Miramont-d'Astarac

commune française du département du Gers

Miramont-d'Astarac
Miramont-d'Astarac
Église Saint-Gilles.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Astarac Arros en Gascogne
Maire
Mandat
Christian Falceto
2020-2026
Code postal 32300
Code commune 32254
Démographie
Gentilé Miramontais
Population
municipale
349 hab. (2021 en diminution de 1,13 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 51″ nord, 0° 28′ 12″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 273 m
Superficie 14,73 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auch
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mirande-Astarac
Législatives Première circonscription
Localisation
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Miramont-d'Astarac
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Miramont-d'Astarac
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Miramont-d'Astarac
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Miramont-d'Astarac

Miramont-d'Astarac (Miramont d'Astarac en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse et par divers autres petits cours d'eau.

Miramont-d'Astarac est une commune rurale qui compte 349 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Miramontais ou Miramontaises.

Géographie modifier

Localisation modifier

Miramont-d'Astarac est une commune de Gascogne située en Astarac, dans l'aire d'attraction d'Auch, sur la Petite Baïse.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Idrac-Respaillès, Labéjan, Lamazère, Mirande, Mouchès et Saint-Jean-le-Comtal.

Communes limitrophes de Miramont-d'Astarac[1]
Mouchès Lamazère Saint-Jean-le-Comtal
Mirande   Labéjan
Idrac-Respaillès

Géologie et relief modifier

Miramont-d'Astarac se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Miramont-d'Astarac.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Baïse, le ruisseau de Laplagne, le ruisseau de Lassalle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[4],[Carte 1].

La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[5].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 809 mm, avec 10,1 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mirande à 6 km à vol d'oiseau[8], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 818,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[12],[13],[14].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Miramont-d'Astarac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[15],[I 1],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (92 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (62,7 %), prairies (14,7 %), terres arables (14,5 %), forêts (8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

La commune est traversée du nord-est vers le sud-ouest par la route nationale N21, qui relie Auch à Mirande, et du sud vers le nord par la route départementale D2, en provenance d'Idrac-Respaillès et se dirigeant vers L'Isle-de-Noé.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Miramont-d'Astarac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Miramont-d'Astarac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 185 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 185 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009 et 2015. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2011, 2012 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1792 François Berger    
1792 1801 Louis Tarrieux    
1792 1793 Jean Dominique Tournous    
1793 1796 Blaise Dardaignon    
1796 1801 Dominique Bonne    
1801 1803 Joseph Lasmezas    
1801 1815 Pierre Paris    
1801 1808 Joseph Sorbets    
1803 1815 Blaise Ainé Trouette    
1808 1811 Joseph Sagazan    
1811 1816 Augustin Paris    
1815 1828 Antoine Ainé Trouette    
1815 1828 Pierre Jean François Sainte Christie (de)    
1816 1818 François Seillan    
1818 1821 Bertrand Lacassin    
1821 1830 Bertrand Doumic    
1830 1831 Sainte Christie (de)    
1831 1835 Pierre Paris    
1835 1841 Bertrand Lacassin    
1841 1846 Blaise Trouette    
1846 1848 Clair Doumic    
1848 1848 Adrien Paris Bordeneuve    
1849 1859 Clair Doumic    
1859 1870 Bernard Paris    
1870 1871 Auguste Paris    
1871 1878 Anaclet Verdier    
1878 1881 Joseph Baron    
1881 1882 Auguste Paris    
1882 1883 Pierre François Castelbajac (de)    
1883 1888 Anaclet Verdier    
1888 1912 Henry Castelbajac (de)    
1912 1914 Clément Debats    
1914 1918 Bernard Soton    
1918 1941 Clément Debats    
1941 1944 Godefroy Lamarque    
1944 1945 Emile Ader    
1945 1947 Godefrroy Lamarque    
1947 1965 Edouard Lasportes    
1965 2001 Maurice Garros PS  
mars 2001 2008 Marie-Rose Dalle-Carbonare    
2008 En cours Christian Falceto[23] DVG Retraité
 
Tour.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25]. En 2021, la commune comptait 349 habitants[Note 3], en diminution de 1,13 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
422312330325585662592588582
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
586584567531532490478419392
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
361369341330322311292279282
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
265223253314344361357350349
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

Santé modifier

Sports modifier

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 147 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 359 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 020 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 7,7 % 4 % 7,1 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 220 personnes, parmi lesquelles on compte 73,7 % d'actifs (66,6 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 26,3 % d'inactifs[Note 5],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 37 emplois en 2018, contre 61 en 2013 et 59 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 151, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,2 %[I 10].

Sur ces 151 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 90,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture modifier

25 établissements[Note 6] sont implantés à Miramont-d'Astarac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 25 entreprises implantées à Miramont-d'Astarac), contre 27,7 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture modifier

La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[28]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 31 21 27 13
SAU[Note 9] (ha) 1 121 758 1 143 949

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 31 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 21 en 2000 puis à 27 en 2010[30] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 58 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[31],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 121 ha en 1988 à 949 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à 73 ha[30].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
La chapelle Saint-Michel-de-Vicnau
  • Visible depuis la RN 21, une tour médiévale (XIVe siècle) ayant appartenu aux comtes d'Astarac surplombe la cour de l'école et le village. La tour succède à une occupation seigneuriale antérieure marquée par la présence d'une motte castrale à 250 m à l'ouest[32] ;
  • L'église paroissiale Saint-Gilles de Miramont-d'Astarac est située en contrebas ;
  • Le château de Beaulieu (XVIIe siècle) est devenu un gîte. Corps de bâtiment rectangulaire flanqué de deux tours de plan carré ;
  • La motte castrale d'Espic, de plan ovale (12 m sur 30 m), proche de la chapelle de Vicnau.
  • Le château de Villeneuve. Figuré sur la carte de Cassini et sur le cadastre de 1823[33], le château s'élevait non loin d'un passage sur la Petite-Baïse. Il se composait de bâtiments formant cour et prolongés par une vaste plate-forme fossoyée. Encore visible sur la carte IGN de 1950[34], le château a aujourd'hui disparu en élévation.
  • La chapelle Saint-Jean-Baptiste-de-Laffitte, construite aux XVIIe et XVIIIe siècles, était l'église paroissiale d'un village disparu ;
  • La chapelle Saint-Michel-de-Vicnau est aussi une ancienne église paroissiale de style roman, construite sur une motte castrale.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[29].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Miramont-d'Astarac » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Miramont-d'Astarac » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Miramont-d'Astarac » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Miramont-d'Astarac » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Miramont-d'Astarac » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Miramont-d'Astarac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « la Baïse »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Miramont-d'Astarac et Mirande », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Mirande » (commune de Mirande) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Mirande » (commune de Mirande) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Miramont-d'Astarac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Miramont-d'Astarac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des espaces protégés sur la commune de Miramont-d'Astarac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Miramont-d'Astarac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Miramont-d'Astarac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Les maires de Miramont-d'Astarac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  23. Site de la préfecture - Fiche de Miramont-d'Astarac
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  29. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  30. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Miramont-d'Astarac - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
  32. Nicolas Guinaudeau, Fortifications seigneuriales et résidences aristocratiques gasconnes dans l'ancien comté d'Astarac entre le Xe et le XVIe siècle, thèse d’Histoire, sous la direction de Philippe Araguas, Bordeaux, Université Michel de Montaigne - Bordeaux III, p. 127.
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