Simon de la Loubère, neveu du précédent. Né à Toulouse en 1642. Étudie chez les jésuites. Puis part pour Paris où il se fait une bonne réputation d’homme d’esprit. Il entre dans la diplomatie (Suisse, Strasbourg, terre d’Empire, puis au Siam). Il fait un rapport sur son ambassade au Siam qui sert encore de référence aux historiens modernes. En 1693 il entre à l’Académie française et en 1694 à l’Académie des Inscriptions. À cette date il est chargé de rétablir dans sa splendeur première l’Académie des jeux floraux de Toulouse. Il propose une méthode de réalisation de « carré magique » (c’est lui qui inventa le nom).

La charte des Coutumes octroyée en mai 1246 par Raymond VII prévoyait que les habitants de Montesquieu eux-mêmes seraient chargés de l’organisation de la cité en élisant leurs édiles. À la fin du XVIIe siècle à cause de Versailles peut-être ou des guerres multiples, le roi soleil cherche à remplir les caisses vides du trésor. Toutes ces fonctions éligibles vont se transformer en biens à vendre donc à acheter. Simon qui est un homme cultivé et un bon diplomate est aussi habile financier. Sans qu’il n’ait rien à débourser, simplement en échangeant quelques lopins de terre qu’il possédait à Marly, il va devenir le seigneur omnipotent de quelques seigneuries : Montesquieu, la Bastide de Besplas, le Carla, le Plan, Saint-Christaud et même Saverdun et Salies du Salat. Des historiens spécialistes d’économie reconnaissent aujourd’hui que Simon avait fait une bonne affaire et qu’il avait roulé Louis XIV, le roi soleil, dans la farine. Mais que n’aurait fait ce dernier pour réaliser la féerie aquatique de son château !! Le nouveau seigneur fut d’abord mal reçu à Montesquieu mais parvient à maintenir avec les habitants la paix civile[47].

2.Marc Antoine de Bertrand de Molleville, héritier du précédent dont il était le neveu par alliance. Seigneur de 1729 à 1774. Son manque de sens politique et sa morgue de grand seigneur contribuèrent à son échec.

3. Antoine François Bertrand de Molleville, troisième et dernier seigneur à Montesquieu-Volvestre (et autres lieux). Il ne s’occupa à aucun moment de Montesquieu mais exercera au niveau national les plus hautes fonctions. Intendant de Bretagne, ministre de la Marine et ami du roi Louis XVI, auteur de mémoires et de livres d’histoires.

  • Pierre Alard, né et mort à Montesquieu (1745-1826). Élu maire de Montesquieu-Volvestre en décembre 1789, il est élu suppléant à l'Assemblée Législative, élu troisième suppléant à la Convention où il siège à partir de 1793.
  • Germain Théodore Abolin (1757-1842) né à Montesquieu-Volvestre. Député des Cinq-Cents le 25 vendémiaire an IV, élu secrétaire de cette institution en l'an VI.
  • Michel Delrat, baryton d'opéra. Né à Montesquieu-Volvestre[48] le 24 avril 1843 (numéro 47 Porte de Rieux). Entre au conservatoire de Toulouse en 1868 puis au conservatoire de Paris. Sa carrière se déroula d’abord à Paris puis à Amiens, Lyon, Marseille et Toulouse. Après une tournée en Amérique il revient à Toulouse en 1888 pour diriger le Capitole. Il s'y ruina et terminera sa vie à Toulon[49].
  • Guillaume Ibos (1860-1952) ténor. Né à Muret le 10 juillet où son père était gendarme, mort à Montesquieu-Volvestre au numéro 9 rue des Olières. Il interprète les plus grands rôles sur les scènes internationales. Ami de Massenet, ce dernier modifia la partition du personnage de Werther prévue préalablement pour un baryton. Ce qui valut un beau succès à la création pour Guillaume Ibos le ténor et Massenet le compositeur. (Source : Nos artistes lyriques. Édition de O.T)
  • Stella Blandy (1835-1925), femme de lettres née à Montesquieu-Volvestre et y meurt.
  • Marie-Hippolyte de Lartigue de Goueytes (1815-1893), général de division, né à Montesquieu[50].
  • Jean Castet, né à Montesquieu. Il est l'origine de l'association sportive montesquivienne. Il faisait partie de l'équipe de rugby en 1908. Décédé à la guerre de 1914. En son honneur, le stade de Montesquieu-Volvestre porte son nom.
  • Paul Dessort (1891-1971), natif de Montesquieu[51]
  • Jean Neylies, né à Montesquieu le 21 décembre 1869 († 1938). Apprenti coiffeur, monte à Paris et s’inscrit à l’école des Beaux-Arts. Il rencontre au Louvre le professeur roumain Marinescu qui l’amena à Bucarest pour illustrer sa thèse de doctorat. Il devint le peintre officiel de la cour royale et enseigna à l’école des beaux-arts de Bucarest. Il revient en France en 1914 retournant de temps en temps en Roumanie. Il meurt à la suite d’une baignade au moulin d’Hebra. (Source : Histoire de Montesquieu. E. Abeille, H. Ménard » Nouvelles de Roumanie numéro 46)
  • Pierre-Yves Jourda (1931, Montesquieu Volvestre- 2007), bastide de Haute-Garonne, aux portes de l'Ariège, diplômé de professeur d'enseignement du dessin d'Art.
  • Henri Ménard, officier général, commandeur de la Légion d'honneur né le à Niort. Mort à Montesquieu le . Très jeune il envisage une carrière dans l’enseignement mais, attiré par la carrière militaire, il s’engage dans l’infanterie en 1937. Viennent les heures sombres de l’occupation. Il s’engage très tôt dans la résistance, est arrêté par la Gestapo en 1943 et déporté aux camps de concentration de Mauthausen et Buchenwald. Après sa libération en 1945 il participe aux campagnes outre-mer de l’armée française. (Indochine et Algérie). Passant par l’école supérieure de guerre et le centre des Hautes Études Militaire il parcourt tous les grades d’officier supérieur et est nommé général de brigade en 1972. Il est nommé directeur de l’École d’état-major à l’École supérieure de guerre. Général de division en 1975, en septembre 1976, il est admis dans la 2e section du cadre des officiers généraux. Historiographe local.

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Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[42].
  • Cartes
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  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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Références modifier

Site de l'Insee modifier

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  3. « Unité urbaine 2020 de Montesquieu-Volvestre » (consulté le ).
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  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
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Autres sources modifier

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  27. Résultats 2014.
  28. * Marie César Metgé, né à Toulouse en 1798. Après des études de médecine il s'installe à Montesquieu-Volvestre et se marie avec Marie Hélène Guichou issue d’une famille qui occupera l’avant-scène politique dans la deuxième partie du XIXe siècle et au XXe siècle jusqu’en 1919. Très dévoué à ses concitoyens (« abnégation et charité » est sa devise) il sera maire de 1830 à 1847, puis de 1848 à 1851. Dans le même temps il est élu au conseil général. Ses convictions républicaines l'opposeront au préfet bonapartiste de la Haute-Garonne. Il sera un opposant au coup d'État du 2 décembre 1852 et poursuivi par la police. Quand la police vint l'arrêter, la foule s’amassa devant son domicile, délivra le maire et le cacha. César Metgé vécut chez les uns et chez les autres en continuant à exercer son métier de médecin jusqu’à l'amnistie de 1853. (Source : Histoire de Montesquieu. E. Abeille, H. Ménard, «L’interdit A. Berthoumieux, édition de O.T » « Le feuilleton d’une révolution. Histoire et traditions centenaires, p. 51-58 »).
  29. Notice COUZINET Fernand, Marius, Jean, Robert par Gilles Morin, version mise en ligne le 25 octobre 2008, dernière modification le 26 janvier 2022
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  49. Source : Nos artistes lyriques. Édition de O.T.
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  51. « Notice LH de Paul Dessort ».