Maison de Bourbon-Ligny

La Maison de Bourbon-Ligny ou Vendôme-Ligny ou Bourbon-Vendôme-Ligny est une branche illégitime de la Maison de Bourbon-Vendôme, elle-même branche de la Maison capétienne de Bourbon.

La branche de Bourbon-Ligny s'éteint à la fin du XVIe siècle. Elle est également appelée Maison de Bourbon-Ligny-Rubempré.

Origines modifier

La Maison de Bourbon-Ligny est issue de Jean VIII de Bourbon-Vendôme (1428-1477). À côté de ses huit enfants légitimes, celui-ci eut deux fils de liaisons extra conjugales.

De Guyonne Peigné, il eut Louis de Bourbon-Vendôme, évêque d'Avranches, mort en 1510[1].

De Philippine de Gournay, il eut Jacques, bâtard de Vendôme, fondateur de la Maison de Bourbon-Ligny.

Armes modifier

Les Bourbon-Ligny ont pour armes le blason de Bourbon-Vendôme, "De France (= D'azur, à trois fleurs de lys d'or), à une bande de gueules chargée de trois lionceaux d'argent", blason de Jean VIII de Bourbon-Vendöme, "brisé d'un filet mis en barre et passant de gauche à droite"[2],[3]. Ce filet mis en barre serait l'usage pour signifier la bâtardise[4].

Jacques de Bourbon-Ligny (1455-1524) modifier

Jean VIII de Bourbon-Vendôme, son père, est comte de Vendôme, seigneur d'Epernon, Montdoubleau, Montoire, Lavardin, Bonneval[5].

Il laisse cette dernière seigneurie à son fils illégitime Jacques, fondateur de la branche de Bourbon-Ligny.

Les lettres de légitimation de Jacques sont conservées selon le Père Anselme dans les archives de la maison de Rambures[6].

Titres modifier

Jacques de Bourbon-Ligny est donc bâtard de Vendôme, légitimé en [7], chevalier, seigneur de Bonneval, Vançay, Fortel, Heux en Ternois, la Vaquerie et Vierge, baron de Ligny (Ligny-sur-Canche dans le Pas-de-Calais)[6].

Il occupe différentes fonctions : chambellan du roi François Ier, gouverneur du Valois et du Vendômois, capitaine d'Arques, bailli du Vermandois le et du Valois le [6].

Carrière modifier

Les rois Louis XII et François Ier "se plurent à l'enrichir"[3].

Le roi Louis XII lui verse une pension de 400 livres, pension dont il jouit en 1511, lui donne une compagnie d'hommes d'armes[3] et le nomme bailli du Vermandois le [6].

Lors d'un combat en Italie, avant 1515, Jacques de Bourbon-Ligny, blessé et renversé de cheval, est relevé par Jean I d'Estrées qui lui sauve ainsi la vie. Cette opération aurait beaucoup facilité le mariage (voir-ci-dessous), peu de temps après, de Catherine, fille de Jacques, encore très jeune (7 ou 8 ans), avec Jean d'Estrées, (âgé de 29 ans), et facilité la carrière de ce dernier en lui donnant une entrée dans la prestigieuse famille de Bourbon-Vendôme[4].

Le roi François Ier fait de lui son chambellan et le nomme bailli du Valois le [6], tout ceci avant sa légitimation donc.

François Ier lui donne encore en 1522 les parc et maison de Villers-Cotterêts et 1250 livres de rente sur les greniers à sel et domaine du Duché de Valois[6].

Jacques de Bourbon-Ligny meurt le [8].

Sa veuve Jeanne de Rubempré le fait enterrer dans la chapelle Notre-dame de l'abbaye de Longpont, près de Soissons, où elle sera inhumée elle-même à côté de lui, malgré son remariage (elle épousera en troisièmes noces Pierre ou Perceval de Chepois, chevalier, vicomte de Cluny[6]). Elle offre en ex-voto en 1525 à l'église Notre-dame de la Ferté-Milon une verrière représentant la Passion, avec leurs armoiries en tant que donateurs. Elle fait encore exécuter une tapisserie où les armes du défunt et les siennes sont portées par deux anges, et où de chaque côté, des chevaliers élèvent des bannières aux armes de ses propres ancêtres (les armes de Jean I d'Estrées y figurent également ce qui pourrait être dû à un ajout initié par Catherine, épouse de Jean I d'Estrées et fille de Jacques de Bourbon-Ligny et de Jeanne de Rubempré)[4].

Mariage et descendance modifier

Jacques de Bourbon-Ligny épouse Jeanne de Rubempré, dame[9] de Rubempré, (Armes "D'argent à trois jumelles de gueules") veuve de François de Crèvecoeur, seigneur de Crèvecoeur. Elle est la fille de Charles de Rubempré, seigneur de Rubempré et de Françoise de Mailly (de la Maison de Mailly). Le contrat de mariage est passé à Amiens le [6].

Le couple donne naissance à sept enfants qui seront donc les cousins de Charles IV de Bourbon, grand-père du roi Henri IV, qui rendit de grands services à François Ier, et qui reçut en récompense l'érection du comté de Vendôme en duché-pairie[4] :

Claude de Bourbon-Ligny (1514-1595) modifier

Les armes de Claude de Bourbon-Ligny auraient été "Ecartelé aux 1 et 4 de Bourbon-Vendôme brisé d'un filet de sable en barre; aux 2 et 3 d'argent à 3 jumelles de gueules qui est Rubempré"[13].

Claude de Bourbon-Ligny est baron de Ligny, vicomte de Lambercourt[14], seigneur de Bonneval, Fortel, Authie, Cambron, Behen, Miannay, et de nombreux fiefs au Quesnoy, à Wailly, Hères et Waben[15], ainsi que gouverneur de Doullens. Selon Roger Rodière, il est chevalier de l'ordre du roi et gentilhomme de la chambre du Roi[15].

Il meurt le , âgé d'environ 80 ans. Il est enterré dans l'église Notre-Dame du Chastel d'Abbeville (probablement Église Notre-Dame-de-la-Chapelle d'Abbeville)[12]. Son épouse ne sera pas inhumée avec lui (voir ci-dessous).

Avec sa mort, du fait du décès l'année précédente de son unique fils sans descendance (voir ci-dessous), s'éteint la Maison de Bourbon-Ligny.

Mariage et descendance modifier

Claude de Bourbon-Ligny épouse le Antoinette de Bours, (d'argent à la croix ancrée de gueules[13]), héritière et seule survivante de son père, vicomtesse de Lambercourt (hameau de Miannay), dame de Saint-Michel, Onival, Friaucourt, Oust, fille de Claude de Bours, seigneur d'Onival et de Jeanne de Vaudricourt. Elle meurt à Abbeville le 6 ou et elle est enterrée le [16] dans l'église de Lambercourt que le couple avait fait construire en 1584[15] en prévoyant plusieurs rentes pour son entretien[17]. Claude de Bourbon-Ligny et sa femme avaient déjà fait édifier une chapelle sous le vocable de Notre-dame sur ce site, en lui affectant des fiefs nobles, contre promesse d'une messe quotidienne à leur intention[17].

Une lettre envoyée depuis Ligny par Claude de Bourbon-Ligny à Antoine de Bourbon, père d'Henri IV, le montre que Claude de Bourbon-Ligny avait rendu visite à Antoine de Bourbon à Pau et qu'il avait rendu compte de leur entretien au roi Henri II, présent dans le Nord de la France à ce moment, lequel s'inquiétait de la santé de la famille d'Antoine de Bourbon. Il rencontre également la reine Catherine de Médicis. Cette missive révèle ainsi que Claude de Bourbon-Ligny avait des relations non seulement avec la famille de Bourbon-Vendôme à laquelle appartenait Henri de Bourbon mais aussi avec le roi et la reine[18].

Claude de Bourbon-Ligny et son épouse, hauts et puissants seigneurs[15], habitent Abbeville en 1569 année où Claude De Bourbon-Ligny verse 7 écus d'or pour la réalisation de la pierre tombale de son beau-père dans l'église de Miannay[19]. Leurs possessions dépendant de l'arrière ban d'Amiens (terres et seigneuries de Lambercourt, Friancourt, Onival, Ault) sont estimées à 1565 livres tournois[20]. En 1574, le couple fait également rebâtir à ses frais l'église Notre Dame du Chastel d'Abbeville tombée en ruine la même année[21], église où Claude de Bourbon-Ligny sera enterré[12].

De leur union naissent trois enfants légitimes :

  • Antoine de Bourbon-Ligny, vicomte de Lambercourt, seigneur de Ligny, guidon de la compagnie de cinquante lances du comte de Chaulnes pendant les années 1568 à 1570, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, gouverneur de la ville et du château de Doullens, fonction pour laquelle son père se démet en sa faveur[22], est tué lors d'un duel à Paris le [23], sans descendance.
  • Claude de Bourbon-Ligny, (1550-1620), baronne de Ligny, vicomtesse de Lambercourt, se marie le avec Jean IV, sire de Rambures et de Hornoy, (de la Maison de Rambures), fils de Jean III de Rambures, seigneur de Rambures, comte de Dammartin, et de Françoise d'Anjou, comtesse de Dammartin, dame de Courtenay[24], dont postérité. Claude de Bourbon-Ligny, devenue veuve, habite à Abbeville l'hôtel où vivait son père, dit hôtel de Ligny, hôtel qui fut saisi par sûreté, en raison d'une rente créée par le seigneur de Ligny au profit d'un bourgeois d'Abbeville[25]. Elle est enterrée dans le couvent des minimes d'Abbeville[26].
  • Anne de Bourbon-Ligny épouse par contrat le (ou septembre[22]) 1584[24] Claude de Créquy, seigneur de Hesmond, dont postérité[27].

Enfant naturel modifier

Claude de Bourbon-Ligny a un fils Jacques d'une relation avec une femme de la maison de Courcelles.

Jacques est seigneur de Ligny et de Courcelles et meurt en 1632. Il épouse Louise de Goüy, fille de Jacques de Goüy, seigneur de Cournehant et de Marguerite de la Chaussée[27]. Selon un site consacré à la dynastie capétienne, Jacques aurait également épousé en premières noces une Marie de Bommy, sans que l'on sache à quelle épouse attribuer les enfants qui suivent[28]

Le couple a six enfants :

  • François-Claude de Vendôme, est seigneur de Levigny (ou Revigny ?) en 1632, maïor (premier échevin) de la ville de Doullens. Il partage avec ses frères la succession de leur père le et meurt sans postérité en 1658. Selon le site consacré à la dynastie capétienne déjà évoqué, Francois-Claude de Vendôme était dit "Monsieur de Bretencourt" époux de Louise de Belleval, sans autre précision[29].
  • François de Vendôme, seigneur de Bretencourt et d'Abrancourt, capitaine d'infanterie au régiment de S. Preüil en 1641, lieutenant de cavalerie en 1644, épouse par contrat de mariage du Jacqueline Tillette d'Achery, demeurant à Caumartin, paroisse de Cressy en Ponthieu, fille de François Tillette d'Achery, écuyer seigneur d'Achery, et de Louise Dubos. Il produit en 1667 devant l'intendant d'Amiens des titres de noblesse en prétendant descendre de Jean de Vendôme, seigneur de Trefontaines vivant en 1529, son bisaïeul selon lui. Ces titres faits pour cacher la "bâtardise" de son père, parurent faux au procureur du roi qui présenta des conclusions aux fins de rejet le . Néanmoins l'intendant les reçut et les approuva le 3 du même mois[27]. François de Vendôme aurait eu cinq enfants, aux noms inconnus, de son épouse, qui teste le et meurt dans le mois qui suit. Il se marie de nouveau vers 1665 avec Jeanne Fouquet qui serait sa servante[30]. Il teste le et meurt dans le mois qui suit[31].
  • Charles de Vendôme. Il fut peut-être seigneur de Bretencourt[32].
  • Marguerite de Vendôme, épouse de Jacques de Monchy, (même famille mais branche différente[33] de celle de Jean IV de Monchy ci-dessus), écuyer, seigneur de Lamberval, fils de Claude de Monchy, écuyer, seigneur de Campeneuseville et de Claude du Bosc[34], mort en 1640?, dont postérité[35]. Elle se remarie le avec Antoine de Postel, seigneur de la Grange[36]. Elle meurt avant 1658.
  • Marie-Gabrielle de Vendôme, morte en 1629.
  • Antoinette de Vendôme, mariée en 1626 à Alexandre de Touzin, chevau-léger de la garde du Roi et lieutenant au gouvernement d'Ardres, dont elle était veuve en 1658[27].

André de Bourbon-Ligny (?-1577) modifier

André de Bourbon-Ligny (?-1577), fils cadet donc de Jacques de Bourbon-Ligny et de Jeanne de Rubempré, signe toujours André de Bourbon. Selon Nicolas-Louis Achaintre[37], il fut un des "plus braves seigneurs de son temps". Il est chevalier de l'ordre du Roi (chevalier de l'Ordre de Saint-Michel), conseiller du roi en son conseil privé, gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi[24], seigneur de Rubempré, Rieux, Bellehart, Saint Rémy-en Rynier, Dancourt, Nullemont, Preuseville, Cumouville. Il possède également en partie le vin et le menu de Blangy. Cette énumération de titres résulte d'un acte datant du [12].

André de Bourbon-Ligny effectue une longue et active carrière militaire : il participe à la bataille de Cerisoles (guerre d'Italie) en 1544, lieutenant de la compagnie du Duc d'Enghien en 1554, porte la cornette blanche (étendard d'un régiment de cavalerie) lors de la bataille de Saint-Quentin (affrontement franco-espagnol) de 1557. Il se qualifie de lieutenant de la compagnie de Mr d'Estrées (Antoine IV d'Estrées) le . À cette époque, il réside fréquemment à Monchaux dans le canton de Blangy[38]. Il se signale encore à la bataille de Dreux (bataille des guerres de religion) le . Le roi Charles IX l'établit capitaine de 50 hommes d'armes de ses ordonnances le et il en prête serment à Paris devant le maréchal de Montmorency (François de Montmorency) le suivant[12].

Il est député de la noblesse de la sénéchaussée de Ponthieu aux États généraux de Blois en 1576[12].

Le , André de Bourbon-Ligny se qualifie de gouverneur et lieutenant général des ville et château d'Abbeville[12],[39]. C'est à ce titre qu'il écrit le aux prévôts des marchands et échevins de la ville de Paris pour rendre compte de l'échec de la poursuite d'un fugitif[40].

Il meurt en 1577.

Mariage et descendance modifier

André de Bourbon-Ligny, épouse en premières noces Anne de Bufferade, fille et héritière de Louis de Bufferade, seigneur des Rieux, grand maître de l'artillerie de France, et de Marguerite de Boufflers[12].

De cette union nait Jean de Bourbon-Ligny, mort jeune au château de Cagny[12].

André de Bourbon-Ligny se marie une seconde fois avec Jeanne (ou Anne[39]) de Roncherolles, dame de Radepont[24], fille de Philippe de Roncherolles, baron du Pont-Saint-Pierre et Heuqueville, et de Suzanne de Guizancourt. Le contrat de mariage a été souscrit à Mainneville le [12].

De cette union naissent six enfants :

  1. Charles de Bourbon-Ligny, seigneur de Rubempré, gouverneur de Rue. Chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit en 1590. Il meurt en 1595 sans alliance.
  2. Louis de Bourbon-Ligny, (1574-1598)[24], seigneur de Grainville et Rubempré, mort sans alliance en 1598, âgé de 24 ans.
  3. Marguerite de Bourbon-Ligny, dame de Rubempré, mariée par contrat du à Jean IV[24] de Monchy, fils d'Antoine de Monchy, seigneur de Montcravel et d'Anne de Balsac, seigneur de Montcavrel, fait chevalier des ordres du Roi (chevalier de l'ordre de Saint-Louis) en 1633, dont postérité[12].
  4. Madeleine de Bourbon-Ligny, mariée à Jean de Gonnelieu, seigneur de Gonnelieu, Péruant et Autrêches., fils de Nicolas de Gonnelieu et de Catherine de Bossebec.
  5. Jeanne de Bourbon-Ligny, abbesse de l'abbaye Saint-Étienne de Reims (Abbaye Saint-Étienne-les-Dames) de l'ordre de Saint-Augustin[11].
  6. Marguerite de Bourbon-Ligny, religieuse puis abbesse[41] de Cîteaux dans l'abbaye du Trésor (Abbaye Notre-Dame du Trésor) dans le Vexin[12].

Articles connexes modifier

Bibliographie modifier

  • Anselme de Sainte Marie (Père Anselme), Histoire généalogique et chronologique de la Maison Royale de France, 9 volumes, Paris, 1725 et années suivantes lire en ligne.
  • Joseph-Louis Ripault Desormeaux, Histoire de la maison de Bourbon, Tome 1, Paris, Imprimerie Royale, 1772, lire en ligne.
  • Étienne Pattou, Maison de Bourbon, site en ligne, 2006-2017, p. 14 et 21, lire en ligne.
  • Nicolas-Louis Achaintre, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de Bourbon, Tome 1, Paris, 1825, lire en ligne.
  • Roger Rodière, <<L'église de Miannay>>, dans Bulletin de la Société d'émulation d'Abbeville, Tome VII, Abbeville, 1908, lire en ligne.

Notes et références modifier

  1. Père Anselme cité dans la bibliographie Tome I pages 324 et 325
  2. Père Anselme op. cit. Tome I pages 324 et 378
  3. a b et c Nicolas-Louis Achaintre cité dans la bibliographie page 467
  4. a b c et d Maximilien Buffenoir, « Trois siècles de vie française. La famille d'Estrées (1486-1771). Deuxième partie », Bulletin de la société historique et scientifique de Soissons,‎ tome 11 4e série 1957-1960, p. 23-24 (lire en ligne)
  5. Père Anselme op. cit. Tome I page 324
  6. a b c d e f g et h Père Anselme op. cit. Tome I page 378
  7. « Jacques, bâtard de Bourbon »
  8. Joseph-Louis Ripault Desormeaux cité dans la bibliographie page 126
  9. Étienne Pattou cité dans la bibliographie page 14
  10. Maxime Buffenoir op. cit. page 9 sous son portrait
  11. a b et c Du fait de la relocalisation à Reims en 1616 de cette abbaye créée initialement à Soissons, Saint-Étienne de Soissons et Saint-Étienne de Reims sont une seule et même abbaye
  12. a b c d e f g h i j k et l Père Anselme op. cit. Tome I pages 378 379
  13. a et b « Comtes et Ducs de Vendôme », annexe 7
  14. Joseph-Louis Ripault Desormeaux op. cit. page 128
  15. a b c et d Roger Rodière cité dans la bibliographie page 63
  16. Roger Rodière op. cit. page 67
  17. a et b Roger Rodière op. cit. note 1 page 64
  18. Abbé J.-P.-G. Blanchet, Recueil de lettres missives adressées à Antoine de Bourbon (1553-1562), Angoulême, (lire en ligne), p. 37-38
  19. Roger Rodière cité dans la bibliographie page 62
  20. Roger Rodière op. cit. note 3 pages 62 et 63
  21. Roger Rodière op. cit. page 64
  22. a et b Roger Rodière op. cit. page 72
  23. Roger Rodière op. cit. page 66
  24. a b c d e et f Étienne Pattou cité dans la bibliographie page 21
  25. Roger Rodière op. cit. page 74
  26. Roger Rodière op. cit. pages 73 74
  27. a b c et d Père Anselme op. cit. Tome I page 380
  28. « Jacques bâtard de Vendôme, seigneur de Ligny et de Courcelles »
  29. « XXXI . François Claude de Vendôme " Monsieur de Brétencourt ", seigneur de Revigny »
  30. « XXXI . François de Vendôme, seigneur de Brétencourt et d' Abancourt »
  31. Généalogie de Tillette, Abbeville, (lire en ligne), p. 71 72
  32. « XXXI . Charles de Vendôme, seigneur de Brétencourt »
  33. René de Belleval, Nobiliaire de Ponthieu et de Vimeu Tome II, Amiens, (lire en ligne), p. 211 à 226
  34. René de Belleval Nobiliaire de Ponthieu op. cit. page 225
  35. « XXXI . Marguerite de Vendôme »
  36. Père Anselme op. cit. Tome VII page 567
  37. Nicolas-Louis Achaintre op. cit. page 468
  38. Maxime Buffenoir, « Trois siècles de vie française- La famille d'Estrées (1486-1771)- Deuxième partie : le XVIe siècle », Bulletin de la Société archéologique, historique et scientifique de Soissons,‎ tome douze - 4e série- 1960-1964, p. 29 (lire en ligne)
  39. a et b Joseph-Louis Ripault Desormeaux op. cit. page 127
  40. François Bonnardot, registre des délibérations du bureau de la ville de Paris Tome VII 1572-1576, Paris, (lire en ligne), p. 226-227
  41. Nicolas-Louis Achaintre op. cit. page 469