Marcillat-en-Combraille

commune française du département de l'Allier

Marcillat-en-Combraille
Marcillat-en-Combraille
L'église Notre-Dame, nef et clocher.
Blason de Marcillat-en-Combraille
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Allier
Arrondissement Montluçon
Intercommunalité Communauté d'agglomération Montluçon Communauté
Maire
Mandat
Patrick Capon
2020-2026
Code postal 03420
Code commune 03161
Démographie
Gentilé Marcillatois[1]
Population
municipale
905 hab. (2021 en augmentation de 0,89 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 10′ 04″ nord, 2° 38′ 03″ est
Altitude Min. 347 m
Max. 535 m
Superficie 35,21 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Montluçon-3
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Marcillat-en-Combraille
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Marcillat-en-Combraille
Liens
Site web marcillatcombraille.fr

Marcillat-en-Combraille (en occitan, Marcilhac de Guiena) est une commune française située dans le département de l'Allier, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

Localisation modifier

Située dans les Combrailles, à quelques kilomètres du département du Puy-de-Dôme, le bourg de Marcillat-en-Combraille se situe sur une butte, à 495 mètres d'altitude, dominant les vallées de la Tartasse et du Bouron. Bien que chef-lieu de canton jusqu'en , la commune de Marcillat-en-Combraille est aujourd'hui moins peuplée que celles de Durdat-Larequille et de Villebret, plus proches de Montluçon, sous-préfecture du département de l'Allier.

Depuis les élections départementales de 2015, Marcillat-en-Combraille dépend du canton de Montluçon-3[2].

Huit communes sont limitrophes de Marcillat-en-Combraille, dont deux dans le département limitrophe du Puy-de-Dôme[3],[4].

Communes limitrophes de Marcillat-en-Combraille
La Petite-Marche Terjat Arpheuilles-Saint-Priest
Ronnet
  Virlet (Puy-de-Dôme)
Saint-Marcel-en-Marcillat Saint-Fargeol Pionsat (Puy-de-Dôme)

Voies de communication et transports modifier

En arrivant depuis le nord, l'accès routier s'effectue après une succession de virages en lacet. Le bourg est situé à 22 kilomètres au sud de Montluçon par la route départementale 1089, ancienne route nationale 689. Cette route continue vers Pionsat au sud-est.

Le territoire communal est également traversé par les routes départementales 4 (vers Montaigut), 51 (vers Saint-Fargeol), 151 (vers Terjat), 409 (vers La Petite-Marche), 451 (vers Virlet) et 915 (vers Évaux-les-Bains)[3].

Par le passé, le bourg de Marcillat-en-Combraille était situé sur l'ancienne ligne ferroviaire de Montluçon à Gouttières via Néris-les-Bains et Pionsat.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Pionsat à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 917,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Marcillat-en-Combraille est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (63,4 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), forêts (8,2 %), zones urbanisées (1,7 %)[16].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie modifier

Au Moyen Âge Marcillat était nommée Marcillac-en-Guyenne[17],[18], nom qui dérive de son nom local occitan Marcilhac de Guiena (dialecte marchois[19],[20],[21])[22]. Marcillat fait, en effet, partie du Croissant[23], zone où la langue occitane se mélange à la langue d'oïl (ici le bourbonnais)[24],[25].

Histoire modifier

Au Moyen Âge, Marcillat obtient une charte de franchise, octroyée en 1258 par Guillaume de Rochedagoux ; cette charte est semblable à celle de Montluçon de 1242. Le seigneur est représenté par un bailli. La censive annuelle va de 6 sous à 1,50 sou. Cette charte contient 53 articles ; elle fut confirmée en par Louis Ier de Bourbon.

En 1973, le comte de Durat installe dans son château du Ludaix Michel-Georges Micberth (1945-2013), pamphlétaire et homme politique qui dirige la Nouvelle Droite française. Celui-ci est arrêté le pour avoir détenu un chéquier volé au nom de l'ancien président de la République Georges Pompidou. C'est l'affaire dite des chèques Pompidou.

En 1991, Marcillat-en-Combraille est jumelée avec la ville de Wadersloh, en Allemagne (Rhénanie-du-Nord-Westphalie).

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Henri Désarménien[26] Droite Notaire
Conseiller général
    Pierre Bitard   Vétérinaire
Conseiller général
  Maxime Chatron    
Bernard Barraux DVD puis UMP Industriel
Sénateur (1989-2008)
Conseiller général (1973-2011)
Christian Chito DVD Vétérinaire retraité
Conseiller général du canton de Marcillat-en-Combraille
Conseiller départemental du canton de Montluçon-3
Vice-président du conseil départemental[Note 2]
Président de la communauté de communes du Pays de Marcillat-en-Combraille[27]
[MC 1] En cours
(au )
Patrick Capon   Retraité de la Police Nationale

Équipements et services publics modifier

Enseignement modifier

Marcillat-en-Combraille dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école élémentaire publique[28].

Les élèves poursuivent leur scolarité au collège de La Combraille, situé dans la commune[28], puis dans les lycées de Montluçon[29].

Télécommunications modifier

Internet modifier

Le (très) haut débit est en cours de déploiement. Pour les entreprises, le FTTO (Fibre to the Office) est prévu pour le troisième trimestre 2018. Actuellement, le débit xDSL (Pro) varie entre 10 et 85 Mbit/s au centre du village.

GSM / Mobiles modifier

À mi-2016, selon les mesures des l'Arcep[30] :

  • 4G : Tous opérateurs confondus, 33 % de la commune est couverte en 4G avec 0 % chez Bouygues, 33 % chez Free, 2 % chez Orange, 0 % chez SFR ;
  • 3G : 58 % chez Bouygues, 98 % chez Free, 99 % chez Orange et 75 % chez SFR ;
  • 2G : 86 % chez Bouygues, 99 % chez Free, 99 % chez Orange et 82 % chez SFR.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 905 habitants[Note 3], en augmentation de 0,89 % par rapport à 2015 (Allier : −1,97 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4141 1291 3681 4931 5921 7761 7041 7951 755
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7361 7281 8101 9561 9602 0132 0752 0952 075
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0632 0491 9571 7861 7961 5881 5291 4251 290
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2071 1471 011976866912902898898
2021 - - - - - - - -
905--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Le jeudi est le jour du marché local.
  • Marché de printemps et Marché de Noël.

Sports et loisirs modifier

  • Avenir Combraille : football.
  • Hand' Combraille : handball.
  • T.C. Marcillat : Tennis-Club des Combrailles.

Médias modifier

Trois stations FM sont diffusées sur le secteur : la radio locale Radio Tartasse 106.2, RMB 103.9 et Europe 1 105.0.

Économie modifier

Commerçants - artisans - entreprises modifier

Marcillat-en-Combraille compte une vingtaine de commerçants et artisans. La plupart d'eux sont réunis dans l'ATIC (l'association des travailleurs indépendants de la Combraille).

La zone d'entreprise accueille divers entreprises.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
  • Église Notre-Dame, datant des XIIe et XIXe siècles et possédant un chevet roman, inscrit au titre des monuments historiques en 1933[35].
  • Château du Courtioux, une grande bâtisse qui avec ses dépendances et son parc, à proximité immédiate du bourg, fut achetée en 1961 par la ville de Sarcelles et accueillit de cette date à 1991, des colonies de vacances de cette commune de la région parisienne[36].
  • Château du Ludaix, château construit au début du XIXe siècle à l'emplacement d'une gentilhommière du XVe siècle. Il a conservé son donjon médiéval.
  • Château de la Romagère.
  • Château de Fougères.
  • Château de Marcillat, dans le centre du bourg, donjon carré et logis d'un château du XVe siècle[37].

Associations modifier

  • Arverni, résidence d'artistes. Arverni a pour but de soutenir par tout moyen la création et la recherche artistiques, ainsi que d’amener la population locale à participer activement pour s’enrichir culturellement.

Personnalités liées à la commune modifier

  • L'exploratrice Erique Guilloteaux (1862-1958), grand tante d'Hervé Bazin et donatrice du musée Anne de Beaujeu de Moulins, s'est retirée à la fin de sa vie à Marcillat.
  • L'abbé Michel Peynot (1866-1950), érudit local né à Marcillat, auteur d'un ouvrage réputé sur Marcillat ; une rue de la ville porte son nom.
  • Bernard Barraux (né à Marcillat en 1935), sénateur de l'Allier de 1989 à 2008, maire de la commune de 1971 à 2008.

Héraldique modifier

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

D’azur au lion échiqueté d’or et de gueules, à la cotice d’argent brochant sur le tout.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Abbé Michel Peynot, Marcillat et ses environs, La Petite-Marche,
    réimpressions : Marseille, Laffitte Reprints, 1980 ; en 2008, Le Livre d'histoire-Lorisse (ISBN 978-2-7586-0222-4).
  • Édouard Garmy, Marcillat et ses environs,
    réimpression : Le Livre d'histoire-Lorisse, 1993 (ISBN 2-7428-0267-3).
  • Pierre Goudot, Microtoponymie rurale et histoire locale : dans une zone de contact français-occitan, la Combraille. Les noms de parcelles au sud de Montluçon, Montluçon, Société archéologique de Montluçon, coll. « études archéologiques », 2004, 488 p.  (ISBN 978-2-915233-01-8).

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

https://agorha.inha.fr/detail/632

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. 5e vice-président du conseil départemental de l'Allier chargé des ressources humaines, de l'administration générale et du numérique[27].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références modifier

  • Site de la mairie :
  1. Page d'accueil du site de la mairie, consultée le .
  • Autres sources :
  1. https://www.habitants.fr/allier-03
  2. Décret no 2014-265 du 27 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de l'Allier.
  3. a et b Carte de Marcillat-en-Combraille sur Géoportail.
  4. « Marcillat-en-Combraille »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Lion 1906.
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Marcillat-en-Combraille et Pionsat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Pionsat », sur la commune de Pionsat - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Pionsat », sur la commune de Pionsat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Michel Peynot, Marcillat et ses environs, La Petite-Marche, 1927 (réimpr. Marseille, Laffitte Reprints, 1980).
  18. André Blancard, Aux portes de l'Auvergne, Saint-Éloy-les-Mines,
  19. Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume (collectif), Patois et chansons de nos grands-pères Marchois (Haute-Vienne, Creuse, pays de Montluçon), Paris, Éditions CPE, 2010.
  20. Yves Lavalade, Dictionnaire occitan / français (Limousin - Marche - Périgord). Étymologies occitanes , 2e édition, éditions Lucien Souny, La Geneytouse (Haute-Vienne), 2003.
  21. Dominique Decomps, L'occitan redde e ben : lo lemosin (le limousin vite et bien), méthode d'initiation au limousin comprenant un manuel, accompagné d'un livret « Traduction des conversations et corrigés des exercices », Collection de l'Institut d'Études Occitanes, Éditions Omnivox, Paris, 1979.
  22. Pierre Goudot, Microtoponymie rurale et histoire locale : dans une zone de contact français-occitan, la Combraille. Les noms de parcelles au sud de Montluçon, Montluçon, Société archéologique de Montluçon, coll. « études archéologiques », 2004, 488 p.  (ISBN 978-2-915233-01-8).
  23. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda, Lori Lamel, « Comparaison dialectométriques de parlers du Croissant avec d’autres parlers d’oc et d’oïl », Le Croissant linguistique entre oc, oïl et francoprovençal : des mots à la grammaire, des parlers aux aires,‎ (lire en ligne).
  24. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, .
  25. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda (Limsi, CNRS), « Comparaison de dialectes du Croissant avec d’autres parlers d’oïl (berrichon-bourbonnais et poitevin-saintongeais) et d’oc », communication au colloque « 2èmes Rencontres sur les Parlers du Croissant », Montluçon, 2019, [lire en ligne].
  26. « gw.geneanet.org/mangerel?lang=… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  27. a et b « MONTLUCON-3 », sur le site du conseil départemental de l'Allier (consulté le ).
  28. a et b « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  29. « Sectorisation des lycées - 2GT - Allier »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur le site de l'académie de Clermont-Ferrand, Inspection académique de l'Allier, (consulté le ).
  30. « Quel réseau mobile couvre le mieux votre commune ? »
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Notice no PA00093148, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. Gaëlle Chazal, « Le château du Courtioux a été entièrement rénové pour accueillir de nouvelles populations », sur lamontagne.fr, .
  37. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 48 (cf. Marcillat-en-Combraille).