Région des Mille étangs

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La Région des Mille étangs, aussi appelée Plateau des Mille étangs, est une zone géographique de plus de 220 km2 située dans la partie nord-est du département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté.

Un groupe d'étangs et de prairies.
Des étangs de Servance-Miellin.
Plusieurs étangs sur une colline couverte de prairies et de forêts devant un panorama montagnard.
Les étangs des Grands Faings à Beulotte-Saint-Laurent.
Vue aérienne d'un vaste étang sur une crête boisée.
L'étang de l'Oranger à Corravillers.
Carte
Carte interactive de la région des Mille étangs

À la fin de la dernière ère glaciaire, il y a 12 000 ans, le retrait du glacier de la Moselle débordant au-dessus des Vosges saônoises a formé des surcreusements dans le socle primaire qui recouvrait la région favorisant la formation de tourbières, marécages sur trois plateaux dont l'altitude varie de 310 mètres à 781 mètres. Au Moyen Âge, l'espace est transformé par l'Homme qui y développe la pisciculture en aménageant des étangs. Ces réserves d'eau sont ensuite utilisées au XIXe et XXe siècle par les industries textiles et papetières locales.

Au début du XXIe siècle, cette région, majoritairement recouverte de forêt, présente un intérêt environnemental de par ses zones humides qui abritent des biotopes remarquables et adaptés à un milieu froid et humide. Cette région des Mille étangs est reconnue comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), elle est en grande partie incluse dans une zone Natura 2000 et dans le parc naturel régional des Ballons des Vosges ; au sud se trouve la réserve naturelle régionale de la tourbière de la Grande Pile. Les Mille étangs possèdent également un intérêt touristique par ses paysages qui lui valent le surnom de « Petite Finlande » par analogie avec les « Mille Lacs » finlandais.

Géographie modifier

Localisation modifier

La région des Mille Étangs recouvre une zone de plus de 220 km2 dans la partie nord-est du département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté[1].

Localisation du plateau des Mille étangs en bleu sur la carte de France et sur la carte de relief de la Haute-Saône.

Géologie et relief modifier

 
Limite des glaciations sur le plateau des Mille étangs.

La zone – située entre le massif des Vosges au nord-est et la dépression sous-vosgienne à l'ouest – est parsemée d'environ 850 étangs. Ceux-ci se sont formés au Quaternaire, à la fin de la dernière ère glaciaire, il y a 12 000 ans, par le retrait du glacier de la Moselle débordant vers les Vosges saônoises au-delà de la ligne des crêtes. Le paysage de cette époque s'apparentait à un fjell, un plateau rocheux de basse altitude rongé par un glacier. Le surcreusement du plateau composé d'un socle primaire forme des verrous glaciaires, des accumulations de matériel morainique et de gros blocs erratiques qui, en gênant les écoulements, ont favorisé l'apparition d'étangs, de marécages et de tourbières[i 1],[2],[3].

L'altitude du plateau des Mille étangs varie entre 310 mètres et 781 mètres[o 1]. Il existe en réalité trois plateaux d’altitudes différentes : un « plateau inférieur » dans le secteur de Mélisey, un « plateau médian » autour d'Écromagny et un « plateau supérieur » dans le secteur de Beulotte-Saint-Laurent[3].

Hydrologie modifier

L’hydrosystème est organisé autour de deux rivières, le Breuchin à l'Ouest et l'Ognon à l'Est. Le territoire est parsemé d'environ 850 étangs de taille variable, mais n'excédant guère une dizaine d'hectares, voir 2 ha pour le plateau le plus élevé. En basse altitude, les étangs sont plus étendus et leurs eaux, plus riches. Au total, les étangs occupent 7 % de la surface du site. 25 ruisseaux d'une longueur totale de 174 km sillonnent le plateau[o 2],[3].

Le site Natura 2000 des Mille étangs compte 1 590 zones humides (dont des tourbières) sur une surface de 1 530 ha (8 % de la surface du site) dont 600 ha d'étangs et 490 ha de prairies humides[o 3].

Climat modifier

Le climat est du type océanique dégradé à forte influence continentale. Les précipitations sont abondantes et se situent aux environs de 1 700 mm, la température moyenne est voisine de °C[o 1]. Sur le plateau le plus élevé, le climat est plus rude[3] et se rapproche du type montagnard[4].

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

Dès le Moyen Âge (aux environs du XIe siècle), les moines de l'abbaye de Lure et de l'abbaye de Luxeuil (fondées par saint Colomban) ont incité la transhumance et surtout l'aménagement des étangs par l'extraction de la tourbe, la création de digue et l'inondation des marais en vue de leur exploitation piscicole ; ceci afin d'éviter le manque de nourriture des populations locales[2],[i 1],[5]. On y élevait carpes, tanches, brochets et truites[6]. Cependant il semble que la raison première de la présence de ces étangs ait été l'augmentation de la population du plateau. Le passage d’un élevage transhumant et d’une occupation temporaire à un élevage et une occupation permanente ont supposé la nécessité de ressources plus abondantes, contraignant à la bonification des terres. Pour cela, il a été nécessaire de réorganiser les « zones humides », de favoriser les écoulements afin d’augmenter les pâturages et les prairies de fauche[2].

Période industrielle (XIXe et XXe siècle) modifier

Les réserves d'eau mobilisables grâce à la présence de ces nombreux étangs permettent l’essor des industries textiles et papetières locales aux XIXe et XXe siècle[2] :

« vers 1850-1860 des industriels d’origine vosgienne ou alsacienne créent des tissages mécaniques ou même des filatures à Haut-du-Them sur de petits affluents de l'Ognon et La Longine sur un petit affluent du Breuchin […], les propriétaires des anciennes papeteries remplacent la fabrication du papier par la filature et le tissage du coton ». Enfin « Quelques années avant la guerre de 1914 des industriels vosgiens ont créé de nouveaux tissages à Servance, à Champagney, à Faucogney […]. Le travail du coton a même fini par absorber les autres industries textiles. Le tissage du droguet […] qui s’était maintenu longtemps à Mélisey a complètement disparu. »

— A. Perrier (1925).

Cette industrie va prospérer jusqu’au milieu du XXe siècle avant de lentement décliner[o 4].

Reconnaissance patrimoniale et touristique (XXIe siècle) modifier

Au début des années 2000 est lancée l'idée de créer une zone Natura 2000. L'étude du périmètre de la zone commence en 2002 avec la consultation des communes et des EPCI concernés. La proposition de périmètre est soumise à la Commission européenne en et validé en . En , un comité de pilotage est créé avec toutes les parties prenantes et le parc naturel régional des Ballons des Vosges et désigné opérateur du site des Mille étangs[o 2].

Habitat, population et activité humaine modifier

L'habitat du plateau des mille étangs a la caractéristique d'être disséminé. En effet, outre les principaux villages, il existe des hameaux et de nombreuses fermes isolées autour des étangs. Cette région est particulièrement frappée par l'exode rural (depuis 1840[o 3]), notamment pendant les Trente Glorieuses et la fin du XXe siècle. Cependant au début du XXIe siècle des familles présentes depuis de nombreuses générations y vivent toujours, certaines d'entre elles sont passées d'une activité agricole à une activité d'hébergement touristique (chambres d'hôtes et gîtes) et de pêche sportive. De nouveaux habitants (français ou étrangers) s'installent également dans la région, attirés par le cadre de vie ; notamment quelques artistes[5].

Selon le recensement de 1999, les communes du plateau cumulent 10 120 habitants dont environ 5 000 habitants sur le site Natura 2000. 23 % de cette population a plus de 60 ans. La densité de population de la région s'élève à 26 habitants/km2 avec des disparités selon les communes, avec 85 habitants/km2 à Méliseyhabitants/km2 à Esmoulières[o 3]. Le tissu urbain représente 1,2 % du site Natura 2000 (225 ha)[o 5].

Les exploitations piscicoles, agricoles et forestières subsistent toujours[5]. Les surfaces vouées à l’agriculture représentent 3 230 ha dont 77 % de pâtures et 21 % de terres labourables. 75 % des exploitations sont vouées à l'élevage bovin dont 80 % de vache laitière. Ces élevages sont d'importance modeste avec un cheptel moyen de 37 bêtes contre 92 pour la moyenne départementale. L'élevage ovin est très secondaire sur le plateau[o 6].

Historiquement orienté vers le textile avant 1960, le secteur industriel s'est réorienté vers la production de biens secondaires après cette date. Le secteur des services est en développement au début du XXIe siècle. En 2008, le tissu économique est formé de 16 entreprises industrielles, 66 entreprises artisanales (dont 28 pour la filière bois, la plus représentée) et 91 commerces[7]. 82 % de la surface forestière est privée, six scieries sont localisées sur le plateau ou à proximité immédiate ainsi que quatre entreprises valorisant les bois de petit diamètre (papeterie ou usine à panneau de particules), le chauffage bois et le bois énergie sont en développement depuis les années 2000[8].

Trois carrières (notamment à Ternuay et Amont) sont activités sur le plateau dont une — à Belonchamp — qui est située dans le périmètre Natura 2000[o 5].

Écologie (biodiversité, intérêt écopaysager…) modifier

Le territoire des Mille étangs est majoritairement recouvert de forêts (60 %), environ pour moitié de feuillus et de résineux[o 7],[4], ce qui crée des corridors et ferme les paysages[3] qui sont toutefois variés et abritent des biotopes remarquables et adaptés à un milieu froid et humide. Il existe trois types d'étangs : oligotrophe à utriculaires (eau acide et faiblement minéralisée), méso-oligotrophe à nitelles (eau légèrement acide et faiblement minéralisée) et à callitriche (eau faiblement minéralisée). À cela s'ajoutent des prairies humides et des tourbières, celle de la Grande Pile à Saint-Germain est la plus remarquable, celle-ci fournissant un enregistrement des fluctuations climatiques sur les derniers 135 000 ans, elle sert de référence pour l'Europe occidentale. Pour protéger cet espace, un plan agriculture environnement est mis en place, les pâturages sont rétablis sur d'anciennes friches pour conserver un paysage ouvert et un contrat de rivière également signé pour la vallée de l'Ognon[i 2]. Cet ensemble est en grande partie inclus dans une zone Natura 2000[i 1].

Flore modifier

Les forêts comportent notamment des chênes, hêtres, sapins et bouleaux. On rencontre également des prairies, fougères, genêts, et callunes (improprement surnommées bruyères).

Les tourbières abritent une flore remarquable dont la canneberge, la linaigrette, l'andromède à feuille de polium, la scheuchzeria des marais, des carex ou la drosera. Parmi les papillons on notera la présence d'espèces protégées comme le nacré de la canneberge, le petit collier argenté, le fadet des tourbières ou le damier noir.

Faune modifier

Parmi les oiseaux que l'on peut observer, on peut citer le grèbe huppé, le martin-pêcheur, le héron cendré, le canard colvert, le balbuzard, l'hirondelle, la bergeronnette des ruisseaux, le bruant des roseaux, le chevalier guignette, la foulque macroule, la poule d'eau, la sarcelle.

Protections et labels modifier

 
Les ZNIEFF, zones Natura 2000 et parc naturels des mille étangs et environs.

La région des Mille étangs est reconnue comme zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) par l'inventaire national du patrimoine naturel (INPN)[i 1], elle est en grande partie incluse dans une zone Natura 2000 créée en 2004 (étendue en 2016) et dans le parc naturel régional des Ballons des Vosges. Au sud se trouve la réserve naturelle régionale de la tourbière de la Grande Pile.

La zone Natura 2000 inclus 51 ZNIEFF de type 1 et 3 ZNIEFF de type 2, en majorité des étangs et des tourbières (19 ZNIEFF de type 1 et une ZNIEFF de type 2)[o 3].

Lite des ZNIEFF, zones Natura 2000 et parc naturel du plateau des Mille étangs et limitrophes (voir carte ci-contre) :

  1. zone Natura 2000 du Plateau des mille étangs[i 1] ;
  2. étang et tourbière du grand Saint-Maurice[i 3] ;
  3. ruisseau de la Noue Armand[i 4] ;
  4. vallée supérieure de l'Ognon et ses affluents[i 5] ;
  5. réserve naturelle régionale de la tourbière de la Grande Pile[i 6],[9] ;
  6. ancien aérodrome de Lure Malbouhans[i 7] ;
  7. le Mont de vannes et le Rhien[i 8] ;
  8. ZNIEFF du Plateau des mille étangs[i 1] ;
  9. vallée de la Lanterne et du Breuchin[i 9] ;
  10. ruisseau et tourbière d'Evouhey[i 10] ;
  11. inclus :
    • derrière les cent sous et pré ramey[i 11] ;
    • tourbière des grands Faings[i 12] ;
    • étang du Liebaud[i 13] ;
    • étang des Gorgeots[i 14] ;
    • étangs des bois du prince et des Perrières[i 15] ;
    • le Beuletin et ses affluents[i 16] ;
    • étang à l'est de la goutte Gehan[i 17] ;
    • étang de la vierge du Reposou[i 18] ;
    • ruisseau du Bozon[i 19] ;
    • étang du Sapin-du-Haut[i 20] ;
  12. étangs et ruisseaux de Mansevillers et du Pré[i 21]  ;
  13. le bois du Fahy[i 22] ;
  14. inclus :
  15. inclus :
    • tourbière et étang de la grande Chaussée[i 25] ;
    • étangs et tourbières feu de Chaudière au Serrurey[i 26] ;
    • vallée du Breuchin entre Amage et Faucogney[i 27] ;
  16. inclus :
    • étangs en Pré Perras et en Pré Boichey[i 28] ;
    • étang du Boffy et des Gros Feux[i 29] ;
    • étang au Plain des Romains[i 30] ;
    • étang de la Goutte du Frêne[i 31] ;
    • ruisseaux des Avoineries et de Saint-Hilaire[i 32] ;
    • cascades de Miellin[i 33] ;
  17. inclus :
    • ruisseaux de la foule et des rivets[i 34] ;
    • étangs Lantau et Girard[i 35] ;
    • étang et ruisseau du bois de Forembert[i 36] ;
    • étangs d'Arfin et tourbière de l'Ambyme[i 37] ;
    • étangs d'Épée[i 38] ;
    • étang Cheval[i 39] ;
  18. parc naturel régional des Ballons des Vosges[10].

En complémentarité du classement en site Natura 2000 et des nombreuses ZNIEFF, le plateau bénéficie en 2008 de deux plans paysages et de deux contrats rivières[o 6].

Le plateau des mille étangs se retrouve particulièrement médiatisé lors du passage du Tour de France 2014, c'est pourquoi le département de la Haute-Saône souhaite labelliser cette région Grand Site de France pour ensuite postuler à une inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO. Pour appuyer ces projets, une mission universitaire, composée de 13 chercheurs franc-comtois et lorrains, est constituée début 2018. Les études scientifiques sont restituées en lors d'une conférence publique avec la presse locale et des élus du département[11],[3],[12].

Loisirs et tourisme modifier

Le paysage post-glaciaire de ce plateau évoque les milieux scandinaves, d’où son surnom de « Petite Finlande » par analogie avec les « Mille Lacs » finlandais. Cette région attire ainsi des randonneurs, vététistes, pêcheurs et amateurs de nature. 70 % des touristes sont de nationalité française[o 6],[o 5].

Dans le périmètre de la zone Natura 2000 existe 936 hébergements touristiques (dont cinq campings) cumulant 5 450 lits[o 5].

L'office de tourisme des mille étangs et le département proposent ainsi 22 randonnées dont la longueur varie de 4 à 24 km[é 1] et une randonnée en itinérance de 80 km en quatre étapes[é 2]. Tous les ans est organisé un festival de la randonnée : « Mille pas aux 1000 étangs ». En 2019, 18 associations se sont regroupées pour organiser 16 itinéraires de longueur et niveaux variables[13]. Des activités de cyclotourisme sont également développées : trois boucles cyclables dont la longueur varie de 24 à 62 km, cinq circuits pour VTT dont la longueur varie de 15 à 28 km ; un service de vente, entretien et réparation de cycles est également proposé avec la possibilité de louer des vélos à assistance électrique (VAE)[é 3]. Un itinéraire balisé de 15 km est réservé à la randonnée avec raquette à neige et au ski de fond[é 4]. Des randonnées équestres sont également proposées[é 5]. Enfin, un itinéraire routier de 60 km, « L'Échappée des 1000 Étangs », permet de visiter six lieux majeurs agrémentés d’outils interprétation interactifs[é 6].

Notes et références modifier

Références à la bibliographie modifier

  1. a et b Natacha Ferrer 2008, p. 20.
  2. a et b Natacha Ferrer 2008, p. 26.
  3. a b c et d Natacha Ferrer 2008, p. 12.
  4. Michel Bregnard 2010, p. 118-120.
  5. a b c et d Natacha Ferrer 2008, p. 16.
  6. a b et c Natacha Ferrer 2008, p. 14.
  7. Natacha Ferrer 2008, p. 107.

Références au site de l'INPN modifier

  1. a b c d e et f « Le plateau des Mille Étangs, Natura 2000 », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  2. « Plateau des Mille Étangs » [PDF], sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  3. « ZNIEFF 430020025 - étang et tourbière du grand Saint-Maurice » (consulté le ).
  4. « ZNIEFF 430020367 - ruisseau de la Noue Armand » (consulté le ).
  5. « ZNIEFF 430010442 - vallée supérieure de l'Ognon et ses affluents » (consulté le ).
  6. « ZNIEFF 430002363 - tourbière de la Grande Pile » (consulté le ).
  7. « ZNIEFF 430020249 - ancien aérodrome de Lure Malbouhans » (consulté le ).
  8. « ZNIEFF 430013659 - le Mont de vannes et le Rhien » (consulté le ).
  9. « ZNIEFF 430002354 - vallée de la Lanterne et du Breuchin » (consulté le ).
  10. « ZNIEFF 430020230 - ruisseau et tourbière d'Evouhey » (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 430020222 - derrière les cent sous et pré ramey » (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 430002364 - tourbière des grands Faings » (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 430010438 - étang du Liebaud » (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 430010437 - étang des Gorgeots » (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 430020041 - étangs des bois du prince et des Perrières » (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 430020361 - le Beuletin et ses affluents » (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 430010434 - étang à l'est de la goutte Gehan » (consulté le ).
  18. « ZNIEFF 430020221 - étang de la vierge du Reposou » (consulté le ).
  19. « ZNIEFF 430020365 - ruisseau du Bozon » (consulté le ).
  20. « ZNIEFF 430010435 - étang du Sapin-du-Haut » (consulté le ).
  21. « ZNIEFF 430010429 - étangs et ruisseaux de Mansevillers et du Pré » (consulté le ).
  22. « ZNIEFF 430020229 - le bois du Fahy » (consulté le ).
  23. « ZNIEFF 430002349 - Le cigle de Ternuay< » (consulté le ).
  24. « ZNIEFF 430010430 - étang des Chaumy » (consulté le ).
  25. « ZNIEFF 430020029 - tourbière et étang de la grande Chaussée » (consulté le ).
  26. « ZNIEFF 430020031 - étangs et tourbières feu de Chaudière au Serrurey » (consulté le ).
  27. « ZNIEFF 430020353 - vallée du Breuchin entre Amage et Faucogney » (consulté le ).
  28. « ZNIEFF 430020366 - étangs en Pré Perras et en Pré Boichey » (consulté le ).
  29. « ZNIEFF 430010431 - étang du Boffy et des Gros Feux » (consulté le ).
  30. « ZNIEFF 430010432 - étang au Plain des Romains » (consulté le ).
  31. « ZNIEFF 430020354 - étang de la Goutte du Frêne » (consulté le ).
  32. « ZNIEFF 430020360 - ruisseaux des Avoineries et de Saint-Hilaire » (consulté le ).
  33. « ZNIEFF 430002351 - cascades de Miellin » (consulté le ).
  34. « ZNIEFF 430020359 - ruisseaux de la foule et des rivets » (consulté le ).
  35. « ZNIEFF 430020235 - étangs Lantau et Girard » (consulté le ).
  36. « ZNIEFF 430020232 - étang et ruisseau du bois de Forembert » (consulté le ).
  37. « ZNIEFF 430002357 - étangs d'Arfin et tourbière de l'Ambyme » (consulté le ).
  38. « ZNIEFF 430020032 - étangs d'Épée » (consulté le ).
  39. « ZNIEFF 430020231 - étang Cheval » (consulté le ).

Références au site Échappée des 1000 étangs modifier

  1. « Les circuits de randonnée » (consulté le ).
  2. « La randonnée en itinérance » (consulté le ).
  3. « Cyclotourisme » (consulté le ).
  4. « Ski de fond / raquette » (consulté le ).
  5. « Balade à cheval » (consulté le ).
  6. « L'Échappée des 1000 Étangs » (consulté le ).

Autres références modifier

  1. « le Plateau des Mille Étangs », sur les-mille-etangs.com (consulté le ).
  2. a b c et d Denis Mathis, « Les enjeux des paysages d’eau dans la construction du Pays des Mille Étangs », Revue Géographique de l'Est,‎ vol.56 / n°1-2 | 2016, p. 1-18 (lire en ligne).
  3. a b c d e et f Patricia Louis, « Haute-Saône : vers un label pour le site des Mille étangs », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  4. a et b « Le Plateau des Mille Etangs » [PDF], sur haute-saone.gouv.fr, DDEA 70, SER, (consulté le ).
  5. a b et c « Mille étangs, mille facettes » [vidéo], sur France 3 Franche-Comté Pourquoi chercher plus loin ?, (consulté le ).
  6. La Haute-Saône... à pied, F.F. Randonnée, (ISBN 2-7514-0145-7), 2006.
  7. Natacha Ferrer 2008, p. 17.
  8. Natacha Ferrer 2008, p. 18.
  9. « Tourbière de la Grande Pile », sur Réserves naturelles de France (consulté le ).
  10. « Découvertes à la carte » [PDF], sur parc-ballons-vosges.fr, Munster, Parc naturel régional des Ballons des Vosges (consulté le ).
  11. Sophie Courageot, Laurent Brocard et C.Schulbaum, « Le plateau des 1000 étangs en Haute-Saône classé sous un nouveau label ? », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
  12. Ch.L., « Mille Étangs : vers une reconnaissance au Patrimoine mondial de l’Unesco », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  13. Sophie Courageot, Laurent Brocard et C.Schulbaum, « Mille pas aux 1000 étangs : un festival de la randonnée pour découvrir ce magnifique coin de Haute-Saône », sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Bibliographie modifier

Filmographie modifier