Malbouhans

commune française du département de la Haute-Saône

Malbouhans
Malbouhans
La mairie, l'église et l'école.
Blason de Malbouhans
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lure
Maire
Mandat
Sylvain Masson
2020-2026
Code postal 70200
Code commune 70328
Démographie
Gentilé Camboillots
Population
municipale
330 hab. (2021 en diminution de 8,33 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 42′ 45″ nord, 6° 34′ 51″ est
Altitude Min. 310 m
Max. 517 m
Superficie 7,8 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mélisey
(banlieue)
Aire d'attraction Belfort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lure-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Malbouhans
Liens
Site web pays-de-lure.fr/malbouhans.htm

Malbouhans est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants sont appelés les Camboillots.

Géographie modifier

 
Le territoire communal dans son contexte local.

335 hectares du sol communal sont boisés dont 59 de bois communaux. Une rivière traverse le territoire du nord au sud.

 
Le mont de Vannes.

Communes limitrophes modifier

  Saint-Barthélemy  
La Neuvelle-lès-Lure N Ronchamp
O    Malbouhans    E
S
La Côte

Géologie modifier

Malbouhans est construite sur le plateau de Haute-Saône dans la dépression sous-vosgienne[1] et s'appuie sur le versant méridional du massif des Vosges[2]. Le territoire communal repose sur le bassin houiller stéphanien sous-vosgien[3].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 342 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 10,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étobon », sur la commune d'Étobon à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 272,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Malbouhans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mélisey, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[14] et 3 131 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,9 %), prairies (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10 %), terres arables (5,8 %), zones urbanisées (3,8 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Projet d'aménagement et paysage modifier

La commune fait partie du plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), document d'urbanisme de référence pour la commune et toute l'intercommunalité approuvé le [20]. Malbouhans fait également partie du SCOT du pays des Vosges saônoises, un projet de territoire visant à mettre en cohérence l'ensemble des politiques sectorielles, notamment en matière d’habitat, de mobilité, d’aménagement commercial, d’environnement et de paysage[21].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Malboens au XIIe siècle, puis Malboans en 1150, et enfin Maboens à la fin du siècle, vers 1187. C'est d'ailleurs à cette date qu'il est mentionné dans une bulle de Grégoire VII Wiederholt. Le nom actuel apparaît en 1279[22].

Le nom est d’origine germanique ; il est issu du nom de personne Madalbod employé avec le suffixe -ingos, romanisation du suffixe germanique -ingen[23],[24]. Toutefois, la théorie des noms d'hommes burgondes de Perrenot, publiée en 1942 sous l’Occupation, est suspectée de pangermanisme. D'un point de vue linguistique, sa systématisation est critiquable, car bien des toponymes sont des cas uniques.

Il est notable que nombre de toponymes français se terminant par -en, -an ou -on, comme Rouen, Ruan, Nouhant, Nions et bien d'autres, remontent au gaulois magos « terrain plat », par disparition du G et nasalisation de la voyelle finale[25]. Or Malbouhans est précisément caractérisé par son terrain plat transformé en aérodrome. La racine bo- n'est autre que le nom de la vache en gaulois[25]. Ce qui nous conduit sur la piste d'une étymologie au sens agricole très concret désignant un « terrain plat pour les vaches ». Le préfixe ma-, devenue mal- au Moyen Âge par attraction de l'adjectif français, peut renvoyer au gaulois magio- devenu maio- et signifiant « grand »[25]. Soit pour Malbouhans un étymon possible maio-bo-magos « grand terrain plat à vaches », qui a le mérite de référer à la réalité du lieu et de respecter les lois phonétiques, faute d'attestation plus ancienne[26].

Histoire modifier

 
L'église au début du XXe siècle.

Le village, a appartenu aux seigneurs de Faucogney jusqu'à la Révolution française.

On y retrouve les vestiges bien reconnaissables de la voie romaine reliant Mandeure à Luxeuil.

La renommée du village s'est appuyée jusqu'au milieu du XIXe siècle, sur l'activité de deux verreries qui produisaient des feuilles de verre, verres de couleur pour les vitraux d'églises et un verre ressemblant à une porcelaine demi-transparente pour les sucriers et les compotiers.

La verrerie de la Saulnaire, dont les propriétaires ont fondé un orphelinat et y ont adjoint une chapelle vers 1877, est en cours de restauration[Quand ?]. Cette famille a laissé également une importante somme d'argent pour la construction d'une nouvelle église de style néo-roman, qui fut inaugurée en 1901.

Le village compte de nombreux mineurs travaillant aux houillères de Ronchamp entre le XVIIIe siècle et le XXe siècle. Il fait alors partie du territoire du bassin minier[27]. Un sondage pour la recherche du charbon est entrepris par la compagnie de Mourière. Cette société possède une concession qui comprend une partie du territoire communal[28] est souhaite l'étendre, mais le résultat est négatif à 374 mètres de profondeur[29].

Quatorze personnes de la commune sont mortes au cours de la Première Guerre mondiale et cinq durant la Seconde Guerre mondiale.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

 
Carte départementale représentant en rouge la communauté de communes du Pays de Lure.

La commune fait partie de l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône[30]. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

Elle faisait partie de 1801 à 1985 du canton de Lure. Celui-ci a été scindé par le décret du et la commune rattachée au canton de Lure-Sud[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Lure-2.

La commune de Malbouhans fait partie du ressort du tribunal d'instance, du conseil de prud'hommes et du tribunal paritaire des baux ruraux de Lure, du tribunal de grande instance, du tribunal de commerce et de la cour d'assises de Vesoul, du tribunal des affaires de Sécurité sociale du Territoire de Belfort et de la cour d'appel de Besançon.

Dans l'ordre administratif, elle relève du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Nancy[32],[33].

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), intercommunalité créée en 1998 et dont le territoire est progressivement passé de 8 communes à l'origine à 24 communes en 2016.

Liste des maires modifier

 
La mairie.
Liste des maires successifs[34]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
en 1977[35] 1981 François Pailler DVG  
1981 1983 Pierre Clément[35],[36]    
1983 1994 Bernard Mory[35]    
1994 mars 2008 Jacqueline Richner[35]   Institutrice
mars 2008 mars 2014 Jean-Paul Lamboley    
mars 2014[37],[38] En cours
(au 30 mai 2020)
Sylvain Masson SE[39] Chauffeur de taxi
Réélu pour le mandat 2020-2026[40]

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Population et société modifier

Démographie modifier

On dénombrait 31 ménages en 1614.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[42].

En 2021, la commune comptait 330 habitants[Note 4], en diminution de 8,33 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
280291310424536652657675693
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
669689675634655592562536561
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
518502480416381346338324386
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
347333343335356339378383373
2017 2021 - - - - - - -
335330-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Éducation modifier

 
L'école.

La commune ne dispose plus d'école[Quand ?]. Les enfants vont dans la nouvelle école intercommunal situé à 4 km dans la commune de Saint Barthélémy[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités modifier

Chaque année le comité des fêtes de la commune organise :

  • Le dernier dimanche d'avril un vide grenier avec restauration sur place
  • Le premier dimanche de juillet un grand repas avec cuisse de Bœuf et salades animé de jeux pour réunir les Camboillot(e)s (habitants de la commune) et leurs amis dans la cour de l'ancienne école.
  • À l'automne la commune accueille des artistes qui accrochent pour le temps d'un week-end leurs toiles.

Économie modifier

L'économie de la commune est liée à la ville de Lure, où la une partie de la population travaille.

Le site de l'aéroport militaire désaffecté de l'OTAN de Lure-Malbouhans, 240 hectares, partiellement classé en ZNIEFF, a été acquis le par le département de la Haute-Saône pour y implanter le pôle de compétitivité « Véhicule du futur » dit « Aremis-Lure » via un syndicat mixte, le Syma Aremis-Lure. Ce projet, porté par le Syma Aremis-Lure,le département et la communauté de communes du Pays de Lure ainsi que leurs partenaires (CCI de Haute-Saône et membres du groupe technique Environnement), a été contesté par deux associations de protection de l’environnement, mais le Conseil d’État a confirmé la légalité de la décision de créer sur le site une zone d'aménagement concerté (ZAC) d'activité[44],[45]. Afin de compenser les impacts environnementaux de ce projet, le Syma prévoit de mener un projet de restauration des milieux ouverts au Val de Bithaine, site naturel situé entre Lure et Vesoul[46].

Il est proche de la RN 19 et du site de production de Sochaux.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église.

Héraldique modifier

  Blason
Coupé : au premier d’or à trois cotices flammées à plomb de gueules, au second de sable à sept feuilles de saule d'argent, 4 et 3[47].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Bibliographie modifier

  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • L. Suchaux, Annuaire du département de la Haute-Saône, (lire en ligne) sur Google books
  • Jean-Jacques Parietti, Les Houillères de Ronchamp vol. II : Les mineurs, Noidans-lès-Vesoul, fc culture & patrimoine, , 115 p. (ISBN 978-2-36230-001-1).  

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « La dépression sous-vosgienne », sur caue-franche-comte.fr.
  2. [PDF] « Carte du massif des Vosges », sur massif-des-vosges.com.
  3. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Malbouhans et Étobon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Étobon », sur la commune d'Étobon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Mélisey », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « Plan Local d'Urbanisme Intercommunal », sur le site de la communauté de communes du pays de Lure, (consulté le ).
  21. « SCOT du pays des Vosges saônoises » [PDF], sur haute-saone.gouv.fr (consulté le ).
  22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, 2. Formations non-romanes, Droz 1996 (lire en ligne)
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 428a.
  24. Ernest Nègre, Op. cité, p. 794.
  25. a b et c Dictionnaire Langue Gauloise.
  26. Bernard Lyonnet, Rubrique toponymie de France Bleu Besançon
  27. Jean-Jacques Parietti 2010, p. 14.
  28. Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185.
  29. « Carte indiquant le sondage de Malbouhan ».
  30. [PDF] « Populations légales en vigueur à compter du 1er janvier 2013 (Arrondissements - cantons - communes) » (consulté le ).
  31. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. « Juridictions de Vesoul », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  33. « Carte judiciaire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  34. « Les maires de Malbouhans », sur francegenweb.org (consulté le ).
  35. a b c et d « Jacqueline Richner honorée », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « Jacqueline Richner a pris ses fonctions d’institutrice à l’école locale à la rentrée de septembre 1970. En 1977, elle entre au conseil alors dirigé par François Pailler, connaît l’intérim d’une année assuré par Pierre Clément, puis c’est le mandat avec Bernard Maury. À l’issue, elle fait une pause et tout en assurant sa mission à l’Education nationale. En 1994, elle se présente à la tête d’une liste qui est élue et elle fait deux mandats à la tête de la commune ».
  36. « Obsèques de Pierre Clément aujourd’hui », sur L'Est républicain, .
  37. « Municipales : Sylvain Masson prend la succession », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  38. « Sylvain Masson, premier édile », L'Est républicain,‎ (lire en ligne) « Sylvain Masson, 36 ans, pur Camboillot, achève son premier mandat comme second adjoint et il prend la tête de la nouvelle liste pour les prochains suffrages ».
  39. « Départementales 2015: Malbouhans 70328 », sur Le Monde.
  40. « Sylvain Masson repart pour un second mandat », sur L'Est républicain, (consulté le ).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. « Arémis, le projet Pôle véhicule du futur, à nouveau en piste », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  45. « « Le Conseil d’État, dans un arrêt du 27 mars, conforte le projet Aremis-Lure sur le site de l’ancien aérodrome Lure-Malbouhans », communique le syndicat mixte d’aménagement d’Aremis-Lure (Syma). », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône,‎ (lire en ligne).
  46. « Le site naturel du Val de Bithaine, entre Lure et Vesoul, appartient au conseil général de la Haute-Saône depuis juin 2010 », L'Est républicain,‎ (lire en ligne).
  47. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.