Marc-André Dalbavie

compositeur français

Marc-André Dalbavie, né à Neuilly-sur-Seine le , est un compositeur français.

Marc-André Dalbavie

Naissance
Neuilly-sur-Seine, Drapeau de la France France
Activité principale compositeur
Style
Années d'activité Depuis 1982
Collaborations Ircam
Éditeurs Gérard Billaudot Éditeur
Formation Conservatoire de Paris
Maîtres Michel Philippot,
Guy Reibel,
Betsy Jolas,
Claude Ballif,
Marius Constant,
Tristan Murail,
Pierre Boulez

Biographie

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Compositeur et chef d’orchestre français, né en 1961 à Neuilly-sur-Seine d'un père homme d’affaire (directeur général de NCR-France) et d'une mère qui est l'actrice et chanteuse américaine Perdita Chandler, Marc-André Dalbavie commence le piano à l'âge de 6 ans sous l'impulsion de sa famille.

Il passe le premier concours de piano dès ses 9 ans et obtient la mention très bien au concours général de France dans sa dixième année. Il a 10 ans à la mort de son père. C’est alors qu’il entre à l’École militaire préparatoire d'Autun.

Il continue sa formation de pianiste, malgré la discipline militaire d’un tel établissement et les activités sportives qui s’y déploient. C’est durant cette difficile période qu’il développe, avec la musique, une passion pour la littérature qui l’accompagnera tout au long de sa vie. Il y reste six ans.

À 17 ans, il décide de ne pas entamer une carrière militaire et de se consacrer pleinement à sa vocation : la musique. Il revient à Paris passer son baccalauréat au lycée Janson de Sailly, puis entre au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Il découvre alors la musique d'Alban Berg, encore adolescent, puis celle de György Ligeti, Olivier Messiaen et Edgard Varèse.

Formation

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Après des études approfondies auprès de Pierre Lantier (harmonie, contrepoint), Katori Makino (analyse) et Odette Gartenlaub (solfège), Marc-André Dalbavie intègre le Conservatoire national supérieur de musique de Paris. Il y suit notamment les cours de Michel Philippot pour la composition, Guy Reibel pour la musique électroacoustique, Betsy Jolas et Claude Ballif pour l’analyse, puis Marius Constant pour l’orchestration. Il y obtient plusieurs premiers prix.

Parallèlement, il étudie l’informatique musicale auprès de Tristan Murail et la direction d’orchestre avec Pierre Boulez dans le cadre d’un cursus organisé par le Ministère de la Culture. À 19 ans, il participe à un workshop au Laban Center de Londres avec John Cage et le chorégraphe Merce Cunningham. En 1983, il suit les cours de Franco Donatoni à Sienne, en Italie. Lors d’un cycle de conférences au Conservatoire, il découvre la musique spectrale et rencontre Michaël Levinas, Hugues Dufourt, Gérard Grisey et Tristan Murail, avec qui il approfondira ses recherches pendant un an. Entre 1985 et 1990, il collabore au département de recherche musicale de l’Ircam, où il développe son travail autour de la composition assistée par ordinateur, de l’analyse et de la synthèse du spectre sonore [1].

Carrière

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Sa première œuvre réalisée à l’Ircam, Diadèmes, le fait connaître dans le monde entier. Il séjourne à Berlin de 1992 à 1993 comme artiste en résidence, à l’invitation du Künstlerprogramm du DAAD, puis à la Villa Médicis à Rome de 1995 à 1996. Il est ensuite compositeur en résidence à l’Orchestre du Minnesota en 1998, à l’Orchestre de Cleveland en 2000, puis à l’Orchestre de Paris entre 2001 et 2005. En 2014, il est accueilli comme compositeur en résidence à la Fondation Gulbenkian de Lisbonne. Nommé en 1997 professeur d’orchestration au Conservatoire national supérieur de musique de Paris, il reçoit le prix de composition des Salzburger Osterfestspiele et, en 2010, le Grand Prix Sacem de la musique symphonique.

Explorateur du timbre, de la spatialisation orchestrale et de l’électronique, Marc-André Dalbavie a largement contribué à ouvrir la musique contemporaine à de nouveaux horizons. Il se consacre aujourd’hui à la composition d’opéras créés notamment à la Filature de Mulhouse, à l’Opernhaus de Zürich, au Festival de Salzbourg, à l’Opéra de Paris et à la Staatsoper de Berlin. Ses œuvres sont commandées par les plus grands orchestres du monde, parmi lesquels le Philharmonique de Berlin, le Symphonique de Chicago, les orchestres de Cleveland, Philadelphie, Amsterdam (Concertgebouw), Paris, Montréal, New York, Tokyo, la BBC, la Tonhalle de Zürich, le Gulbenkian de Lisbonne, Sao Paulo, Pékin, ou encore le Philharmonic Orchestra de Londres.

Il collabore également avec de prestigieuses institutions musicales comme le Carnegie Hall, le Suntory Hall de Tokyo, les Proms de Londres, les festivals d’Aspen, Marlboro et Santa Fe, la Cité de la Musique à Paris ou encore la Fondation Gulbenkian.En 2005, Radio France lui consacre un festival Présences regroupant 32 concerts. En 2012 et 2013, son œuvre Color est inscrite au programme du baccalauréat.

Parallèlement à ses activités de compositeur, il poursuit une carrière de chef d’orchestre, invité par de nombreuses formations internationales telles que le Cleveland Orchestra, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, les orchestres philharmoniques de Rotterdam, Tokyo, Monte-Carlo, Gulbenkian, Minneapolis, l’Orchestre de l’Opéra de Paris, le Mozarteum de Salzbourg et l’Opernhaus de Zürich.

Langage musical

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Le style de Marc-André Dalbavie est dans un premier temps rattaché au spectralisme. Il écrit une série de pièces mixtes, c’est-à-dire instrumentales et électroniques dont Seuils est certainement la plus emblématique. Puis, à partir des années 1994-1995, vivant alors à Berlin, il entame une réflexion autour de la métatonalité, concept élaboré par son ancien professeur Claude Ballif [2] tout en développant l’écriture par polyphonies de processus.

Partant d’une pensée de la transformation continue héritée de Ligeti et des musiques répétitives, tant provenant du minimalisme américain (Reich…), des musiques spectrales que des musiques extra-européennes (Pygmées, Bushmans, Indonésie…), il explore l’idée déjà présente dans Seuils, de superposer plusieurs flux de processus sonores, à la manière du mixage, et d’en contrôler les interactions par divers procédés de composition [3].

Sa collaboration avec l’écrivain Guy Lelong est décisive dans l’exploration du concept d’ «In Situ» élaboré par Daniel Buren, du domaine des arts plastiques aux domainex musical et scénique. C’est à cette époque, qu’il commence à réinvestir l’écriture orchestrale pour y intégrer des méthodes utilisées par l’électronique testée à l’IRCAM (IRCAM qu’il quitte en 1991). Il spatialise les orchestres autour du public dès son Concerto pour violon créé à Donaueschingen en 1996, et produit des effets de morphing orchestral, d’un son symphonique vers des sons quasi électroniques produits par des effets d’orchestrations spatialisés (Concertate il Suono, Dream of Unified Space…). C’est surtout durant sa période américaine qu’il se consacre à ces expérimentations [4].

De retour en France vers 2000, il remet les orchestres en situation frontale, tout en intégrant les techniques d’orchestrations spatialisées (Color, Ciaccone, Sinfonietta…) et en réinvestissant la forme concerto qu’il écrit pour des interprètes dont il se sent proche comme Leif Ove Andsnes avec son concerto pour piano créé aux Proms à Londres en 2005, son concerto pour flûte créé par Emmanuel Pahud à la Philharmonie de Berlin en 2006, son concerto pour hautbois, par Alexei Ogrintchouk au Barbican à Londres en 2010 et son concerto pour violoncelle par Dimitry Maslennikov à New-York en 2008 [3].

Opéras

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En 2010 (Gesualdo), après un premier essai avec Correspondances en 1999, Marc-André Dalbavie commence à composer des opéras, rêve qu’il entretenait depuis son adolescence. De sa rencontre avec John Cage et Merce Cunningham, il garde l’idée d’une certaine indépendance des disciplines : le livret, la mise en scène, la composition, la scénographie… ne sont pas assujettis l’un à l’autre, mais sont réarticulés sur de nouvelles relations, comme corrélés plus qu’interdépendants. Ses influences plongent dans les expérimentations du théâtre italien comme celui de Pirandello mais aussi des projets comme celui du théâtre d’Hellerau en Allemagne qui avait tant fasciné Paul Claudel.

Il collaborera avec les metteurs en scène, Patrice Hamel (avec lequel il poussera le plus loin l’idée d’un parallelisme des disciplines dans Correspondances), Moshe Leiser et Patrice Caurier pour Gesualdo dans lequel il explore différentes mises en abyme, Luc Bondy pour Charlotte Salomon où la peinture déclanche la musique, Stanislas Nordey pour le Soulier de Satin avec sa durée qui dépasse les limites du genre, puis David Marton pour Mélancolie de la Résistance qui mélange le cinéma et l’opéra. Les rapports entre le chant et la langue deviennent ses terrains de prédilection avec Sextine Cyclus composée pour Jean-Paul Fouchécourt, Chants pour les LIonheart Singers, Trois mélodies pour Magdaléna Kozenà et Sonnets de Louise Labé pour Philippe Jaroussky.

Marc-André Dalbavie entame dans l’opéra l’exploration de techniques de chant qui permettent de passer de façon continue du parlé au chanté. Toute l’écriture vocale prend pour base le rythme prosodique de la langue parlée pour se transformer, à la faveur du sens dramatique, vers du chant de plus en plus lyrique avec toutes les formes intermédiaires [5]. C’est dans cet esprit qu’il est sur un projet de composition depuis 2015 d’un cycle de mélodies en langue allemande à partir de la poésie de Paul Celan.


Mérite

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Décoration

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Récompenses et distinctions

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• Prix d’encouragement Ars Electronica en Autriche 1987[8]

• Pensionnaire de la Villa Médicis (1994-1996)[9]

• Prix d’encouragement Ernst von Siemens 1994

• Prix de composition du « Salzburger Osterfestpiele »1996[10]

• Nommé « Meilleur Jeune compositeur » de l’année, par USA Today’s (1998)[11]

• Prix de composition aux « Salzburger Osterfestpiele »[12]

• Nomination aux Grammy Awards 2008[13]

• Grand prix de la Musique Symphonique SACEM 2010[14]

• Prix Stoeger du Lincoln Center de New-York 2018[15]

• Grand prix Musique de la SACD 2022[16]

Œuvres

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Les partitions des œuvres de Marc-André Dalbavie est éditée par les éditions Billaudot et aux éditions Lacroch' à partir de 2021[17].

• Symphonie de chambre (1980), 16 min

• Clair-Obscur (1981), 9 min

• Les Paradis mécaniques (1981-1983), 15 min

• Poème n°1 pour ensemble (1983), 17 min

• Xylèmes pour orchestre sans bois (1984), 17 min

• Les Miroirs transparents pour orchestre (1985), 17 min

• Diadèmes pour alto solo transformé, ensemble électronique et ensemble instrumental (1986), 22 min

• Interludes I 5 pièces pour violon solo (1984-1988), 40 min

• Impressions, mouvements oratorio pour récitant, chœur, orchestre et dispositif électronique (1989), 42 min

• Instances pour orchestre symphonique, dispositif électronique et chœur de 12 voix (1991-1989), 40 min

• Élégie pour flûte seule (1990), 3 min

• Petit interlude pour alto et piano (1992), 2 min

• Petit interlude pour saxhorn basse en si b ou tuba basse seul (1992), 3 min

• Interludes II pour trombone basse solo (1993)

• Interludes III pour trombone ténor solo (1993)

• Seuils pour soprano et ensemble (1991-1993), 45 min Sextuor (1992-1993), 15 min

• Concertino pour orchestre baroque (1994), 14 min

• In Advance of the Broken Time... (1994), 13 min

• Offertoire extrait du Requiem de la Réconciliation, pour chœur d'hommes et orchestre (1995), 7 min

• Concerto pour violon et orchestre (1996), 24 min

• Tactus (1996), 19 min, pour neuf instruments, créé le 20 septembre 1996 à Cologne

• Correspondances pour soprano, alto, baryton, 8 instrumentistes et dispositif électronique (1997)

• Non-lieu pour chœur de femmes en 4 groupes et ensemble (1997), 23 min

• Interlude IV pour hautbois (1998), 13 min

• Antiphonie double concerto pour clarinette et cor de basset (1999), 24 min

• The Dream of the Unified Space concerto pour orchestre (1999), 22 min

• Concertate il suono, pour orchestre (2000), 24 min

• Sextine, Cyclus, pour soprano et ensemble instrumental (2000)

• Color pour orchestre (2001), 22 min

• Ligne de fuite à la mémoire de Gérard Grisey(2001), 3 min 25 s

• Mobiles pour 4 chœurs à 4 voix et ensemble instrumental (2001), 44 min

• Ciaccona pour orchestre (2002), 12 min

• Palimpseste (2002-2005), 14 min

• The Rocks under the Water pour orchestre (2002), 12 min

• Chants pour 6 voix d'hommes a cappella ou avec ensemble instrumental (2003), 25 min

• Double jeu pour soprano et ensemble mixte occidental et ensemble mixte d'instruments traditionnels chinois (sheng A, sheng B, Shongruan, daruan, pipa, perc chinoises, yangquin, ehru, zonghu) (2003), 30 min, (Documentaire sur Double Jeu)

• Axiom pour piano, clarinette, basson et trompette (2004), 15 min

• La marche des transitoires pour hautbois et dix instruments (2004)

• Trio pour violon, cor et piano (2004), 16 min

• Comptines pour chœur d'enfants, piano, un percussionniste et harpe (2005), 10 min

• Concerto pour piano (2005), 25 min

• Sinfonietta (2005), 25 min• Concerto pour flûte et orchestre (2006), 17 min, créé le 5 octobre 2006 à Berlin

• Variations orchestrales sur une œuvre de Leoš Janáček pour orchestre (2006), 22 min

• Quatuor à cordes (2012), commande de l'Opéra de Dijon

• Concerto pour violoncelle (2013), 19 min

• Gloria, pour orgue (2023), commande de Radio France et de l’Auditorium-Orchestre national de Lyon, Éditions Lacroch' [18]

• Élégie, pour violoncelle et piano (2024), commande du 73ème Concours International de Musique de l’ARD de Munich, Éditions Lacroch' [19]

Opéras

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Discographie

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• 1990 - Paradis Mécaniques, Ensemble Musique Oblique, Accord-Una Corda [26]

• 1994 - Seuils, Diadèmes, Ensemble Intercontemporain dir Boulez, Adès [27]

• 1995 - Offertoire, Orchestre Philharmonque d’Israel, Hänssler

• 2005 - Color, Ciaccona, Concerto violon, Orchestre de Paris dir Eschenbach, Naïve [28]

• 2006 - Palimpseste, Tactus, Trio, In advance of the Broken Time, Ensemble l’Itinéraire, dir Dalbavie, Nocturne [29]

• 2007 - Concertate il Suono, Antiphonie, The Dream of the Unified Space, Orchestre Philharmonique de Radio-France, Naïve [30]

• 2007 - La Source d’un Regard, Orchestre du Concertgebouw, Erato [31]

• 2008 - Concerto pour Flute, Orchestre Philharmonique de Radio-France, Pahud, EMI [32]

• 2009 - Sinfonietta, Variations Janacek, Rocks under the Water, Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, dir Dalbavie, Ameson [33]

• 2010 - Concerto pour piano, Orchestre du Bayerische Rundfunk, Leif Ove Andsnes, EMI [34]

• 2011- Color, Orchestre Philharmonique de Slovène, Emmanuel Vuillaume, Virgin [35]

• 2014 - Sonnets Louise Labé, Sextine Cyclus, Orchestre du Gulbenkian de Lisbonne, dir Dalbavie, Ameson [36]

• 2020 - Concertos violoncelle, hautbois, flûte, la Source d’un Regard, Orchestre de Seattle, Seattle Symphony [37]

• 2021 - Quatuor à cordes, Paris Urban Quartet, le Studio [38]



Références

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  1. « Biographie - Marc-André Dalbavie », sur brahms.ircam.fr (consulté le )
  2. « Claude Ballif-Michèle Tosi-Editions Hermann », sur Hermann, (consulté le )
  3. a et b « Le son en tout sens - Les compositeurs - Livres - Catalogue - Billaudot », sur www.billaudot.com (consulté le )
  4. « Parcours de l'oeuvre - Marc-André Dalbavie », sur brahms.ircam.fr (consulté le )
  5. Dominique Adrian, « À la Staatsoper de Berlin, Marc-André Dalbavie adapte La Mélancolie de la résistance à l'opéra et à l'écran », sur ResMusica, (consulté le )
  6. Bibliothèque musicale de Radio France, « Marc-André Dalbavie », sur Radio France (consulté le ).
  7. « Ordre des Arts et des Lettres - Nominations et promotions du 23-07-2010 », sur www.france-phaleristique.com (consulté le )
  8. « ARS Electronica ARCHIV » [archive du ], sur webarchive.ars.electronica.art (consulté le )
  9. « Marc André Dalbavie - Villa Medici », sur villamedici.it (consulté le )
  10. « Marc-André Dalbavie : podcasts et actualités », sur Radio France, (consulté le )
  11. « Fondation Prince Pierre de Monaco », sur www.fondationprincepierre.mc (consulté le )
  12. « Marc-André Dalbavie Biographie », sur www.symphozik.info (consulté le )
  13. (en-US) « The 51st Annual Grammy Awards Nominations - CBS News », sur www.cbsnews.com, (consulté le )
  14. [vidéo] « Marc-André Dalbavie | Grand Prix de la Musique Symphonique (Carrière) | Grands Prix Sacem 2010 »sacem, , 1:25 min (consulté le )
  15. « Marc-André DALBAVIE - Tous les contributeurs et contributrices - Billaudot », sur www.billaudot.com (consulté le )
  16. « La SACD dévoile les 35 lauréats des Prix 2022 | SACD », sur www.sacd.fr, (consulté le )
  17. « Marc-André Dalbavie - Éditions Lacroch' », sur Lacroch' (consulté le )
  18. « GLORIA », sur Lacroch' (consulté le )
  19. « ÉLÉGIE », sur Lacroch' (consulté le )
  20. Pierre-Emmanuel Lephay, « Une partition superbe et superbement servie : Gesualdo - Zurich », sur Forum opéra, (consulté le ).
  21. Dominique Adrian, « Charlotte Salomon à Salzbourg, un futur chef-d'oeuvre de Dalbavie », sur ResMusica, (consulté le ).
  22. Michèle Tosi, « Lever de rideau sur Le Soulier de satin de Marc-André Dalbavie », sur ResMusica, (consulté le ).
  23. « Marc-André Dalbavie - Le Soulier de Satin », sur Lacroch' (consulté le )
  24. Informations de la Staatsoper, consulté le 13 Juillet 2024.
  25. « MÉLANCOLIE DE LA RÉSISTANCE [Opéra] », sur Lacroch' (consulté le )
  26. Philippe Hurel, Marc-André Dalbavie, Philippe Durville - Ensemble Musique Oblique, Anne Berteletti - Fragment De Lune / Paradis Mécaniques / IMAC, (lire en ligne)
  27. Marc-André Dalbavie, Pierre Boulez et Ensemble intercontemporain, Seuils ; Diadèmes / Marc-André Dalbavie, Ensemble Intercontemporain ; Ircam ; Adès. Paris, (lire en ligne)
  28. « Color », sur basenationale.philharmoniedeparis.fr (consulté le )
  29. Marc-André Dalbavie et Ensemble l'Itinéraire, Palimpseste ; Trio ; Tactus ; In advance of the broken time / Marc-André Dalbavie, Nocturne, (lire en ligne)
  30. Orchestre Philharmonique de Radio France : Dalbavie : Concertate il suono - Antiphonie - The Dream of the unified Space - écoute gratuite et téléchargement MP3, (lire en ligne)
  31. (en-GB) « La source d'un regard by Marc-André Dalbavie — Apple Music Classical », sur Apple Music Classical - Web Player (consulté le )
  32. Pierre-Jean Tribot, « Pour Marc-André Dalbavie ! », sur ResMusica, (consulté le )
  33. « Détails | CNSMDP - Médiathèque et archives », sur mediatheque.cnsmdp.fr (consulté le )
  34. (en) Leif Ove Andsnes, Dalbavie • Sørensen • Kurtág • Lutosławski, Symphonieorchester Des Bayerischen Rundfunks, Franz Welser-Möst - Shadows Of Silence, (lire en ligne)
  35. Color, (lire en ligne)
  36. « Sonnets, sextine-cyclus, trois chansons populaires - Marc-andré dalbavie - - CD », sur Place des Libraires (consulté le )
  37. Marc-André Dalbavie: La source d'un regard & Concertos, (lire en ligne)
  38. « Paris Urban Quartet – NoMadMusic » (consulté le )

Liens externes

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