Maud Fontenoy

navigatrice et femme politique française

Maud Fontenoy
Illustration.
Maud Fontenoy
Fonctions
Ambassadrice des Classes de Mer auprès du ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse
En fonction depuis le
(4 ans, 9 mois et 9 jours)
Vice-présidente du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur
déléguée au Développement durable, à l'Énergie et à la Mer

(5 ans, 6 mois et 14 jours)
Élection 13 décembre 2015
Circonscription Var
Président Christian Estrosi
Renaud Muselier
Biographie
Date de naissance (46 ans)
Lieu de naissance Meaux (France)
Nationalité Française
Profession Navigatrice

Maud Fontenoy, née le à Meaux (Seine-et-Marne), est une navigatrice, militante écologiste à tendance libérale et femme politique française.

Biographie modifier

Jeunesse et vie privée modifier

Maud Fontenoy est la fille de Marc Fontenoy, président-directeur général d'un groupe immobilier[1] et de Chantal Franchino, pharmacienne[2], morte d'un cancer en 2016[3].

Passionnée de voile, elle suit la formation de l'école de voile des Glénans et navigue toute sa jeunesse en compagnie de ses parents. Elle navigue sur la yole de Bantry "Action" et devient pendant quelques années présidente de la Fédération des Yoles[4]. Impressionnée par la performance sportive de Gérard d'Aboville, premier Français à traverser l'océan Atlantique à la rame dans le sens ouest-est, elle se forme à cette discipline. Elle pratique aussi la natation et l'équitation.

Elle étudie le droit et travaille durant une époque comme agent immobilier[5].

En 2006, elle est opérée d'un cancer du col de l'utérus[6].

Le à La Réunion, avec le photographe Thomas Vollaire, elle donne naissance à son premier enfant[7], un garçon prénommé Mahé en hommage à l'officier de marine Bertrand-François Mahé de La Bourdonnais[5],[8]. À Papeete (Tahiti), elle donne naissance à une fille, Hina, le , puis, le , à un garçon prénommé Loup[9], dont le père est Raphaël Enthoven[6].

En , elle a un garçon – Côme – avec Olivier Chartier[10], alors conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine[11] épousé à Gassin le [12],[13],[14].

Carrière sportive modifier

Traversée de l'océan Atlantique nord à la rame modifier

Le , encouragée et parrainée par Gérard d'Aboville[15], elle entreprend à l'âge de 25 ans la traversée de l'océan Atlantique nord dans le sens ouest-est. Partie de Saint-Pierre-et-Miquelon, elle rejoint la Corogne en Espagne le après 117 jours de mer, 3 700 km parcourus et une vingtaine de chavirages[16]. Elle est la première femme à avoir réalisé cette traversée précise de l'Atlantique Nord.

En 1969, le Britannique Tom McClean est le premier à traverser l'Atlantique Nord à la rame, rejoignant l'Irlande depuis Terre-Neuve en 71 jours. En 1980, Gérard d'Aboville est le premier navigateur Français à traverser l'océan Atlantique en solitaire à la rame du Cap Cod aux États-Unis à Brest en 71 jours et 23 heures. Depuis 2004, le record de la traversée est détenu par le navigateur français Emmanuel Coindre en 62 jours, le seul à doubler ce parcours d’Ouest en Est depuis Chatham dans le Massachusetts à Brest en 2002 puis à La Baule en 2004.

Traversée de l'océan Pacifique sud à la rame modifier

Le , Maud Fontenoy quitte le port de Callao au Pérou pour tenter de rallier la Polynésie française en suivant l'itinéraire du radeau Kon-Tiki de Thor Heyerdahl qui avait fait cette traversée en 1947. Elle comptait ramer pendant 4 ou 5 mois, sans assistance, sur son canot Océor long de 7,5 mètres et large de 1,6 mètre.

Arrivée le après 72 jours de mer[17] et 6 780 kilomètres[17], elle touche l'île de Hiva Oa aux îles Marquises[18]. Le radeau Kon-Tiki avait réalisé le même trajet (en réalité 1 000 kilomètres de plus) en 101 jours, aidé d'une voile rudimentaire.

Maud Fontenoy est donc la première femme à réaliser cette traversée sur l'océan Pacifique sud d'est en ouest à la rame et sans assistance.

Tour de l'hémisphère sud à la voile de l'est vers l'ouest modifier

 
Le patrouilleur La Boudeuse qui escorte le voilier pendant le tour de l'hémisphère sud[19].

Le , elle s'engage dans un parcours à la voile de 14 500 kilomètres, en solitaire et sans assistance, en traversant les mers du Sud de l'est vers l'ouest, c'est-à-dire à contre-sens des vents et courants dominants. Partie de l'île de La Réunion à la barre de L'Oréal Paris, l'ancien monocoque Adrien de Jean-Luc Van Den Heede, elle passe par le cap de Bonne-Espérance, le cap Horn puis le cap Leeuwin pour revenir à son point de départ cinq mois plus tard.

Le , à une dizaine de jours de son arrivée prévue au port de la Pointe des Galets, elle démâte au large des côtes australiennes alors qu'elle a déjà parcouru un tiers de l'océan Indien. Elle parvient à réparer dans la nuit suivante et poursuit sa route sous gréement de fortune[20].

Le , elle rencontre dans l'océan Indien le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc qui l'escorte pendant deux jours[21].

Le navire est également escorté par le patrouilleur de la marine nationale française, La Boudeuse, dès le , avec à son bord, son père Marc Fontenoy, dirigeant de Fontenoy groupe immobilier, et 30 hommes d'équipage[19].

Le , après 151 jours, elle rejoint son point de départ à La Réunion[22].

Le Comité mondial des records de voile (WSSRC) a considéré qu'en partant de l'île de La Réunion et en faisant le tour de l'Antarctique, Maud Fontenoy avait parcouru seulement 12 000 nmi, et non les 21 600 nmi qui lui permettraient de revendiquer le tour du monde[22],[23]. Le titre de vainqueur du tour du monde à la voile en solitaire sans assistance d'est en ouest (c'est-à-dire contre les vents et les courants dominants) reste donc celui détenu depuis l'année précédente par Dee Caffari, première femme à l'avoir accompli[22],[24].

 
Le voilier Tahia, ancien porte-drapeau de la fondation Maud Fontenoy.

Maud Fontenoy Foundation modifier

Depuis 2008, la Maud Fontenoy Foundation, enregistrée aux Pays-Bas « s’engage en France et dans le monde pour préserver les océans »[25],[26]. La fondation est soutenue par des grands groupes privés et institutionnels[27].

Elle mène des actions d’éducation à l'environnement marin auprès de la jeune génération et du grand public avec le soutien d'un comité d'experts[28] et en partenariat avec le ministère de l'Éducation nationale[29]. Son objectif, à la fois écologique et social, se résume par cette formule : « Sauver l’océan, c’est sauver l’Homme »[30]. Elle est représentée en France par l'association Maud Fontenoy France[31],[32].

Polémiques autour de la fondation modifier

En 2014, à la suite de ses prises de positions en faveur de la recherche scientifique autour du nucléaire, des OGM, des pesticides et du gaz de schiste[33],[34], Nicolas Hulot soutien de la navigatrice, coupe les ponts avec Maud Fontenoy.

Yvon Le Maho, directeur de recherche au CNRS ainsi que le biologiste Gilles Bœuf, président du Muséum national d'histoire naturelle, démissionnent du comité scientifique de la fondation, reprochant à Maud Fontenoy de les avoir cités dans la page des remerciements de son ouvrage Ras le bol des écolos[35].

En 2015, le journal La décroissance lance une pétition intitulée « Débarquons Maud Fontenoy des écoles »[36], accusant la fondation de diffuser une idéologie économique jugée libérale. La fondation dément ces affirmations[37].

Engagement écologique modifier

En 2009, Maud Fontenoy est nommée porte-parole pour les océans de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO) et du Réseau Océan mondial pour les océans [38],[39],[40].

Elle a été vice-présidente du Conservatoire du littoral[41], de [42] à 2014[43].

Maud Fontenoy s'engage en 2014 pour la promotion d'une écologie présentée comme pragmatique[44], qu'elle défend dans l'ouvrage Ras le bol des écolos. Elle y dresse un état des lieux de la situation de la planète et de solutions scientifiques et technologiques qu'elle juge inaudibles dans les débats écologistes[45]. La presse retient surtout le fait qu'elle y aborde la recherche sur le gaz de schiste[46], énergie qu'elle qualifie « [d']atout écologique[5] » lorsqu'elle est exploitée via des techniques non-polluantes[47]. Cet engagement, après la publication de plusieurs guides concernant l'écologie, suscite des critiques - le magazine Elle la décrit ironiquement à ce propos comme « l'abbé Pierre militant en faveur de l'optimisation fiscale[5] ».

Elle continue son engagement personnel en rédigeant plusieurs ouvrages sur l'écologie. Avec Les raisons d'y croire, en 2015, elle se positionne pour le développement de solutions technologiques et domaines de recherche, comme le biomimétisme.

En 2016, elle réaffirme son engagement pour une écologie pragmatique et non-manichéenne à travers le livre Des tempêtes j'en ai vu d'autres. Elle y défend ses positions politiques et sa vision d'une écologie capable, selon elle, de profiter à la fois à l'environnement et aux populations[48].

En , elle s'engage pour la préservation de l'océan qu'elle décrit comme « un géant aux pieds d'argile » à travers le livre Les mers et les océans pour les nuls[49].

Toujours en 2019, elle est nommée par le ministre de l’Éducation Nationale, Jean-Michel Blanquer : « Ambassadrice des classes de mer auprès du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse »[50].

En 2020, elle publie Bleu, un Océan de Solutions, un livre illustré par les photographies de Yann-Arthus Bertrand[51]. Elle publiera l'année suivante La mer au secours de la Terre, sorte de guide pratique à destination des élus et du grand public pour agir pour et avec l’Océan[52].

En 2023, elle écrit et incarne à l'écran la nouvelle série documentaire Bleu, un Océan de solutions sur Canal+. Les documentaires ont pour objectif de « mettre à l'honneur les femmes et les hommes qui consacrent leur vie à comprendre les océans pour mieux les protéger[53] ».

Engagement politique modifier

Maud Fontenoy est candidate aux élections régionales de en Île-de-France, sur la liste de l'UMP, conduite par Jean-François Copé[54] (14e sur 23 de la liste Seine-et-Marne), mais n'est pas élue[55].

En 2012, elle soutient la candidature de Nicolas Sarkozy, dont elle est une proche depuis plusieurs années, à l'élection présidentielle[56],[57].

De 2015 à 2021, elle est 8e vice-présidente du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur, chargée du Développement durable, de l'Énergie et de la Mer[58]. Elle figurait sur la liste de Christian Estrosi lors des élections régionales de , en no 2 sur la liste du Var[59].

En février 2022, elle finit par « jurer qu’on ne l’y reprendra plus » dans le magazine Paris-Match : « Quand on s’implique en politique, même de loin, on déclenche la foudre. On vous fait dire n’importe quoi. Face à l’importance des enjeux, les guerres politiciennes m’ont écœurée »[60].

Médias modifier

En juillet et août 2007, Maud Fontenoy anime l'émission À contre courant sur Europe 1[61].

En , elle rejoint la rédaction de Valeurs actuelles pour la rubrique « environnement-santé »[62] pour quelques mois.

En février 2022, elle présente Un océan de solutions, un programme de 10 courts métrages diffusés sur C8[63].

En avril 2022, elle est nommée au conseil de surveillance du groupe Vivendi[64] présidé par Yannick Bolloré.

Décorations modifier

Le , elle reçoit les insignes de chevalier de l'ordre national du Mérite et de l'ordre du Mérite Maritime des mains de Nicolas Sarkozy, président de la République.

Le , Maud Fontenoy est nommée au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur[65].

Œuvres modifier

Récits personnels modifier

  • Atlantique face nord : Première féminine à la rame (préf. Gérard d'Aboville), Paris, Robert Laffont, , 172 p., 22 cm (ISBN 2-221-10195-2)
  • Le Pacifique à mains nues (préf. Patrick Poivre d'Arvor, postface de Michel Polacco), Paris, Robert Laffont, , 171 p., 22 cm (ISBN 2-221-10527-3)
  • 150 jours à contre-courant : Mon carnet de bord, Paris, Chêne, , 248 p., 26 cm (ISBN 978-2-84277-783-8)
  • Le sel de la vie, Arthaud,

Autres modifier

Elle est co-productrice et co-réalisatrice des documentaires suivants :

  • À contre-courant, 2007, Gedeon programmes (75 minutes)
  • Tahia, cap sur les Caraïbes, 2011, EuropaCorp TV (90 minutes)
  • L'incroyable voyage, 2012, Gedeon programmes (52 minutes)
  • Paradis Blanc, 2012, Gaumont Télévision (52 minutes)
  • Bleu, Un Océan de Solutions, 2023, Canal+, Série documentaire (52 minutes par épisode)

Notes et références modifier

  1. « Notre histoire - Fontenoy Groupe Immobilier », sur fontenoy.com (consulté le ).
  2. « Maud Fontenoy Biographie » (consulté le ).
  3. « Trouver un avis de décès », sur avis-deces.linternaute.com (consulté le ).
  4. « Ecolopedia - Maud Fontenoy (onglet : parcours) », sur ecolopedia.fr (consulté le ).
  5. a b c et d Marie-Dominique Lelièvre, « Maud Fontenoy mène sa barque », Elle, no 3563,‎ , p. 108-110.
  6. a et b Lili Chablis, « Maud Fontenoy : En guerre contre le père de son troisième enfant ! », France Dimanche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  7. « Maud Fontenoy, l'hyperactive écologiste », Anne Vidalie, L'Express, .
  8. Valérie Rivière, « Maud Fontenoy a accouché d'une petite fille, Hina », linternaute.fr, .
  9. « Bienvenue à Loup, le bébé de Maud Fontenoy né à Tahiti », (consulté le ).
  10. « Maud Fontenoy et Olivier Chartier vont se marier », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  11. Thomas Montet, « Maud Fontenoy enceinte : Bientôt maman pour la 4e fois ! », Purepeople,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. « Nicolas Sarkozy, Jean-Louis Borloo, Claude Lelouch, Hélène Darroze au mariage de Maud Fontenoy et Olivier Chartier dans le Var », Var-Matin,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Mariage de Maud Fontenoy à Gassin – Promouvoir ensemble notre territoire ! », sur pro.gassin.eu (consulté le ).
  14. « Maud Fontenoy s'est mariée avec Olivier Chartier », Closermag.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. « Les aventures de la navigatrice meldoise Maud Fontenoy dans un livre », leparisien.fr,‎ 2004-03-19cet00:00:00+01:00 (lire en ligne, consulté le )
  16. « Maud Fontenoy réussit la traversée du Pacifique à la rame », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  17. a et b Voir sur oceanrowing.com.
  18. « Maud Fontenoy réussit la traversée du Pacifique à la rame », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. a et b « Maud Fontenoy escortée par la Marine nationale », sur tempsreel.nouvelobs.com, .
  20. Plateau brève : le tour du monde de Maud Fontenoy sur FR2 () ina.fr. Consulté le . La scène se produit à 25:44.
  21. « Maud, dis bonjour au porte-hélico », sur 20minutes.fr, .
  22. a b et c Patricia Jolly, « Questions sur un exploit », LeMonde.fr, (consulté le ).
  23. (en) John Reed, « WSSR Newsletter No 128 Maud de Fontenoy », WSSR Council, (consulté le ).
  24. Le grand plongeon à droite de Maud Fontenoy sur lemmonde.fr du .
  25. fondation néerlandaise créée en « mentions légales "Maud Fondenoy Foundation" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  26. « Maud Fontenoy Fondation - Education à l'environnement et préservation des océans », sur maudfontenoyfondation.com (consulté le ).
  27. « Maud Fontenoy Fondation - Nos partenaires Fondation Carrefour, Groupe Socoda »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur maudfontenoyfondation.com (consulté le ).
  28. « Maud Fontenoy Fondation - Notre comité d'experts »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur maudfontenoyfondation.com (consulté le ).
  29. Vincent Peillon, « Des kits pédagogiques pour découvrir et comprendre les enjeux de la protection des océans et de notre planète, avec la fondation Maud Fontenoy »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur education.gouv.fr, .
  30. « Notre Mission »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  31. Association d'intérêt général comme toute association loi de 1901 « Association française « Maud Fontenoy France » » (consulté le ).
  32. Association non reconnue d'utilité publique comme cela est faussement mentionné sur le site officiel « mentions légales "Maud Fontenoy France" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  33. Le grand plongeon à droite de Maud Fontenoy sur lemonde.fr du .
  34. Le Point, magazine, « Maud Fontenoy (LR) appelle à "ne pas tout rejeter" sur les OGM et le gaz de schiste », Le Point,‎ (lire en ligne, consulté le )
  35. « Ecolo mais pas trop : Maud Fontenoy, navigatrice en eaux troubles », .
  36. « Une campagne est lancée pour « débarquer Maud Fontenoy des écoles » »
  37. « L'équipe de la Maud Fontenoy Foundation propose d'économiser de l'énergie en avançant ensemble. », sur facebook.com (consulté le ).
  38. P. Chiang-joo, « Maud Fontenoy »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), UNESCO, (consulté le ).
  39. AFP, « La navigatrice française Maud Fontenoy "ambassadrice des océans" de l'Unesco », leParisien.fr, (consulté le ).
  40. « La navigatrice française Maud Fontenoy nommée porte-parole des océans »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ONU Info, (consulté le ).
  41. « Le conseil d'administration »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Conservatoire du littoral (consulté le ).
  42. « Jérôme Bignon élu président du Conservatoire du littoral », sur actu-environnement.com, .
  43. « Arrêté du 18 avril 2014 portant nomination au conseil d’administration du Conservatoire de l’espace littoral et des rivages lacustres », sur bulletin-officiel.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  44. « Maud Fontenoy : « L'écologie est trop importante pour être réservée à la gauche » », Le Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le )
  45. « Maud Fontenoy : « Être une mère écolo sans devenir parano » », Madame Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le )
  46. Clara Griot et Hervé Kempf, « Maud Fontenoy, l’imposture écologiste que le gouvernement prend en exemple », sur Reporterre.net, (consulté le ).
  47. « Maud Fontenoy : « J'essaie de porter une écologie qui soit pragmatique et modérée » », sur France Inter, (consulté le ).
  48. « Des tempêtes, j’en ai vu d’autres - Pour une écologie sans démagogie - Afis - Association française pour l'information scientifique », sur pseudo-sciences.org (consulté le ).
  49. « Maud Fontenoy : les océans sont des géants aux pieds d'argile », sur CNEWS (consulté le ).
  50. Emilie Torgemen, « Sauvegarde des océans : pour la navigatrice Maud Fontenoy, « il y a de quoi être optimiste » », sur leparisien, (consulté le ).
  51. « Bleu, un océan de solutions », sur radiofrance.fr, .
  52. « La mer au secours de la terre », sur ouest-france.fr, .
  53. « Les nouveaux explorateurs - Bleu, Un Océan de Solutions »
  54. « Peu de people candidats », leParisien.fr, (consulté le ).
  55. Résultats des élections régionales 2004, région Île-de-France, site du ministère de l'Intérieur.
  56. « Sarkozy accueille une brochette de nouveaux people à Villepinte », marianne.net, (consulté le ).
  57. Maud Fontenoy (préf. Gérard d'Aboville), Atlantique face nord : Première féminine à la rame, Paris, Robert Laffont, , 172 p., 22 cm (ISBN 2-221-10195-2)
  58. Service Actu, « Maud Fontenoy, l'écolo pro-OGM et pro-gaz de schiste rejoint "Valeurs actuelles" - Les Inrocks », Les Inrocks,‎ (lire en ligne, consulté le )
  59. « Maud Fontenoy, la surprise de la liste régionale de Christian Estrosi », sur blogs.mediapart.fr, .
  60. « Maud Fontenoy, la vigie du Grand Bleu », sur paris match.com, .
  61. « Maud Fontenoy », Merveilleux Aventuriers, (consulté le ).
  62. Lefigaro.fr, « Maud Fontenoy rejoint Valeurs actuelles », Le Figaro,‎ (lire en ligne  , consulté le ).
  63. « Maud Fontenoy présente le documentaire "Bleu, un océan de solutions" - Vidéo Dailymotion », sur Dailymotion, (consulté le )
  64. « Vivendi : l’Assemblée générale annuelle approuve l’ensemble des résolutions - Vivendi », sur www.vivendi.com (consulté le )
  65. « Grande chancellerie de la légion d'honneur » [PDF]

Voir aussi modifier

Liens externes modifier